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Rapport Tour des Lacs 2006.
On avait mis le réveil à 5h. Le tout était bien préparé : le MG nettoyé et frotté, le cartes et GPS consulté. On compte de rouler 3 heures ce qui est très réel, mais on a raté le sorti à Mons et le GPS ne trouve pas une » Grand-place » à Ragnies parce que çà doit être « Place ». Route barré et DEVIATION sont toujours en avance de nous. On doit inventé encore une flèche avec Ragnies dessus ; donc on va demander la route, personne dans la rue, les maisons grises dans le village sont fermés, il est pourtant Pentecôte et même les clochers des églises font pas de bruit. Je vois quand même une voiture récente et je fais signe et le bon home aimable sarête.
Nous sommes à LOBBES et je demande la route pour RAGNIES comme cela je pense quil faut le prononcer. Le bon home me regarde ou jai la grippe doiseaux et je dois deux fois répéter ma question. Savez-vous pour quoi ? Parce que cela se prononce « RANIE » et nous ne sommes pas le dernier. La « PLACE » est rempli de belles MGs et des ROVER berlines. Chacun à nettoyé sa voiture, ils sont tous prêt pour aller à la messe à ce Pentecôte. Il y a des gens qui regardent surtout aux voitures curieux. Léglise du village regarde le tout avec des yeux fermés, elle se réveille encore ? Je pense pour la plus part pour un événement triste. Le petit déjeuner excellent plus quil nous faut nous attend.
On entend beaucoup de flamand et surtout le flamand de louest. On part avec les attributs nécessaires décapotés comme le plus part des participants, il fait doux sans vent mais le soleil ne réussit pas à chasser les nuages. Vu les circonstances des derniers jours nous sommes très contents quoique les premiers signales de la côte disent quils se préparent pour aller à la plage. Six voitures se bloquent et doivent retournes sur une petite route ou on peut repartir vers trois cotés. On retourne laborieux, sur peu de place. Un Vieux bon home nous entend et regarde nos manuvres sans bouger. Il nous dérange mais ne bouge pas. Il semble que le bord de la route lui appartient. Tout le monde est retourné et tout dun coup il dit : « wo moei no toe « (ou allez-vous) ? Qui monsieur on ne sait pas et on montre le roadbook avec des points, triangles et des lignes etc. « Cest comme le chinois » dit lui. Pour nous aussi, on apprend, salut. Chacun prend une autre route et on se retrouve pour le drink de surprise. On pouvait choisir ; donne moi un Chimay servit avec le sourire.
Nous continuons à travers le beau paysage et nous voyons beaucoup. Des bois énorme, des prairies ouverts avec des vieux fermes, dont la route le traverse, les écuries et le tas de fumier de lun côté et la maison avec annexes de lautre côté et comme garnissement de tas de vieux pneus de voiture. Des villages ou on voit personne dont on se pose la question « ou se trouve ton ». Beaucoup de motards non dangereux mais impétueux font du tapage peut être sous linfluence du circuit de Chimay. Apéro, dîner nous plaisaient et distribution des prix dans le « Camarque ». La plus parts des participants restaient à lintérieur. Après tout ça encore un tour de 60KM vers le château de Chimay. Le temps changeait : cétait plus agréable parce qu le soleil se montrait. De la tranquillité vers la foule de Chimay est un sentiment agréable. Tout le monde pouvait garer ça voiture dans la cour du château. La visite du Château et la salle de théâtre étaient impressionnants. Je ne sais dire plus parce que vous devez le voir vous-même.
Apres quon a quitté Chimay on na pas visité la distillerie de BIERCEE, cétait 6 h et on est rentré par ce que on avait encore 3 h de route à faire.
Merci aux organisateurs Walter Vertriest. ( traduction Alain Vit )
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