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Cédric Klapisch: «Le vin, c’est la métaphore de l’humanité»

Pour son douzième long-métrage, « Ce qui nous lie », Cédric Klapisch quitte la ville pour les vignobles bourguignons. Dans ce décor bucolique, il évoque le rapport à la nature et au monde, ce que l’on hérite de ses parents, ce que l’on transmet à ses enfants.

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Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 7 min

Cédric Klapisch, 56 ans le 4 septembre prochain, est le cinéaste de la jeunesse des années 2000 à travers des films comme L’Auberge espagnole ou Casse-tête chinois. Son douzième long-métrage met toujours en scène une jeunesse très contemporaine mais plus du tout urbaine. Les héros de Ce qui nous lie ont leurs racines en Bourgogne, au cœur des vignes, ce qui n’empêche pas d’être ouverts au monde.

Est-ce un film sur le vin ou sur la famille ? En liant vin et famille, Klapisch renoue avec quelque chose de très intime qu’il résume en quelques mots : «  Jusqu’à il y a peu de temps, mon père nous emmenait en Bourgogne, mes sœurs et moi, faire des dégustations dans des caves. C’était une sorte de rituel, une fois tous les deux ans, à peu près.  » Il est donc question de temps qui passe et de transmission.

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