Retro-Songteksten: Evergreens, Classics, Old-Time Favourites, Hits Uit Onze Jeugd
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Pour presque rien, une peccadille Ils m'ont arraché mon amant Pour le placer derrière des grilles Ou il est depuis bien longtemps Comme s'il avait commis un crime Comme un bandit de grand chemin Ils ont jugé, à quoi ça rime Que vingt ans lui feraient du bien Que vingt ans lui feraient du bien
C'était un peintre formidable Plein de talent, de qualités Et qui voulant m'être agréable Fabriqua quelques faux billets Des billets de cent, des billets de mille Si vous saviez comme c'était beau Il étais devenu si habile Qu'à côté les vrais semblaient faux Qu'à côté les vrais semblaient faux Pourtant il n'a pas eu de chance Il n'en étais qu'à huit millions Lorsqu'un jour la Banque de France A eu vent des contrefaçons Comme le ministre des Finances N'acceptait pas l'association Ils ont brisé la concurrence En jetant mon homme en prison En jetant mon homme en prison
Des agents vinrent et raflèrent Ses chefs-d'oeuvre pour les détruire Et méchamment me refusèrent Un petit million en souvenir Ceci prouve qu'à notre époque Y'a pas de justice et c'est navrant De voir que les plus grands se moquent Du destin du petit artisan Du destin du petit artisan
Big John Composer(s): Big John Patton; Amiel Sommers Performer(s): The Shirelles
(Big John, Big John)
Big John, won't you come on home? Ain't you gonna marry me? My folks all wanna know When the weddin's gonna be They're makin' plans, shakin' hands Been waitin' so long There's somethin' goin' wrong
Big John, if you don't come home I'm gonna have to leave this place My folks know you've jilted me I'm ashamed to show my face They're makin' plans, shakin' hands Been waitin' so long There's somethin' goin' wrong
They all told me 'bout the things you do If what they told me is true They all said that I'd soon find out I'm wastin' my kisses on you
There's somethin' goin' wrong
They all told me 'bout the things you do If what they told me is true They all said that I'd soon find out I'm wastin' my kisses on you
Big John, if you don't come home I'm gonna have to leave this place My folks know you've jilted me I'm ashamed to show my face They're makin' plans, shakin' hands Been waitin' so long There's somethin' goin' wrong
(Big John) Been waitin' so long (Big John) There's somethin' goin' wrong (Big John)
Le Fataliste Composer(s): Yves Duteil Performer(s): Yves Duteil
Je suis devenu fataliste Le jour où je l'ai rencontrée Elle avait le regard bien triste Et plus rien ne l'intéressait Qui des deux a consolé l'autre Et lequel était le plus fou? Qui des deux était bon apôtre? Il s'en fallait pas de beaucoup J'ai chanté quelques chansons tendres Composées au temps du bonheur Et ses larmes m'ont fait comprendre Que j'touchais le fond de son cur J'aurais pu ne plaire à personne Ou ne rien lui chanter du tout Aujourd'hui serait monotone Il s'en fallait pas de beaucoup
Je suis devenu fataliste Le jour où je l'ai rencontrée Elle avait le regard bien triste Et plus rien ne m'intéressait Qui des deux a consolé l'autre? Moi, j'avoue que je n'en sais rien Quelquefois le malheur des autres Fait aussi le bonheur des uns Et pardon si rien ne m'étonne Chaque jour me rend amoureux Les chagrins que la vie nous donne Le bonheur les divise en deux Quelquefois la vie n'est pas belle L'avenir a l'air incertain Le bonheur est une étincelle Qui n'est belle que quand elle s'éteint
Je suis devenu fataliste Le jour oh je l'ai rencontrée Elle avait le regard si triste Et jamais je n'aurais pensé... J'aurais pu prendre une autre route Être ailleurs, passer mon chemin Le bonheur s'en irait sans doute Attiré vers d'autres destins J'aurais pu prendre une autre route Être ailleurs, passer mon chemin Le plus drôle, c'est sans aucun doute Qu'aujourd'hui je n'en saurais rien
Big Iron Composer(s): Marty Robbins Originally performed by: Marty Robbins Covered by various other artists
To the town of Agua Fria rode a stranger one fine day Hardly spoke to folks around him didn't have too much to say No one dared to ask his business no one dared to make a slip for the stranger there amongst them had a big iron on his hip Big iron on his hip
