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05-06-2014
La NASA teste une soucoupe volante gonflable pour se poser sur Mars, 'Le Temps', Genève, 4.6.2014 - MAGONIE
La NASA teste une soucoupe volante gonflable pour se poser sur Mars, 'Le Temps', Genève, 4.6.2014 - MAGONIE
La NASA teste une soucoupe volante gonflable pour se poser sur Mars
> Espace Se poser sur la planète rouge n’est pas facile en raison de la mince atmosphère > La NASA évalue des techniques inédites pour y acheminer des charges lourdes, voire un jour des hommes
Olivier Dessibourg
Envoyer une mission habitée sur Mars dès 2030: c’est le plan souhaité par Barack Obama. Mais poser un engin spatial sur la planète rouge reste une affaire complexe et risquée – jusque-là, 19 des 38 projets dont c’était l’objectif ont connu l’échec. C’est pourquoi la NASA développe une technologie «révolutionnaire» et qu’elle va tester dès ce mercredi à Hawaii: une soucoupe volante entourée d’une bouée gonflable. De quoi accomplir les premiers pas vers la réalisation des ambitions martiennes du président américain.
Faire atterrir un vaisseau sur Mars s’avère difficile du simple fait de la minceur et de la faible densité de son atmosphère, cent fois moindre que sur la Terre. Cette infime couche ne permet ainsi pas de mettre à profit l’effet de freinage devant la résistance à l’air tel qu’il est utilisé sur notre planète afin de faire revenir une capsule spatiale. Ce d’autant que les sondes voyagent à des vitesses de l’ordre de 21 000 km/h! En fait, «la technique utilisée est la même depuis 1976 et les deux sondes Viking: utiliser des boucliers fixes [à lancer avec l’engin], et des parachutes», explique Ian Clark, le responsable de ce projet au Jet Propulsion Laboratory de la NASA. L’inconvénient majeur de cette méthode: elle ne permet d’acheminer vers Mars que des charges de l’ordre d’une tonne. «Or envoyer des missions habitées requerra des engins de 25, 30 voire 50 tonnes», dit Richard Heidmann, vice-président de l’Association planète Mars française et spécialiste des systèmes de propulsion. Il devient alors inimaginable de lancer, au sein de tels vaisseaux, des protections thermiques d’une taille assez grande pour rendre la descente sur Mars totalement sûre, le poids de ces dernières devenant alors ridiculement élevé.
La solution, les ingénieurs l’ont trouvée dans la mer, en observant le poisson-ballon (Arothron hispidus). Cette espèce présente dans les eaux de Hawaii peut, en se gonflant, augmenter son volume mais non sa masse. Les techniciens ont donc décidé d’équiper un bouclier thermique en forme de soucoupe d’une bouée qui se gonflerait dans l’espace, et augmenterait ainsi la surface opposée à la direction du mouvement, ce qui freinerait d’autant plus l’engin. «L’idée n’est pas nouvelle, analyse Richard Heidmann, mais elle reste ardue à concrétiser: il s’agit de mettre au point des matériaux qu’on peut gonfler mais qui résistent aux hautes températures lors de la pénétration dans l’atmosphère. Et aussi de s’assurer que cette structure se déploie sans problème.»
Les ingénieurs de la NASA pensent y être parvenus. Ils vont tester ces prochains jours, au large de Hawaii, de tels «décélérateurs aérodynamiques supersoniques gonflables». Et pour que ces essais soient riches d’enseignements, ils doivent le faire dans des conditions atmosphériques proches de celles qui règnent sur Mars. La «soucoupe volante» sera ainsi emmenée jusqu’à 37 km par un ballon stratosphérique, puis propulsée jusqu’à 55 km par un moteur-fusée, avec une vitesse de Mach 4 (soit quatre fois celle du son). A cette altitude, où les résidus d’air correspondent en densité à l’atmosphère martienne, l’engin sera libéré et se mettra à chuter librement. La bouée se gonflera, faisant passer sa vitesse à Mach 2. Puis se déploiera un gigantesque parachute de 33 m de diamètre, lui aussi inédit et impossible à tester dans une soufflerie, car il n’en existe pas d’assez volumineuse; cette deuxième manœuvre fera passer l’engin en vitesse subsonique. Durant toute l’expérience, moult capteurs mesureront divers paramètres.
Les ingénieurs vont tester deux modèles de bouées gonflables. La première d’un diamètre de 6 m. «Avec ce système, on devrait pouvoir envoyer sur Mars des charges jusqu’à trois tonnes», dit Ian Clark. Autre bénéfice de cette technologie: elle permettra d’une part de poser des engins à des altitudes de 2 à 3 km supérieures sur Mars, là où l’atmosphère est encore moins dense. D’autre part, la précision lors de l’atterrissage sera réduite de 10 à 3 km.
En 2015, la NASA prévoit aussi de tester un bouclier gonflable de 8 m de diamètre, pour des vaisseaux dépassant alors la dizaine de tonnes. «Le développement de nouvelles technologies est le plus court chemin vers Mars», a rappelé Michael Gazarik, administrateur associé pour les technologies spatiales à la NASA. Ces nouveautés pourraient être utilisées sur des missions robotisées martiennes dès 2020.
Oui, vous l’avez bien lu, l’installation militaire américaine en Alaska connue sous le nom de HAARP va fermer cet été. Quel bouc émissaire les conspirationnistes vont-ils bien trouver pour blâmer les anomalies climatiques maintenant, on se demande. Via io9.com:
Est-ce qu’un établissement qui a autant inspiré les théories du complot mondiales peut être désigné site du patrimoine mondial? Si c’est le cas, c’est peut-être la seule façon d’empêcher l’arrêt de l’activité du programme à haute fréquence, Auroral Research (HAARP) en Alaska, qui étudie l’ionosphère ou crée des ouragans mortels en fonction de qui vous parlez.
L’installation HAARP, un peu comme le Lawrence Livermore National Laboratory, est un étrange hybride de la science militaire et civile. Elle a été conçue au milieu des années 1980, mais s’est retrouvée sans mission claire au moment où la construction a commencé en 1993 et la guerre froide s’est terminée. Financé conjointement par l’Armée de l’Air, de la Marine, la DARPA et l’Université de l’Alaska, le principal instrument de l’installation (de $ 290 000 000) est un tableau de 180 dipôles croisés qui sont espacés sur une superficie d’environ 30 hectares. Collectivement, le réseau peut transmettre jusqu’à 3600 kW de puissance rayonnée, ce qui a permis aux scientifiques d’étudier la physique de base et la façon dont se comportent les particules chargées dans l’ionosphère, de 80 à 500 kilomètres au-dessus de la Terre.
Les objectifs officiels de HAARP sont d’« identifier, enquêter et, si possible … servir à améliorer l’avenir de commande DOD, de contrôle et des capacités de communication … Les domaines de recherche qui seront explorées incluent la production d’ondes très faibles et de basses fréquences extrêmes, la production d’irrégularités du champ géomagnétique aligné, l’accélération d’électrons, et l’étude des processus atmosphériques supérieures ». Mais, plus tôt ce mois-ci, l’armée a donné un avis officiel au Congrès de son intention de démanteler HAARP cet été. David Walker, le secrétaire adjoint de l’Armée de l’Air pour la science, la technologie et l’ingénierie, a dit que ce n’est « pas un domaine que dont avons besoin pour l’avenir » et que les fonds de recherche serait mieux dépensés ailleurs. « Nous allons passer à d’autres modes de gestion de l’ionosphère, » a expliqué Walker.
