Une expérience «choc» pour tester l'esprit critique des étudiants (vidéo)
Peu d’étudiants osent contredire leurs professeurs.
L’université de Gand a testé l’esprit critique de ses étudiants grâce à une expérience, lors de laquelle des professeurs assénaient des contre-vérités.
Il ressort de cette expérience que peu d’étudiants osent contredire leurs professeurs. L’université voulait voir combien de temps cela prenait pour que les étudiants réagissent et s’opposent aux propos incorrects.
Les réactions des étudiants ont été filmées.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
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Posté par Boros ALEXANDRE, mercredi 21 mars 2018, 12:51
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Posté par Remi Baeyens, mercredi 21 mars 2018, 12:43
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Posté par Bachelart Bernard, mercredi 21 mars 2018, 11:57
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Posté par Wafellman Fabienne, mercredi 21 mars 2018, 10:01
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Posté par Simonis Luc, mercredi 21 mars 2018, 9:13
Plus de commentairesC'est une thérapie de choc , on aime ou on n'aime pas . Mais aujourd'hui l'esprit critique est trop souvent étouffé sous le prétexte qu'il faut toujours être positif . "Sois positif" est la réponse classique faite dans le monde professionnel à quelqu'un qui émet des remarques ou des critiques à l'égard des décisions ou des instructions venant de la direction.
Bravo pour l'initiative, mais le politiquement 'correct' sévit. Un étudiant ne réagira pas s'ils en désaccord avec le prof qui propage des idéologies acceptées: 'théorie du climat' etc . Comment un étudiant peut réagir contre la 'théorie' du moment ? Je me souviens d'un examen de philosophie où le prof me demandait d'expliquer une théorie de l'athéisme, je lui demandais pourquoi connaître mon avis si le cours se résumait à 'untel' (feurebach ou autre) a dit que etc. Je lui répondis que qu'est ce qu'il en pensait lui. J'ai eu zéro
L'important, c'est de recevoir les points pour obtenir le diplôme, peu importe s'il faut pour cela avaler des âneries pour les répéter lors des examens.
Quelle confiance pourront encore accorder ces élèves aux professeurs qui se sont joués d'eux ? Leurs enseignants sont censés dispenser du savoir et donc il y a une certaine logique à respecter cet enseignement. L'objectif semble de déterminer leur réactivité. Le résultat risque d'être que tout ce à quoi ces étudiants seront confrontés, sera contesté. Il ne s'agit pas de leur faire comprendre qu'ils sont des moutons, mais bien d'en faire des angoissés, des révoltés qui auront des difficultés à s'insérer dans la société. Loin de moi de dire qu'il faut tout avaler tout cru, mais il me semble préférable de leur apprendre à confronter l'information qui leur est donnée par d'autres canaux.
vivement une société d' "anti-moutons ",de jeunes qui réfléchissent !