It was early in the morning when he rode into the town He came riding from the south side slowly lookin' all around He's an outlaw loose and running came the whisper from each lip And he's here to do some business with the big iron on his hip big iron on his hip
In this town there lived an outlaw by the name of Texas Red Many men had tried to take him and that many men were dead He was vicious and a killer though a youth of twenty four And the notches on his pistol numbered one an nineteen more One and nineteen more
Now the stranger started talking made it plain to folks around Was an Arizona ranger wouldn't be too long in town He came here to take an outlaw back alive or maybe dead And he said it didn't matter he was after Texas Red After Texas Red
Wasn't long before the story was relayed to Texas Red But the outlaw didn't worry men that tried before were dead Twenty men had tried to take twenty men had made a slip Twenty one would be the ranger with the big iron on his hip Big iron on his hip
The morning passed so quickly it was time for them to meet It was twenty past eleven when they walked out in the street Folks were watching from their windows every-body held their breath They knew this handsome ranger was about to meet his death About to meet his death
There was forty feet between them when they stopped to make their play And the swiftness of the ranger is still talked about to-day Texas Red had not cleared leather when a bullet fairly ripped And the rangers aim was deadly with the big iron on his hip Big iron on his hip
It was over in a moment and the folks had gathered round There before them lay the body of the outlaw on the ground Oh he might have gone on living but he made one fatal slip When he tried to match the ranger with the big iron on his hip Big iron on his hip
Big iron Big iron
When he tried to match the ranger with the big iron on his hip
Quand ils commencèrent La chasse aux sorcières J'étais jeune apparition Sans grande expérience Leurs cris de démence Me glaçaient jusqu'au trognon À longueur d'antenne J'agitais mes chaînes Sans faire la moindre impression Maint'nant on m'respecte Je suis un vieux spectre Bien connu dans la maison
Je suis l'âme en peine Qui secoue ses chaînes Au studio des Buttes-Chaumont L'onde est mon royaume Je suis le fantôme De la télévision
Je fais des chatouilles À ceux qui magouillent Dans le sondage bidon Je fais des gratouilles À ceux qui glandouillent Dans le débat-mironton Je fous les chocottes À ceux qui fayottent Dans la désinformation Je fous la panique À ceux qui forniquent La liberté d'expression
Je suis l'âme en peine Qui secoue ses chaînes Au studio des Buttes-Chaumont L'onde est mon royaume Je suis le fantôme De la télévision
En vingt ans de dur labeur J'ai connu vingt directeurs Qui partirent à ma chasse Mais avant qu'ils ne m'attrapent lls passaient tous à la trappe Moi je suis toujours en place
Y'en a qui m'envient De passer ma vie À côtoyer les Zitrons Les grands publicistes Tous ceux qui insistent Pour vous lessiver l'oignon Les gens qui surnagent Grâce au matraquage Des ritournelles à la con Les brosses à reluire Des princes-sans-rire Qui vous forment une opinion
Mais tout n'est pas drôle Quand on joue le rôle Le rôle d'apparition L'onde est mon royaume Plaignez le fantôme De la télévision
Ici y'a des dingues Qui prennent leurs flingues Pour trouer mon courant d'air De sombres figures Quand je dis culture Qui sortent leurs révolvers Sitôt que je bouge Y'en a qui voient rouge Faut qu'ils se fassent une raison Y'a pas qu'en Ecosse Que mon p'tit négoce Fait partie des traditions
Y'a tant d'âmes en peine Qui secouent leurs chaînes Au studio des Buttes-Chaumont L'onde est un royaume Rempli de fantômes À la télévision
Le Fantôme ((Italian Version: Il Fantasma (by Nanni Svampa) - 2004)) Composer(s): Georges Brassens First release by: Georges Brassens - 1966
C'était tremblant, c'était troublant C'était vêtu d'un drap tout blanc Ça présentait tous les symptômes Tous les dehors de la vision Les faux airs de l'apparition En un mot, c'était un fantôme!
