Les cirques défendent les soins prodigués

L’association européenne des cirques (ECA) n’en démord pas : selon elle, les animaux sauvages détenus par ces entreprises sont même mieux traités que ceux laissés en liberté.

Jean-Baptiste Marchal

L’association européenne des cirques (ECA) n’en démord pas : selon elle, les animaux sauvages détenus par ces entreprises sont même mieux traités que ceux laissés en liberté. Dans la lettre ouverte, elle cite par exemple le cas des éléphants, abattus par dizaines de milliers pour leur ivoire. Un constat qu’elle compare aux 200 éléphants actifs dans des cirques en Europe.

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