USA : un parfum de consécration

Clinton et Trump ont nettement renforcé mardi leur statut de présidentiables. Analyse.

Philippe Paquet
NEW YORK, NY - APRIL 26: Republican presidential candidate Donald Trump makes his way to the podium to speak to supporters and the media at Trump Towers following the conclusion of primaries Tuesday in northeastern states on April 26, 2016 in New York, New York. Trump again gained more delegates to move him closer to the Republican presidential nomination. Spencer Platt/Getty Images/AFP == FOR NEWSPAPERS, INTERNET, TELCOS & TELEVISION USE ONLY ==
NEW YORK, NY - APRIL 26: Republican presidential candidate Donald Trump makes his way to the podium to speak to supporters and the media at Trump Towers following the conclusion of primaries Tuesday in northeastern states on April 26, 2016 in New York, New York. Trump again gained more delegates to move him closer to the Republican presidential nomination. Spencer Platt/Getty Images/AFP == FOR NEWSPAPERS, INTERNET, TELCOS & TELEVISION USE ONLY == ©AFP

Après avoir remporté quatre des cinq primaires organisées mardi dans l’Est des Etats-Unis et n’avoir laissé que des miettes à son adversaire Bernie Sanders, qui a gagné dans le seul Rhode Island, Hillary Clinton peut désormais considérer que les jeux sont faits et qu’elle sera en novembre la première femme à briguer la présidence du pays. Il reste désormais 1 206 délégués démocrates à attribuer et il ne lui en faut plus que quelque deux cents pour franchir le seuil des 2 383 nécessaires à l’investiture. On comprend qu’elle ait appelé mardi soir le parti à se rassembler derrière elle, même si son concurrent semble décidé à poursuivre la lutte jusqu’au bout - ce que Mme Clinton avait elle-même fait au demeurant quand elle affrontait Barack Obama en 2008.

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