À sa manière d'avancer À sa façon de balancer Les hanches quelque peu convexes Je compris que j'avais affaire À quelqu'un du genr' que j'prefère À un fantôme du beau sexe
"Je suis un p'tit poucet perdu Me dit-ell', d'un' voix morfondue Un pauvre fantôme en déroute Plus de trace des feux follets Plus de trace des osselets Dont j'avais jalonné ma route!"
"Des poèt's sans inspiration Auront pris - quelle aberration! - Mes feux follets pour des étoiles De pauvres chiens de commissaire Auront croqué - quelle misère! - Mes oss'lets bien garnis de moelle"
"À l'heure où le coq chantera J'aurai bonn' mine avec mon drap Hein de faux plis et de coutures! Et dans ce siècle profane où Les gens ne croient plus guère à nous On va crier à l'imposture"
Moi, qu'un chat perdu fait pleurer Pensez si j'eus le cur serré Devant l'embarras du fantôme "Venez, dis-je en prenant sa main Que je vous montre le chemin Que je vous reconduise at home"
L'histoire finirait ici Mais la brise, et je l'en r'mercie Troussa le drap d'ma cavalière... Dame, il manquait quelques oss'lets Mais le reste, loin d'être laid Etait d'un' grâce singulière
Mon Cupidon, qui avait la Flèche facile en ce temps-là Fit mouche et, le feu sur les tempes Je conviai, sournoisement La belle à venir un moment Voir mes icônes, mes estampes...
"Mon cher, dit-ell', vous êtes fou! J'ai deux mille ans de plus que vous..." Le temps, madam', que nous importe! Mettant le fantôm' sous mon bras Bien enveloppé dans son drap Vers mes pénates je l'emporte!
Eh bien, messieurs, qu'on se le dis' Ces belles dames de jadis Sont de satanées polissonnes Plus expertes dans le déduit Que certain's dames d'aujourd'hui Et je ne veux nommer personne!
Au p'tit jour on m'a réveillé On secouait mon oreiller Avec un' fougu' plein' de promesses Mais, foin des dédic's de Capoue! C'était mon père criant: "Debout! Vains dieux, tu vas manquer la messe!"
Big In America Composer(s): The Stranglers Performer(s): The Stranglers
I met a roach in America his family had a massive tree
they live just about everywhere he was big in America he was big in America
I met a vet in America he was alive he was in overdrive
he'd just been around everywhere he was big in America he was big in America
And when you're big in America you like to live in America you won't be on your own and since you're big in America you might as well make America your home Big in America!
I met a girl in America she wore the pants cross the big expanse
she was whipping men everywhere she was big in America she was big in America
And when you're big in America you like to live in America Big in America! Big in America! Big in America!
Le Fanion De La Légion Composer(s): Raymond Asso - Marguerite Monnot First release by: Edith Piaf - 1938
Tout en bas, c'est le Bled immense Que domine un petit fortin Sur la plaine, c'est le silence Et là-haut, dans le clair matin Une silhouette aux quatre vents jette Les notes aiguës d'un clairon Mais, un coup de feu lui répond
Ah la la la, la belle histoire Y a trente gars dans le bastion Torse nu, rêvant de bagarres Ils ont du vin dans leurs bidons Des vivres et des munitions Ah la la la, la belle histoire Là-haut sur les murs du bastion Dans le soleil plane la gloire Et dans le vent claque un fanion C'est le fanion de la légion!
Les "salopards" tiennent la plaine Là-haut, dans le petit fortin Depuis une longue semaine La mort en prend chaque matin La soif et la fièvre Dessèchent les lèvres À tous les appels de clairon C'est la mitraille qui répond
Ah la la la, la belle histoire Ils restent vingt dans le bastion Le torse nu, couverts de gloire Ils n'ont plus d'eau dans leurs bidons Et presque plus de munitions Ah la la la, la belle histoire Claquant au vent sur le bastion Et troué comme une écumoire Il y a toujours le fanion Le beau fanion de la légion!
