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Isabelle Nanty: « A l’Intime Festival, j’aimerais lire ce texte comme un escargot, entourée de gens»

Isabelle Nanty est, avec Mathieu Amalric, Marie Gillain, Yoann Blanc, une des lectrices de l’Intime Festival, le week-end prochain à Namur

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Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 4 min

LIntime Festival, sixième chapitre, 24, 25, 26 août. On vous attend ». Vous avez entendu, à la télé et à la radio, la voix éraillée de Benoît Poelvoorde annoncer par ces mots, et en les assortissant d’une rengaine sifflée, « son » festival, celui qu’il a lancé en 2013 avec Chloé Colpé et Sylvie Ballul au Théâtre de Namur. Cet Intime, il le voulait, l’ami Ben, le noceur, le drôle, l’amateur de gags. Parce que ce côté désinhibé ne fait que cacher, en fin de compte, une sensibilité exacerbée qu’il soigne en lisant. Beaucoup. Benoît Poelvoorde est un addict, au cinéma, à la fête, à la lecture. Alors il a voulu partager cette passion en invitant des écrivains à offrir leur intimité et des comédiens à lire des extraits de leurs livres. Et, banco, ça a marché. Si bien qu’on en est, le week-end prochain, à la sixième édition de ce festival, que je vous engage à découvrir tant il éveille la curiosité, l’interrogation, la méditation, la découverte, et c’est bien ça le rôle de la littérature.

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