Ni potiches, ni bombasses: les femmes font le jeu
Potiches ou bombes sexuelles, les héroïnes s’imposent enfin dans le jeu vidéo. Vendredi, Electronic Arts décidait, comme pour sa franchise Fifa, d’offrir la possibilité d’incarner une basketteuse dans NBA Live. De plus en plus de jeux proposent désormais le choix du sexe de l’avatar. Ou imposent carrément la version féminine.
L’onde sismique du #metoo a atteint la réalité parallèle. Cette galaxie de pixels où on dézingue du zombie au lance-flammes, où on cumule les vies, les avatars, les Ferrarri, où – comme chez Boris Vian – on se rase la moustache puis on regrette et elle repousse tout de suite, ce paradis virtuel où on peut être plombier le lundi et agent secret le mardi, se glisser le matin dans la peau d’un homme et le soir, dans la peau d’une… euh… enfin non, juste dans la peau d’un homme en fait.
Où sont les femmes dans le jeu vidéo ? Où sont les filles normales, pas les princesses, pas les bombasses, mais les alter ego de Mario, Sonic, Batman, des super héroïnes qui se démarquent moins par leur bonnet D que par leurs capacités ?
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