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Un test pourrait prédire l’échec à l’université

Faut-il un filtre à l’entrée des études ? Une recherche commune à trois universités montre en tout cas une corrélation entre test d’entrée non contraignant et échec en première bac.

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Chef du pôle Société Temps de lecture: 5 min

Faut-il généraliser l’installation de filtres à l’entrée des études supérieures ? La question revient de manière récurrente depuis des décennies. Elle se fait toutefois plus pressante dans un contexte où se croisent un quasi libre accès sur la base du certificat de fin d’études secondaires, un coût à l’entrée tout à fait abordable, des taux d’échec très élevés et un définancement du système.

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2 Commentaires

  • Posté par NOBEN Karl, mardi 2 avril 2019, 19:09

    "C’est embêtant mais c’est très peu" : un argument qu'on devrait utiliser plus souvent pour fixer les politiques publiques... 350 morts par an sur les routes ? C’est embêtant mais c’est très peu ! 60.000 porteurs de maladies orphelines sans espoir de traitement ? C’est embêtant mais c’est très peu ! Si "c’est souvent moins de la faute des étudiants que du système scolaire (sous entendu, le secondaire)", pourquoi recommander des actions après la fin du secondaire et non avant ?

  • Posté par Viviane braem, mardi 2 avril 2019, 14:31

    Avant , il y avait la contrainte du latin ! en 1956 je n'ai pu étudier la géographie car je sortais de modernes scientifique . ON n'avait que deux session , juillet et septembre . Mon mari qui sortait de latin grec a doublé sa 1è médecine faute de connaissances scientifiques ! l'accès à l' unif était très fermé malgré cela le taux de réussite était de 30 à 33 %. On ne fait pas mieux 70 ans plus tard ! Malgré toutes les facilités .

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