Dit is ons nieuw hondje Kira, een kruising van een waterhond en een Podenko. Ze is sinds 7 februari 2024 bij ons en druk bezig ons hart te veroveren. Het is een lief, aanhankelijk hondje, dat zich op een week snel aan ons heeft aangepast. Ze is heel vinnig en nieuwsgierig, een heel ander hondje dan Noleke.
This is our new dog Kira, a cross between a water dog and a Podenko. She has been with us since February 7, 2024 and is busy winning our hearts. She is a sweet, affectionate dog who quickly adapted to us within a week. She is very quick and curious, a very different dog than Noleke.
DEAR VISITOR,
MY BLOG EXISTS ALREADY 13 YEARS AND 2 MONTH.
ON 06/08/2024 MORE THAN 2.161.100
VISITORS FROM 135 DIFFERENT NATIONS ALREADY FOUND THEIR WAY TO MY BLOG.
THAT IS AN AVERAGE OF 400GUESTS PER DAY.
THANK YOU FOR VISITING MY BLOG AND HOPE YOU ENJOY EACH TIME.
The purpose of this blog is the creation of an open, international, independent and free forum, where every UFO-researcher can publish the results of his/her research. The languagues, used for this blog, are Dutch, English and French.You can find the articles of a collegue by selecting his category. Each author stays resposable for the continue of his articles. As blogmaster I have the right to refuse an addition or an article, when it attacks other collegues or UFO-groupes.
Druk op onderstaande knop om te reageren in mijn forum
Zoeken in blog
Deze blog is opgedragen aan mijn overleden echtgenote Lucienne.
In 2012 verloor ze haar moedige strijd tegen kanker!
In 2011 startte ik deze blog, omdat ik niet mocht stoppen met mijn UFO-onderzoek.
BEDANKT!!!
Een interessant adres?
UFO'S of UAP'S, ASTRONOMIE, RUIMTEVAART, ARCHEOLOGIE, OUDHEIDKUNDE, SF-SNUFJES EN ANDERE ESOTERISCHE WETENSCHAPPEN - DE ALLERLAATSTE NIEUWTJES
UFO's of UAP'S in België en de rest van de wereld In België had je vooral BUFON of het Belgisch UFO-Netwerk, dat zich met UFO's bezighoudt. BEZOEK DUS ZEKER VOOR ALLE OBJECTIEVE INFORMATIE , enkel nog beschikbaar via Facebook en deze blog.
Verder heb je ook het Belgisch-Ufo-meldpunt en Caelestia, die prachtig, doch ZEER kritisch werk leveren, ja soms zelfs héél sceptisch...
Voor Nederland kan je de mooie site www.ufowijzer.nl bezoeken van Paul Harmans. Een mooie site met veel informatie en artikels.
MUFON of het Mutual UFO Network Inc is een Amerikaanse UFO-vereniging met afdelingen in alle USA-staten en diverse landen.
MUFON's mission is the analytical and scientific investigation of the UFO- Phenomenon for the benefit of humanity...
Je kan ook hun site bekijken onder www.mufon.com.
Ze geven een maandelijks tijdschrift uit, namelijk The MUFON UFO-Journal.
Since 02/01/2020 is Pieter ex-president (=voorzitter) of BUFON, but also ex-National Director MUFON / Flanders and the Netherlands. We work together with the French MUFON Reseau MUFON/EUROP.
ER IS EEN NIEUWE GROEPERING DIE ZICH BUFON NOEMT, MAAR DIE HEBBEN NIETS MET ONZE GROEP TE MAKEN. DEZE COLLEGA'S GEBRUIKEN DE NAAM BUFON VOOR HUN SITE... Ik wens hen veel succes met de verdere uitbouw van hun groep. Zij kunnen de naam BUFON wel geregistreerd hebben, maar het rijke verleden van BUFON kunnen ze niet wegnemen...
07-08-2013
Roswell-Rencontre du Premier Mythe
Quelle autre rumeur ? Il n'y avait pas d'essais de fusées à Roswell.