A Russian test launch of an intercontinental missile has failed, resulting in a white light seen over parts of Norway.
The submarine-based Bulava ballistic missile failed when launched from the White Sea, the Defence Ministry's press office told Itar-Tass news agency.
Russian newspapers had earlier reported the failure. At least six of 13 previous tests also ended in failure.
The Bulava can carry six individually targeted nuclear warheads.
It is designed to have a range of 10,000km (6,200 miles), but its repeated failures have caused embarrassment for Russia which hoped it would support its nuclear deterrent.
Spiral light
Russian media reported that on Wednesday's test the third stage engine failed.
It was fired from the Dmitry Donskoi submarine in the White Sea, the usual site for such missile tests by Russian submarines.
In Norway, a white spiral light was reported over the city of Tromso at the same time, with many people wondering if it was a UFO sighting or meteor.
In one of the recent tests a Bulava self-destructed after a malfunction during the first stage of its flight from the White Sea, Reuters news agency reported.
On the eve of the President of the United States, Barack Obama, receiving the Nobel Peace Prize in Oslo, Norway ... a remarkable, almost unbelievable appartition appeared over Norway's northern skies--
And no one ... really ... has a clue.
According to early news reports coming out of Norway, just hours ago ... a vast, rapidly expanding "spiral" suddenly appeared in the pre-dawn skies over its northern-most town, a fishing center called "Tromso" (above). Moments later, a corkscrewing "blue beam" seemed to emmanate from the exact center of the spiral toward the ground ....
Then, as rapidly as this "glowing spiral" and central "beam" appeared ... the bright core of this rapidly rotating spiral abruptly disappeared ... to be immediately replaced by what could only be described as --
A pitch black, rapidly enlarging circle (below) -- looking eerily like "an expanding black hole ..."
Within a few more hours, these extraordinary Norwegian videos and digital images were being picked up by other on-line news services, wire services and internet sites ... all over the world.
Another "indispensable wonder" of the 21st Century Internet ....
Initially, this visually spectacular event was thought by experts looking at those videos and images to be "just another Russian naval missile test"--
Until the Russian Navy denied it was responsible!
But then, in an abrupt public reversal, the Russian Defense Ministry suddenly claimed that this was, indeed, "a Russian rocket launch ...."
This belated (and 180-degree) lagging Russian "admission," unfortunately, has all the appearances of a hastily-ordered cover-up--
Of something "far more interesting" ....
The possible demonstration, on the literal eve of Obama's arrival in Oslo, of a blatantly public "Hyperdimensional/Torsion Physics technology" ... somehow, also connected to President's Obama's imminent acceptance of his Nobel Prize--
In conjunction with a carefully re-scheduled Russian missile test ....
Is it another "coincidence" that, just over the hill from Tromso, lies a high-tech Norwegian "HAARP antenna farm" -- the EISCAT Ramfjordmoen facility (below) -- specifically designed to broadcast powerful beams of microwave energy high into space ... thereby also creating blatant HD/torsion side-effects in the Earth's highly-electrified upper "plasma" atmosphere (ionosphere)? The facility is officially supported by Norway, Sweden, Finland, Japan ... China ... the United Kingdom ... and Germany.
A technology which -- with minor engineering effort -- could just as easily be turned into an almost unimaginable "torsion interferometry weapon" of mass destruction ... which, in a stroke, would usher in an even more terrifying "arms race" for the entire world ... if militarily deployed!?
Is this astounding apparition, in fact, a "Nobel message" to Obama ... as the most visible and currently powerful Peace Prize nominee in decades ... to alert him to the necessity of reining in these "even more horrific 'torsion weapons of mass destruction'"--
While there's still time?
A torsion weapons technology which -- if utilized inside the Earth's electrified atmosphere -- would appear justlike the mysterious "vortex appartition over Norway" ....
Les trous de ver, de nouveau un espoir pour des voyages interstellaires ?
Les trous de ver, de nouveau un espoir pour des voyages interstellaires ?
Selon le physicien Luke Butcher de l'université de Cambridge (Royaume-Uni), si l'on parvenait à créer un trou de ver macroscopique, il générerait de lui-même un effet Casimir capable de le maintenir ouvert pendant une longue période avant de se refermer. Ce n'est probablement pas le dernier rebondissement d'un débat qui dure depuis la fin des années 1980 sur la possibilité du voyage interstellaire à l'aide d'un trou de ver.
La théorie des trous de ver, sortes de ponts entre deux régions différentes de l’espace-temps au sein d'un même univers ou entre deux univers, a focalisé l’attention de nombreux physiciens de premier plan à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Stephen Hawking et ses collègues avaient alors obtenu des résultats remarquables sur la physique quantique des trous noirs en développant la gravitation quantique euclidienne. Il s’agissait d’une tentative pour combiner les lois de la relativité générale avec celles de la théorie quantique, un travail fortement inspiré et motivé par les succès remportés par la théorie quantique des champs de Yang-Mills, l’épine dorsale du modèle standard en physique des particules.
En 1987, fort de ces résultats et inspiré par la possibilité de résoudre avec la théorie de trou de ver de John Wheeler le paradoxe de l’information qu’il avait découvert avec les trous noirs, Stephen Hawking s’est mis à étudier l’impact de ces trous de ver en régime quantique sur le reste de la physique. Il en déduisit que le boson de Higgs devait soit être inobservable soit composite.
Sydney Colman et Leonard Susskind lui ont emboîté le pas en étudiant avec les trous de ver le problème de la valeur de l’énergie du vide quantique, c'est-à-dire celui de la valeur de la constante cosmologique. Il s’agissait toujours de comprendre pourquoi les calculs issus de la théorie quantique des champs étaient si fantastiquement en désaccord avec la valeur observée que l’on considérait comme probablement nulle à l’époque. Nous savons aujourd’hui qu’elle ne l’est pas, grâce à la découverte de l’énergie noire, mais le problème subsiste presque en l’état.
L'événement qui a le plus contribué à placer sur le devant de la scène la théorie des trous de ver est la publication d'un article par Kip Thorne et ses collègues en 1988. Les chercheurs y montraient que les équations de la théorie de la relativité générale contenait une solution décrivant un trou de ver macroscopique traversable maintenu ouvert par la présence d’un état du vide quantique analogue à celui que l’on peut induire par l’effet Casimir. Les solutions que l’on connaissaient auparavant, comme le trou de ver d’Einstein-Rosen, une sorte de goulot connectant deux feuillets d’espace-temps, contenaient en leur centre une singularité détruisant les voyageurs qui auraient eu l’imprudence d'y pénétrer. En clair, les lois de la physique semblaient autoriser les voyages dans le temps et dans l’espace de la science-fiction, comme dans 2001, l’Odyssée de l’espace d’Arthur Clarke ou Contact de Carl Sagan.
Les champs scalaires, l'effet Casimir et les trous de ver
Depuis lors, l’effervescence autour des trous de ver a largement cessé et les articles se répondent d’année en année pour expliquer pourquoi les trous de ver censément traversables ne le sont pas vraiment... avant que cette conclusion ne soit à nouveau contredite par une nouvelle contribution d’un physicien. À cet égard, l’article récemment mis en ligne sur arxiv par Luke Butcher en poste à l’université de Cambridge, là ou Michael Green a succédé à Stephen Hawking, ne fait pas exception. Mais comme le dit l’un des spécialistes les plus réputés de la théorie des trous de ver, Matt Visser, ce travail pourrait redonner un second souffle à cette théorie fascinante.
