Don DeLillo: «Ma vie a basculé le jour où Kennedy a été assassiné»
En exclusivité pour « Le Soir », le grand romancier américain s’exprime sur son nouveau roman, « Zero K », centré sur les aspirations humaines au prolongement de la vie et à l’immortalité.
L’un des plus grands romanciers américains attend, incognito et inconnu de tous, dans le hall de l’hôtel Aubusson, à deux pas du Pont-Neuf. Don DeLillo n’aime pas les interviews. Il se sacrifie très rarement au rituel de la rencontre journalistique, mais fait une exception cette semaine. Et s’il est précédé par une réputation d’ours, allergique aux interviews, le temps de cet entretien exclusif accordé au Soir, il se révèle franchement attentif et affable. Le tête à tête dure 45 minutes, au terme desquelles l’écrivain new-yorkais nous quitte sur une plaisanterie, qui fait écho à son nouveau roman, Zero K, centré sur la vie après la mort. « J’aurais beaucoup aimé continuer cet entretien mais… peut-être le prolongerons-nous dans 200 ans. » Rencontre.
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