Collection de breloques de la police communale et rurale de la Province de Liège. Verzameling van borsthangers van de belgische gemeentepolitie & de landelijke politie uit de Provincie Luik.
Nous ne connaissons actuellement aucun ouvrage de référence qui reproduise et décrive les insignes de la police belge. Ici vous trouverez ma collection qui comporte plus de 1330 breloques, de la police communale, de la gendarmerie, de la police rurale et militaire, avec des annotations héraldiques. Le but est de constituer une documentation de référence pour les collectionneurs et aussi pour ceux ou celles qui désirent m’apporter leur aide afin de pouvoir compléter ma collection avec les breloques qui manquent.
C’est le chapitre de la collégiale Notre-Dame d’Aix-la-Chapelle qui exerçait les droits seigneuriaux à Fléron, mais il y était représenté par un avoué, le seigneur de la Rochette. Lorsqu’en 1618, la collégiale vendit ses droits à Charles de Longueval, un conflit ne tarda pas à éclater entre celui-ci et l’avoué, qui lui contestait les prérogatives seigneuriales. De guerre lasse, Longueval céda ses droits sur Fléron à l’évêque de Liège.
De 1688 à la fin de l’Ancien Régime, les seigneurs de la Rochette, avoués de Fléron, furent les d’Arberg-Valengin.
C'’est le blason des d’Arberg-Valangin que Fleron a choisi de perpétuer. Leur descendance s’éteignit en 1986 en la personne de Mme Robert Iweins de Wavrans, née Marthe de Neuchâtel.
De gueules au pal d’or chargé de 3 chevrons de sable.
12-04-2008
FLEMALLE 2
FLEMALLE
De gueules à la barre ondée d’argent accompagnée en chef d’un pic d’alunier et, en pointe de 6 besants rangés 3,2 et 1, le tout d’or.
09-04-2008
FLEMALLE 1
FLEMALLE
Flemalle a choisi des armoiries nouvelles.
La barre ondée d’argent des armoiries de la nouvelle entité symbolise la Meuse, qui baigne Flémalle et constitue l’axe de l’entité. Le pic d’alunier rappelle l’ancienne activité minière locale. Le bon métier des houilleurs était un des plus importants bons métiers liégeois. On peut d’ailleurs souligner que le mot « houille » provient du liégeois « hoye », attesté dès le XIIIè siècle et qui transformé en « oille » au XVIè siècle pour se répandre ensuite avec la marchandise vers l’ouest et le sud.
Les 6 besants évoquent les 6 communes fusionnées de même que les raisons des vignobles d’autrefois.
06-04-2008
EUPEN
EUPEN
D’'or à la croix engrêlée de gueules, l'’écu sommé d’une couronne murale d’argent. {A la place de la couronne murale traditionnelle, un château muni de 3 tourelles crênelées.}
04-04-2008
EUPEN 1
-
EUPEN
Eupen, seigneurie hautaine du duché de Limbourg, devrait son nom au néerlandais «open », terre libre.
Un Jean d’Eupen (van ou von Oijpen), fait prisonnier à Baesweiler, portait en 1374 une croix engrêlée et un lambel brochant et c’est probablement ce qui motiva l’arrêté de 1864 de Guillaume 1er, roi de Prusse, autorisant Eupen à porter des armoiries semblables, sommées d’une couronne murale à l’aigle issante.
Cette aigle fut supprimée en 1920. Depuis lors, la ville d’Eupen a continué à faire usage de l’écu d’or à la croix engrêlée de gueules, sommé d’une couronne murale à 3 tours.
01-04-2008
ESNEUX
ESNEUX
En 1898, Esneux avait été autorisé à faire usage d’un sceau semblable, à celui de l’ancienne cour échevinale de cette localité appendu à une charte du 2.11.1363. On a reconnu à la nouvelle entité des armoiries basées sur celui-ci et aux émaux de la famille d’Argenteau, qui posséda les lieux dès le XIVè siècle.
D’azur à un donjon à 3 tours d’or, ouvert de gueules
26-03-2008
DISON
DISON
Ces armoiries évoquent l’activité lainière de la cité et sont utilisées officieusement depuis 1880 avec {les couleurs traditionnelles de la commune le bleu et le jaune}.
