Victor Polster est hallucinant de justesse dans «Girl»
Son visage fascinant et sa beauté androgyne hantent à jamais l’écran.
Quelques mois après Cannes, Victor Polster, 16 ans, n’a pas changé. Il a toujours le teint diaphane, un visage dessiné au pinceau et a le pas léger comme une libellule.
Il mène sans trembler la danse de son destin dont la priorité est… la danse et il a retrouvé son école, ses copains et les exigences de son art. L’euphorie cannoise autour de sa personne n’a pas fait vaciller sa détermination première chevillée au corps : devenir danseur professionnel.
Si le cinéma lui a ouvert un nouvel horizon, aucune proposition jusqu’à présent n’a été assez forte pour le faire bifurquer. Il dit volontiers : « La danse n’est pas une obligation, c’est un besoin. » Il s’y prépare depuis l’âge de 9 ans, pratiquant son art avec l’application d’un élève sérieux de l’École royale de ballet d’Anvers.
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