Butcher est parti de l’existence dans l’univers d’un champ scalaire macroscopique. On sait qu’il en existe au moins un, celui du boson de Brout-Englert-Higgs. Mais il pourrait en exister bien d’autres comme celui de l’inflaton si les résultats de Bicep2 devaient être confirmés par Planck ou une autre expérience. On peut aussi penser à celui des particules caméléons et plus généralement à tous les champs scalaires postulés pour rendre compte de l’énergie noire ou de l’unification des forces.
Selon les calculs du chercheurs, si la taille de l’ouverture d’un trou de ver est plus petite que sa longueur, point ne serait besoin de l’alimenter en énergie exotique négative pour le maintenir ouvert. Des problèmes graves surgissent en effet avec la théorie des trous de ver traversables. Il faudrait tout d'abord disposer des quantités d’énergie exotique faramineuses pour les ouvrir et les empêcher de se refermer. Enfin, ils sont probablement tellement instables qu’ils s'évanouiraient avant même que l’on puisse les traverser. Mais selon Butcher, si on arrivait à ouvrir un trou de ver, un champ scalaire le rendrait automatiquement suffisamment stable en générant un effet Casimir au moins pendant le temps nécessaire pour pouvoir envoyer à travers lui une impulsion lumineuse passant par le centre de son ouverture.
Des trous de ver fossiles ?
Le physicien incite tout de même à la prudence. Il ne sait pas encore vraiment si des objets plus gros qu’un simple paquet de photons pourraient voyager sans risque à travers le trou de ver. En tout état de cause, la possibilité de pouvoir, peut-être, envoyer des informations dans le passé avec des ondes lumineuses ne peut manquer de poser les problèmes de causalité bien connus, symbolisés par le paradoxe du grand-père.
Toutefois, sans parler de voyage dans le temps, les lois de la physique autorisent peut-être de simples voyages dans l’espace et on peut imaginer qu’il existe dans l’univers des trous de ver fossiles créés pendant les phases très primordiales de l’histoire du cosmos. Certains pensent qu’il pourrait s’agir de certains quasars et on se prépare à vérifier ces hypothèses avec RadioAstron. En tout état de cause, on ne sait toujours pas comment ouvrir un trou de ver. Le voyage interstellaire par ce moyen reste encore hors de portée.
Bon j’ai l’impression que les « spirales » n’avaient pas été traitées en détail sur la liste, c’est peut-être l’occasion de le faire puisqu’il y a des gens qui doutent de l’explication « astronautique ...
En effet vous l’avez évoquée, en signalant juste unevidéo du National Geographic :
War of the Worlds, Orson Welles, And The Invasion fromMars
The ability to confuse audiences en masse may have first become obvious as a result of one of the most infamous mistakes in history. It happened the day before Halloween, on Oct. 30, 1938, when millions of Americans tuned in to a popular radio program that featured plays directed by, and often starring, Orson Welles. The performance that evening was an adaptation of the science fiction novel The War of the Worlds, about a Martian invasion of the earth. But in adapting the book for a radio play, Welles made an important change: under his direction the play was written and performed so it would sound like a news broadcast about an invasion from Mars, a technique that, presumably, was intended to heighten the dramatic effect.
As the play unfolded, dance music was interrupted a number of times by fake news bulletins reporting that a "huge flaming object" had dropped on a farm near Grovers Mill, New Jersey. As members of the audience sat on the edge of their collective seat, actors playing news announcers, officials and other roles one would expect to hear in a news report, described the landing of an invasion force from Mars and the destruction of the United States. The broadcast also contained a number of explanations that it was all a radio play, but if members of the audience missed a brief explanation at the beginning, the next one didn't arrive until 40 minutes into the program.
At one point in the broadcast, an actor in a studio, playing a newscaster in the field, described the emergence of one of the aliens from its spacecraft. "Good heavens, something's wriggling out of the shadow like a gray snake," he said, in an appropriately dramatic tone of voice. "Now it's another one, and another. They look like tentacles to me. There, I can see the thing's body. It's large as a bear and it glistens like wet leather. But that face. It...it's indescribable. I can hardly force myself to keep looking at it. The eyes are black and gleam like a serpent. The mouth is V-shaped with saliva dripping from its rimless lips that seem to quiver and pulsate....The thing is raising up. The crowd falls back. They've seen enough. This is the most extraordinary experience. I can't find words. I'm pulling this microphone with me as I talk. I'll have to stop the description until I've taken a new position. Hold on, will you please, I'll be back in a minute."
As it listened to this simulation of a news broadcast, created with voice acting and sound effects, a portion of the audience concluded that it was hearing an actual news account of an invasion from Mars. People packed the roads, hid in cellars, loaded guns, even wrapped their heads in wet towels as protection from Martian poison gas, in an attempt to defend themselves against aliens, oblivious to the fact that they were acting out the role of the panic-stricken public that actually belonged in a radio play. Not unlike Stanislaw Lem's deluded populace, people were stuck in a kind of virtual world in which fiction was confused for fact.
News of the panic (which was conveyed via genuine news reports) quickly generated a national scandal. There were calls, which never went anywhere, for government regulations of broadcasting to ensure that a similar incident wouldn't happen again. The victims were also subjected to ridicule, a reaction that can commonly be found, today, when people are taken in by simulations. A cartoon in the New York World-Telegram, for example, portrayed a character who confuses the simulations of the entertainment industry with reality. In one box, the character is shown trying to stick his hand into the radio to shake hands with Amos n' Andy. In another, he reports to a police officer that there is "Black magic!!! There's a little wooden man -- Charlie McCarthy -- and he's actually talking!"
In a prescient column, in the New York Tribune, Dorothy Thompson foresaw that the broadcast revealed the way politicians could use the power of mass communications to create theatrical illusions, to manipulate the public.
"All unwittingly, Mr. Orson Welles and the Mercury Theater of the Air have made one of the most fascinating and important demonstrations of all time," she wrote. "They have proved that a few effective voices, accompanied by sound effects, can convince masses of people of a totally unreasonable, completely fantastic proposition as to create a nation-wide panic.
"They have demonstrated more potently than any argument, demonstrated beyond a question of a doubt, the appalling dangers and enormous effectiveness of popular and theatrical demagoguery....
"Hitler managed to scare all of Europe to its knees a month ago, but he at least had an army and an air force to back up his shrieking words.
"But Mr. Welles scared thousands into demoralization with nothing at all."
In the 1950s, America had another taste of the power that simulations have, to draw people into a world of delusional fantasy, when paired with mass communications. This time it was revealed that a number of television game shows were simulations, in which contestants who knew the answers ahead of time were pretending to guess at their responses. But unlike the invasion from Mars, here the fakery was unambiguously intentional; it was the work of producers who had concluded they could create fictional game shows that would be more exciting than the real thing.
Once again, there was a shocked reaction from the public. Once again, those involved became objects of public anger. And, as happened with the Orson Welles broadcast, an effort was made to ensure that such manipulations wouldn't recur.
