La Dormition et l'Assomption de Marie (cf. 2 R 2.11 ; Tradition ; LG 59)
Dormition de la Mère de Dieu monastère russe Ouspenskij, Rome
Voici le quatrième Mystère, l'Assomption de Ma Mère Bien-Aimée. Sois bénie et médite...6.12.89 Je suis venu dans ce Saint Coeur, image et ressemblance de Mon Sacré-Coeur, pour devenir le Dieu-Homme afin que Je suive Ses pas et que, plus tard, Elle suive les Miens. J'ai dit qu'Elle et Moi avons tout partagé jusqu'à la Croix ; Notre Union était si intimement parfaite que Nous n'avions pas besoin de parler, car la seule et unique expression était dans Nos Coeurs ; Mes paroles et Mes pensées n'avaient pas besoin de lui être transmises en Mon absence ; dans le suprême pouvoir de Mon Saint Esprit, tout était connu d'Elle ; dans Son Coeur virginal, tout était connu d'Elle, puisqu'Elle possédait Dieu et que Dieu La possédait. De cette manière, Sa nourriture quotidienne était la Volonté du Père Eternel. 25.3.96 Ses pensées, depuis le jour de Sa Conception furent toujours en union avec Mes pensées ; Son Coeur, en totale soumission à la Volonté de Mon Père, était une prière incessante, un incessant hymne d'amour, une adoration envers Moi, votre Dieu trine mais Un dans l'unité de l'essence. 3.4.96 Oui, le Coeur Immaculé de Ma Mère est uni au Mien. Je désire de chacun de vous la dévotion que mérite Son Coeur Immaculé. Tu vois, Ma fille, comme Nos Coeurs Divins sont couverts d'épines par les hommes qui ne Nous montrent qu'ingratitudes, sacrilèges et manque d'amour : tel est l'ensemble de leurs péchés. Vassula, Moi, qui suis le Verbe, Je L'aime et Je La respecte. Je désire de vous que vous vous approchiez de Ma Mère et que vous L'honoriez comme Moi Je L'honore. Je désire que chaque genou fléchisse pour L'Honorer. Je désire que vous priiez le Rosaire et que vous saluiez votre Mère Sainte. Je veux que vous répariez vos péchés, en Lui demandant de vous enseigner. 25.1.88
De lente kwam als een kermis die ineens de heele wereld verblijdt; en van eersten af waren de buitenmenschen haar zoo gewend alsof er nooit geen kwade dagen geweest waren. Zij en voelden niet, de landlieden wat er in en rond hen veranderde of gebeurende was, maar ze genoten van het nieuwe leven, van den nieuwen groei in 't schoone voorjaar; ze leefden het zonnefeest meê zonder verwondering om hun eigen, opgeruimde blijheid en de blijheid van heel den buiten, - want ze was verwacht, de lente: ze kwam immers alle jaren op gestelden tijd.
Palmen-Zondag! De Paaschzonne!
De gang naar de kerk, naar de hoogmis, geleek een zegetocht met groen. Boeren en boerinnen, knechten en meiden, oud en jong, elk droeg zijn takje bosseboom. Z'en verdoken hem niet, maar droegen den groenen twijg hoog op, welgezind en preusch omdat hij zoo groot en zoo groene was