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Le cri des magistrats dans le désert

Les économies minent le fonctionnement de la Justice. Magistrats, greffiers, avocats, obligés de manifester à nouveau.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 3 min

Trois ans après une première mobilisation, qui avait rassemblé 3.000 magistrats, greffiers, avocats dans la salle des pas perdus du palais de Justice de Bruxelles, l’Ordre judiciaire s’est rappelé mardi, sur le coup de 15h, au souvenir du gouvernement demeuré, selon les organisateurs (l’Association syndicale des magistrats (ASM), appuyés par l’Union professionnelle des magistrats (UPM), l’union des juges de paix et de police, Avocats.be, etc.), sourd à leurs inquiétudes. Un budget de fonctionnement en baisse de 20 % depuis 2014, des cadres insuffisamment remplis dans les Cours, tribunaux et parquets (80 %) : rien n’a bougé trois ans après. «  Économiser sur la Justice, c’est faire l’économie de justice »  : au slogan proclamé le 20 mars 2015, succédait ce 20 mars 2018, la variante « faute de Justice, la Justice devient l’injustice » ou «  les robes et les pauvres même combat 

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