Bernard Lavilliers: «L’espoir, c’est personnel»
Avec « Cinq minutes au paradis », Bernard Lavilliers signe son vingt-et-unième album en près de 50 ans (sortie le 29 septembre). Il y parle de guerre, des migrants, de villes en crise, de chômage et d’espoir. Entretien.
Bernard a beau avoir un rhume, il a l’œil vif, le sourire en coin et la mine réjouie. Un plat d’huîtres et quelques bulles dans cette brasserie bruxelloise le mettent de bonne humeur pour parler de ce nouvel album pour lequel, comme d’habitude, il s’est entouré de quelques amis belges. À 70 ans, Lavilliers ne change décidément pas.
Vous n’avez jamais arrêté…
Non. Cet été, pour ne pas m’emmerder, j’ai même tourné avec Mahut, mon percussionniste. À deux. J’ai surtout chanté des poèmes de Villon, Apollinaire, Blaise Cendrars, des trucs qu’on connaît tous les deux. Je n’ai finalement toujours chanté que des poèmes sur scène.
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