UFO'S of UAP'S, ASTRONOMIE, RUIMTEVAART, ARCHEOLOGIE, OUDHEIDKUNDE, SF-SNUFJES EN ANDERE ESOTERISCHE WETENSCHAPPEN

Pour Yuri Milner, l’entrepreneur russe et philanthrope milliardaire qui finance les prix scientifiques les plus richement dotés et la recherche de vie extraterrestre, le ciel n’est pas la limite – et le Système solaire non plus. Soutenu par le physicien Stephen Hawking et d’autres appuis de poids, Yuri Milner a annoncé début 2016 son investissement le plus ambitieux à ce jour : 100 millions de dollars pour un programme de recherche visant à envoyer des sondes robotiques vers le système stellaire le plus proche en seulement une génération.

« L’histoire de l’humanité est faite de bonds en avant », avait déclaré le milliardaire russe peu après l’annonce de son investissement. « Il y a 55 ans, Yuri Gagarine est devenu le premier humain à aller dans l’espace. Aujourd’hui, nous nous préparons pour le prochain grand saut – vers les étoiles.»

« Breakthrough Starshot », le programme financé par Yuri Milner, a pour objectif de faire rentrer tous les composants d’une sonde robotique – les cameras, les détecteurs, les propulseurs de manœuvre et l’équipement de communication – dans une « nanosonde » de l’ordre de quelques grammes. Celle-ci serait suffisamment petite pour être accélérée à des vitesses très élevées, à l’aide de technologies également en développement : un réseau de lasers terrestres de taille kilométrique, capable d’émettre des impulsions de 100 gigawatts pendant plusieurs minutes à travers l’atmosphère ; impulsions qui frapperaient des « voiles solaires » de quelques atomes d'épaisseur et plusieurs mètres de large et les propulseraient vers les étoiles. Chaque photon de l'impulsion laser délivrerait une petite quantité de mouvement à la voile et à son chargement, mais dans le vide et l'apesenteur de l'espace, le torrent de photons libéré par un laser de l’ordre du gigawatt amènerait la nanosonde à des vitesses relativistes. « Sans de nouvelles méthodes de propulsion, nous ne pouvons tout simplement pas aller très loin, » a expliqué Stephen Hawking lors de l’annonce. « La lumière est la technologie la plus accessible. »

Lancées par milliers depuis un vaisseau mère mis en orbite autour de la Terre, chaque nanosonde déploierait sa voile et profiterait d’une impulsion laser pour accélérer à 20 % de la vitesse de la lumière – soit quelques 60 000 kilomètres par secondes. En utilisant un système d'optique adaptative sophistiqué (des miroirs qui se déforment en temps réel) pour conserver la cohérence et la précision de chaque impulsion malgré les turbulences de l’atmosphère, chaque impulsion posséderait une énergie équivalente à celle d'une fusée au décollage. Le réseau de lasers pourrait ainsi propulser une nanosonde par jour.

Ce réseau devrait être construit à haute altitude, dans un environnement aride, et dans l’hémisphère Sud – peut-être au sommet d’une montagne du Chili, d’Afrique du Sud ou même d’Antarctique –, quelque part où l'on voit directement la cible du projet Breakthrough Starshot : l'étoile double Alpha Centauri qui, à 4,37 années lumières, forme avec Proxima du Centaure le système stellaire le plus proche du nôtre. La Nasa a déjà envoyé cinq sondes sur des trajectoires qui les conduisent au-delà des limites du Système solaire, mais même la plus rapide d’entre elles mettrait plus de 30 000 ans à atteindre Alpha du Centaure. Les nanosondes du projet Breakthrough Starshot accompliraient ce même voyage interstellaire en seulement 20 ans. Dépourvue de système de freinage, elles récolteraient brièvement des informations sur les éventuelles planètes du système Alpha Centauri, qu’elle nous enverrait avant de s'enfoncer plus profondément dans l'obscurité de l'espace interstellaire, hors de portée de toute communication.

