Verzameling met de verschillende borsthangers van de 19 Brusselse politie korpsen - Collection de breloques des 19 corps de police de l'agglomération bruxelloise.
Les «taupes», est le surnom que ce sont donnés ces policiers venus des 19 communes de l'agglomération bruxelloise et attachés à la Bism, la Brigade intercommunale de surveillance du métro.
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IBTM
„De "mollen"“, is de bijnaam dat de politieagenten van de 19 Brusselse gemeenten zichzelf gegeven hebben die deel uit maken van de IBTM, de Intercommunale Brigade van Toezicht in de Metro.
een "mol" met een zwarte snuit & de andere een witte
une taupe avec un nez noir, l'autre avec un nez blanc
18-08-2010
BRIGADE INTERCOMMUNALE de SURVEILLANCE du METRO= =de INTERCOMMUNALE BRIGADE van TOEZICHT in de METRO ( of I.B.T.M.)
BRIGADE INTERCOMMUNALE de SURVEILLANCE du METRO
(B.I.S.M.)
février 1989
La B.I.S.M. a été constituée voici une dizaine d'années par les bourgmestres et commissaires en chef de l'agglomération bruxelloise, qui, avec la construction du métro, appréhendaient un nouveau problème de sécurité. Chaque commune traversée par le métro s'engagea donc à fournir des policiers à cette brigade intercommunale. La police de Bruxelles devait fournir le plus gros effort en effectifs, puisqu'elle connaît le plus grand nombre de stations, et assurer la gestion de cette «task force».
Les punis
Les policiers de Bruxelles ont d’abord patrouillés et surveillés le métro bruxellois.
Cette brigade a été créée vers 1980 .
Le métro bruxellois compte en février 1989, 37 km et 58 stations. Pour surveiller ces installations chaque jour, de 7 h du matin à 1 h du matin, 34 agents constituent la B.I.S.M., dont 24 proviennent de la police de Bruxelles. Un travail ingrat et une équipe si dévalorisée que les policiers eux-mêmes la surnomment «brigade des punis et des malades».
Mars 1993
Les policiers membres de ce service spécial d'intervention dans les installations souterraines de la Stib sont au nombre de 54. C'est là un des résultats des deux protocoles d'accord signés le 10.3.1992 par les bourgmestres des 19 communes bruxelloises : Chaque commune traversée par le métro s'engagea donc à fournir des policiers à cette brigade intercommunale. La police de Bruxelles devait fournir le plus gros effort en effectifs, puisqu'elle connaît le plus grand nombre de stations, et assurer la gestion de cette «task force». chaque commune met à disposition des policiers pour renforcer cette brigade.
La gestion opérationnelle de la Bism sera orchestrée par la police de la Ville de Bruxelles .
Le but poursuivi est certes d'assurer la quiétude aux usagers des transports en commun (souterrains en ce qui concerne la Bism), mais également de prévenir tout acte de vandalisme
Octobre 1993
Le 27.10.93, les maïeurs bruxellois, réunis dans le cadre de la conférence des bourgmestres, ont enterré cette brigade particulière dont les effectifs devaient passer de 50 à 90 policiers avant la fin de l'année. L'élargissement de l'effectif de la Bism en décembre pose problème :le lancinant problème d'effectifs dans les polices communales !
Charles Picqué veut des gendarmes dans le métro.
Finis donc les policiers du métro. Ceux-ci devraient passer la main dans les semaines qui viennent à la gendarmerie.
- Il faut être réaliste, confie Yves de Jonghe d'Ardoye, le bourgmestre d'Ixelles. La gendarmerie est mieux armée que les polices communales.
La Gendarmerie : « Si on nous le demande, nous pouvons faire «descendre» dans le métro 90 gendarmes issus du 5e groupe mobile. Toutefois, il conviendra de les former à cette tâche spécifique et de les familiariser avec l'infrastructure du métro. Dans cette perspective, un délai d'un mois semble raisonnable. »
Après la suppression de la Brigade Intercommunale de Surveillance du Métro, Fin 1993, les missions de police générale dans les ouvrages souterrains exploités par la Société des Transports Intercommunaux de Bruxelles et situés dans les communes de la Région de Bruxelles-Capitale, sont essentiellement prises en charge par la gendarmerie.
« La brigade de gendarmerie a réussi là où la Bism a lamentablement échoué », a commenté le ministre Hasquin.
En 1993, la jeune brigade de gendarmerie du métro, comportait 90 hommes.
Entre-temps, les missions de la brigade se sont élargies aux gares SNCB contiguës aux stations de métro et au contrôle des frontières de l'espace Schengen au terminal Eurostar situé dans la gare du Midi. Et les effectifs se sont étoffés.
