La F1 et les Etats-Unis: «Je t’aime moi non plus…»
De plus en plus américanisée, la F1 – qui fait escale ce week-end à Austin – rechigne pourtant à s’ouvrir à des acteurs de son cru, écuries et pilotes confondus !
Détenue par les Américains de Liberty Media, boostée par Netflix, attendue pour un show planétaire à partir de l’an prochain à Las Vegas, portant ainsi pour la première fois à trois le nombre de Grands Prix organisés sur une année au Pays de l’Oncle Sam (avec Austin et Miami), la Formule 1 semble pourtant frileuse – euphémisme – à accueillir en son sein des acteurs américains ! Car si l’écurie Haas est bien de là-bas, elle n’a pour autant jamais accueilli en son sein un pilote défendant la bannière étoilée.
Sept années déjà se sont écoulées depuis la dernière apparition de l’un de ceux-ci : Alexander Rossi. Et encore, le Californien a disputé à peine cinq Grands Prix pour Manor avant de retourner aux Etats-Unis et d’y remporter notamment les 500 Miles d’Indianapolis ! Avant lui, Scott Speed avait été le dernier à disputer une saison complète (pour Toro Rosso), sans grand succès il est vrai. C’était il y a 15 ans !
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