Pour Yuri Milner, « si cette mission se concrétise, elle nous en apprendra autant sur nous mêmes que sur Alpha Centauri ». Breakthrough Starshot est le concept le plus récent des initiatives Breakthrough, un ensemble de projets multidisciplinaires qui mobilisent des fonds privés pour tenter de répondre à des questions sur la vie dans l’univers. En 2015, toujours avec Stephen Hawking, Yuri Milner avait annoncé Breakthrough Listen, un projet à 100 millions de dollars s’étalant sur 10 ans, qui consiste à écouter plus d’un million d’étoiles et une centaine de galaxies pour tenter de déceler les signaux d’une potentielle civilisation extraterrestre. Il avait aussi annoncé le projet à 1 million de dollars Breakthrough Message, dont l’objectif est de composer des communiqués à diffuser vers l’espace à destination de toute éventuelle civilisation extraterrestre attentive. Comme Breakthrough Starshot, qui représente la plus grosse somme d’argent jamais dédiée exclusivement aux recherches sur le voyage interstellaire, ces autres initiatives constituent un tournant dans le financement de ces champs de recherche qui, en raison de leur nature particulièrement spéculative, ont longuement végété dans les tréfonds des financements scientifiques publics.

Grands projets, petites sondes

Les plans sérieux pour ce projet ont débuté il y a environ un an, quand Yuri Milner a consulté des experts qui ont réfléchi concrètement aux options envisageables pour rendre le voyage interstellaire possible. L’un d’entre eux, Avi Loeb, astrophysicien à l’université de Harvard et nouveau président du conseil consultatif de Breakthrough Starshot, a déjà proposé des idées étonnantes pour rechercher la vie extraterrestre.

Avi Loeb et ses collègues consultants ont souligné que nous sommes déjà capables chaque jour d’accélérer des particules subatomiques à une vitesse proche de celle de la lumière et que plus une sonde est petite, plus elle pourra voyager vite. « Si vous retirez la coque et l’interface d’un iPhone, ses composants électronique, y compris la caméra et les dispositifs de communications, ne pèsent que quelques grammes, » explique Avi Loeb. « C’est presque tout ce dont vous avez besoin pour une nanosonde et nous sommes sur le point de l’avoir grâce à la miniaturisation de l’électronique. »

Après avoir considéré, puis rejeté, des options aussi exotiques que des fusées propulsées par l’annihilation d’antimatière ou par la fusion nucléaire, les consultants se sont intéressés aux voiles solaires propulsées par laser, un concept apparu pour la première fois dans les années 1960. Ils se sont concentrés sur les travaux récents de Philip Lubin, un physicien de l’université de Californie à Santa Barbara, qui venait juste de mettre au point la « feuille de route » pour développer de minuscules sondes interstellaires propulsées par laser, dans le cadre d’une étude modestement financée par la Nasa. Après quelques modifications, ces plans ont fourni un modèle pourBreakthrough Starshot et Philip Lubin est désormais l’un des membres clés du projet.

« Le problème du voyage interstellaire peut-être abordé de deux manières, explique Lubin. Les fusées à antimatière ou à fusion nucléaire font partie d’une approche "réelle". Les lois physiques connues indiquent que ce sont des solutions réalistes, même si nous ne savons pas encore bien comment les mettre en pratique. La propulsion par distorsion de l'espace-temps ou par les trous de ver font partie d’une approche plus "imaginaire" – ce que j’appellerais des solutions fictives, parce que personne n'a la moindre idée de comment les réaliser. » Le concept de propulsion laser est, selon lui, une approche tout à fait réelle parce qu’il est à la fois « réaliste et réalisable ».