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de INTERCOMMUNALE BRIGADE van TOEZICHT in de METRO ( I.B.T.M.)
Rond 1980 was het eerst de Brusselse politie die in de ondergrondse metro ingezet werd voor de bewaking en de patrouilles.
In 1992, werden er 54 leden van deze bijzondere éénheid, in dienst gesteld voor de metro.
Dit is het resultaat van een protokool-akkoord ondertekend op 10.03.1992 door de burgemeesters van de 19 gemeenten van Brussel : elke gemeente waar de metro doorrijdt stelt enkele agenten ter beschikking voor de beveiliging van de metro. Het operationele beleid van deze éénheid zal door de politie van de Stad Brussel behouden worden.
Het doel is om de veiligheid voor de gebruikers op het openbaar vervoer te verzekeren, maar ook om elke daad van vandalisme te voorkomen.
Op 27/10/1993, tijdens een bijeenkomst in het kader van de Conferentie van Burgemeesters, hebben de notabelen van Brussel, deze bijzondere brigade, waarvan het personeel van 50 naar 90 politieagenten gebracht moest worden vóór het einde van het jaar, beslist ze op te doeken.. “Als de minister van Binnenlandse Zaken een brigade van de rijkswacht beschikbaar heeft, ben ik geinteresseerd "luidt het volgens Minister Picqué.
Gedaan dus met de politie in de metro. Er werd beslist deze te vervangen door de rijkswacht.
“Wees realistisch, "zegt Yves de Jonghe van Ardoye, de burgemeester van Elsene. “De rijkswacht is beter uitgerust dan de gemeentelijke politie”. De rijkswacht: "Als we gevraagd worden, kunnen we in de metro 90 politiemensen uit de 5e mobiele groep sturen. Ze moeten echter getrained worden voor deze specifieke taak en hen vertrouwd maken met de infrastructuur van de metro. In dit perspectief, lijkt een periode van een maand redelijk. " Na de opheffing van de Intercommunale Brigade van Toezicht in de Metro werden de algemene politieopdrachten in de door de Maatschappij voor het Intercommunaal
Vervoer te Brussel geëxploiteerde ondergrondse kunstwerken en gevestigd in de gemeenten van het Brussels Hoofdstedelijk Gewest hoofdzakelijk ten laste genomen door de Rijkswacht.
Eind 1993 : de rijkswacht neemt het over van de “BISM”. "De rijkswacht is erin geslaagd te doen waar de BISM jammerlijk gefaald heeft", zei minister Hasquin. "De gemeentelijke politie is niet in staat om een coherent beleid inzake mobiliteit te voeren”. In 1993, omvatte de jonge rijkswacht brigade van de metro, 90 man. Ondertussen zijn de missies van de brigades verder uitgebreid naar de NMBS-stations grenzend aan metrostations en naar de controle op de Eurostar-terminal in het Zuidstation.
15-08-2010
Moniteur autodéfense - Monitor zelfverdediging
In 1986 volgde het brevet van "monitor in politiele zelfverdediging"
En 1986, fut créé le brevet de "moniteur d'autodéfense de Police"
13-08-2010
Ecole de Police (E.R.I.P.= G.I.P.) (3)Monit. TTI.
Ecole de Police (E.R.I.P.)
Le brevet TTI existe en version "or" et en version "argent"
La version "or" est portée par les formateurs, tandis que la version "argent" par les détenteurs du brevet qui ont réussi la formation.
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Politie School (G.I.P.)
Het brevet TTI bestaat in goude en zilveren uitvoering ,
Het goud is bestemd voor de opleiders van de politieschool. Het zilver voor de brevethouders die in de opleiding dus geslaagd zijn.
11-08-2010
Ecole de Police (2)(E.R.I.P.) moniteur
L’Ecole Régionale et Intercommunale de Police
Un protocole a été conclu entre la confédération des 19 bourgmestres bruxellois et la Région de Bruxelles-Capitale en vue de la création d’une école régionale et intercommunale de police, qui commencera à fonctionner le 1er septembre 1992. Le conseil d’administration de cette école sera présidé par le bourgmestre de la ville de Bruxelles. L’école sera dirigée par un officier de la police bruxelloise.
L’Ecole L’Ecole Régionale et Intercommunale de Police a été constituée le 12 janvier 1994. Il s’agit d’une intercommunale associant les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale à laquelle se sont ajoutés ultérieurement les 6 zones de police de la région bruxelloise et le procureur général près la cour d’appel de Bruxelles. L’intercommunale a adopté la forme juridique d’association sans but lucratif. Les statuts de l’association ont été publiés au Moniteur Belge le 17 mars 1994.