But in 1990, it happened again. Audiences around the world discovered that they were taken in by the ultimate Hollywood illusion in which two performers faked their own talent, lip-syncing, to create the impression they were singing. What millions of fans had believed were two talented singers was actually a composite, another seamless interweaving of sensory simulations in which two people provided the visuals, while vocalists provided the audio.
As in the previous two instances, there was a stunned response. But unlike the experience of 1938 or even the 1950s, the social context was different because simulations had become commonplace, and attempts to use them to trick the public were the rule rather than the exception. Also by this time, a global culture had developed, which meant that tens of millions of people around the world were drawn into the same illusion.
One might say that War of the Worlds and the game show scandal foreshadowed the age of simulation that was still to come. Allowing for a little poetic overstatement, the Milli Vanilli scandal served as a rite of passage or symbolic marker, making clear that we now live in an age of simulation confusion in which our tendency to mistake fakes for what they imitate has become one of the characteristic problems of the age.
More to the point, we live in a time in which the ability to create deceptive simulations, especially for television, has become essential to the exercise of power. And the inability to see through these deceptions has become a form of powerlessness. Those who let themselves be taken in by the multiple deceptions of politics, news, advertising and public relations, are doomed, like the more gullible members of the radio audience in 1938, to play a role in other people's dramas, while mistakenly believing that they are reacting to something genuine.
Certains cercles céréaliers en forme de spirale évoqueraient justement ce phénomène de spirale électromagnétique , signe précurseur d'un déplacement des pôles.
À défaut d'autres théories pour expliquer ces spirales , celle-ci a au moins le mérite d'en sortir une , en en attendant une meilleure ...
Voilà quelques jours, Curiosity a foré son troisième trou sur la dalle de grès baptisée Windjana, que nous vous avions montrée. Aujourd'hui, découvrez en haute définition le panorama à 360° qui entoure cette dalle. Spectaculaire. Et c'est à un passionné que nous le devons.
Concernant Mars, la stratégie est de mettre en ligne la quasi-totalité des images brutes acquises par les sondes qui tournent autour de Mars ou les rovers qui gambadent sur sa surface. Ces images sont le plus souvent accompagnées des informations nécessaires pour les coloriser, les transformer en images anaglyphes ou les intégrer dans des panoramas. On se souvient que c’est un amateur, Bard Canning, qui a réalisé le film de l’atterrissage de Curiosity en haute définition. Il est parvenu à mettre bout à bout les images prises depuis le rover lors de son atterrissage sur Mars, le 6 août 2012, pour en faire un film si remarquable que la Nasa elle-même l’utilise dans sa communication. Même les communautés ufologiques et les adeptes des théories du complot en tout genre y trouvent leur compte. La recherche d’indices d’une forme de vie extraterrestre intelligente est ainsi grandement favorisée !
Les images de la Nasa pour une science à la portée de tous
Aujourd’hui, c’est un autre amateur qui se fait remarquer. Andrew Bodrov, photographe, a ainsi rassemblé près de 140 clichés acquis par Curiosity au cours d’une même journée pour réaliser un incroyable panorama autour du rover, qui illustre cet article. Ces images ont été acquises le 27 avril 2014 (sol 610) par la caméra Mastcam située sur le mât du rover.
Et le résultat vaut que l’on s’y attarde. La résolution est si fine que l’on peut voir de nombreux détails de la géologie du terrain comme les strates, les affleurements rocheux et autres roches de toutes formes, dont certaines sont rondes ! Un œil exercé remarquera même les différentes conditions de sédimentation.
Quant à Curiosity, il se situe près de la dalle de grès baptisée Windjana, où il vient de forer son troisième trou. Enfin, le rover apparaît étonnamment propre, très peu recouvert de poussière, et aucun équipement ou système apparent ne semble abîmé. Seule fausse note, les roues de Curiosity. Elles sont bien plus usées que prévu, mais leur état ne semble pas s’être aggravé depuis la découverte des premières perforations, en décembre 2013.
UN MESSAGE URGENT CONCERNANT LA PRÉSENCE EXTRATERRESTRE DANS LE MONDE AUJOURD’HUI…
Il y a plus de vingt ans, un groupe d’individus venus de plusieurs mondes différents s’assemblèrent en un endroit discret de notre système solaire, près de la Terre, dans le but d’observer les visites que nous font certains extraterrestres.
De leur poste d’observation caché, ils furent en mesure de déterminer l’identité, l’organisation et les intentions de ceux qui visitent notre monde et de surveiller leurs activités.
Ces observateurs s’identifient comme faisant partie des «Alliés de l’humanité».
Les Alliés nous ont livré leurs rapports successifs en 1998, en 2000 et en 2008. Ces rapports ont été publiés sous forme de trois livres, pour faire connaître le message des Alliés à notre monde…
Chacun de ces rapports contient une série d’exposés traitant de thèmes particuliers relatifs à la présence extraterrestre qui s’intensifie dans l’entourage de notre planète.
Prenez le temps de lire attentivement ce Message.
Il remettra certainement en cause vos conceptions et vos croyances sur ce qu’est la vie dans l’univers qui nous entoure. Mais si vous pouvez accepter cela et demeurer avec les questions que ce communiqué extraterrestre pose, plutôt que de chercher à y répondre trop vite, vous comprendrez progressivement que le Message des Alliés à l’humanité n’est ni un message de rêve, ni un message de désespoir : il appelle chacun à se réveiller, à prendre ses responsabilités, fussent-elles modestes, et à trouver sa véritable force, à cette époque charnière qui marque un seuil monumental pour la civilisation humaine : celui de son émergence dans la Grande Communauté, cet univers de vie intelligente dont nous avons toujours fait partie mais dont nous ne savons encore rien, et auquel nous devons à présent tous nous préparer.
Le message des Alliés de l’humanité a été transmis à Marshall Vian Summers, qui l’a depuis porté à la connaissance du monde. Ces Exposés sont à présent traduits dans de nombreuses langues et diffusés gratuitement, afin que chacun puisse se confronter à leur contenu, car c’est un message capital qui concerne chaque habitant de cette planète.
Durant les vingt-cinq dernières années, j’ai été immergé dans une expérience religieuse.
vaste ensemble d’écrits portant Cela m’a permis de recevoir un vaste ensemble d’enseignements sur la nature de notre spiritualité et sur la destinée de l’humanité au sein d’une plus grande diversité de vies intelligentes dans l’univers. Ces écrits, regroupés dans l’enseignement de la Voie de la Connaissance de la Grande Communauté, comportent un cadre théologique qui rend compte de la vie et de la présence de Dieu dans la Grande Communauté, la vaste étendue de l’espace et du temps que nous connaissons comme étant notre Univers.
La cosmologie que j’ai reçue comporte de nombreux messages, et l’un d’eux est que l’humanité est en train d’émerger au sein d’une Grande Communauté de vie intelligente, à laquelle nous devons nous préparer. Enchâssée dans ce message se trouve la compréhension que l’humanité n’est pas seule dans l’Univers, ou même seule dans son propre monde, et qu’au sein de cette Grande Communauté, l’humanité aura des amis, des compétiteurs et des adversaires.
Cette réalité élargie fut confirmée de manière spectaculaire par la transmission aussi soudaine qu’inattendue de la première série d’Exposés des Alliés de l’humanité en 1997. Trois ans auparavant, en 1994, j’avais reçu le cadre théologique pour comprendre les Exposés des Alliés dans mon livre La Spiritualité de la Grande Communauté – Une Nouvelle Révélation. A partir de ce moment, suite à mon travail et à mes écrits spirituels, je savais que l’humanité avait des alliés dans l’Univers qui se souciaient du bien-être et la liberté future de notre race.