Ici:
http://ovnis-direct.com/roswell.html "Le
7 avril 1978, Steve Tom, présentateur radio, et Leonard H.Stringfield,
téléphonèrent à Jesse Marcel afin d'avoir des détails sur un OVNI écrasé à
Roswell en 1947. Marcel leur indiqua que des débris métalliques, ainsi que ce
qui ressemblait à du parchemin, furent ratissés par l'armée. " Les fragments
métalliques avaient l'épaisseur d'une feuille de papier d'étain. Ils avaient
néanmoins une grande robustesse. Ils ne pouvaient pas être pliés ni brisés. "
Marcel souligna : " Le secteur fut passé au peigne fin, mais aucune trace
d'impact dans le sable ne fut découverte. "
Quand la presse fut mise au
courant et demanda des explications, Jesse Marcel déclara à Steve Tom et Leonard
H. Stringfield : " Afin de m'en débarrasser, je dis aux journalistes que nous
avons récupéré les restes d'un ballon météo qui était tombé comme une pierre
avec tout le matériel qu'il transportait. "
Durant le 9ème symposium
annuel du MUFON à Dayton, Léonard H. Stringfield indiqua le 29 juillet 1978 : "
Le major ne sut préciser s'il s'agissait oui ou non d'un appareil à la
technologie terrestre. S'il y avait des occupants à bord de cet engin, aucune
preuve ne fut trouvée à ce sujet. L'incident ressemblé fort à une explosion en
cours de vol. S'il y eut des passagers dans l'engin, nous pouvons supposer
qu'ils furent réduits en miettes par cette destruction aérienne.
"
William Moore qui écrivit " The Roswell Incident " en 1980 avec Charles
Berlitz interrogea Jesse Marcel au sujet de la photo le montrant avec les restes
d'un ballon météo. La réponse que Marcel lui fit, fut limpide et désarmante.
Elle mérite donc d'être citée : " Ils prirent une photo de moi accroupi tenant
des débris les moins intéressants. Les trucs sur cette photo sont les morceaux
des vrais débris que nous avons découverts. Il ne s'agit pas d'un montage.
" Ce texte a été publié dans le MUFON UFO journal. On peut le trouver
également sans Anomalie N°4 d'octobre 1998.
A l'origine, le 7 avril 1978
Jesse Marcel n'évoque pas de récupération de cadavres alors qu'on ne cesse d'en
parler aujourd'hui.
Kent Jeffrey, du Roswell International Initiative,
donne en 1997 une explication à ce sujet. " Le répétition de plusieurs
témoignages dans les médias avait tout simplement fini par les rendre crédibles
aux yeux du public. "
Un petit texte publié en 1982, démontre que le
scepticisme s'installa au cur de la communauté ufologique internationale après
une exhumation tapageuse et des déclarations satiriques, mordantes et incisives
: " La version soucoupe volante ne résiste pas à l'analyse. Ses partisans ne
disposent d'aucune preuve solide. On sait que le 3 juillet, on procéda aux
premiers essais d'une fusée V-2 et de ballons en polyéthylène. Tout ne marcha
sans doute pas comme prévu et la fusée (ou le ballon) s'écrasa dans le désert.
Ce qui expliquerait qu'on ait essayé de détourner l'attention du public après la
déclaration " inconsidérée " du Lieutenant Walter Haut. "
Jena Claude
Sidoun écrit dans " Ovnis, Guerre froide " le grand jeu " " en 2005 : " Sachant
que le 3 Juillet 1947, on procéda aux essais de lancement d'une fusée V2 et
qu'un ballon en polyéthylène fut lâché depuis White Sands, la raison nous incite
à penser que ce possible crash résume à lui seul, ce qui aurait pu n'être qu'un
simple et banal incident, s'il n'avait mis en danger les habitants de cette
région déjà passablement éprouvée par l'apparition répétée de disques volants
sillonnant, en toute impunité, l'espace aérien de cette infrastructure
militaire. "
On a aujourd'hui pas la moindre trace d'un soi-disant
artefact qui nous laisserez supposer que ce qui s'est crashé à Roswell était
d'origine ET. Il s'agirait selon les septiques d'un crash d'une fusée
V2.
Sources : Propos de Jean Claude Sidoun lors du repas ufologique de
Lyon du 28 septembre 2009." de H.
Réaction de J:
D'abord, les
tests de V2 avaient lieu sur le terrain d'essais de White Sands (complexe de
lancement n° 33) qui se trouve approx. à 200 km à l'ouest de
Roswell. Ensuite il n'y a pas eu de test entre
le 29 Mai et le 10 Juillet 47, comme l'indique le
tableau ci-dessous (extrait).
Hermes II prototype with dummy
Organ ramjet test. Lost control after 4s and crashed outside range near Juarez,
Mexico.
29
10 July 1947
White Sands
Pad 33
16.25
Early yaw led to termination at
32s.
30
29 July 1947
White Sands
Pad 33
160.7
Near vertical
trajectory.