« D’azur » à 3 navettes de tisserand, 2 en sautoir, la 3ème brochant en pal sur les 2 autres, auxquelles est suspendue par une chaîne tissée, une toison, le tout d’or
23-03-2008
CHÊNEE
CHÊNEE
Fusionné en 1977 avec Liège
20-03-2008
CHAUDFONTAINE 2
CHAUDFONTAINE
19-03-2008
CHAUDFONTAINE 1
CHAUDFONTAINE
L’ancienne commune de Chaudfontaine n’avait pas d’armoiries.
16-03-2008
BRAIVES
BRAIVES
La nouvelle commune a adopté des armoiries basées sur un sceau scabinal du XIVè siècle appendu à un acte de 1339 émanant du maire et des échevins de la haute cour de Braives et de la cour d’Andenne à Braives…..
La breloque identique à celle de la police rurale de la province de Liège….
13-03-2008
BEYNE-HEUSAY
BEYNE-HEUSAY
Beyne-Heusay comme Bellaire et Queue-du-bois se trouvaient, sous l’Ancien Régime, au Quartier d’Amercoeur et les droits seigneuriaux y étaient exercés directement par le prince-évêque de Liège. Le dernier seigneur de Bellaire et Queue-du-Bois fut le chevalier Albert de Grady, conseiller à la Cour féodale de Liège ( 1748 - 1835).
Le village de Beyne fut pour sa part engagé en 1754 au chanoine de Stembier en garantie d’un prêt consenti au prince-évêque; cette engagère passa aux Villenfagne par mariage.
Les armoiries choisies par la nouvelle entité écartèlent celles des 2 dernières familles seigneuriales locales, les Villenfragne et les Grady.
La breloque de Beyne -Heusay, ne reproduit pas ses armoiries mais l'’insigne de la police communale.
Cet insigne de police était composé de:
* une branche de chêne (symbole du pouvoir judiciaire- voire les druides), * une branche d'olivier (symbole du pouvoir administratif), * la couronne (…. sous l'autorité du roi) * une épée levée (qui symbolise que l'application des règles établies par le pouvoir judiciaire et administratifs, pourraient être imposées par "l'épée" ( par la force donc)
le tout sur un fond bleu royal.
10-03-2008
BASSENGE
BASSENGE
La moitié du village de Bassenge y compris probablement Rodenge, fut donnée au début du XIIè siècle par un certain Witikind à l’abbaye de Saint-Jacques, qui avait été fondée à Liège un siècle auparavant par l’évêque Baldéric, comte de Looz. Une charte de ce monastère, datée du 4 octobre 1385, portait un sceau de l’échevinage local que la commune de Rocklenge-sur-Geer obtint d’utiliser par un A.R. de 1955. Rocklenge faisait alors encore partie de la province de Limbourg ( arr. de Tongres) et ce n’est qu’en 1963 que Rocklenge comme Bassenge furent rattachées à la province de Liège.
**La breloque ne représente pas le blason de Bassenge
07-03-2008
AYWALLE
AYWALLE
La plus grande partie du territoire de la nouvelle entité se trouvait, sous l’Ancien Régime, dans le duché de Luxembourg (quartier de Durbuy). Ernonheid dépendait cependant de la principauté abbatiale de Stavelot-Malmedy et une partie de Sougné du duché de Limbourg.
Les armoiries d’Aywaille, rappellent 2 des 3 principautés dont elle dépendait, les duchés de Luxembourg et de Limbourg.
Parti au 1. burelé d’argent et d’azur, de 10 pièces au lion de gueules, couronné, armé et lampassé d’or, à la queue fourchue et passée en sautoir ( qui est Luxembourg),
Au 2. d’argent au lion de gueules, couronné, armé et lampassé d’or à la queue fourchue et passée en sautoir ( qui est Limbourg)
02-03-2008
AWANS
AWANS
La terre d’Awans appartenait au monastère de Prüm, qui en confia l’avouerie au XIIè siècle à Hugues de Lexhy. Les avoués suivants furent le fils d’Hugues, Breton le Vieux de Waroux puis le fils de celui-ci, Humbert de Lexhy. Les avoués d’Awans étaient qualifiés à tort de seigneurs du lieu, étant donné qu’ils en habitaient le château.