Dans le cadre des données cosmologiques toujours plus élaborées qui m’étaient révélées ainsi que de l’histoire des vies intelligentes dans l’univers, j’apprenais que les races évoluées sur le plan de l’éthique étaient tenues de transmettre leur sagesse aux jeunes races émergentes telles que la nôtre. De plus, ce don devait s’accomplir SANS intervention directe ni ingérence dans les affaires de ces jeunes races.
L’intention des Alliés est de nous informer et non de s’immiscer dans nos affaires. Cet héritage de sagesse de la Grande Communauté fait partie d’une ancienne structure éthique relative aux contacts avec les races émergentes et à la gestion de ceux-ci. Les deux ensembles des comptes rendus des Alliés de l’humanité sont une démonstration claire de ce modèle de non-intervention et de contact éthique. Ce modèle devrait d’ailleurs nous servir de guide pour établir des protocoles auxquels nous devrions nous attendre de la part d’autres races dans leur tentative de nous contacter ou de visiter notre planète.
Malheureusement, l’intervention extraterrestre qui se produit sur Terre aujourd’hui est en totale contradiction avec une telle éthique.
L’humanité se place actuellement en position d’extrême vulnérabilité. Avec le spectre de l’épuisement des ressources naturelles, de la dégradation de l’environnement et du risque grandissant de voir chaque jour les liens de la famille humaine se fracturer davantage, nous devenons des proies de plus en plus faciles pour ces races.
Nous vivons sur une planète riche et précieuse, entretenant dans nos esprits une fausse perception d’isolement, alors que des êtres venus d’outre espace sont déjà là à convoiter nos ressources. Nous sommes éparpillés et divisés et nous ne voyons pas le grand péril qui se pointe chez nous.
Ce phénomène, à notre échelle humaine, s’est répété maintes et maintes fois au cours de notre histoire. C’est le cas, par exemple, du destin des tribus indigènes isolées et complètement perturbées lorsque, pour la première fois, elles vécurent une intervention des pays colonisateurs.
D’une part, nous sommes bêtement irréalistes dans les suppositions que nous entretenons sur les pouvoirs et la bienveillance des communautés de vies intelligentes dans l’univers alors que certaines pourraient s’avérer malveillantes. D’autre part, nous commençons à peine à entrevoir les conditions dangereuses que nous avons créées pour nous-mêmes, sur Terre.
Le fait que la famille humaine ne soit pas prête pour une expérience directe de contact extraterrestre et qu’elle ne soit certainement pas prête non plus pour une intervention de leur part me paraît impopulaire. Mais ne devrions-nous pas mettre de l’ordre dans nos affaires d’abord ?
Nous n’avons pas encore la maturité, ni l’unité, ni la force, ni le discernement nécessaires, en tant que peuple, pour entrer en relation avec d’autres races de la Grande Communauté. Jusqu’à ce que nous atteignions une telle maturité, si jamais nous y arrivons, aucune race ne devrait essayer d’intervenir directement sur Terre.
Les Alliés nous ont fourni la sagesse et la perspective cosmologique dont nous avions tant besoin. Toutefois, ils n’interviennent pas. Ils nous affirment que notre destin est, à juste titre, entre nos propres mains. Tel est le fardeau de la responsabilité liée à la liberté dans l’univers.
Cependant, notre manque de préparation ne change rien au fait que l’Intervention soit déjà en cours. L’humanité se doit de se préparer immédiatement pour cet événement charnière qui sera le plus lourd de conséquence de toute son histoire. Nous sommes tout un chacun au coeur même de ce phénomène grandiose et non de simples témoins fortuits. Cette intervention se produit déjà, que nous en soyons conscients ou non, et elle a le potentiel de changer l’avenir de l’humanité. Cet épisode de notre histoire nous ramène encore une fois aux grandes questions existentielles : « Qui sommes-nous ? » et « Pourquoi sommes-nous ici ? ».
La Voie de la Connaissance de la Grande Communauté nous a été offerte pour fournir à la fois l’enseignement et la préparation dont nous avons maintenant besoin pour faire face à cet important passage, pour raviver notre esprit et pour donner une nouvelle direction à la famille humaine. Elle parle du besoin urgent d’unité et de coopération entre les peuples de la Terre, de la primauté de la Connaissance, de notre profondeur spirituelle et des responsabilités plus importantes que nous devons maintenant endosser aux portes de la Grande Communauté. Elle représente le « Nouveau Message » de la part du Créateur de toutes vies.
Ma mission est de livrer à l’humanité ces données cosmologiques très précises et de lui communiquer les conditions nécessaires à la préparation pour ce grand passage ainsi qu’un nouvel espoir et une promesse d’avenir pour ces temps difficiles. Ma longue formation et l’immense enseignement de la Voie de la Connaissance de la Grande Communauté servent ce but. Les comptes rendus des Alliés de l’humanité ne sont qu’une infime partie d’une longue série de transmissions.
Le moment est maintenant venu de mettre fin à ces conflits incessants et de se préparer à la vie dans la Grande Communauté. Pour y arriver, nous avons besoin d’une nouvelle compréhension de nous-mêmes en tant que peuple unifié, natif de ce monde, issu de l’Unique Source, et de notre position vulnérable de jeune race en émergence dans la Grande Communauté.
Ceci constitue mon message pour l’humanité et ce pourquoi je suis venu.
Une étoile sur du Soleil identifiée par une équipe d'astronomes
Une étoile sœur du Soleil identifiée par une équipe d'astronomes
Recherchés depuis longtemps dans la Galaxie, les frères et sœurs du Soleil nés voici plus de 4,5 milliards d’années ont jusqu’ici échappé aux astronomes. Une équipe de chercheurs emmenée par Ivan Ramirez assure, cependant, avoir identifié un premier cas dans la constellation d’Hercule, à quelque 110 années-lumière de nous. Débusquer ces étoiles possédant une abondance de certains éléments chimiques identique à celle du Soleil peut nous éclairer sur la genèse de notre Système solaire, voire sur l’apparition de la vie.
Né voici plus de 4,5 milliards d’années au sein d’un vaste nuage moléculaire — vraisemblablement sous l’impulsion d’une supernova, probable génitrice baptisée Coatilcue comme la mère des dieux et déesse de la terre chez les Aztèques —, le Soleil ne fut naturellement pas la seule étoile à y voir le jour, à l’image de ce qui est observé ailleurs dans les nébuleuses de notre Galaxie. Désignés amas ouvert, ils sont nombreux dans la Voie lactée à essaimer parcimonieusement leur population de jeunes étoiles. Parmi les plus célèbres et visibles à l’oeil nu, on peut citer les Pléiades (M45), l’amas de Ptolémée (M7) ou de la Ruche (M44). Certaine de ces fratries ne comptent que quelques centaines d’étoiles, tandis que d’autres en arborent fièrement plusieurs milliers. À plus ou moins long terme, toutes les familles se désunissent. Un sort auquel, bien sûr, notre étoile (une naine jaune ) et tous ses frères et sœurs n’ont pas échappé.