La feuille de route de Philib Lubin énonce les nombreux obstacles qu’une mission interstellaire à propulsion laser devra surmonter, tel que la synchronisation d'une multitude de petits lasers en un réseau de taille kilométrique et la fabrication d’une voile légère et fine comme une toile d’araignée, mais capable de résister à des impulsions laser de l’ordre de plusieurs gigawatts. Un autre problème sera de convaincre les responsables politiques d’autoriser la construction d’un tel système laser qui pourrait, en principe, être utilisé comme une arme. Les sondes devront transmettre leurs observations à la Terre en utilisant des lasers embarqués d'une énergie de quelques watts seulement – un problème potentiellement soluble en utilisant le réseau laser terrestre comme récepteur. Mais l’obstacle le plus important est simplement une question de prix : à un coût estimé d’environ 10 dollars par watt, la construction du réseau de laser à 100 gigawatt de Breaktrough Starshot coûterait 1000 milliards de dollars.

Mais si élevé cela que puisse paraître, il faut se souvenir que les prix du marché d’il y a 10 ans auraient rendu le projet 100 fois plus cher. Poussé par la forte demande des systèmes de télécommunications et par les projets de défense, le coût des technologies nécessaires à un réseau de lasers géant est divisé par 2 tous les 18 mois, selon Philip Lubin. Cette baisse exponentielle des coûts suggère que d’ici 10 ans, le prix des lasers pourrait passer de 10 dollars par watt à seulement 10 centimes. « Le projetBreakthrough Starshot consiste au fond à améliorer et à développer à une échelle bien plus grande des technologies critiques, en examinant ce qui permet ou empêche ce changement d'échelle », explique le physicien. « Si les prix ne bougent pas dans les 30 prochaines années, nous aurons de gros problèmes pour mener à bien ce projet. »

Selon Avi Loeb, il existe un autre obstacle, plus subtil, de l’ordre du phénomène social : le « facteur dérision », c’est-à-dire la tendance des gens à se moquer de concepts avant-gardistes. « Toute révolution scientifique ou technologique passe par une première phase durant laquelle elle est moquée, » développe Avi Loeb. « Parfois, la moquerie est issue de critiques valides, mais parfois elle n’existe que parce que le projet est différent et peut paraître étrange… Ce qui est sûr, c’est que la majeure partie de la communauté scientifique qui travaille sur des sujets dont on n'est pas censé se moquer – des sujets dont le facteur dérision est de zéro – font eux même une grande erreur en se moquant. » « Nous sommes sérieux, poursuit Avi Loeb. Nous découvrirons si, oui ou non, ce projet est réalisable et s’il ne l’est pas, nous l’admettrons et passerons à autre chose. »

Le rêve Centauri

Suivant la feuille de route modifiée de Philib Lubin, une grande partie des 100 millions de dollars de Yuri Milner serviront à financer le développement de solutions à une vingtaine d’obstacles techniques majeurs identifiés. Ces solutions pourraient ensuite donner naissance à un prototype, qui pourrait peut-être être construit pour quelques centaines de millions de dollars de plus. Du moment que les prix des technologies électroniques et photoniques continuent de baisser et que leurs performances continue d’augmenter, l’assemblage d’un système pleinement fonctionnel nécessiterait un financement de la même échelle que celui du Grand collisionneur de hadrons ou du télescope spatial James Web, c'est-à-dire plusieurs milliards de dollars – que Yuri Milner ne pourrait pas fournir seul. Les gouvernements ou bien des collectifs de philanthropes milliardaires pourraient alors participer. Avec Yuri Milner et Stephen Hawking, le troisième membre du conseil de direction de Breakthrough Starshot est d'ailleurs Mark Zuckerberg, le fondateur et président de Facebook.