Comme la nuit couvre la plaine Les "salopards", vers le fortin Se sont glissés comme des hyènes Ils ont lutté jusqu'au matin Hurlements de rage Corps à corps sauvages Les chiens ont eu peur des lions Ils n'ont pas pris la position
Ah la la la, la belle histoire Ils restent trois dans le bastion Le torse nu, couverts de gloire Sanglants, meurtris et en haillons Sans eau ni pain, ni munitions Ah la la la, la belle histoire Ils ont toujours dans le bastion Mais ne peuvent crier victoire On leur a volé le fanion Le beau fanion de la légion!
Mais tout à coup, le canon tonne Des renforts arrivent enfin À l'horizon, une colonne Se profile dans le matin Et l'echo répète l'appel des trompettes Qui monte vers le mamelon Un cri de là-haut lui répond
Ah la la la, la belle histoire Les trois qui sont dans le bastion Sur leurs poitrines toutes noires Avec du sang crénom de nom Ont dessiné de beaux fanions Ah la la la, la belle histoire Ils peuvent redresser leurs fronts Et vers le ciel crier victoire Au garde-a-vous sur le bastion Ils gueulent "présent la légion"
Big Green Country Composer(s): Neil Young Performer(s): Neil Young
Across the plain flew the lone grey rider Leather bag pounding on his back Above the clouds the moon was climbing higher A pack of wolves wanted their money back
With folded arms the chief stood watching Painted braves slipped down the hill In his ears the spirit talking As they closed in For an easy kill
At the house the door was wide open Wind blew curtains off the rod She was waiting and hoping She was praying to her god
He was luckier than most men He was barely in his prime As she stood there in the doorway Her long dress flowing Would he make it this time
Over the hill in the big green country That's the place where the cancer cowboy rides Pure as the driven snow before it got him Sometimes I feel like he's all right
Sometimes I feel like a piece of paper Sometimes I feel like my own name Sometimes I feel different later Sometimes I feel I feel just the same
Le Facteur Composer(s): Georges Moustaki - Manos Hadjidakis Performer(s): Georges Moustaki
Le jeune facteur est mort Il n'avait que dix-sept ans
L'amour ne peut plus voyager Il a perdu son messager
C'est lui qui venait chaque jour Les bras chargés de tous mes mots d'amour C'est lui qui tenait dans ses mains La fleur d'amour cueillie dans ton jardin
Il est parti dans le ciel bleu Comme un oiseau enfin libre et heureux Et quand son âme l'a quitté Un rossignol quelque part a chanté
Je t'aime autant que je t'aimais Mais je ne peux le dire désormais
Il a emporté avec lui Les derniers mots que je t'avais écrit
Il n'ira plus sur les chemins Fleuris de roses et de jasmins Qui mènent jusqu'à ta maison L'amour ne peut plus voyager Il a perdu son messager Et mon cur est comme en prison
Il est parti l'adolescent Qui t'apportait mes joies et mes tourments L'hiver a tué le printemps Tout est fini pour nous deux maintenant
Big Girls Don't Cry Composer(s): Bob Crewe; Bob Gaudio Performer(s): The Four Seasons
Big girls don't cry Big girls don't cry
Big girls don't cry-yi-yi (they don't cry) Big girls don't cry (who said, they don't cry) My girl said goodbye-yi-yi (my, oh, my) My girl didn't cry (I wonder why)
(Silly boy) Told my girl we had to break up (Silly boy) Thought that she would call my bluff (Silly boy) Then she said to my surprise Big girls don't cry
Big girls don't cry-yi-yi (they don't cry) Big girls don't cry (who said, they don't cry)
Baby, I was cruel (I was cruel) Baby, I'm a fool (I'm such a fool)
(Silly girl) Shame on you, your mama said (Silly girl) Shame on you, you cried in bed (Silly girl) Shame on you, you told a lie Big girls do cry
Big girls don't cry-yi-yi (they don't cry) Big girls don't cry (that's just an alibi)
Big girls don't cry Big girls don't cry Big Girls don' cry Big girls don't cry
Elle peut venir quand il faut pas Comme un cheveu sur la soupe Comme un as sous la coupe Au moment de dire "bonjour" Au beau milieu de l'amour C'est tellement con la mort! Je vous souhaite le bonjour, Monsieur Et si c'est le dernier Je vous souhaite la belle mort, Monsieur
Elle peut venir de n'importe où Elle peut vous tomber d'en haut Comme l'éclair ou le couteau Ou bien venir de trop bas Comme le serpent, le Judas C'est tellement con la mort! Je vous souhaite le bonjour, Monsieur Et si c'est le dernier Je vous souhaite la belle mort, Monsieur