Si l’association en tant que telle a été fondée en 1994, l’école dispensant la formation aux policiers existe depuis 1970. Cette année-là la police communale de la ville de Bruxelles crée un Centre d’Instruction Police (CIP) pour organiser et dispenser les formations destinées aux policiers communaux de la ville, formations qui seront ensuite accessibles aux autres communes bruxelloises. Les charges liées au fonctionnement de l’école devenant trop lourdes pour être assumées uniquement par la ville de Bruxelles, il a été décidé dès 1992 de trouver une formule associant les autres communes bruxelloises dans la gestion de l’institution. L’ERIP fut alors créée mais elle a poursuivi la mission du centre d’instruction de Bruxelles avec de nouveaux moyens et du personnel supplémentaire.
En 2001, à la suite de la réforme des services de police et de la réforme de la formation policière, la mission de l’ERIP a été redéfinie telle qu’elle figure actuellement à l’article 5 des statuts: « L’intercommunale a pour mission d’assurer des formations professionnelles pour les membres du personnel de la police intégrée, structurée à deux niveaux, ainsi que des formations en rapport avec la sécurité destinées aux membres du personnel d’autres organismes et services publics. Elle vise à devenir un centre d’expertise dans ce domaine. Elle accomplira sa mission dans le respect des valeurs démocratiques de l’Etat et des dispositions légales et réglementaires se rapportant à son objet. »
L’institution a été agréée en 2001 par le ministre de l’Intérieur pour dispenser les formations aux membres du personnel de la police intégrée structurée à deux niveaux.
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En 1995 apparait le changement de nom : GIP - ERIP .-C’est depuis lors que les breloques « or » pour certains brevets sont portées
Le brevet"arme de frappe" existe en version "or" et en version "argent"( je recherche la version "or")
La version "or" est portée par les formateurs, tandis que la version "argent" par les détenteurs du brevet qui ont réussi la formation. -((()))-
Na 1995 spreekt men van de GIP - ERIP vanaf dan komen er voor sommige brevetten gouden uitvoeringen.
het brevet slagwapenmonitor goud & zilver.( ik zoek nog de goude uitvoering)
Het goud is bestemd voor de opleiders van de politieschool. Het zilver voor de brevethouders die in de opleiding dus geslaagd zijn.
Politie School (G.I.P.) moniteur TIR - schietmonitor
De Gewestelijke en Intercommunale Politieschool (G.I.P.)
Een protocol tussen de confederatie van de 19 Brusselse burgemeesters en het Brussels Hoofdstedelijk gewest werd afgesloten tot oprichting van een gewestelijke en interrcommunale politieschool, die met ingang van 1 september 1992 van start gaat. De Raad van Bestuur van deze school zal voorgezeten worden door de burgemeester van de stad Brussel. De school zal geleid worden door een officier van de Brusselse politie.
De Gewestelijke en Intercommunale Politieschool werd opgericht op 12 januari 1994. Het betreft een intercommunale waarvan de 19 Brusselse gemeenten lid zijn en waarbij later de 6 Brusselse politiezones en de procureur-generaal bij het hof van beroep te Brussel zich ook hebben aangesloten. De intercommunale heeft voor de juridische vorm "vereniging zonder winstoogmerk" gekozen. De statuten zijn op 17 maart 1994 in het Staatsblad verschenen.
Alhoewel de vereniging gesticht werd in 1994, bestaat de politieschool sinds 1970. In dat jaar besliste de gemeentepolitie van de stad Brussel een opleidingscentrum (OCP) op te richten om haar personeelsleden op te leiden. Later werden die opleidingen ook toegankelijk voor de politieambtenaren van de andere Brusselse gemeenten. Aangezien de kosten voor de werking van de school te zwaar werden om alléén door de stad Brussel te worden gedragen werd er in 1992 beslist om een nieuwe formule te vinden voor het beheer van de school in samenwerking met de andere Brusselse gemeenten. Zo werd de GIP opgericht om de taak van het opleidingscentrum van de politie Brussel verder te zetten met meer middelen en personeel. n 2001, na de hervorming van de politiediensten en dus ook van de politieopleidingen, werden de opdrachten van de GIP geherdefinieerd zoals ze nu omschreven staan in artikel 5 van de statuten: "De intercommunale heeft als missie in te staan voor de professionele opleidingen voor de leden van de geïntegreerde politie, gestructureerd op twee niveaus, alsook voor opleidingen in verband met de veiligheid voor de leden van andere openbare instellingen of diensten. Ze streeft ernaar een deskundigheidscentrum te worden in dat domein. Ze zal haar missie vervullen mits de naleving van de democratische waarden van de Staat en de wettelijke en reglementaire bepalingen die betrekking hebben tot haar doel."
De instelling werd in 2001 erkend door de minister van Binnenlandse Zaken om de opleidingen aan de leden van het personeel van de geïntegreerde politie gestructureerd op twee niveaus te verschaffen.
Na 1995 spreekt men van de GIP - ERIP vanaf dan komen er voor sommige brevetten gouden uitvoeringen. het brevet van schietmonitor bestaat enkel in het zilver maar dan nu met benaming GIP - ERIP
les brigades intercommunales - de Intercommunale brigades
les brigades intercommunales
de Intercommunale brigades
07-08-2010
SINT-PIETERS-WOLUWE - - WOLUWE-SAINT-PIERRE (2)
SINT-PIETERS-WOLUWE
In 1269 onderscheidde deze plaats aan de Woluwe zich van 2 gelijknamige buren door de naam van de patroonheilige van haar kerk, die sinds de vorige eeuw vermoedelijk afhing van de abdij van Vorst. Er waren nog bezittingen van andere religieuze stichtingen: het Rood-Klooster van Oudergem, de abdij van Park in Heverlee en het Sint-Janshospitaal in Brussel.
Tot 1795 maakte Sint-Pieters-Woluwe, net als Sint-Lambrechts-Woluwe, deel uit van een grondheerlijkeid opgericht in de 14de eeuw door de hertog van Brabant en bestuurd door een gemeenschappelijke schepenbank. De hoge rechtspraak, die aan opeenvolgende families werd verpand, gaf in de 16de eeuw aanleiding tot betwistingen. In de 17de eeuw werd een gemeenschappelijk schepenzegel gebruikt voor de 2 Woluwes, Kraainem en Stokkel, die samen het graafschap Kraainem vormden, eigendom van de familie Hinnisdael.
Toen, Sint-Pieters-Woluwe in 1947 een aanvraag indiende tot wapenerkenning, werd een recente afdruk van het gemeenschappelijk schepenzegel voorgelegd. In 1936 was deze afdruk niet bekend mar hij rechtvaardigt wel de keuze die toen gemaakt werd voor het wapen van Sint-Lambrechts-Woluwe. Het aan Sint-Pieters toegekende wapen toont het familiewapen Hinnisbael in een oval schild, getopt met een kroon met 5 fleurons en gehouden door 2 windhonden. Deze uitwendige versierselen meken een duidelijk onderscheid tussen de wapens van de beide Woluwe-gemeenten.
Van sabel met een schildhoofd van zilver, beladen met 3 vogels van sabel gebekt en gepoot van keel, grangschikt, het schild getopt met een kroon met 5 fleurons en gehouden door 2 windhonden van zilver, gehalsband van keel, geringd van goud.
05-08-2010
WOLUWE-SAINT-PIERRE - - SINT-PIETERS-WOLUWE (1)
WOLUWE-SAINT-PIERRE
En 1269, cette localité située sur les bords de la Woluwe se distingue de ses 2 voisines par le nom du saint patron de l’église qui y existe : ce sanctuaire aurait dépendu dès le siècle précédent de l’abbaye de Forest. D’autres fondations ecclésiastiques y sont possessionnées : le Rouge-Cloître d’Auderghem, l’abbaye de Parc à Heverlee, l’hôpital Saint-Jean à Bruxelles.
Woluwe-St-Pierre est intégrée avec Woluwe-St-Lambert jusqu’en 1795 à une seigneurie foncière constituée au XIVè siècle par le duc de Brabant, un même échevinage les administre. La haute justice, prise en engagère par les familles successives, a pu faire l’objet de conflits au XVIè siècle. Au XVIIè siècle, le scel échevinal est commun à ces 2 Woluwe, à Kraainem et à Stockel qui forment le comté de Kraainem, possession de la famille de Hinnisdael.
Lorsque Woluwe-St-Pierre introduit une demande de reconnaissance d’armoiries en 1947, une empreinte moderne du scel échevinal commun à été répertoriée : elle n’était pas connue en 1936 mais justifie le choix des armoiries octroyées alors à Woluwe-St-Lambert. Les armoiries des Hinnisdael sont ici gravées dans un écu ovale sommé d’une courrone à 5 fleurons et supporté par 2 lévriers ces ornements extérieurs distinguent nettement ce woluwe de l’autre.
De sable au chef d’argent, chargé de 3 oiseaux de sable, becqués et membrés de gueules, rangés - l’écu sommé d’une couronne à 5 fleurons et supporté par 2 lévriers d’argent, colletés de gueules, bouclés d’or.
De 3 plaatsen die de naam van de Woluwerivier en in de vallei ontstonden, zijn sinds de 11de eeuw bekend en onderscheidden zich slechts laat van elkaar door de naam van hun patroonheilige. In 1187 had sint-Lambrechts-Woluwe al een parochiekerk, die later zou afhangen van het kapittel van Sint-Goedele, terwijl de plaatsnamen Sint-Stevens-Woluwe en Sint-Pieters-Woluwe terwijl de plaatsnamen Sint-Stevens-Woluwe en Sint-Pieters-Woluwe slechts vanaf de 13de eeuw vermeld werden.