L’amas Messier6 7(M67) — cas particulier d’amas ouvert dans la constellation du Cancer composé d’étoiles du même âge que le Soleil — a longtemps été suspecté d’abriter des congénères du Soleil. Mais de récents travaux réfutent cette hypothèse. Après des années de recherches, une équipe d’astrophysiciens apporte les preuves tangibles de l’identification d’une étoile qui serait issue du même nid que le Soleil.
Sur les traces des frères et des sœurs du Soleil
En quête des origines, les astronomes s’interrogent sur l’environnement dans lequel baignait notre jeune Soleil. Une période déterminante et très animée qui a d’abord vu naître rapidement les planètes, puis la vie apparaître à la surface de l’une d’elles. Pour Ivan Ramirez (université du Texas à Austin), astrophysicien sur les traces des étoiles issues du même nid que la nôtre, « nous voulons savoir où nous sommes nés », car « si nous pouvons comprendre dans quelle partie de la Galaxie le Soleil s’est formé, nous pouvons contraindre les conditions [qui régnaient] dans le Système solaire primitif. Cela pourrait nous aider à comprendre pourquoi nous sommes là ».
Par ailleurs, le chercheur n’exclut pas que ces congénères aient pu, eux aussi, connaître un destin comparable à celui de notre Système solaire. « Les frères et les sœurs du Soleil sont des candidats clés à la recherche de la vie extraterrestre . » En effet, combien de ces étoiles possèdent une ou plusieurs planètes habitables ? Y a-t-il eu des échanges entre les systèmes planétaires ? Des comètes ou météorites (parfois des morceaux arrachés à la Terre primitive) ont-elles migré d’un milieu à un autre ? Autant de questions en suspens qui intéressent les scientifiques.
Une sœur identifiée dans la constellation d’Hercule
Dans l’article à paraître dans la revue The Astrophysical Journal, l’équipe de chercheurs décline l’identité, émaillée de solides arguments, d’une étoile sœur de notre Soleil. Un premier cas débusqué dans la même province galactique que nous, à 110 années-lumière de distance. Cette recherche a nécessité des outils d’observation très sensibles, comme le spectroscope à haute résolution qui équipe le télescope Harlan J. Smith à l’observatoire McDonald (Texas). Sur les 30 candidates patiemment traquées (7 le furent dans le ciel austral avec le télescope Magellan à l’observatoire de Las Campanas, Chili), l’équipe n’en retient qu’une : HD 162826 (également HR 6669 ou SAO 47009). Observable dans une paire de jumelles en direction de l’un des bras de la constellation d’Hercule, l’étoile est décrite comme étant 15 % plus massive que le Soleil.
Pour mettre la main sur les frères de notre Soleil, charge revient aux astrophysiciens de retrouver une même abondance en éléments chimiques parmi les étoiles sélectionnées. Pour l’équipe qui signe la découverte, il est capital de « se concentrer sur certains éléments chimiques clés ». À cet égard, la variation des abondances de baryum et d’yttrium est considérée comme déterminante. Un facteur susceptible de trahir sa région d’origine, la localisation du nuage moléculaire (ou de ce qu'il en reste).
Par ailleurs, pour affiner les profils, il incombe aux chercheurs de déterminer Par ailleurs, pour affiner les profils, il incombe aux chercheurs de déterminer les routes qu’elles empruntent, leurs orbites dans la Galaxie. Aussi le satellite Gaia leur sera-t-il d’une aide précieuse dans un avenir proche pour débusquer et caractériser les mouvements de ces étoiles situées au-delà de notre voisinage (110 années-lumière de nous, cela reste assez proche), dans toutes les directions. Suivie durant 15 ans par les chasseurs d’exoplanètes, HD 162826 apparaît exempte de Jupiter chaudes, voire de planètes géantes. Mais les chercheurs estiment que cela n’enlève rien à la possibilité que des planètes rocheuses puissent y exister.
Même «les hommes verts au long nez et aux grandes oreilles, les Martiens» ont le droit d'être baptisés, a affirmé lundi le pape François, invitant les prêtres à ne pas mettre d'obstacles au baptême.
Les chrétiens ne peuvent «fermer la porte» à tous ceux qui frappent et leur refuser le baptême, même s'il s'agit d'hommes «verts, au long nez et aux grandes oreilles, comme les dessinent les enfants», a-t-il dit avec humour, selon ses propos qui sont rapportés par Radio Vatican.
Evoquant les réticences initiales de l'apôtre Pierre à baptiser les non-juifs, le pape a invité à ne pas mettre «d'obstacles» à l'action de Dieu.
«Si demain, par exemple, une expédition de Martiens arrivait et certains se présentaient chez nous (...), et si l'un d'entre eux disaient: Mais moi, je veux le baptême!, que se passerait-il?», a lancé le pape argentin.
Cette image vient s'ajouter aux «chauves-souris», «piments au vinaigre», «statues de musée», «baby-sitters», «chrétiens de pâtisserie»... Au fil des jours, un véritable florilège d'expressions et de formules dessine de manière colorée la pensée du nouveau pape.
Le pape s'est souvent prononcé pour que le baptême ne soit pas refusé, notamment à des enfants dont les parents se sont pas «en règle» avec l'Eglise, par exemple quand ils vivent maritalement.
Le pape reconnaît qu'il ne se ménage pas assez
Le pape François a reconnu lundi devant des prêtres qu'il n'était pas un modèle à suivre quant à l'organisation et la charge de travail et que se «fatiguer inconsidérément» pouvait finir par «se payer cher».
Le pape argentin, âgé de 77 ans, recevait des prêtres et des séminaristes en formation dans la grande salle Paul VI au Vatican, et leur a répondu sans notes pendant une heure et demie, avec verve et humour.
A un prêtre camerounais qui lui demandait comment concilier les multiples exigences d'une vie de prêtre, Jorge Bergoglio a évoqué en ironisant sur lui-même, l'emploi du temps rigoureux qu'il se fixait entre prières, messe, travail, petite sieste, déjeuner, dîner, pour aussitôt lui expliquer qu'il n'observait guère ces règles.
«Pas de sieste»
«On ne peut pas tout faire. Je me laisse entraîner par des exigences pas très prudentes. J'ai peur que si je ne fais pas telle chose aujourd'hui, je ne la ferai pas demain! Alors pas de sieste (....) et là il faut être vigilant», a estimé François.
«Vous dans les diocèses, il vous arrivera ce qui m'arrive à moi. Le travail, la prière, un peu de temps pour se reposer, sortir de la maison, marcher un peu, tout cela est important...Et vous devez veiller à vous fixer des règles».
Il est bon, a-t-il dit, de «finir la journée fatigué, pas d'avoir besoin de prendre des médicaments. Finir avec la fatigue mais avec une bonne fatigue, et non pas avec une fatigue excessive, parce que cela nuit à la santé, et à la longue, ça coûte cher».
«C'est l'idéal, mais je ne le fais pas toujours parce que je suis un pécheur moi aussi, je ne suis pas toujours discipliné», a-t-il admis.
Le pape François ne prend jamais de vraies vacances depuis qu'il a été élu pape en mars 2013. Il reçoit et rencontre énormément de monde. Vigoureux, énergique, mais à la santé fragile notamment sur le plan pulmonaire, il se lève avant cinq heures du matin et se couche tôt. A certains observateurs, il semble un homme pressé, comme s'il savait qu'il n'avait pas beaucoup d'années devant lui pour réformer l'Eglise.
