Accueil Culture Cinéma

Victor Polster est hallucinant de justesse dans «Girl»

Son visage fascinant et sa beauté androgyne hantent à jamais l’écran.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 2 min

Quelques mois après Cannes, Victor Polster, 16 ans, n’a pas changé. Il a toujours le teint diaphane, un visage dessiné au pinceau et a le pas léger comme une libellule.

Il mène sans trembler la danse de son destin dont la priorité est… la danse et il a retrouvé son école, ses copains et les exigences de son art. L’euphorie cannoise autour de sa personne n’a pas fait vaciller sa détermination première chevillée au corps : devenir danseur professionnel.

Si le cinéma lui a ouvert un nouvel horizon, aucune proposition jusqu’à présent n’a été assez forte pour le faire bifurquer. Il dit volontiers : «  La danse n’est pas une obligation, c’est un besoin.  » Il s’y prépare depuis l’âge de 9 ans, pratiquant son art avec l’application d’un élève sérieux de l’École royale de ballet d’Anvers.

Cet article est réservé aux abonnés

Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique (PDF)
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

Postez le premier commentaire

Sélectionné pour vous

Aussi en Cinéma

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs