Collection de breloques de la police communale et rurale de la Province de Liège. Verzameling van borsthangers van de belgische gemeentepolitie & de landelijke politie uit de Provincie Luik.
Nous ne connaissons actuellement aucun ouvrage de référence qui reproduise et décrive les insignes de la police belge. Ici vous trouverez ma collection qui comporte plus de 1330 breloques, de la police communale, de la gendarmerie, de la police rurale et militaire, avec des annotations héraldiques. Le but est de constituer une documentation de référence pour les collectionneurs et aussi pour ceux ou celles qui désirent m’apporter leur aide afin de pouvoir compléter ma collection avec les breloques qui manquent.
La source d’eau minérale qui a consacré la renommée de Spa dès le Moyen Age fut le Pouhon. Située au centre de la ville, cette source donne une eau parfaitement limpide. Mis sous abri au XVIè siècle, le Pouhon fut protégé en 1656 par une nouvelle niche qui subsista jusqu’en 1820. C’est ce modeste bâtiment qui figure au XVIIIè siècle sur le sceau de la ville et de l’échevinage ainsi que sur les armes reconnues dès 1878 à la ville de Spa.
Pierre le Grand, tsar de Russie, fit en 1717 une cure mémorable à Spa. En reconnaissance, il offrit l’année suivante au magistrat de Spa une table votive qui fut encastrée au fronton de cet édifice. Au XIXè siècle, la petite bâtisse du Pouhon fut remplacée par un monument à la mémoire de Pierre le Grand. Cette construction très critiquée, fit l’objet par la suite d’autres aménagements.
Sur écu d’ argent, la niche du Pouhon, tournée vers la droite, maçonnée au naturel sur un carrelage de même, avec une banderole d’azur posée au-dessus en exergue, et portant les mots « Spa.Pouhon. » en lettres d’or
12-06-2008
SOUMAGNE
SOUMAGNE
Le 13 aout 1005, l’empereur Henri II le Saint donna Soumagne et Soiron à l’église Saint-Adalbert d’Aix-la-Chapelle, la mense épiscopale de Liège y conservant semble-t-il des droits seigneuriaux. Une partie de Soumagne, Saint-Hadelin, dépendait de la principauté abbatiale de Stavelot-Malmedy et, pour cette raison, était appelée Soumagne-les-Moines.
Dès 1682, Soumagne faisait usage d’un sceau portant l’effigie de saint Lambert, patron de la paroisse.
La cure de Soumagne fut administrée jusqu'à la fin de l’Ancien Régime par les Prémontrés du Mont Cornillon qui l’avaient reçue en 1204 de Winand de Fêcher.
Un A.R. de 1840 reconnut à la commune l’autorisation de faire usage d’armoiries présentant Saint Lambert posé sur une terrasse. Ayant fusionné en 1977 avec 5 autres communes qui n’avaient pas obtenu d’armoiries auparavant, Soumagne reçut en 1978 l’autorisation de relever celles qui lui avaient été reconnues en 1840.
D’azur à un Saint Lambert, mitré, debout sur une terrasse, tenant de la dextre un livre ouvert et de la senestre une crosse posée en barre, le crosseron vers l’extérieur, le tout d’or.
09-06-2008
Brigade de roulage - Police de Seraing
08-06-2008
SERAING (2)
07-06-2008
SERAING (1)
SERAING
En 1923, Seraing fut autorisée à faire usage des armoiries que portait au XIIIè siècle Thierri Hustin, chevalier ancêtre de la famille de Seraing. Ce chevalier était un homme puissant et fut à l’origine d’une lignée influente qui se perpétua au XIVè siècle dans les de Jardin suite au mariage de Maroie de Jemeppe avec Alexandre de Jardin, mayeur en féauté (1340-1344), écuyer, sire de Houtain et d’Once, qui adopta le nom de Seraing suite à cette alliance. Leur fils Jean de Seraing devint châtelain héréditaire du palais des princes-évêques et fut décapité en 1408, après la bataille d’Othée, sur l’ordre de Jean Sans Pitié.
D’'argent au sautoir de gueules cantonné de quatre lions de sable.
06-06-2008
SERAING
Serait ce un prototype ?
04-06-2008
SANKT-VITH
SANKT-VITH
La ville de Saint-Vith a été autorisée à faire usage des armoiries légèrement amendées qui lui avaient été octroyées en 1925. Il s’agit du lion couronné à la queue fourchée des seigneurs de Fauquemont, qui servirent au Moyen Age les intérêts des comtes de Luxembourg contre ceux des princes-abbés de Stavelot-Malmedy, seigneurs fonciers. Le patrimoine des Fauquemont, seigneurs de Saint-Vith, mais aussi de Butgenbach, passa par alliance aux comtes de Vianden, dont l’héritage échut aux comtes de Nassau-Dillenbourg. Le sort de Saint-Vith suivit alors celui de cette puissante Maison. Les Nassau, bientôt devenus d’Orange-Nassau, menèrent une politique foncière vigoureuse autour de Saint-Vith, où ils concentrèrent la perception de leurs recettes, confiée à la famille de Baring.
Incendiée par Louis XIV en 1689 comme Malmedy et Stavelot, Saint-Vith fut à nouveau réduite en cendres à la fin de la Deuxième Guerre mondiale de sorte que les souvenirs du passé y sont rares.
Par l’A.R. du 17.09.1975, portant fusion des communes, les communes Crombach, Lommersweiler, Recht, Sankt-Vikt & Schönberg sont fusionnées en une nouvelle commune du nom de Sankt-Vith ( Saint-Vith), laquelle est autorisée à porter le titre de ville.
D’'argent au lion de gueules, la queue fourchue, couronné d’or, armé et lampassé d’azur.
01-06-2008
SAINT-NICOLAS
SAINT-NICOLAS
La géométrie du blason proposé évoque les terrils des nombreux anciens charbonnages locaux. L’exploitation charbonnière semble remonter, à Montegnée en particulier, aux origines mêmes de l’industrie extractive de la houille.
28-05-2008
OUPEYE
OUPEYE
En 1303, Lambert d’Oupeye reprit son alleu en fief du prince-évêque de Liège. Le bien passa par d’autres et sera acheté avec une partie de Vivegnis par le baron de Graillet en 1778.
Connue dès 779, la terre d’Hermalle-sous-Argenteau était elle aussi un alleu. La famille d’Hermalle portait : de sable à un semé de fleurs de lis d’argent.
Heure-le-Romain, qui appartenait initialement aux comtes d’Heure, fut donnée en 1266, à l’abbaye du Val-Benoît. Les armoiries obtenues par cette commune en 1926 comportaient elles aussi des fleurs de lis.
Haccourt disposait également d’armoiries.
L’entité d’Oupeye continue à faire usage des armoiries qui avaient été attribuées à l’ancienne commune du même nom par E.R. en 1954.
Parti : au 1, d’or à un cerf rampant de gueules ;
Au 2, coupé, en chef, d’or à la fasce bretessée et contre-bretessée de sable, accompagnée de 3 abeilles de gueules, en pointe, d’argent à 3 fasces de sable, au croissant d’or brochant sur la 2ème fasce.
25-05-2008
MALMEDY
MALMEDY
Patron de Malmedy depuis le IXè siècle, saint Quirin figure dès le XVIè siècle, comme tenant à senestre, sur le sceau de la haute cour et justice de la ville et franchise. Il est figuré foulant aux pieds un monstre et tenant entre les mains la partie supérieure de son chef. Saint Quirin, un des 3 martyrs du Vexin, est réputé avoir maîtrisé un redoutable dragon et l’avoir ramené en se servant comme laisse d’une étole. L’emblème de Malmedy est ainsi devenu le dragon, que l’on retrouve sur les vignettes servant aux ordonnances imprimées des princes-abbés. Cet emblème fut reconnu en 1926 à la ville de Malmedy.
D’or à un dragon de sable sur une terrasse isolée de sinople. L’écu posé sur une épée d’argent granie d’or, la pointe en bas, et une crosse d’or, passées en sautoir, et sommé d’une mitre du même.
24-05-2008
La Brigade motocyliste de la police de Liège 3
LIEGE
Brigade motocyliste
Les insignes et plaque de baudrier de la brigade motocyliste de la police de Liège
23-05-2008
La Brigade motocyliste de la police de Liège 2
LIEGE
Brigade motocyliste
22-05-2008
La Brigade motocyliste de la police de Liège 1
LIEGE
Brigade motocyliste
20-05-2008
LIEGE 5
LIEGE
Paix publique
Ils patrouillent principalement dans le centre ville, à pied, proche du citoyen et des touristes,
17-05-2008
LIEGE 4
LIEGE
Les breloques portées par les auxiliaires de police
15-05-2008
LIEGE 3
LIEGE
Diverses autres générations de breloque de la police liégeoise.
13-05-2008
LIEGE 2
LIEGE
De gueules à un perron formé d’une colonne posée sur un 3 degrés, soutenus de 3 lions couchés, et sommée d’une pomme de pin soutenant une croix pattée ; ladite colonne accostée à dextre de la lettre capitale L et à senestre de la lettre capitale G, le tout d’or. L’écu sommé d’une couronne murale du même {et orné extérieurement, en commençant par la dextre de l’écu, des bijoux de la croix de guerre italienne….}
11-05-2008
LIEGE
LIEGE
Au Moyen Âge, le sceau de la cité de Liège représentait saint Lambert, évêque de Tongres-Maestricht, assasiné à Liège vers 701. Le perron n’apparut sous les pieds de saint Lambert que dans un scel du début du XVè siècle. Le perron fut accosté à partir de la seconde moitié du XVIIè siècle des initiales « LG. ». Ces lettres sont une abréviation de « Legia » ou Liège.
Le perron était apparu pour la 1ère fois sur une monnaie de l’évêque Henri de Leyen (1145-1165); la croix y repose sur une colonne ouvragée et supportée par 3 montoirs. Primitivement, le perron n’était rien d’autre qu’une croix de juridiction. Le perron servait à la publication des volontés du prince-évêque et des sentences scabinales ( cri du perron) et il fut rapidement regardé comme le couronnement des franchises de la cité. La pomme de pin ne prit place d’une façon définitive sous la croix qu’à partir du XVIIè siècle.
Les couleurs de Liège sont le rouge, couleur primitive et le jaune. Le gonfanon que, selon la tradition Charlemagne donna au chapitre de Saint-Lambert étant de soie rouge frangée de crépines d’or, ces 2 couleurs restèrent celles des armoiries liégeoises.
08-05-2008
JEMEPPE
JEMEPPE
De gueules à un léopard lionné d’or accompagné de huit billettes d’argent rangées en orle.
Fusionné avec Seraing en 1977
04-05-2008
HUY
HUY
Bonne ville du Pays de Liège, jouissant de privilèges depuis 1066, Huy utilisa sous l’Ancien Régime comme sceau d’abord une fontaine monumentale surmontée d’un perron, la croix sommée d’un coq, le tout accosté de 2 chênes (dès le XIIIè siècle), puis un château fort muni de 3 tourelles surmontées chacune d’une bannière. Les armoiries octroyées à Huy en 1980 après la fusion avec Ben-Ahin et Tihange ont repris ce château fort avec les lettres H et V accostant le château sur un sceau du XVIIè siècle.
Par tradition, Huy a toujours arboré les couleurs liégeoises rouge et jaune, qui sont également celles de ses armoiries.
De gueules au château fort d’or, ouvert d’azur, formé d’un quadrilatère de murailles, vu en perspective, muni à chacun des 3 angles visibles d’une tour ronde à toit conique sommé d’une girouette, celle de dextre contournée, la tour du centre à 2 étages, ouverte d’azur et accostée de lettres en majuscules H et V. Le château posé sur une terrasse de sinople.
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