De abdij van Vorst bezat heel wat goederen in de Woluwevallei maar in de 14de eeuw richtte de hertog van Brabant er een heerlijkheid op ten gunste van een tak uit zijn geslacht. Deze heerlijkheid zou in de loop der eeuwen in andere handen overgaan en de hoge rechtspraak werd herhaaldelijk verpand. Er bestaan verschillende zegels van de schepenbank van Sint-Lambrechts-Woluwe. Dat van 1621 toont de heilige Lambertus die een krijger vertrappelt. Op een zegel uit 1627 toont de heilige de wapen schilden van de door huwelijk verbonden families Armstorff-van der Aa. Een 3de beeldt op het einde van de 17de eeuw het wapen af van de familie van Berchem. Men mag veronderstellen dat er vanaf het 2de kwart van de 18de eeuw ook een schepenzegel bestond met het wapen van de familie Hinnisdael, de laatste heren.
Hoewel er geen, matrijs of afdruk van dit wapen teruggevonden werd, ging de voorkeur van het gemeentebestuur in 1932 uit naar dit schild, gehouden door de heilige die, zoals op het zegel van 1621, een krijger vertrappelt.
Van sabel met het schildhoofd van zilver beladen met 3 naatst elkander geplaatste vogels van sabel, gebekt en gepoot van keel, het schild geplaatst vooren naar de rechterzijde van eenen Heiligen Lambertus houdende in de rechterhand een naar linksch gewenden bisschopsstaf, in de linkerhand een open boek en onder zijn voeten verpletterend en gehelmden krijgsman houdende in de linkerhand een zwaard, dit alles van goud.
Les 3 localités portant le nom de la rivière Woluwe, nées dans cette vallée et connues dès le XIè siècle, ne se distinguent qu’assez tard selon le culte voué à leur saint patron. Dès 1187, Woluwe-Saint-Lambert est caractérisée par une église paroissiale -qui passera plus tard sous l’influence du chapitre de Sainte-Gudule- alors que les toponymes Woluwe-Saint-Etienne et Woluwe-Saint-Pierre sont mentionnés depuis le XIIIè siècle.
L’abbaye de Forest jouissait de nombreux biens dans la vallée de la Woluwe, mais le duc de Brabant y constitua au XIVè siècle une seigneurie en faveur d’une branche de son lignage. Cette seigneurie passa au fil du temps en d’autres mains et la haute justice fit l’objet de plusieurs engagères.
Des sceaux de l’échevinage de Woluwe-St-Lambert à la symbolique différente ont ainsi été conservés : l’écu de 1621 représente saint Lambert écrasant un guerrier; de 1627, montre le saint présentant les 2 écus d’un mariage Armstorff-van der Aa; un autre porte à la fin du XVIIè siècle les armoiries de la famille van Berchem. Il est permis d’imaginer l’existance d’un scel échevinal aux armoiries des nouveaux seigneurs, les Hinnisdael, dès le 2ème quart du XVIIIè siècle.
Faute d’en connaître la matrice ou une empreinte, quand l’autorité communale entama les démarches d’usage en 1932, c’est cet écu des Hinnisdael tenu par un saint écrasant un guerrier- comme sur le sceau de 1621 - qui emporta la décision de l’autorité supérieure.
De sable au chef d’argent chargé de 3 oiseaux de sable becqués et membrés de gueules rangés, l’écu posé devant et vers la dextre d’un Saint-Lambert tenant de la dextre une crosse épiscopale tournée à senestre, de la senestre un livre ouvert, et écrasant sous ses pieds un guerrier casqué tenant de la senestre une épée, le tout d’or.
« zilvere » versie
version « argentée »
25-07-2010
WATERMAAL-BOSVOORDE - - WATERMAEL-BOISFORT
WATERMAAL-BOSVOORDE
Mogelijk hing Watermaal omstreeks 930 af van de Sint-Martinusabdij van Tours. In de 13de eeuw maakte deze parochie, samen met de gehuchten Oudergem en Bosvoorde, deel uit van het domein van de hertogen van Brabant. Er werd een kerk gebouwd, gewijd aan de heilige Clemens. De schepenbank van dit uitgestrekte landbouw- en bosgebied gebruikte van de 15de eeuw tot het einde van het Ancien Régime een zegel met de beeltenis van de patroonheilige. In de buurt lagen verschillende cijnshoven : dat van de abdij van Vorst en dat van de « Grote-Honden » ( dat instond voor het onderhoud van de hertogelijke jachthonden) waar een zegel in gebruik was dat van 1435 tot 1794 een jager te paard met een jachthoort voorstelt.
Bosvoorde, waar op het einde van de 13de euw een kapel gebouwd werd die gewijd was aan de heilige Hubertus, was de zetel van de jacht- en woudopzieners van Brabant. De jagers verbleven er sinds 1687 in het “Hooghuis”, gebouwd op de plaats van de hertogelijke kennel.
De 3 genoemde landelijke gebieden werden in 1795 ingelijfd bij het kanton Ukkel en in 1811 opnieuw verenigd bij decreet van Napoleon. In 1863 werd Oudergem afgescheiden tot autonome gemeente.
Het wapen dat in 1914 toegekend werd aan Watermaal-Bosvoorde is een synthese van de vroegere bestemming van dit grondgebiet.
In zilver, een aanziende hertekop, in natuurlijke kleur, het schildhoofd van blauwe beladen met een gouden jachthoorn gesnoerd van ‘t zelfde.
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WATERMAEL-BOISFORT
Vers l’an 930, Watermael a pu dépendre de l’abbaye de Saint-Martin de Tours. Au XIIIème siècle, la paroisse de ce nom avec les hameaux d’Auderghem et de Boisfort fait partie du domaine des ducs de Brabant; une église dédiée à saint Clément y a été construite. L’échevinage du vaste territoire agreste et forestier utilise au XVème siècle jusqu'à la fin de l’Ancien Régime un sceau à l’effigie du patron de la paroisse; il voisine avec des cœurs censales, telles celle de l’abbaye de Forest, celle des Grands-Chiens qui pourvoyait à l’entretien de la meute ducale et dont le sceau représente de 1435 à 1794 un veneur à cheval portant un cor.
Boisfort, dotée d’une chapelle dédiée à saint Hubert dès la fin du XVIIIème siècle, est le siège de la vénerie et de la foresterie de Brabant. Les veneurs y occupent la « Maison Haute » construite en 1687 à l’emplacement du chenil ducal.
Les 3 groupements ruraux cités sont incorporés en 1795 au canton d’Uccle, mais retrouvent une unité en 1811 par un décret de l’empereur Napoléon jusqu’en 1863 où Auderghem devient une commune autonome.
Les armoiries attribuées à Watermael-Boisfort en 1914 synthétisent les vocations anciennes du territoire.
D’argent à une rencontre de cerf au naturel, au chef d’azur chargé d’un cor de chasse d’or lié du même.
23-06-2010
UCCLE - - UKKEL
UKKEL
In de 12de eeuw vormde Ukkel, samen met Stalle, Carloo, Boetendael, Drogenbos en Boendaal een belangrijk deel van het hertogelijk domein. De plaats ontwikkelde zich in de 13de eeuw rond de kerk die gewijd is aan de heilige Petrus. De schepenbank gebruikte tot het einde van het Ancien Régime een zegel met de afbeelding van deze heilige. In de Franse tijd werden Drogenbos en Boendaal afzonderlijke gemeenten.
Ukkel verloor stilaan zijn landelijk karakter. Mede dank zij de nabijheid van de abdijen van Vorst en Terkameren konden de bewoners dit exploiteren.Toch was de gemeente in 1819 nog erg landelijk, toen ze van Koning Willem I een wapen kreeg toegekend. De erg bondige beschrijving en de afbeelding ervan (een rechtstaande Sint-Pieter in bischopsgewaad met sleutel en kromstaf) verontrustten burgemeester Paul Errera.Vanaf 1913 ondernam hij stappen, die in 1925 - na zijn dood - leidden tot de toekenning van een zegel waarop de patroonheilige voorkomt zoals op het middeleeuwse schepenzegel.
De H. Petrus van voren gezeten in een ouderwetschen zetel houdende in de rechterhand een open boek en in de linkerhand eenen sleutel met den sleutelbaard omhoog, waaronder zich een schild bevindt in sabel een leeuw van goud, genageld en getongd van keel, hetgeen is Brabant.
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UCCLE
Au XIIème siècle, Uccle forme une partie importante du domaine ducal avec Stalle, Carloo, Boetendael, Drogenbos et Boendael, vers 1200 ; l’ensemble est doté de franchises. La localité se développe au XIIIème siècle autour de l’église dédiée à saint-Pierre, son échevinage utilise un sceau à l’effigie de ce saint jusqu'à la fin de l’Ancien Régime.