28
6 September
1947
USS Midway
1.5
Operation Sandy. Aircraft
carrier launch successful. Exploded at 1524 m
27
9 October 1947
White Sands
Pad 33
156.1
Internal explosion at
83.5s
Les fusées étaient
tirées selon des trajectoires verticales et selon un plan de vol nord-sud. De
plus, elles étaient dotées d'un système d'auto-destruction. Un seul tir, celui
du 29 Mai, s'est égaré sur le territoire mexicain à cause de la décision d'un
ingénieur de ne pas activer l'auto-destruction.
On
Thursday, 29 May 1947, Hermes II was fired from Launch Complex 33 at White Sands
Proving Ground. (...) The Hermes II reached a maximum altitude of 35
nm on its unplanned trip to the south. During its 5 -minute flight, the vehicle
overflew the city of El Paso and impacted near the Tepeyac Cemetary located 3.5
miles south of Ciudad Juarez, Mexico. The quasi-Mach 1
impact formed a crater that measured 50 feet in width and 24 feet in
depth.(Photo) Enterprising local
residents gathered what little airframe wreckage that survived impact and sold
it to souvenir seekers! Enfin, comme exemplifié ci-dessus, les caractéristiques
d'impact au sol n'avaient rien à voir avec ce qui est décrit pour l'objet de
Roswell ou les débris trouvés sur le ranch Foster. Exit la fable des
essais de V-2 pour "expliquer" l'affaire de Roswell !
D'un autre côté,
Messieurs les sceptiques, il faudrait savoir ! Vous proposez finalement 3 types
d'explication du crash : le ballon météo, le train Mogul et la V-2. Lorsque
l'une est démontée, vous vous rabattez aussitôt sur une autre. On se rend compte
qu'aucune des trois ne tient la route. Alors, laquelle adopterez-vous en
définitive ?
Réaction de TC: Etiez vous au courant de l'implication éventuelle de Von Braun dans
l'affaire Roswell ?
Réaction de J.: Oui, en effet, le nom de W. von Braun est cité dans l'affaire du crash de
Roswell. Il n'était pas présent sur les lieux lors de l'incident mais aurait
par la suite vu les débris et les corps.
Plusieurs personnes
prétendent avoir reçu des révélations de la bouche de von Braun concernant le
crash de Roswell, dont Clark McClelland (1), le commander
(capt de frégate) George W. Hoover et le Dr.
Carol Rosin, porte-parole de von Braun. Le problème est qu'aucune d'elles ne
peut prouver la réalité de ces entretiens et qu'on ne dispose d'aucune
déclaration de von Braun lui-même sur cette affaire. Il est tout-de-même
intéressant de remarquer qu'il y a un "trou officiel" dans l'emploi du temps de
VB entre fin 1946 et 1950 où il est censé travailler à White Sands. Il aurait
donc pu rallier la base de Roswell rapidement à la demande de la hiérarchie
militaire. On sait cependant qu'il se trouve en Allemagne en Mars 47 pour y
épouser Maria Luise von Quistorp, comme lui de noblesse prussienne. Les époux
regagnent les US fin Mars. Leur première fille naît en Décembre 48.
En
résumé, rien n'indique de façon certaine l'implication de VB dans l'étude de
l'engin de Roswell mais rien ne le dément formellement. Mon opinion est que les
déclarations des diverses personnes qui prétendent avoir reçu des confidence de
VB sur cette affaire doivent être considérées avec une extrême
prudence.
Diverses sources plus ou moins sujettes à caution :
Réaction de RA: Les militaires (à part Marcel) ont su très vite que ce qu'ils avaient
retrouvé à Roswell n'avait rien à voir avec les disques volants, et ils l'ont
d'ailleurs annoncé, concernant ces derniers ils ne savaient toujours pas de quoi
il pouvait s'agir et ça pouvait très bien être fait en partie de bois comme les
ailes volantes Horten, c'est clair?
Et au sujet de la matière infroissable décrite par certains témoins, la
plupart des sceptiques qui suivent aveuglément Charles Moore (c'était le cas de
Gilles Fernandez lorsqu'il a écrit son livre, je pense qu'il a un peu évolué
depuis à ce sujet) pensent qu'il s'agissait de papier collé à du métal, pour ma
part ça me paraît étonnant et je crois plutôt qu'il s'agissait de toile
(probablement en nylon) métallisée, et c'est beaucoup mieux étayé que les
baguettes en bambou (Spilhaus qui dit que les réflecteurs étaient faits de
papier ou de toile métallisée, il y avait un confecteur de vêtements dans les
fournisseurs contactés pour réaliser ces cibles radar, etc).
