L'amour croît là où il y a de la lumière. Là où elle brille, il s'épanouit aussi.
Même si tu disparais de mon champ de vision. Souvent, il est loué dans la nuit.
Parfois, c'est un léger soupir. Parfois, ce sont quelques moments qui s'enchaînent.
Dans la conscience, cette expérience éternelle ne peut pas être.
Ce sont des comptages de cette période de l'année que l'on appelle le printemps.
Là où les espoirs et les désirs semblent grands, glorieux ou petits, cela ne peut pas être mesuré en temps et en durée,
souvent pas dans la mesure.
Et ne se laisse pas saisir d'une main ou expliquer par le langage.
Elle te submerge. Elle colore ta perception. Parfois au terme d'une contemplation, en profondeur, dans le silence.
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