A la période française Drogenbos et Boetendael seront à l’origine d’autres communes. Uccle échappe peu à peu à sa ruralité : ses occupants la mettent en valeur, elle tire profit de la proximité des abbayes de Forest et de la Cambre. Cependant, le paysage reste longtemps campagnard et l’est encore lorsque le roi Guillaume accorde des armoiries à la commune. Elles sont décrites si brièvement que l’interprétation qui en est faite : saint Pierre est représenté debout, en habits sacerdotaux, avec la clé et la crosse au crosseron tourné en dedans inquiète le bourgmestre Paul Errera ; ses démarches entamées en 1913 aboutiront en 1925-après sa mort- à l’attribution à Uccle d’un sceau dont le champ reproduit le saint patron tel qu’il apparait sur le scel échevinal dès le Moyen Age.
Un St-Pierre assis de face sur un siège à l’antique tenant de la dextre un livre ouvert et de la senestre une clef avec le panneton en haut sous laquelle se trouve un blason de sable au lion d’or, armé et lampassé de gueules, qui est Brabant.
21-06-2010
Schaerbeek - MOTARDS _ MOTORRIJDERS
SCHAERBEEK
MOTARDS - MOTORRIJDERS
De 2 borsthangers, een gouden en een zilveren, gedragen door de mortorrijders van de politie Schaarbeek
Les 2 breloques, portées par les motards de la police de Schaerbeek, une dorée et une argentée
19-06-2010
SCHAERBEEK - - SCHAARBEEK (3)
SCHAERBEEK
3 laatste verschillende exemplaren, in "zilver" van Schaerbeek, zonder haakje
les 3 derniers modèles différents, "argentés", sans attache !.
17-06-2010
SCHAERBEEK - - SCHAARBEEK (2)
SCHAARBEEK Voici 4 breloques "argentées", avec crochet
Hierbij 4 "zilvere" borsthangers, met haakje
15-06-2010
SCHAERBEEK - - SCHAARBEEK (1)
SCHAERBEEK
Schaerbeek apparait comme un centre agricole qui se développe autour d’une église paroissiale dès 1120 sous la dépendance de Saint-Vincent de Soignies, en Hainaut. Le duc de Brabant l’incorpore dès 1301 dans la «cuve» de Bruxelles. Schaerbeek y prospère jusqu’à la suppression de cette franchise en 1795; d’abord intégrée au canton de Woluwe-St-Etienne, la commune est proclamée autonome à partir du 1.1.1800. Après une tentative restée sans suite en 1916, une délibération du Conseil communal de septembre 1972 est à la base de la constitution d’un dossier demandant la concession à la commune d’armes parlantes, image de l’éthymologie supposée du toponyme - ruisseau sinueux : le Maelbeek- accompagné de 2 fleurs de cerisier évoquant les vergers locaux; les couleurs adoptées au début du XXè siècle sont le vert et le blanc. L’unanimité ne se faisant pas, la question reste pendante jusqu’en 1985.
Après consultation de l’Archiviste général du Royaume concernant divers projets suggérés entre-temps et sur l’avais conforme du Conseil héraldique, la procédure aboutit en 1987 à l’établissement d’un projet d’arrêté qui n’a toutefois jamais été soumis à la signature royale en raison des circonstances politiques du moment. La commune fait cependant usage des armoiries prévues par le projet d’arrêté en question.
De sinople à la bande ondée accostée de 2 fleurs de cerisier, le tout d’argent.
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SCHAARBEEK
De gemeenteraad van Schaarbeek besloot in 1972 gebruik te maken van een sprekend wapen dat de Maalbeek en de plaatselijke kersenteelt in herrinering brengt. Een ontwerp van KB uit 1987 bleef echter zonder gevolg.
breloques portées par les officiers (commissaires-adjoints et commissaires) : lettres et lion sont dorés
borsthangers voor officieren (adjunct-commissarissen & commissarissen) : letters en leeuw goudkleurig zijn,
12-06-2010
SAINT-JOSSE-ten-NOODE - - SINT-JOOST-ten-NODE
SAINT-JOSSE-ten-NOODE
Au XIIIè siècle, le hameau qui deviendra la commune de 1795 voisine le Maelbeek, vit dans l’orbite de Bruxelles et dépend au spirituel du chapitre de Sainte-Gudule. Une chapelle y est érigée au XIVè siècle; elle est dédiée à saint Josse. Au fil du temps, les cultures ( champs, jardins, vignes) cèdent la place à des habitations résidentielles que la ville voisine englobera dès qu’elle sera sortie de ses remparts. Au XIVè siècle, la commune perd complètement sa vocation rurale et est amputée du quartier dit Léopold. Ne pouvant réclamer une reconnaissance d’armoiries faute de symbole propre sous l’Ancien Régime, l’administration communale de 1890 demande les armoiries prévues par la circulaire ministérielle du 21.2.1837 en faveur des communes qui ont servi la cause nationale de 1830.
