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Ivan Tirtiaux L’oasis

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Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 1 min

Il y a cinq ans, nous avions dit le plus grand bien de son premier album, L’envol. Ivan aime aller à son rythme, hors des sentiers battus, bien décidé à ne répondre à aucun diktat. Cela lui ferait bien sûr plaisir d’entendre ses chansons à la radio mais il n’est pas prêt à sacrifier sa liberté pour cela.

Le revoici donc avec huit chansons dont le Pauvre Martin de Georges Brassens et Le grand Lustucru (extrait de Marie Galante de Kurt Weill, sur un texte de Jacques Deval) pour un album naturaliste, acoustique et authentique, respirant le bon air pur. Ivan retrouve les sources folks d’un Dick Annegarn, avec de ces arrangements de guitare et banjo, Würlitzer et harmonium, cordes et cuivres… luxuriants au possible.

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