Gérard Linard: «A l’Union belge, personne ne parle de Preud’homme»
A 81 jours du Mondial russe, le président de l’Union belge lance officiellement le compte à rebours. En évoquant, sans fard ni détour, les liens quelque peu distendus entre les Diables et leur public, l’avenir de Roberto Martinez, le dépassement de son mandat après l’âge limite ou encore l’affaire Damso.
D’une pièce à l’autre en l’espace d’une élection. En juillet dernier, à son retour de vacances, Gérard Linard n’a compté que sur ses bras pour transférer ses dossiers et ses cartons personnels du bureau du secrétariat général à celui, contigu, de la présidence de la Fédération. Depuis, il est bien en place, malgré une position techniquement délicate puisqu’à mi-mandat, il vient d’être atteint par l’âge limite des 75 ans. Moyennant une dérogation que lui contesteront plus que probablement les amateurs flamands, il devrait toutefois pouvoir rempiler pour mener à bien sa mission de redressement des finances fédérales. Une mission qu’il avait entamée comme CEO ad interim, lors du licenciement de Steven Martens, en février 2015.
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