Un robot sous-marin américain devait reprendre samedi 10 mai ses recherches de l'épave du vol MH370 disparu en mars. Le navire austalien Ocean-Shield, qui transporte le mini-sous-marin Bluefin-21, avait regagné Perth pour se ravitailler, afin de retourner dans la zone de recherche, à des centaines de kilomètres des côtes occidentales de l'Australie.
Le Bluefin-21 avait été proposé par les Américains pour prendre le relais, en sous-marin, après l'abandon à la fin avril des recherches par navires et avions. Il avait alors été immergé à l'endroit où un sonar hydrophone avait repéré des ultrasons provenant vraisemblablement des boîtes noires du Boeing, sans être cependant capable de localiser l'épave, et poursuivait les recherches depuis.
Le Boeing 777 de Malaysia Airlines, parti de Kuala Lumpur pour rejoindre Pékin, avait disparu le 8 mars avec 239 personnes à bord, dont une majorité de Chinois. Au fil des informations éparses arrivant peu à peu dans les jours suivant la disparition, les autorités en étaient arrivées à la conclusion que l'avion s'était complètement détourné de son plan de vol et s'était abîmé dans l'océan Indien.
Des recherches sous-marines plus intenses devraient débuter dans les semaines à venir, dès que seront disponibles les nouveaux équipements d'exploration sous-marine plus sophistiqués pour lesquels l'Australie — qui mène les recherches puisqu'il semble que l'avion soit tombé au large de ses côtes —, la Malaisie et la Chine ont conjointement lancé des appels d'offres. Ces équipements devraient permettre de descendre jusqu'à 4 500 mètres de profondeur.
Out of Our Heads. Why you are not your brain, and other lessons from the biology of consciousness Alva Noë, Hill and Wang, 2009, 216 p., 25 $
Thomas Lepeltier
Où siège donc l’esprit ? De Descartes aux neuroscientifiques modernes, on retrouve régulièrement la même réponse : dans le cerveau. D’où l’idée actuellement très répandue que pour comprendre les états de conscience (sensation, perception, réflexion, etc.), il suffirait d’étudier la configuration et la dynamique du cerveau. C’est d’ailleurs cet organe qui définirait notre identité. Contre cette idée, Alva Noë défend dans ce livre la thèse que la conscience n’est pas une chose qui réside en nous : c’est une manière d’être dans le monde. Ainsi, selon ce philosophe, nous ne sommes pas notre cerveau. Nous sommes des êtres vivants, avec certes un cerveau mais aussi un corps, connectés à un environnement. Du coup, on ne pourrait expliquer la conscience comme on explique la digestion. Pour illustrer sa thèse, A. Noë propose plusieurs analogies. Par exemple, contre la tentation de réduire la vie aux processus chimiques ou métaboliques présents dans les organismes vivants, il objecte que la vie est un processus d’interactions particulier qu’entretient un organisme avec son environnement. Autre exemple : qu’est-ce qui fait qu’un morceau de papier représente « un dollar » ? Là encore, il serait vain de chercher la réponse uniquement dans la constitution physique de ce bout de papier. Sa valeur monétaire dépend certes de cette constitution mais provient avant tout du rapport qu’il entretient avec un ensemble de conventions et d’institutions qui lui sont extérieures. Il en irait de même pour la conscience. Comment peut-on encore croire qu’elle réside dans le cerveau ?
Cette thèse de l’extériorité de la conscience n’est pas nouvelle. Mais A. Noë a le mérite de l’exposer avec clarté et, surtout, de montrer comment de nombreuses expériences en psychologie expérimentale et en neurobiologie ne semblent avoir de sens que si l’on regarde au-delà de la seule activité neuronale. Par là même, A. Noë lance un défi aux neurosciences qui laissent entendre depuis des années que les progrès considérables dans les techniques d’observation du cerveau et dans la connaissance des mécanismes cérébraux vont bientôt permettre de comprendre le fonctionnement de la conscience. Gageons que les scientifiques portés par cette ambition seront tentés de lui adresser des critiques.
Indépendamment de ces éventuelles querelles de spécialistes, la plus grave objection à laquelle doit faire face A. Noë provient probablement de l’expérience du rêve. Si ma conscience n’est pas dans mon cerveau, mais est mon mode d’être au monde, comment expliquer que dans mes rêves, où je suis coupé du monde, j’ai apparemment les mêmes états de conscience que lorsque je n’en suis pas coupé ? Cela ne prouve-t-il pas que mes états de conscience sont internes à mon cerveau ? A. Noë a bien sûr anticipé cet argument classique. Il le récuse en soulignant entre autres qu’une expérience dans un rêve n’est jamais identique à celle que l’on fait en état d’éveil : la seconde, contrairement à la première, est répétable. Cette différence tiendrait au fait qu’une expérience en état d’éveil est en prise directe avec le monde, qui est plus stable que nos états internes. Soit, mais A. Noë ne dit pas de quoi l’expérience du rêve est l’expérience.
Alors ? La conscience est-elle interne ou externe à notre cerveau ? La réponse n’est pas si simple. Une chose est sûre. Il ne faut pas hésiter à sortir certaines idées reçues de sa tête pour aller lire ce livre très stimulant.
The search for the ill-fated Malaysian Airlines Flight 370 continues, but to no avail, mysteries still hover over the disappearance of the jet-passenger along with the 239 people on board. More than a month since it vanished, a new theory has emerged that would surely trigger debates about the existence of unidentified flying objects.
Reuters Maritime Warfare Officer, Sub Lieutenant Officer Samuel Archibald, looks through binoculars on the bridge of the Australian Navy ship HMAS Perth in the southern Indian Ocean, during the search for the missing Malaysian Airlines flight MH370, in this picture released by the Australian Defence Force on April 8, 2014. REUTERS/Australian Defence Force/Handout
Reason.com conducted a poll in the United States and found out that five percent of their respondents believed Flight 370 was abducted by aliens. Several bloggers also indicated a number of UFO sightings around Malaysia before the plane's disappearance.
Alexandra Bruce provided vital information on Forbidden Knowledge TV that would back up the alien abduction theory. According to her report, there were two 'distinct anomalies' spotted on the radar (Flight Radar 24) before it went missing.
"Seeing the radar playback of the moments leading up to the plane's disappearance, one may forgive Malaysia Airlines for not being more forward, in this case - because the radar playback is not only baffling, it shows two distinct anomalies, as pointed out by Intrepid citizen-reporter and YouTube popstar, DAHBOO7.
The radar playback depicts dozens of planes in flight over the region at the time. The first peculiarity is seen in the lower left of the screen. A round object appears in the vicinity of Flight 370 (and amid several others), which the radar does not automatically "read" as airplane. Suddenly, this round object take the form of a "plane" on the radar screen and accelerates at a rate of speed that must be at least five times the speed of the surrounding planes, heading eastward, over the South China Sea - and just as suddenly the object stops and appears to hover in place."
UFO blogger also documented a confirmation by Malaysian air force chief Rodzali Daud that military radar received signal from an unidentified flying objects near the location where MH370 reportedly vanished.
"Malaysia's air force chief, Rodzali Daud, said military radar detected an UFO in an area in the northern Malacca Strait at 2:15 a.m. local time on Saturday about an hour after the plane vanished from air traffic control screens," UFO blogger reported.
Search and recovery operation has been ongoing for more than a month, but the mission hasn't gained a significant breakthrough up to now.