Le mois dernier une discussion portait sur les documents Majestic et en
particulier, à ce que j'ai cru comprendre (Alain), sur les risques biologiques
et leurs retombées potentielles en matière de développement sci/tech et
militaire.
Je précise que je ferai l'impasse
sur la question de l'authenticité des documents parce que 1) les preuves ne
peuvent être apportées dans un sens ou dans l'autre et 2) par conséquent il ne
servirait à rien de la discuter.
J'ai toutefois relevé que la question de
l'origine de ces risques biologiques pointe sur le(s) crash(es) du
Nouveau-Mexique et l'éventualité que des personnels affectés à la gestion de
ce(s) crash(es) aient pu être contaminés par des virus d'origine
"indéterminée".
La nature
de(s) (l')agent(s) contaminant n'est pas définie. Il est question de "toxines",
lesquelles, comme on sait (ou ne sait pas) sont des protéines
complexes sécrétées par des bactéries ou des virus et qui leur confèrent
leur pouvoir pathogène. Dans les années 50 la biologie moléculaire en était aux
balbutiements, d'où le manque d'information précise sur la composition de ces
agents -- à moins que leur nature n'ait été sciemment dissimulée.
On
remarque que la question des relations possibles entre les crashes et
l'atmosphère de guerre froide est discutée sérieusement.
Pour ma part
cependant, je garde l'impression que ces documents n'ont pas été diffusés au
hasard et je reste fidèle à la formule qui veut qu' "un mensonge n'est jamais
aussi crédible que lorsqu'on le glisse entre deux vérités". D'après mon
expérience, ces documents, faux ou pas, n'ont pas été élaborés par des amateurs.
Il y a une cohérence, une culture sci/tech et militaire qui ne relève pas de
l'improvisation ou de lectures glanées çà et là par des adeptes de la Lunatic
Fringe. Compte tenu de la synthèse que l'on peut faire entre ces éléments et
d'autres facteurs plus actuels, je demeure persuadé que nombre de pathologies
dites "émergentes" pourraient être liées à ces événements. Mais il faut être
ouvert à la discussion, n'est-ce-pas ?
Report:
Between 2% of US population and 14.7% of global population are being
involuntarily teleported (abducted) by hyperdimentional civilizations Par
Alfred Lambremont Webre
Ces chiffres sont publiés par un truc qui
s'appelle l' International Community for Alien Research (ICAR)
Le
"Directeur" pour la France est un certain "ArcturianStar" (si, si, et c'est le
seul dont le véritable nom n'apparaît pas), fondateur du site http://www.cosmicyou.us/ (allez-y, vous vous
marrerez).
Empirical, replicable research published by ICAR, the International Community for Alien Research, confirms that a hyperdimensional civilization consisting of amphibian reptilian hybrids and Gray cybernetic clones, have reportedly abducted approximately 1 billion out of the current estimated human population of 6,783,421,727 as of May 31, 2009 or approximately 14.7 percent of the present world population. These 1 billion human abductees, according to the replicable empirical research, have had their consciousness and and/or their physical bodies taken by a quantum, hyperdimensional process, and returned to their original location (and in some cases original time) with erased memories of the abduction. Memories of the hyperdimensional abduction retrieved through hypnotic regression and similar techniques reveal consistent patterns during the abductions, related to a covert agenda toward the human species by this hyperdimensional species. One earlier study in the 2002 Roper Poll concluded that 2% of the U.S. population (now estimated at 306,587,601 on June 4, 2009) - had been abducted, or approximately 6.1 million persons by current figures.
This research has been made public in exclusive interviews with Joseph Montaldo, International Director of ICAR that can be heard on ExopoliticsRadio.org by clicking here and here.
Cognitive dissonance or the state of having inconsistent thoughts, beliefs or attitudes, especially as to behavioral decisions and attitude change is one way of describing categories of responses to knowledge about and research into hyperdimensional abductions of up to 14 percent of our fellow humans. As the abduction research data conflicts with the conventional paradigm of human reality, it is filtered out and denied, even by major researchers in the field of extraterrestrial studies. One of these publicly and without basis contends that all reported cases of alien abductions are in fact MILAB psyops abductions done by human military-intelligence agencies in order to create false terror about hyperdimensional extraterrestrial civilizations which are uniformly beneficent to humanity.