« Cela doit être vu comme un effort collectif, parce que c’est seulement de cette façon que nous y arriverons », déclare Yuri Milner. « Il serait très excitant que nous y parvenions au cours de notre vie, comme nous l’espérons, mais si ce n’est pas le cas, nous transmettrons ce projet à la génération suivante – pas simplement comme une idée, mais comme une feuille de route et une technologie développées. Nous ne sommes pas à des centaines d’années d’accomplir cela, seulement à quelques décennies. Ces 100 millions de dollars ont pour objectif de servir pendant les prochaines années, pour permettre de se concentrer sur chaque obstacle que nous avons mis en lumière et de voir jusqu’où nous pouvons repousser la limite. »

En dehors du manque de matériel et de financement, l’une des craintes majeures des auteurs du projet était qu’aucune planète n’avait encore été observée dans le système Alpha Centauri à l’époque. Heureusement, une exoplanète vient d'être découverte en orbite autour de Proxima du Centaure,l’étoile la plus proche parmi les trois astres du système triple Alpha Centauri. Et quand bien même, selon Pete Worden, ancien directeur du centre de recherche Ames de la Nasa et directeur du projet Breakthrough Starshot, les nanosondes propulsées par laser pourraient aussi servir à plus long terme à explorer d'autres systèmes stellaires.

En plus de faire du voyage interstellaire une réalité, Breakthrough Starshot pourrait aussi avoir des applications plus directes pour nous, explique Peter Worden. Le réseau laser pourrait servir à détecter et à caractériser des astéroïdes potentiellement dangereux pour la Terre, et son réseau de miroirs déformables pourrait servir de télescope géant pour capter la lumière stellaire plutôt que de focaliser des lasers. Les lasers pourraient aussi propulser des sondes en direction des planètes de notre propre système solaire et envoyer des messions vers Mars en quelques heures ou vers Pluton en quelques jours pour quelques centaines de milliers de dollars par tir.

« Une fois que nous aurons lancé ces sondes et que nous aurons obtenu des images d'une planète orbitant autour d’une autre étoile, cela nous forcera à définire l'humanité comme un tout et ouvrira la voie à notre avenir commun, » pense Pete Worden. « C’est un projet qui, s'il fonctionne, nous amènera à repenser notre existence en tant qu’espèce mais aussi en tant qu’habitants d’une planète. »

Le lancement de Breakthrough Starshot permet déjà aux fondateurs desBreakthrough Initiatives de revoir leurs autres projets, tel que Breakthrough Listen. Si nous cherchons des planètes potentiellement habitables dans d’autres systèmes stellaires et utilisons des lasers pour y envoyer des flottilles de sondes miniaturisées les explorer, nous n’avons pas de raison de penser que nous sommes les seuls à le faire. Les sondes en elles-mêmes seraient invisibles : un vaisseau interstellaire de quelques grammes pénétrant la haute atmosphère terrestre à une vitesse de 20 % celle de la lumière dégagerait une énergie d’à peine une kilotonne, impossible à distinguer de celle des quelques météorites de l'ordre d’un mètre qui pénètrent notre atmosphère chaque année. L’un des lasers propulsant une telle sonde pourrait être détecté s’il achevait sa course dans l’un de nos télescopes les plus performants. La plus grande partie des efforts du projet Breakthrough Listen consiste à rechercher des signaux radios de communications extraterrestres, mais le projet s’intéresse aussi à tout potentiel signal lumineux en provenance de l’espace interstellaire.

Lors de la conférence annonçant le projet, Stephen Hawking a expliqué qu’il soutenait ce projet moins pour l'avancée scientifique que pour une question de survie. « La Terre est un endroit merveilleux, mais elle pourrait bien ne pas durer éternellement, » explique-t-il. « Tôt ou tard, nous devrons nous tourner vers les étoiles. Breakthrough Starshot est un premier pas prometteur sur cette route. »

Avi Loeb est du même avis : « Un jour, il faudra qu’on trouve une alternative à la vie sur Terre, et comme pour n’importe quel grand voyage, celui-ci doit commencer par un premier petit pas – on ne peut pas juste abandonner. Rappelez-vous ce que disait Oscar Wilde : " Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d’entre nous regardent les étoiles. ". Quand je regarde les étoiles, la nuit, elles ont l’air de petites lumières dans un grand vaisseau qui voyagerait à travers l’espace. Et à chaque fois je me pose la même question : y a-t-il d’autres passagers à bord de ce vaisseau, près de ces petites lumière ? Si ce projet se concrétise, nous pourrons leur rendre visite et découvrir la vérité.