Selon un article de l'édition australienne de l'International Business Times (une publication de l'Establishment s'il en est), le chef de l'Armée de l'Air malaysienne aurait confirmé la présence d'un objet non identifié (aux caractéristiques de vol surprenantes) à proximité du vol MH370: http://au.ibtimes.com/articles/549105/20140423/mh370-malaysian-airlines.htm
Pour un américain sur dix, MH370 a été enlevé par des OVNI
Pour un américain sur dix, MH370 a été enlevé par des OVNI
Washington (District de Columbia/USA) - C'est une statistiques plutôt étonnante, voir même inquiétante, qui ressort d'un récente enquête faite par CNN au sujet de la disparition du vol MH370 et qui semble indiquer que près d'un américain sur dix (9%), parmi ceux interrogés, est convaincu que les extra-terrestres sont impliqués dans la disparition du vol MH370 de la compagnie aérienne Malaysia Airlines ou que l'appareil aurait franchi les portes d'une autre dimension.
Le sondage effectué de posait pas directement la question mais a demandé à un échantillon de 1.000 personnes leurs sentiments sur cette disparition et leur vision des choses. A 87%, ils pensent qu'il n'y a pas de survivants, 57% y voient un acte terroriste et 42% l'intervention de pirate de l'air. Une moitié est convaincu que l'on ne saura jamais rien et seulement 26% trouvent que le gouvernement malaisien a fait du bon travail et bien géré les diverses phases des recherches. Mais le résultat le plus surprenant fut que 9% des personnes interrogées ont expliqué cette disparition par l'intervention des extra-terrestres ou l'ouverture d'une porte spatio-temporelle qui aurait 'aspiré' l'avion et tous ses occupants.
Ce n'est pas la première fois que les américains aperçoivent la main des 'petits hommes verts' pour expliquer l'inexplicable et ce n'est pas la mise en ligne récente d'une vidéo montrant l'intervention d'une soucoupe volante, en mars dernier, en Afghanistan, dans le district Asadabad, où l'on «voit» une sorte d'engin spatial attaquer une position talibane et la détruire avec de mystérieux rayons de la mort, qui va les faire changer de façon de penser. Venir de la galaxie de Pégase après un voyage de plusieurs millions de parsecs pour bombarder un camp de talibans mérite bien la Médaille du Congrès pour le commandant de la soucoupe.
Voici quelques épisodes d'une série de documentaires réalisés par David Berry, Ned Parker, Gerry Pomeroy et qui nous montrent des découvertes faites par divers chercheurs ou leurs quêtes des légendes connues ou non...
Chasseurs de légendes 1 [ La cité perdue d'El Dorado ]
En 1911, l'historien américain Hiram Bingham, fasciné par la civilisation inca, se rend au Pérou dans le but de découvrir de nouveaux vestiges. Suivant les indications d'un fermier qui évoque la présence de fabuleuses ruines, il découvre le site de Machu Picchu, bâti au XVe siècle. Les colons espagnols avaient cherché en vain pendant presque quatre siècles ce lieu sacré, gigantesque tombe de l'Inca Pachacútec, qui régna de 1438 à 1471.
Chasseurs de légendes 2 - Le Saint Graal
Le chef de la SS Heinrich Himmler était féru de mysticisme. Otto Rahn, un aventurier, l'a mis sur la piste du Saint Graal, la coupe que Jésus aurait portée à ses lèvres lors de la cène, réputé procurer la vie éternelle. En se basant sur le poème épique «Parzifal», écrit en 1205 par Wolfram von Eschenbach, Otto Rahn a déterminé que le Graal ne pouvait être conservé qu'à Montségur, la forteresse cathare. Himmler a donc financé, en vain, les recherches de Rahn.
Chasseurs de légendes [ A la recherche du livre de Thot ]
Selon la légende, un livre, rédigé par le dieu égyptien Thot en personne il y a cinq millénaires, offrirait d'incroyables pouvoirs au lecteur capable d'en déchiffrer les formules magiques. En Grèce, au IV ème siècle avant Jésus-Christ, une nouvelle version de ce livre, le " Corpus Hermaticum ", aurait été mise au point par le dieu Hermès. Aujourd'hui encore, si de nombreux historiens pensent qu'il n'a jamais existé, la légende du livre de Thot continue de fasciner.
Chasseurs de légendes [ Le mythe aryen ]
En 1924, lors d'un voyage en train, Heinrich Himmler se plonge dans une lecture qui va changer le destin de l'Allemagne. Dans " La Germanie ", écrit près de 2000 ans auparavant, Tacite y décrit les Germains - prétendument descendants des Aryens -, comme un peuple chaste, honorable et courageux. Lorsqu'il devient chef de la SS en 1929, Himmler forme ses troupes à l'image de cette race qu'il considère supérieure, et caresse le projet d'étendre ce mode de vie et ces valeurs à l'ensemble du peuple allemand. Mais la possession du manuscrit original de Tacite lui échappe en vain.
D'autres émissions suivront suivant disponibilités.
USA:une série d'observations d'OVNI près de la centrale nucléaire de McGuire
USA:une série d'observations d'OVNI près de la centrale nucléaire de McGuire
Date of sighting: Mid april 2014
Location of sighting: Mecklenburg Nuclear Plant, North Carolina, USA
Fox 46 Carolinas News Source:http://www.myfoxcarolinas.com/story/25408671/a-series-of-ufo-sightings-over-mecklenburg-nuclear-power-plant
UFOs that visit nuclear plants are usually there to look them over, much how a UN inspector might go over the plant for leaks, cracks, and other safety issues. Aliens are very interested in our most used power source and how we deal with the dangers of that radioactive source. Their technology can detect cracks, glitches in computer programs and other possible systems that could fail and cause a disaster. Mostly they record the info for their studies. They are not there to fix them. SCW
News States:
There has been a series of UFO sightings near the McGuire Nuclear Power Station in Mecklenburg County.
Todd Slingerland of Cornelius has been capturing video of the object that he says has been hovering above the plant almost every night since mid-April.
Space Cowboy, Riley Martin phoned in with some explanation about the phenomenon. He claims he has been abducted by aliens four times.
"To my knowledge there are something like 49 different species of aliens that have been here and are here," says Riley.
Beste bezoeker, Heb je zelf al ooit een vreemde waarneming gedaan, laat dit dan even weten via email aan Frederick Delaere opwww.ufomeldpunt.be. Deze onderzoekers behandelen jouw melding in volledige anonimiteit en met alle respect voor jouw privacy. Ze zijn kritisch, objectief maar open minded aangelegd en zullen jou steeds een verklaring geven voor jouw waarneming! DUS AARZEL NIET, ALS JE EEN ANTWOORD OP JOUW VRAGEN WENST, CONTACTEER FREDERICK. BIJ VOORBAAT DANK...
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Over mijzelf
Ik ben Pieter, en gebruik soms ook wel de schuilnaam Peter2011.
Ik ben een man en woon in Linter (België) en mijn beroep is Ik ben op rust..
Ik ben geboren op 18/10/1950 en ben nu dus 73 jaar jong.
Mijn hobby's zijn: Ufologie en andere esoterische onderwerpen.
Op deze blog vind je onder artikels, werk van mezelf. Mijn dank gaat ook naar André, Ingrid, Oliver, Paul, Vincent, Georges Filer en MUFON voor de bijdragen voor de verschillende categorieën...
Veel leesplezier en geef je mening over deze blog.