LA GRANDE BRETAGNE NE CROIT PLUS AUX OVNISxml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
Comme pratiquement chaque année au mois de Juin, on entend, depuis 2009 année ou le bureau « ovni » du ministère de la défense Britannique a déclaré ne plus soccuper du dossier ovni, le même « chanson » au sujet de la position Britannique sur les Ovnis.
Il sagit de dépêches dagences, reprises sans chercher plus loin par de nombreux médias, et évoquant la position officielle de la Grande Bretagne sur le dossier ovni. Elle a fermé son bureau en déclarant entre autre :
- Que létude pratiquée par leurs bureaux nont pas obtenue de preuve quant à la provenance extraterrestre des Ovnis.
- Que les « ovnis » nont pas démontré être une menace militaire pour la sécurité de la Grande Bretagne.
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Lorsquon sait comment était étudié ce dossier en Grande Bretagne, une simple ligne téléphonique à la disposition du public, pas denquêtes véritables sur les observations et aucune approche globale scientifique de ce phénomène, on comprendra aisément que ces conclusions ne peuvent satisfaire un certain pourcentage du public, curieux et qui continue à se poser des questions. Mettre la recrudescence des observations uniquement sur le dos des « lanternes thaïlandaises » est facile, mais cela ne résout pas le pourcentage minime des cas que personne ne parvient à résoudre.
De nombreux ufologues en Grande Bretagne contestent ces conclusions et les méthodes employées qui nont rien de scientifique et qui sont loin dêtre au niveau de ce qui se fait en France, au sein du GEIPAN entre autre, organe officiel qui dépends du CNES et qui est donc une représentation sérieuse de la pensée dans ce domaine, de notre pays.
Hors le GEIPAN, en France, est loin de penser comme larmée de lair Britannique, il se penche sérieusement sur le dossier et procède à un examen de plusieurs centaines de cas chaque année. Suivant limportance, ils font lobjet denquêtes approfondies et sont sérieusement classés. Un certain nombre de cas, restent « non identifiés » et cest bien là le souci. Il ny aurait quun seul cas, non identifié, que ce dossier mériterait dêtre étudié.
Il semble évident que si déventuelles civilisations extraterrestres nous rendent visite, ce nest pas quotidiennement. Doù la rareté des cas intéressants, ceux-là qui justement nous obligent à une certaine prudence.
Il est trop facile dans un dossier aussi sensible, de conclure comme la fait la Grande Bretagne. À lévidence, il nest pas prouvé que ces « OVNI s » viennent dun autre monde, mais là à dire quils ne sont pas une menace pour la sécurité dun pays, il y a là une marge. Ce nest pas lorsque la catastrophe arrivera, quil faudra réagir. La surveillance et létude de ce dossier est donc une nécessité pour chaque grande nation. Il est bien connu que les différentes tactiques militaires ne sont pas de « présenter » à lavance un plan de bataille, mais de le préparer minutieusement et secrètement. Nous ne connaissons pas lorigine de ce phénomène, nous ne parvenons pas à capturer lun de ces engins, bien que des avions militaires aient été envoyé dans leur direction. Ils sont observés par nos radars. Le phénomène est bien présent et comme depuis des décennies nous ne le comprenons pas, il est bien évidemment plus facile de nier son existence ou les risques quil peut faire courir à notre planète. Mais en aucun cas cela ne résout le dossier, les « ovnis » sont bien toujours présents et nous ne savons pas quels risques réels ils nous font courir.
La poursuite de létude de ce dossier est donc utile et un certain nombre de pays lont bien compris, puisque quils ont créé des organismes civils ou militaires pour en suivre son évolution.
Gérard Lebat
http://www.les-rencontres-ufologiques.com
Le GEIPAN, Groupe dÉtudes et dinformations sur les Phénomènes Aérospatiaux non Identifiés est basé au sein du CNES à Toulouse. Son site : http://www.cnes-geipan.fr/
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