Travis Walton (born February 10, 1953) is an American logger who was allegedly abducted by a UFO on November 5, 1975, while working with a logging crew in the Apache-Sitgreaves National Forest in Arizona. Walton could not be found, but reappeared after a five-day search.

The Walton case received mainstream publicity and remains one of the best-known instances of alleged alien abduction. UFO historian Jerome Clark writes that “Few abduction reports have generated as much controversy” as the Walton case. It is furthermore one of the very few alleged alien abduction cases with some corroborative eyewitnesses, and one of few alleged abduction cases where the time allegedly spent in the custody of aliens plays a rather minor role in the overall account.

UFO researchers Jenny Randles and Peter Houghe write that “Neither before or since has an abduction story begun in the manner related by Walton and his coworkers. Furthermore, the Walton case is singular in that the victim vanished for days on end with police squads out searching … it is an atypical ‘Close Encounter: Fourth Kind’ (CE4) … which bucks the trend so much that it worried some investigators; others defend it staunchly.

Background

The case began on Wednesday, November 5, 1975. Then 22 years old, Walton was employed by Mike Rogers, who had for nine years contracted with the United States Forest Service for various duties. Rogers and Walton were best friends; Walton dated Rogers’ sister Dana, whom he later married. Others on the crew were Ken Peterson, John Goulette, Steve Pierce, Allen Dallis and Dwayne Smith. They all lived in the town of Snowflake, Arizona.

Rogers was hired to thin out scrub brush and undergrowth from a large area (more than 1,200 acres) near Turkey Springs, Arizona. The job was the most lucrative contract Rogers had received from the Forest Service, but the job was behind schedule. As a result, they worked overtime to fulfill the contract, typically from 6 a.m. until sunset.

The Search

About 7:30 p.m., Peterson called police from Heber, Arizona, near Snowflake. Deputy Sheriff Chuck Ellison answered the telephone; Peterson initially reported only that one of a logging crew was missing. Ellison then met the crew at a shopping center. They related the tale to him — all the men distraught, two of them in tears — and though he was somewhat skeptical of the fantastic account, Ellison would later reflect “that if they were acting, they were awfully good at it.”

Ellison notified his superior — Sheriff Marlin Gillespie — who told Ellison to keep the crew in Heber until he could arrive with Officer Ken Coplan to interview the men. In less than an hour, Gillespie and Coplan arrived, and they heard the tale from the crew. Rogers insisted on returning to the scene immediately to search for Walton, with tracking dogs, if possible. No dogs were available, but the police and some of the crew returned to the scene. Crew members Smith, Pierce and Goulette were too upset to be of much help in a search, so they elected to return to Snowflake and relate the bad news to friends and family.

At the scene, the law enforcement officers became suspicious of the story related by the crew, mainly because there was nothing in the way of physical evidence to back up the account. Though more police and volunteers arrived to search the area, they found not a trace of Walton. Winter nights could be bitterly cold in the mountains, and Walton had worn only jeans, a denim jacket and a shirt; police were worried that Walton could fall victim to hypothermia if he were lost.

Rogers and Sheriff Coplan went to tell the news to Walton’s mother, Mary Walton Kellett, who lived on a small ranch at Bear Creek, some 10 miles (16 km) from Snowflake. Rogers told her what had happened, and she asked him to repeat the account. She then asked calmly if anyone other than the police and the eyewitnesses had heard the story. Coplan thought her reserved response was odd; this factor contributed to the growing suspicion among police that something other than a UFO was responsible for Walton’s absence. On the other hand, Clark noted that Kellett was known as being generally guarded, and had furthermore raised six children largely by herself under often trying circumstances, which “had long since taught her to not to fly to pieces in the face of crises and tragedies. Yet in the days ahead, as events overwhelmed her, she would show emotion before friends, acquaintances and strangers alike — a fact that would go unmentioned in debunking treatments of the Walton episode.”

