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En 2018, Mons fera la fête à Niki de Saint Phalle

« Niki de Saint Phalle, ici tout est possible ». Ce sera le titre de l’exposition qui ouvrira la Biennale 2018 du BAM, dans dix mois.

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Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 2 min

Après Keith Haring, Vincent Van Gogh et Andy Warhol, c’est à une femme que le BAM rendra hommage, lors de sa prochaine Biennale, en septembre 2018. Pas n’importe quelle femme : avec Niki de Saint Phalle (1930-2002), c’est une pionnière de l’art au féminin que Mons entend mettre en lumière.

L’artiste franco-américaine demeure, quinze ans après sa mort, un mystère. Son œuvre joyeuse et colorée tranche avec les épreuves souvent terribles de son début de vie. Abusée par son père alors qu’elle n’avait que onze ans, Niki de Saint Phalle traverse en 1953 une dépression nerveuse carabinée. Elle n’en sortira qu’au terme d’un violent internement psychiatrique, qui la verra subir notamment des électrochocs. Et c’est là, au fond du trou, qu’elle découvre le moyen d’expression qui va la libérer : elle commence à peindre. Rompt avec sa famille. S’affranchit des règles d’un monde patriarcal contre lequel elle entre en guerre. Célèbre les beautés du corps féminin.

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