Accueil Économie

Le business des influenceurs sous la pression de la régulation

Dans le collimateur du fisc, ces nouveaux entrepreneurs audiovisuels suscitent aussi des volontés de réglementation, notamment en Belgique. Qualifiés parfois d’« influvoleurs », ces créateurs sont aussi, en grande majorité, en situation précaire. Et démunis pour se développer dans les clous de la législation. Article réservé aux abonnés
Journaliste au pôle Economie Temps de lecture: 5 min

On ne parlait pas d’eux il y a dix ans. Elles et ils occupent désormais massivement l’espace médiatique, singulièrement celui des plateformes sociales sur lesquelles se scotchent frénétiquement les ados et les jeunes adultes. On les appelle les influenceurs (en réalité surtout des influenceuses). Ou parfois, les vlogueurs, mot-valise évoquant ces blogueurs multipliant les formats vidéo sur YouTube, Instagram, Snapchat et, de plus en plus, TikTok, pour vanter les mérites de biens, de services ou d’une cause quelconque. Contre rémunération, bien sûr, de la part des marques ou d’agences. Un job parfois très lucratif. Mais qui donne aussi du fil à retordre aux régulateurs ou aux services d’inspection des finances.

Cet article est réservé aux abonnés

Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique (PDF)
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

1 Commentaire

  • Posté par Schoonbroodt Hubert, mercredi 5 juillet 2023, 22:51

    Qu’ils soient taxés sur leur nombre de folowers, le problème sera vite reglé avec ces inutiles qui font tant de dégârs auprès des jeunes influencés par leurs messages.

Sélectionné pour vous

Aussi en Économie

En fermant son dépôt belge, Decathlon muscle le malaise social

D’ici la fin de l’année, le centre de distribution de Willebroek fermera ses portes. Ses activités seront délocalisées en France et en Allemagne. Le spécialiste français des articles de sport à bas prix veut optimiser sa logistique européenne. Les syndicats crient une nouvelle fois à l’irrespect de la concertation sociale.
Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs