Les Diables rouges font une croix sur 1 million d’euros

Roberto Martinez connaît le lot de tous les sélectionneurs de la planète avant l’échéance d’une Coupe du monde : il doit composer avec ses aspirations et le principe de réalité alliant tout à la fois le profil, les disponibilités et les prétentions salariales des adversaires potentiels. Sans compter l’échéance du 1er décembre à Moscou, où sera procédé au tirage au sort de la phase finale du Mondial 2018. À compter de cette date, le sélectionneur belge saura en effet qui éviter d’ici la compétition en elle-même. Avant cela, il sera tenu, comme ses confrères, d’élaborer un calendrier de préparation de fin d’année civile en sachant qu’il court le risque de retrouver l’un de ses sparring-partners dans le tournoi au mois de juin.