Les e-gates de Brussels Airport, loin d’être une réussite
Les portiques de contrôle frontière « non Schengen » sont très souvent en panne. Du personnel doit sans cesse intervenir pour les seconder. À 2,4 millions l’investissement, on pourrait s’attendre à mieux.
Fin juillet, de longues files se sont formées avant le contrôle d’identité à l’arrivée des vols hors Schengen à l’aéroport de Bruxelles. Photo à l’appui, un journaliste du Soir diffusait sur les réseaux sociaux une file d’attente de plusieurs centaines de personnes. En cause, une fois encore, les portiques de contrôles automatisés (e-gate) dont l’efficacité pose problème depuis leur installation.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Ce n'est pas étonnant. Certains s'en sont mis probablement plein les poches.... Comme c'est pour leur sécurité ( ah ah ) les utilisateurs n'ont qu'à subir les éventuels désagréments.
Un super grand classique. Une société reçoit commande d'un système informatique innovant qu'elle doit entièrement développer dans un certain laps de temps. Le matériel est livré à temps mais c'est l'utilisateur du système qui sert à finaliser la mise au point du système qui n'a pu être testé faute de temps et aussi de rentabilité. Pigeon vole !
En effet, mais dans un modèle économique où seuls le délai et le coût sont importants, ce genre de "soucis" est condamné à croître