«Etre réfugié, c’est se bâtir une vie»
Emilie de Turckheim raconte l’accueil d’un Afghan dans sa famille pendant un an. Et c’est une magnifique aventure.
Emilie de Turckheim a raison : la réalité, ce n’est pas la vague migratoire, c’est un réfugié et un autre et un autre et encore un autre. Ce n’est pas une histoire collective, donc impersonnelle, mais bien celle de chacun de ces migrants.
Reza est un de ceux-là, celui que le destin a confié à l’écrivaine. Un Afghan de 21 ans. Elle l’a hébergé dans son appartement parisien, avec son compagnon et leurs deux enfants, pendant un an. Et elle en fait le récit dans ce livre qui est un bijou de confiance, d’optimisme, d’énergie, de soleil.
« Un jour j’ai dit : “Ils sont des milliers à dormir dehors. Quelqu’un pourrait habiter chez nous, peut-être ?”
Et Fabrice a dit : “Oui, il faudra juste acheter un lit.”
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