Canon: Alien abduction does not exist except in the mind of the abductee
The canon of conventional academic science is that alien abductions are a psychodynamic artifact. One source states: The abduction phenomenon has garnered substantial attention from mainstream scientists and mental health professionals, who overwhelmingly doubt that the phenomenon occurs literally as reported and who have proposed a variety of alternate explanations, including [d]eception, suggestibility (fantasy-proneness, hypnotizability, false-memory syndrome), personality, sleep phenomena, psychopathology, psychodynamics [and] environmental factors.
MILABs: Alien abductions are exclusively black budget para-military operations
Within the exopolitical research community, a high-level Washington DC source reported to me that one major extraterrestrial researcher and author reportedly spent his time with her attacking this reporter for publishing views such as those stated in the ICAR research. Alien abductions, he simplistically stated, are exclusively carried out by black budget para-military units for purposes of brainwashing targeted humans, and creating negative propaganda against all aliens, which are uniformly upper-dimensional and ethical. Yet this view is contradicted by replicable empirical studies carried out by ICAR according to standard protocols. These studies reveal that while some small percentage of alien abduction experiences are so-called MILAB or military abductions, the bulk of alien abductions are by a hyperdimensional civilization of amphibian-reptilians and their cybernetic accomplices, the Gray hyperdimensional civilizations.
The real deal: Alien abductions are largely by hyperdimensional aliens says the data.
In an exclusive feature interview with Joseph Montaldo, International Director of ICAR - the International Community for Abduction Research - on the exopolitical implications of abduction research affirmed that alien abductions are largely done by hyperdimensional amphibian-reptilian intelligent aliens and their cybernetic allies the Grays. ICAR's research, gathered directly by abductees through replicable empirical studies, concludes that there may be as many as 1 billion humans (out of our current population of approximately 6 billion humans) who have been abducted by hyperdimensional amphibian-reptilianalian and Gray civilizations.
ICAR replicable empirical research shows that these abductions are carried out for an alien agenda which may, if no positive human intervention with the hyperdimensional agenda occurs, result in a "holocaust" event involving the physical death of up to 2/3 of the present human race in a future pandemic, and the trans-location of a substantial number of the consciousnesses of our human community in a new hyperdimensional "planet."
Joseph Montado has released the results of ICAR research to the exopolitical community for the first time through these exclusive ExopoliticsRadio.org interviews, which you can listen to here and here.
ICAR's research conclusions are backed by extensive, replicable research methodology and data. Joseph Montaldo talks at length on this research methodology and data, which includes objective correlation of answers to direct questions asked of Gray and amphibian-reptilian hyperdimensionals as to the nature and purpose of alien abducations, and their agenda towards the planet and humanity, by groups of 20-50 recurring abductees.
This empirical abduction and alien agenda data, which is summarized in the 2-Part interview with Joe Montaldo, is available in 20 ICAR radio interviews by Joe Montaldo online (soon to be 40 radio interviews) which you can access online at UFO Paranormal Radio Network ("UFO Undercover"), as well as a forthcoming book The Handbook for Alien Abductions.
In these exclusive ICAR interviews, Mr. Montaldo makes a major public revelation for exopolitics, the science of relations between our human civilization and other intelligent civilizations in the multi-verse, and for human public policy. If true, the hypotheses that Joseph Montaldo and ICAR present have profound implications for our planet and for the future of homo sapiens.
ICAR & Joseph Montaldo
Joseph Montaldo is Co-Founder, International Director, and Spokesperson for ICAR. the International Community for Alien Research. (www.icar1.com ). Originally affiliated with MUFON as an Investigator, Mr. Montaldo became disenchanted with the lack of information being shared with the general public. His first step in furthering public awareness was establishing a personal website (www.alienenigma) in 1998. Later, the I.C.A.R. site (www.icar1.com) was added to the Internet. Born in New Orleans, Louisiana in 1963, he attended area private schools before joining the U.S. Navy. While in the Navy, Joe earned three degrees in Advanced Electronics and Avionics. ICAR, starting as a grassroots organization, is now established with members in 11 countries. While UFO sightings are always investigated, ICAR main focus is on Alien Abductions and the Alien Agenda.
ICAR members and Joe have investigated over 5000 cases of Alien contact and abductions. In 2005 and in 2009, when he was an X-Conference speaker, Montaldo and members of I.C.A.R. provided press coverage in Washington D.C. at the X-Conference as well as the last 2 crash retrieval conference and the 2006 Laughlin conference also in 2006 Mr. Montaldo was placed on the board of the Exopolitics institute where he advises in alien abduction and media areas. www.exopoliticsinstitute.org/advisory-board-PP&M.htm
My future goal is to gain information for I.C.A.R. and share it with the Public. The public needs to understand what is going on with alien contact, and exactly what the alien agenda is, Montaldo says.