Le fils aîné de Humbert, dit Humbert Corbeal, chevalier, suiccéda à son père comme avoué.
C’est du vivant d’un autre Humbert Corbeal, qu’éclata la fameuse guerre dite des Awans et des Waroux. L’avouerie passa ensuite par alliance à la famille de Clermont. Ces avoués portaient de vair plein et c’est le blason que la commune d’Awans a choisi de perpétuer dans ses armoiries.
De vair plain
28-02-2008
WANTED => ANS
ANS
Je recherche une des breloques de la police d'Ans, cfr la photo !
Particulatité =>dessin du lion plus morderne, recouverte d’epox, et 2 vis de fixation à l’arrière
Si vous pouvez m'aider....contactez moi - merci i
27-02-2008
ANS
ANS
Les armoiries d’Ans sont celles de la famille de Waroux, qui possède au Moyen Age la seigneurie du même nom à Alleur. Breton le Vieux, chevalier, seigneur de Waroux eut 6 fils et c’est le cadet, Libert dit Breton le Jeune, chevalier cité dès 1234, qui lui succéda comme seigneur de Waroux. De ce Breton le Jeune, descendent les le Polain de Waroux, qui conservèrent la seigneurie de Waroux jusqu’au XVIè siècle. Un scel échevinal apposé sur une charte du 14 mars 1330 porte un écu à un lion, les armoiries de la famille de Waroux.
De gueules au lion d’or.
24-02-2008
ANGLEUR
ANGLEUR
Fusionné en 1977 avec Liège
21-02-2008
AMEL
AMEL
Amblève a donné son nom à l’affluent de l’Ourthe qui la baigne et que symbolise la fasce ondée figurant à senestre du parti. Des recherches récentes permettent en effet de penser qu’Amblève fut un toponyme avant d’être un nom de rivière. Dans le sillage des Bataves, des Francs et des Frisons, les Angles furent implantés par Julien l’Apostat dans le bassin mosan au IVè siècle. Tandis que certains traversaient la Manche, d’autres se fixaient en Meuse moyenne et y assuraient la pérennité des idiomes comme des lieux-dits qu’ils avaient marqués de leur empreinte. Le toponyme Amblève devrait donc être rapproché de l’anglais Wembley et désigner une voie de solipèdes ambleurs, en l’occurrence des mules qui s’abbreuvaient à l’Amel. On peut rapprocher ce toponyme d’Ambly, dans la principauté de Liège, et d’Ambleteuse, petit port du Pas-de-Calais, voire d’Ambresin ou d’Ampsin.
Terre luxembourgeoise après avoir dépendu de Stavelot-Malmedy, la localité a obtenu de faire figurer à dextre le lion luxembourgeois.
Parti, à dextre burelé d’argent et d’azur de 10 pièces, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d’or, à la queue fourchée et passée en sautoir, brochant sur le tout ;
A senestre, d’azur à la fasce ondée d’argent.
18-02-2008
AMAY
AMAY
Le blazon communal rappelle celui de la famille d’Amay, anciens avoués du lieu, dont la dernière représentante, Gertrude, épousa vers 1332 Rasse de Warfusée, seigneur de Waroux et à son tour avoué d’Amay après son mariage.
Amay était le siège d’une seigneurie dépendant du chapitre cathédral de Liège, 2 chanoines s’intitulaient seigneurs d’Amay.
Avec Ampsin, Jehay-Bodegnée et Ombret-Rawsa, Amay formait une paroisse remontant au moins au VIIè siècle et placée sous la paroisse de sainte Ode. Quant à l’abbaye-seigneurie-paroisse de Flône, elle était exempte de toute juridiction et c’est là que fut proclamée la paix de 1330 mettant un terme à la guerre des Awans et des Waroux.
D’or à 3 pals d’azur, au chef de gueules.
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