Elle peut venir n'importe quand Au printemps comme en hiver Qu'on sen moque ou qu'on l'espère Qu'on soit deux ou seul pleurant Mais jamais au bon moment C'est tellement beau la vie! Je l'aimais - Je l'aimais Je l'aimais - Je l'aimais
Big Fool Of The Year Composer(s): Justin Tubb Performer(s): Ernest Tubb; George Jones
All the big fools in town got together Every hopeless loving heart I know was there We all sat around and told our own sad stories Then they made me the big fool of the year
Oh they gave to me a little golden statue Of the torch that I carry for you dear They said no one else could even come close to me And that I was the Big Fool Of The Year
I'll put mine up beside any foolish heart in town For there's none can hold a light To this torch I carry round I can't say that I'm too proud of the honor
But then I guess I do deserve it dear For to love you after all you've made me suffer Surely makes me the Big Fool Of The Year You have made me the Big Fool Of The Year
Le Droit Des Femmes Composer(s): Charles Aznavour Performer(s): Charles Aznavour
Depuis qu'avec l'homme sur terre elle fut mise Le femme pour des millénaires fut soumise Cette tradition était clairement transmise Elle obéissait à ses pairs et à l'église
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Bien des choses ont évolué Depuis que Rome Voulait les culpabiliser Pour une pomme Les femmes se sont libérées Il faut voir comme Il faudra nous y habituer Nous les bonshommes
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Souvent nos mères ont vécu L'insupportable Subissant bafouées et cocues L'inacceptable Messieurs ce temps est révolu Alors que diable Les jeux sont faits rien ne va plus Cartes sur table
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Femmes poupées, femmes au foyer Femmes qu'on vexe Toutes ces femmes libérées De leurs complexes Parlent de choix, parlent d'idées Comme de sexe Alors messieurs ayons fair play Le bon réflexe
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Ce mari cet ancien macho Peut sans problème Sans rougir poussait un landau Sur les lieux même Où tous ses copains font le beau Devant u crème On a l'étoffe d'un héros Dès que l'on aime
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Aujourd'hui le monde a changé Tout passe et casse La femme dans la société A pris sa place Pilote, écrivain, PDG Et puis j'en passe Comme finir à l'Elysée Un jour de grâce
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Échange de bon procédés L'homme peut faire Quelques uns des petits métiers Des ménagères On peut le voir marcher sur les Grandes artères Fardé, peu vêtu racoler Sos congénères
Le droit des femmes Le droit des femmes n'est plus Je le proclame Ce que jadis il fût Ces dames se sont battues mais l'ont eu Le droit des femmes Et ne le lâcheront plus
Le Droit De Vivre Composer(s): Michel Mallory Performer(s): Johnny Hallyday
Il n'y a plus de peuple banni Il n'y a pas de pays maudit Tous les dieux sont fais du même bois Une étoile vaut bien une croix
Ce ne sont que des hommes Tout simplement des hommes comme toi Ils sont de la même terre Fais de sang et de chair tout comme toi Comme toi ils ont Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre
Un enfant ressemble à un enfant Qu'il soit noir qu'il soit jaune ou blanc Comment peux-tu dormir sans t'éveiller Quand on pense au mal qui est fait
Ce ne sont que des hommes Tout simplement des hommes comme toi Ils sont de la même terre Fais de sang et de chair tout comme toi Comme toi ils ont Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre
Ce ne sont que des hommes Tout simplement des hommes comme toi, comme toi Ils sont de la même terre Fais de sang et de chair tout comme toi Comme toi ils ont Le droit de vivre Le droit de vivre
Toi mon fils je te regarde dormir Je remercie le ciel de ton sourire Tu as tout ce que je n'ai jamais eu Alors pense à tous ses enfant perdus
Ce ne sont que des hommes Tout simplement des hommes comme toi Ils sont de la même terre Fait de sang et de chair tout comme toi Comme toi ils ont Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre Le droit de vivre...
