«Robert Desnos reste libre toute sa vie»
Un roman populaire de qualité qui rend hommage à un poète
Après L’ancre des rêves (1), un premier roman passé presque inaperçu il y a dix ans, Gaëlle Nohant a connu un grand succès avec La part des flammes, un fait divers augmenté de passionnante fiction. Le pari consiste à susciter le même intérêt à partir d’une vie de poète, Robert Desnos (1900-1945). Sur le plan littéraire, c’est déjà gagné, malgré la complexité d’un projet dont l’écrivaine nous explique quelques secrets de fabrication, et son plaisir de l’avoir mené à bien.
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