L’emblème qui lui est accordé à la veille de la Première Guerre mondiale comporte ainsi une innovation, l’attribution d’une devise ; celle-ci accompagne l’écu où le château, dans la moitié supérieure, symbolise une résidence locale des ducs de Bourgogne; la grappe de raisins évoque une culture d’autrefois; la besace se veut une illustration du terme flamand nood traduisant «le besoin», la nécessité, ce qui a pu être contesté au profit du toponyme germanique nuda, vallon étroit.
Coupé au 1er d’azur au château d’argent, au 2è de gueules, parti à dextre à la besace d’or, parti à senestre à la grappe de raisins tigée et feuillée d’or. Devise : l’Union fait la force.
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SINT-JOOST-ten-NODE
Het gehucht aan de Maalbeek dat in 1795 een autonome gemeente zal worden, behoorde in de 13de eeuw tot Brussel en hing op religieus gebied af van het kapittel van Sint-Goedele. In de 14de eeuw werd er een kappel gebouwd ter ere van de heilige Joost. De volgende eeuwen maakten de velden, tuinen en wijngaarden geleidelijk plaats voor woongelegenheden die door Brussel werden opgeslorpt, zodra de stad binnen haar muren trad. Zo ging het landelijk karakter van de gemeente in de 19de volledig teloor. Bovendien werd haar de zogeheten Leopoldwijk ontnomen.
Bij gebrek aan een eigen symbool tijdens het Ancien Regime kon de gemeente geen wapenerkenning aanvragen. Zij vroeg bij gevolg in 1890 het wapen aan zoals was voorgeschreven in de ministeriële omzendbrief van 21.2.1837 ten gunste van de gemeenten die de nationale zaak in 1830 hadden gediend.
Het blazoen dat haar werd toegekend aan de vooravond van de Eerste Wereldoorlog bevat aldus een nieuw element, namelijk een wapenspreuk. In het schild staat in de bovenste helft een kasteel, dat een residentie van de hertogen van Bourgondië symboliseert. De druiventros verwijst naar de vroegere wijnbouw. De bedelzak illustreert de toevoeging”ten Node” aan de gemeentenaam, alhoewel die volgens sommigen eerder afgeleid zou zijn van het Germaanse toponiem “nuda”, enge valley.
Doorsneden 1, in blauw een zilveren kasteel; 2, in rood, in het rechterdeel een gouden bedelzak, in het linkerdeel een goudgestengelde en gebladerde druiventros. Wapenspreuk : ‘L’Union fait la force”
11-06-2010
Prototype SAINT-GILLES - - SINT-GILLIS
Cette breloque est un prototype....
Deze borsthanger is een prototype .....
10-06-2010
SAINT-GILLES - - SINT-GILLIS
SAINT-GILLES
Connu sous le nom d’Obbrussel, un hameau du village de Forest forme au XIIè siècle une paroisse dont le patronat appartient à l’abbaye de ce lieu. Dès le siècle suivant, Obbrussel est érigé en paroisse séparée dont l’église est placée sous la protection de saint-Gilles. L’effigie de celui-ci ornera bientôt le sceau de l’échevinage qui empruntait cependant encore en 1229 le sceau du chapitre d’Anderlecht. En 1296, le duc de Brabant Jean II annexe Obbrussel à Bruxelles. Restée longtemps rurale, la localité prend son essor au XVIIè siècle. En 1795, elle est érigée en commune sous le nom de Saint-Gilles et va dès lors s’urbaniser.
Les armoiries reconnues à Saint-Gilles en 1858 reprennent le symbole du scel échevinal commun du XIIIè siècle. Très brièvement décrites, elles évoquent, sous un nom dérivé directement du latin, un abbé tenant sa crosse au crosseron tourné en-dedans.
D’azur à un saint Egide, abbé, d’or.
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SINT-GILLIS
Een gehucht van het dorp Vorst, dat bekent was onder de naam Obbrussel, vormde in de 12de eeuw een parochie die onder het gezag stond van de plaatselijke abdij.Vanaf de volgende eeuw werd Obbrussel een afzonderlijke parochie, met Sint-Gillis als patroonheilige. Zijn beeltenis sierde weldra het zegel van de schepenbank, die toch nog tot in 1229 het zegel van het kapittel van Anderlecht gebruikte. In 1296 lijfde Jan II, hertog van Brabant, Obbrussel bij Brussel. Het bleef lange tijd een landelijk gehucht, dat zich in de 17de eeuw begon te ontwikkelen. In 1795 werd het een autonome gemeente met de naam Sint-Gillis, waar de verstedelijking dan geleidelijk haar intrede zou doen. Het wapen dat in 1858 aan Sint-Gillis werd toegekend, vertoont het symbol van het gemeenschappelijk schepenzegel uit de 13de eeuw: de heilige Egidius als abt met een kromstaf met de kromming naar binnen.
In lazuur een Sint-Egidus, abt van goud.
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