Big Feeling Blues Composer(s): Reverend Charlie Jackson; Ma Rainey Performer(s): Rev. Charlie Jackson & Ma Rainey; John Dummer Blues Band
Ma: "All these many years I've been pleadin' for a man How come I can't get me a real monkey man? I'm not no triflin' woman
I've been lookin' for a man I can call my own Been married many times but they left my home Ah, big feelin' blues, worst I ever had I've got the big feelin' blues I mean I've got them bad"
Charlie: "If you're lookin' for a brown, come get this chocolate cream I'm a big kid-man - just out of my teens"
Ma: "Ah, big feelin' blues, worst I ever had I've got them big feelin' blues, I mean I've got them bad"
"Unlucky with my yellow, unlucky with my brown, the black bitches keep on throwin' me down' "Ah, big feelin' blues, worst I've ever had I've got the big feelin' blues, I mean I've got them bad"
Charlie: "If you need a good man why don't you try me? I sure can put you out of your misery"
Ma: "Ah, big feelin' blues, worst I've ever had I've got the big feelin' blues, I mean I've got them bad There's a whole lot left, what's left is good Give me a chance, honey, I'll make you change your neighbourhood Ah, big feelin' blues, worst I've ever had, I've got the big feelin' blues, I mean I've got them bad"
Le Droit D'aimer Composer(s): Robert Nyel - Francis Laï Performer(s): Edith Piaf
Qu'ils se lèvent ou qu'ils meurent Ces soleils rouges ou gris Et que tournent les heures Et que passe la vie À la face des hommes Au mépris de leurs lois Jamais rien ni personne M'empêchera d'aimer J'en ai le droit d'aimer J'en ai le droit À la face des hommes Au mépris de leurs lois Jamais rien ni personne M'empêchera d'aimer
À souhaiter des noces Comme celles des gosses En âge de l'amour Je l'ai voulu, ce droit! Par des matins d'ivresse Et des nuits de détresse Luttant pour cet amour Je l'ai conquis, ce droit! Par la peur de tout perdre Au risque de me perdre Pour que vive l'amour Je l'ai payé, ce droit!
Bien que le temps n'efface Ni les deuils ni les joies Quoi qu'on dise ou qu'on fasse Tant que mon cur battra Quelle que soit la couronne Les épines ou la croix Jamais rien ni personne M'empêchera d'aimer... J'en ai le droit d'aimer J'en ai le droit... À la face des hommes Au mépris de leurs lois Jamais rien ni personne M'empêchera d'aimer... De t'aimer... D'être aimée... D'être aimée...
Auxerre c'est pas Memphis Engel c'est pas Hendrix Si un jour j'ai un fils Il s'appellera sûrement pas Jerry Lee
Neuilly Beverly Hills Douze mille kilomètres Si un jour j'ai un fils Il s'appellera sûrement pas John ou Ted Mais je rêve d'être un jour Une big fat mama singing the blues
Big fat mama Big fat mama Big fat mama Big fat mama singing the blues
Mon père aime le Bordeaux Et pas trop le Whisky Dans le Colorado Le Saint-Émilion c'est comme le Vichy
Quand je sors de chez moi J'ai pas de revolver Mais en Alabama Si t'en a pas, on t'envoie en enfer Mais je rêve d'être un jour Une big fat mama singing the blues
Big fat mama Big fat mama Big fat mama Big fat mama singing the blues
Big fat mama Big fat mama Big fat mama Big fat mama singing the blues