About 3 a.m., Kellett telephoned Duane Walton, her second-oldest child. He left his home in Glendale, Arizona, and drove to Snowflake.

By morning on November 6, officials and volunteers had scoured the area around the scene where Walton went missing. No trace of him was discovered, and police suspicions were growing that the UFO tale was concocted to cover up an accident or homicide. Saturday morning, Rogers and Duane Walton arrived at Sheriff Gillespie’s office “explosively angry” because they had returned to the scene and found no police there. By that afternoon, police were searching for Walton with helicopters, horse-mounted officers, and jeeps.

National Enquirer story on Travis Walton. Jess Wells is one of the authors.

Publicity

By Saturday, word of Walton’s disappearance had spread internationally. News reporters, ufologists and the curious began travelling to Snowflake. Among the visitors was Fred Sylvanus, a Phoenix UFO investigator, who interviewed Rogers and Duane Walton on Saturday, November 8. While repeatedly expressing worry for Walton’s well-being (and criticizing what they saw as a halfhearted search effort by police), both men would make statements that would return to haunt them, when seized upon by critics.

On the recordings made by Sylvanus, Rogers noted that because of Walton’s disappearance and the subsequent search, he would be unable to complete his contract with the Forest Service, and he hoped the search for his missing friend would mitigate the situation. Duane Walton reported he and Walton were quite interested in UFOs, and that some twelve years earlier, Duane had witnessed a UFO similar to the one witnessed by the logging crew. Duane reported that he and Walton had both decided that if they had a chance, they would get as close as possible to any UFO they might see. Duane also suggested that Walton would not be injured by the aliens, because “they don’t harm people”. Without intending to do so, Rogers and Duane Walton had laid “the foundations for an alternative interpretation of the case” with their statements. Walton would later report that he never had a “keen” interest in UFOs, even after his supposed abduction, but the tape recorded statement of his brother Duane, while Walton was still missing, runs contrary to Walton’s statements.

Shortly after the Sylvanus interview, Snowflake town marshal Sanford Flake announced that the entire affair was a prank engineered by Duane and Travis. They had fooled the logging crew by lighting a balloon and “releasing it at the appropriate time”. Flake’s wife disagreed, suggesting that her husband’s story was “just as farfetched as Duane Walton’s”.

In the meantime, Police officers were making repeated visits to Kellett’s home; Duane once returned there to find her in tears as she was being questioned in her living room. Duane told the police to leave unless they had something new to relate, or to ask. Duane suggested that she speak with police only on the front porch, which would allow her to end the interview anytime she chose by simply going inside. She did exactly that after Marshal Flake arrived to relate a message, which Clark notes, contributed to the feeling among skeptics that Kellett was “hiding something. Or someone”.

Duane also spoke with William H. Spaulding of Ground Saucer Watch. Spaulding suggested that if Walton ever returned, GSW could provide a doctor to examine him in confidence.

Reward checks for the National Enquirer's Case of the Year

Polygraph

On Monday, November 10, all of Rogers’ remaining crew took polygraph examinations administered by Cy Gilson, an Arizona Department of Public Safety employee. His questions asked if any of the men caused harm to Walton (or knew who had caused Walton harm), if they knew where Walton’s body was buried, and if they told the truth about seeing a UFO. The men all denied harming Walton (or knowing who had harmed him), denied knowing where his body was, and insisted they had indeed seen a UFO.

