Baloji, bientôt 40 ans: «Moi, je suis dans le faire, j’avance.»
Enfin ! Huit ans après « Kinshasa Succursale », le chanteur belgo-congolais publie son troisième album, « 137 Avenue Kaniama ».
En juin dernier, au festival Sakifo de Saint-Pierre de la Réunion, Baloji nous parlait déjà de cet album prêt, enregistré, mixé et mastérisé pour le label anglais Bella Union (et Sub Pop aux États-Unis). Il aura fallu être patient.
Baloji, il est vrai, a perdu beaucoup de temps avec Universal-France qui s’était montrée suffisamment intéressée pour le signer sur son nouveau label Island-Africa, et publier l’EP 64 Bits and Malachite, avant de faire preuve « d’une incompétence crasse ». Il ne peut en dire plus : « Par contrat, je ne peux pas en parler, mais c’est cela que j’évoque dans “Bipolaire”. J’en resterai là. »
L’essentiel, finalement, c’est qu’à l’instar de Domino avec François & the Atlas Mountains, Bella Union n’a rien trouvé à redire au fait que Baloji s’exprime en français dans ce 137 Avenue Kaniama.
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