Exopolitics, alien abductions, hyperdimensional amphibian-reptilians, Grays and upper-dimensional ethical ETs
Exopolitics is the science of relations between our human civilization and other intelligent civilizations in the multi-verse. Exopolitics provides an interface within which to indentify, map, and form a rational strategy towards hyperdimensional civilizations. These include hyperdimensional amphibians-reptilians, as well as upper-dimensional ethical civilizations which are also engaging human civilization at this time. Humanity has many options once it has acknowledged the diversity of civilizations - hyperdimensional or otherwise - which are engaging it at this time. Our first option is acknowledgement of the existence and diversity of civilizations in our immediate dimensional ecology. These appear to have diverse dimensions (or parallel universes) of origin, intentions, agenda and goals, and nature. We can map each of these civilizations in the public domain and consciousness. We can also forge open relationships with each. Hopefully this strategy of transparent disclosure will ultimately result in the optimal outcome for humanity, and for the multi-verse.
Le Dalaï Lama est intervenu au sommet environnemental de Portland
le 9 mai 2013. A la 36ème minute d...
Le Dalaï Lama est intervenu au sommet environnemental de Portland le 9 mai 2013. A la 36ème minute de son intervention, il évoque les visiteurs dautres galaxies :
«Même si nous obtenons des visiteurs dautres galaxies, ils ne sont pas différents des humains. Peut-être quils ont dautres formes? Mais fondamentalement, ils ne sont pas différents de nous. Eux aussi sont des êtres sensibles. Respectez-les! Regardez-les et considérer les comme des êtres vivants. Nous pourrions, par exemple, leur serrer la main, à condition bien sûr quils aient quelque chose comme des mains ! « Si nous rigidifions notre attitude parce que quelquun est dailleurs, nous sommes directement soupçonneux et toujours sur nos gardes ce qui mène juste à plus de soucis et danxiété.«
Pour mémoire, le 10 septembre 2012, il avait déclaré : » je suis de plus en plus convaincu que le moment est venu de penser à de nouveaux moyens denvisager la spiritualité et léthique au-delà des religions. »
Un petit flyer de Warren Aston qui a traduit de lItalien une
intéressante étude sur la propulsion et le pilotage des soucoupes italiennes,
avec plans et photos de lintérieur.
On doit pouvoir trouver loriginal dans la langue de Dante, si lon
préfère.
Vous dites : "1978, l'année de la naissance de la théorie du
complot". Qu'est-ce qui vous amène à une datation aussi précise ?
C'est
l'année où Friedman rencontre et interroge Marcel:
"Then, in 1978, UFO
researcher Stanton Friedman happened to meet Marcel. Because Marcel dredged up
his recovered-saucer story, and Friedman thought he had at last found a "star"
witness who could blow open the U.S. government's alleged coverup of crashed
saucers and pickled aliens, the Roswell myth began anew, with Friedman as its
most vocal (and visible) champion. "
Des physiciens stoppent la lumière pendant une minute
Dans une chambre noire,
prenez une lampe torche et une boîte à chaussures. Soulevez le
couvercle de la boîte, éclairez l'intérieur et éteignez dès que vous avez
refermé le couvercle. Attendez une minute. Rouvrez la boîte. Que se passe-t-il ?
Rien et c'est normal. Pourtant, des chercheurs allemands viennent de concevoir
un système, une espèce de boîte dans laquelle la lumière est stoppée et réémise
une minute plus tard, dès que la boîte s'ouvre ! Pour comprendre à la fois la
physique et l'enjeu de cette expérience époustouflante, il faut faire un détour
par le monde curieux de l'information quantique.
Tout ce que vous voyez sur
votre écran, le texte de ce billet, l'image qui l'accompagne, a été codé sous
forme de bits. Il en va de même pour les clichés que vous prenez avec votre
appareil photo numérique, pour les films de vos DVD, pour la musique de votre
lecteur MP3... Toutes ces informations visuelles ou sonores ont été passées à
cette moulinette et quand les informations voyagent sur Internet dans les
impulsions lumineuses de la fibre optique, elles empruntent aussi cette forme.
