LEUZE EN HAINAUT

La première mention de Leuze figure dans la Vita prima Lundgeri, écrite entre 839 et 849. Elle fait état de la donation par Charlemagne à l’évêque de Munster d’un monastère dédié à saint Pierre.

Au lieu du champ billeté, les 9 billettes rappellent les 9 communes fusionnées.

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D’argent au lion d’azur, la queue fourchée, armé et lampassé de gueules, accompagné de neuf billettes d’azur rangées en ordre

MANAGE

Manage séparée de Seneffe en 1880, n’avait pas d’armoiries.

Les armoiries attribuées en 1981 à la commune issue des fusions, constitue la présentation dans un écartelé des 4 blasons reconnus auparavent des communes Bois D’Haine, Bellecourt, Fayt-lez-Manage et La Hestre.

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Ecartelé : au 1, contre-écartelé : aux 1 et 4 d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, aux 2 et 3 d’or au lion de gueules, armé et lampassé d’azur qui est de Hainaut,

Au 2 burelé d’argent et d’azur de douze pièces qui est de Montigny,

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Au 3 d’azur à la croix ancrée d’argent qui est Goegnies,

Au 4 d’or l’aigle bicéphale de sable qui est de l’Empire.

MONS

La ville de Mons, chef lieu de la Province de Hainaut,disposait d’armoiries dès 1818.

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De gueules, à une ville d’argent à 4 tourelles, dont les 2 intérieures portent des guidons d’or et les 2 extérieures le globe impérial, surmonté de la croix, de même ayant au-dessus de la porte les armes de Hainaut ; et sous la herse un chien, de garde, d’argent, le tout posé sur une terrasse de sinople, l’écu timbré d’une couronne à 5 fleurons d’or.

MONS

PS celle à droite est en plastique

MONS

A noter de légères différences dans les traits

MONS

Breloque de la brigade caninne de la police Mons

MONTIGNY-le-TILLEUL

Les armoiries reprennent sur le champ le tilleul de l’ancien sceau scabinal sur lequel est posé le blason de Guillaume-Joseph, comte de Looz et du Saint Empire

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D’or à un arbre au naturel terrassé de sinople, chargé en abîme d’un écu écartelé : aux 1 et 4 , burelé d’or et de gueules de 10 pièces (Looz), aux 2 et 3 d’argent à 2 fasces de sable (Diest) et sur le tout d’hermine à 2 fasces de gueules (Corswarem)

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PS : je recherche encore une brelqoue de Montigny-le-Tileum, voir au point 4

MORLANWELZ

Ecartelé, aux 1 et 4 d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, aux 2 et 3, d’or au lion de gueules, armé et lampassé d’azur, chargé en abîme d’un écu parti

au 1 d’azur à la bande d’argent, accompagnée de 2 étoiles d’or,

au 2 d’or au sautoir de gueules

PS : voir au point 4, "breloques manquantes", car je recherche encore une breloque de Morlanwelz

MOUSCRON - MOESKROEN

Ecartelé aux 1 et 4 de gueules au chevalier armé de toutes pièces d’azur monté sur un cheval cabré d’argent et brandissant une épée du même, aux 2 et 3 d’argent à une barre hérissée de flammes de gueules; sur le tout, d’or à l’aigle bicéphale de sable, becquée, languée, membrée et diadémée de gueules, surmontée de la couronne impériale.

MOUSCRON - MOESKROEN

PERUWELZ

La 1ère apparition du nom date de 1105 dans un acte émanant de l’évêque de Cambrai.

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Echiqueté d’argent et de sable de 5 tires ; l’écu sommé d’une couronne à 7 perles et supporté à senestre par un lion d’or, armé et lampassé de gueules.

PONT-A-CELLES

Celles, appelée Celles sur Pieton ou Celles en Brabant jusqu'à la fin du XVIIIè siècle était une seigneurie hautaine tenue de ce duché, notamment par la famille de Rêves. Pont-à-Celles obtint les armoiries de ses derniers seigneurs, les barons de Visscher.

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De gueules en sautoir d’or, l’écu sommé d’une couronne à 9 perles et supporté par 2 lions d’or contournés, armés et lampassés de gueules.

QUAREGNON

Fusionné sous ce toponyme, ni Quaregnon, ni Wasmuel ne disposaient d’armoiries.

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Deux écus géminés,

le 1er écartelé 1 et 4 d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules,

aux 2 et 3 d’or au lion de gueules, armé et lampassé d’azur,

le 2nd,

parti au 1 de sinople à la croix d’argent,

au 2, d’or à 3 chevrons de sable.

PS : voir au point 4, pour l'insigne en plastique de Quaregnon

QUEVY

Quévy-le-Petit faisait partie des biens donnés par Sainte Waudru au monastère qu’elle avait fondé à Mons au milieu du VIIè siècle.

De gueules à 10 losanges d’argent aboutées et rangées 3, 3, 3,et 1

QUIEVRAIN

Aucune des 3 communes fusionnées sous le nom Quiévrain n’avait d’armoiries même si ces communautés constituaient au Moyen Age des fiefs importants.

RUMES

Lis évoquant la France voisine, aigle suggérant l’Empire ?

D’argent à la fasce de sable à une aigle issante de gueules accompagnée en pointe d’une fleur de lis du même.

SAINT GHISLAIN

D’or à une demi aigle de sable parties d’azur aux 3 fleurs de lys d’or,2 et 1, l’écu timbré de la mitre abbatiale d’or et de la crosse du même ; supports ; une aigle éployée à dextre, et à senestre, un ours muselé de gueules, le tout reposant sur une terrasse de sinople

SOIGNIES

Ce sont les armoiries, confirmées en 1838, du Chapitre de Saint-Vincent qui détenait le pouvoir à Soignies depuis le haut Moyen Age ; les chevrons constituaient les armes primitives du comté de Hainaut.

Parti : au 1 de sinople à la croix d’argent ;

 Au 2 d’or à 3 chevrons de sable.

L’écu sommé d’une couronne d’or à 5 fleurons

PS voir au point 4 , "breloques manquantes"

THUIN

Dès 868, Thuin est cité parmi les possessions de l’abbaye de Lobbes, en territoire liégeois. Au Xè siècle, Regnier, comte de Hainaut, s’empare de la cité et chasse les liégeois qui la reprennent peu de temps après.Notger, prince-évêque de Liège, fit entourer la cité de fortifications et, durant des siècles, Tuin passa alternativement aux comtes de Hainaut et à la   principauté de Liège.

En 1675,Thuin fut prise par les troupes de Louis XIV mais, à partir de 1678, la Thudinie forma une enclave liégeoise à l’intérieur des territoires conquis par la France.

D’azur au château-fort d’argent accosté de 2 écussons du même au lion couronné de sable, celui de dextre contourné

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PS je recherche encore une breloque de Thuin...différente de ces 3 çi !

TOURNAI

L’écu est timbré d’une couronne murale.Le chef aux fleurs de lis a été concédé à la ville par le roi Charles VII de France en 1426.