Excepting Dallis (who had not completed his exam, thus rendering it invalid), Gilson concluded that all the men were truthful, and the exam results were conclusive. Clark quotes from Gilson’s official report: “These polygraph examinations prove that these five men did see some object they believed to be a UFO, and that Travis Walton was not injured or murdered by any of these men on that Wednesday”. If the UFO was fake, Gilson thought, “five of these men had no prior knowledge of it”.

Following the polygraph tests, Sheriff Gillespie announced that he accepted the UFO story, saying “There’s no doubt they’re telling the truth.”

In 2009, Walton was a participant on game show The Moment of Truth. When asked if he was abducted by a UFO in 1975, he responded, “Yes”, an answer which the polygraph examiner determined to be deceptive prior to taping. Walton, in response to this outcome, said that polygraphs are 97% accurate, even in the best of cases.

Walton in the news

By Tuesday afternoon, word of Walton’s return had leaked out to the public. Duane took a telephone call from Spaulding, and told Spaulding not to bother the family again. Clark writes that after this telephone call, “Spaulding became a sworn enemy in the case.”[3]:663

Among the other telephone calls after news of Walton’s return was one from Coral Lorenzen of Aerial Phenomena Research Organization (APRO), a civilian UFO research group. She promised Duane that she could arrange an examination for Walton by two medical doctors — general practitioner Joseph Saults and pediatrician Howard Kandell — at Duane’s home. Duane agreed, and the exam began at about 3:30 p.m. Tuesday.[3]:636

Clark writes that “between Lorenzen’s call and the physicians’ examination, another party would enter, and hugely complicate, the story”. Lorenzen was telephoned by an employee of the National Enquirer, an American tabloid newspaper known for its sensationalistic tone. The Enquirer employee promised to finance APRO’s investigation, in exchange for APRO’s “cooperation and access to the Waltons”. Since the Enquirer’s financial resources were far greater than APRO’s, Lorenzen agreed to the arrangement.

The medical examination revealed that Walton was essentially in good health, but they did note two unusual features:

A small red spot at the crease of Walton’s right elbow that was consistent with a hypodermic injection, but the doctors also noted that the spot was not near a vein.
Analysis of Walton’s urine revealed a lack of ketones. This was unusual, given that if Walton had indeed been gone for five days with little or no food as he insisted (and as his weight loss suggested), his body should have begun breaking down fats in order to survive, and this should have led to very high levels of ketone in his urine. Critics would argue this inconsistency is evidence against Walton’s story.
Walton would later speculate that he had gotten the mark on his elbow in the course of his logging work; critics would speculate that the mark showed where Walton (or someone else) had injected drugs into his system. Clark dismisses this possibility of drugging as most unlikely, given that the medical doctors found no sign of it, but he also notes that perhaps “more difficult to explain is the absence of bruises, which one might expect in the wake of Walton’s alleged beam-driven collision with the ground.

Walton in the UFO

In his survey of UFO abduction literature, Terry Matheson writes that “Walton’s experience stands out by virtue of its not being particularly bizarre as far as abduction accounts go.”

Walton reported that after approaching the UFO near the work site, the last thing he remembered was being struck by the beam of light. When he woke, Walton said he was on a reclined bed. A bright light shone above him, and the air was heavy and wet. He was in pain, and had some trouble breathing, but his first thought was that he was in a normal hospital.[citation needed]

As his faculties returned, Walton says he realized he was surrounded by three figures, each wearing a sort of orange jumpsuit. The figures were not human. Walton described the beings as typical of the so-called Greys which feature in some abduction accounts: “shorter than five feet, and they had bald heads, no hair. Their heads were domed, very large. They looked like fetuses […] They had large eyes — enormous eyes — almost all brown, without much white in them. The creepiest thing about them were those eyes … they just stared through me.” Their ears, noses and mouths “seemed real small, maybe just because their eyes were so huge.”