Dans le monde actuel de l'informatique classique, le bit est ou bien 0 ou bien
1, et rien d'autre. Un jour viendra pourtant où l'on s'affranchira de cette
tyrannie du binaire, où tout est noir ou blanc, ouvert ou
fermé, haut ou bas. Dans le monde futur, à peine ébauché, de
l'informatique quantique, le bit pourra à la fois être 0 et 1. Comme le disent
les physiciens, dans le monde quantique les particules peuvent avoir deux états
superposés, être ici et là, comme ci et comme ça. Grâce à sa
souple gestion des possibles, le bit quantique (aussi connu sous
l'abominablement obscène abréviation de qubit) permettra des tâches impossibles
au bit classique
Ceci posé, on est encore très loin de l'ère du tout
quantique tant sont nombreux les obstacles techniques à surmonter. L'un d'entre
eux, et non le moindre, réside dans le domaine des communications : "Il y a
un problème majeur quand vous envoyez des photons uniques des particules de
lumière dans de la fibre optique : ils se font absorber, souligne Hugues
de Riedmatten, professeur à l'Institut
de sciences photoniques de Barcelone. Pour 100 photons envoyés, il n'en
reste plus qu'un au bout de 100 kilomètres." Et, comme me l'a expliqué ce
chercheur suisse, au bout de 500kilomètres, il ne reste plus qu'un
photon sur 10milliards et plus qu'un sur 100milliards de
milliards après 1000kilomètres.
Le problème existe évidemment aussi dans les
télécommunications classiques où il est résolu à l'aide de répéteurs installés
le long des lignes, à intervalles relativement rapprochés. Ces dispositifs
récupèrent le signal et le ré-amplifient, un peu comme des coureurs de relais
qui récupèrent le bâton transmis par un équipier en bout de course et lui
redonnent du "jus". Malheureusement, cette solution simple et pratique n'est pas
applicable au monde de la communication quantique car une telle opération, qui
équivaut à une mesure, détruirait tout ce qui fait l'intérêt de l'information
quantique portée par les photons. En effet, dans ce monde bizarre, mesurer tel
ou tel attribut d'une particule l'oblige à se décider pour le 0 ou pour le 1 :
la mesure démolit la superposition d'états. Cette propriété est d'ailleurs
exploitée par la cryptographie quantique puisque si quelqu'un espionne une
communication sécurisée avec cette méthode, son intervention est aussitôt
détectée...
Les physiciens ont donc dû puiser dans leur sac à astuces
pour contourner ce problème et concevoir un système de répéteurs quantiques ne
faisant que transmettre les états des photons de proche en proche sans jamais
les mesurer. Pour cela, ils ont exploité une autre "bizarrerie" quantique,
l'intrication. Quand deux systèmes sont intriqués, ils ne forment plus qu'un au
sens où leurs états sont les mêmes. Le but du jeu consiste donc à découper la
ligne de communication en segments intriqués les uns avec les autres pour
pouvoir ainsi transporter l'information d'un bout à l'autre. Toute la difficulté
de l'exercice, m'a expliqué Julien Laurat, professeur à l'université Pierre et
Marie Curie (Paris) et chercheur au Laboratoire
Kastler Brossel, c'est qu'il faut que les extrémités desdits segments soient
toutes intriquées en même temps. Or, l'opération ne se décide pas dès qu'on
appuie sur un bouton : la durée de construction de l'intrication est aléatoire.
"La probabilité pour que tous les événements soient concomitants décroît de
manière exponentielle avec le nombre de segments", résume Julien Laurat.
Certains segments seront donc préparés avant d'autres et il faudra, le temps que
ces derniers soient prêts à leur tour, mettre cette intrication en mémoire. On
tombe alors dans un autre casse-tête car allez donc stocker de la lumière dans
une boîte...
C'est pourtant l'exploit que viennent de réaliser trois
chercheurs de l'Université technologique de Darmstadt (Allemagne) grâce à un
magistral tour de passe-passe qu'ils décrivent
dans Physical
Review Letters. Leur boîte est un cristal dans lequel sont prisonniers
des atomes de praséodyme, lesquels vont être les cibles d'un rayon laser. Le
hic, c'est qu'en temps normal, ce cristal est en quelque sorte opaque. Qu'à cela
ne tienne : à l'aide d'un second laser et d'un phénomène connu sous le nom de
transparence induite électromagnétiquement (TIE), une fenêtre de transparence
est ouverte dans le cristal, qui permet à la lumière d'y entrer. Celle-ci y est
considérablement ralentie et comprimée, au point qu'une brève impulsion
lumineuse de quelques microsecondes, qui, dans le vide, mesurerait 2 kilomètres,
tient en moins de 3 millimètres !
