Yémen: l’interprète de l’otage française dit être libre
« J’ai été libérée le 10 mars », a indiqué la jeune interprète, ajoutant dans un échange de mails avec l’AFP que ses ravisseurs l’avaient relâchée à Aden, dans le sud du Yémen, à la condition « de ne pas parler à la presse ». Mais sa libération a été évoquée ces dernières semaines par des médias, alors que rien n’a filtré sur le sort d’Isabelle Prime.
L’ex-otage yéménite a affirmé à l’AFP que « jusqu’à sa libération, Isabelle était en bonne santé ». Elle n’a pas fourni la moindre indication sur les ravisseurs ou sur les raisons du rapt. Elle a en revanche indiqué avoir été victime de « torture physique » durant son rapt et qu’elle espérait pouvoir obtenir des soins à l’étranger.