Le calvaire du Burundi à travers celui d’un journaliste
Esdras Ndikumana était le correspondant respecté de médias français au Burundi. Il a pourtant été battu et torturé, en toute impunité. Il témoigne.
C’était le 2 août 2015. Esdras Ndikumana, journaliste burundais travaillant depuis 16 ans pour l’Agence France Presse (AFP) et Radio France International (RFI), apprend que le général Adolphe Nshimirimana, le nº2 du pouvoir burundais, très proche du président Nkurunziza, a été tué dans un attentat au cœur même de la capitale burundaise. Il décide de se rendre sur les lieux, après avoir cependant attendu que la tension retombe.
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