Walton related that he feared for his safety and got to his feet, and shouted at the creatures to stay away. He grabbed a glasslike cylinder from a nearby shelf and tried to break its tip to create a makeshift knife, but found the object unbreakable, so instead waved it at the creatures as a weapon. The trio of creatures left him in the room.[citation needed]

Matheson finds this portion of the narrative troublingly inconsistent, noting that “despite his ‘weakened’ condition, ‘aching body’ and ‘splitting pain in his skull’, maladies [sic] for which no cause is suggested, he has no trouble jumping up from his operating table, seizing a conveniently placed glasslike rod, and, assuming a karate ‘fighting stance’, frightened them with this display of macho aggression, enough at least to cause them to run away.”

Walton then left the “exam room” via a hallway, which led to a spherical room with only a high-backed chair placed in the centre of the room. Though he was afraid there might be someone seated in the chair, Walton says he walked towards it. As he did, lights began to appear in the room. The chair was empty, so Walton says he sat in it. When he did, the room was filled with lights, similar to stars projected on a round planetarium ceiling.[citation needed]

The chair was equipped on the left arm with a single short thick lever with an oddly shaped moulded handle atop some dark brown material. On the right arm, there was an illuminated, lime-green screen about five inches square with black lines intersected at all angles.

Aftermath

In 1978, Walton published The Walton Experience, in which he outlined his own narrative of the event and its aftermath. The same year, Bill Barry published The Ultimate Encounter, in which he argues that the various debunkers, especially Klass, did not make persuasive cases and that Walton and others alleging similar experiences related events more or less as they believed they had happened.

Matheson argues that Walton’s book makes a few fundamental errors that severely harm his case. While Walton “proclaims self-righteously” that he intends only to relate events and not “interpret” them, Matheson writes, “the reader will see almost immediately that large sections of the book are nothing more than highly speculative, purely imaginative recreations on his part”.For example, after he is knocked unconscious by the blue beam, Walton offers precise, novelistic dialogue describing the conversations of his fellow crew workers after they drove away in a panic. Yet Walton never mentions whether he is paraphrasing their words based on what they related to him, if he interviewed the others to determine who said what, or if he simply assumed what they said. Matheson argues that this represents a “lack of concern for literal accuracy that the reader cannot help but suspect is characteristic of the entire work”.

After the initial furor subsided, Walton remained in Snowflake and eventually became the foreman at a lumber mill; he married Dana Rogers and they had several children. Beyond the film based on his encounter, Walton has occasionally appeared at UFO conventions or on television specials.

Fire in the sky

In 1993, Walton’s book was adapted into a film, Fire in the Sky, directed by Robert Lieberman and starring D. B. Sweeney as Travis Walton, Robert Patrick as Mike Rogers and Scott MacDonald as Walton’s brother Dan Walton. Clark writes that the film found “Moderate success, mixed reviews, and ufologists’ complaints about its inaccuracies and exaggerations.”Especially inaccurate was the portion of the film detailing his time on the UFO; it bears almost no resemblance to the original narrative. Screenwriter Tracy Tormé even sent letters to many ufologists, claiming that the changes were requested by studio officials, and apologizing for making such substantial alterations to Walton’s narrative. (Randles and Hough, 188)

Walton and Mike Rogers made a few promotional appearances to support the film; they debated Klass on Larry King Live. At one point, Klass lost his temper and called Rogers a “goddamned liar.”In his book, Clark does not offer any background context to explain Klass’s remark on Larry King Live.

In the renewed publicity generated by the motion picture, Walton, Mike Rogers and Allen Dallis agreed to take polygraph examinations at the behest of “a skeptical ufologist, Jerry Black”.[3]:650 Again, the tests were conducted by Cy Gilson, and the men all asserted that the events as they related them were true. Gilson concluded that all three men were truthful in regard to their responses about the events of November 5, 1975.[citation needed]

At the time of the film’s release, Walton re-issued The Walton Experience under the same title as the film; expanding it to include text rebutting Klass’s commentary.

{ http://www.ufointernationalproject.com/ }