Puis la TIE est arrêtée, ce qui referme la fenêtre de
transparence et la boîte par la même occasion. Les photons sont pris au piège du
cristal. De l'extérieur, on a l'impression que la lumière est stoppée mais c'est
une illusion d'où l'expression de tour de passe-passe que j'ai utilisée plus
haut. En réalité, l'énergie et les informations des photons sont transférées aux
atomes de praséodyme. Toute la difficulté de l'expérience consiste à empêcher
ces atomes de les perdre lors d'interactions avec le reste de la matière.
L'équipe allemande a, pour préserver cette cohérence, utilisé divers dispositifs
et notamment un champ magnétique particulier pour "geler" autant qu'il se
pouvait ces interactions destructrices. Cela n'a pas empêché la très grande
majorité des informations de disparaître. Toutefois, lorsque les chercheurs ont
rouvert la fenêtre de transparence au bout d'une minute, un certain nombre
d'atomes de praséodyme ont restitué leur énergie superflue en émettant des
photons porteurs de l'information de départ. Celle-ci contenait une image de
trois bandes horizontales, qui a été retrouvée, très atténuée, à la sortie,
comme on peut le voir ci-dessous.
Une minute, cela peut sembler bien court comme mémoire, mais
dans le monde de l'information quantique, c'est plus de temps qu'il ne faut pour
synchroniser les segments d'une ligne de communication. Tout en m'expliquant que
l'intérêt de cette expérience tient essentiellement dans ce record de durée (le
précédent record, qui
date du début de l'année, était de 16 secondes avec un gaz d'atomes
ultra-froids), Hugues de Riedmatten et Julien Laurat ont insisté sur le fait que
l'équipe allemande a travaillé avec de grosses impulsions laser, c'est-à-dire
dans le domaine de l'optique traditionnelle, et qu'elle n'est pas descendue dans
ce que les physiciens appellent "le régime quantique", celui où les
photons sont envoyés un par un. De plus, l'efficacité du procédé est très faible
puisque moins de 1 % des photons sont récupérés. Même s'il commence à être
balisé, le chemin vers l'informatique et la communication quantiques est encore
long.
Ovni : «Il est peu probable de croiser des extraterrestres»
Ovni : «Il est peu probable de croiser des
extraterrestres»
Ovni
A Toulouse comme ailleurs des milliers de personnes scrutent les mystères du
ciel./Photo DDM, Thierry Bordas
La queue de baleine lumineuse observée début juin, dans le ciel toulousain ?
«Nous navons pas pu recouper le témoignage. Il ny a que lobservateur qui la
vue», regrette Jacques Patenet. Cet ancien directeur du très sérieux Geipan, le
groupe détudes et dinformations sur les phénomènes aérospatiaux non
identifiés, dépendant du Cnes, le centre national des études spatiales de
Toulouse, na pas lâché sa passion depuis quil est parti à la retraite. Au mois
de mars, il est devenu le responsable national de Mufon France, un réseau
mutualisé de collectes de données, très influent aux États-Unis, qui compte des
dizaines de milliers de membres dans le monde. Les yeux tournés vers le ciel,
ces enquêteurs de létrange traquent tout ce qui sort de lordinaire au-dessus
de nos têtes.
«Nous leur proposons une méthodologie, via des grilles dinterprétation des
phénomènes observés. Nous les guidons dans leur recherche».
Car Jacques Patenet est dabord un scientifique rationaliste. Pas question de
délirer sur les petits hommes verts. «Quil y ait des formes de vies
extraterrestres dans lunivers, cest probable. Mais que des civilisations
identiques à la nôtre, même à quelques milliers dannées près, se croisent,
cest plus compliqué».
Alors comment interpréter les anomalies et les phénomènes non identifiés
aperçus dans le ciel ?
«Ces observations restent mystérieuses jusquau jour où on peut les
expliquer, tempère Jacques Patenet. Pendant longtemps, des pilotes davions ont
décrit des grandes traînées lumineuses intenses. Des sprites. Il a fallu prendre
de la hauteur avec les astronautes pour comprendre quil sagissait dorages à
très hautes altitudes» La science finirait donc par tout expliquer ?
«Attention, je ne dis pas quil ne peut pas se produire des choses étranges. Je
nexclus rien», souligne le directeur de Mufon France. Il remarque quand même
que les histoires les plus extraordinaires sont aussi les plus anciennes. Quand
on connaissait moins bien notre environnement. Comme à Cussac, en Ardèche, en
1954, où des enfants ont vu des «Martiens» débarquer dune soucoupe volante Il
ny a pas eu de suite à cette prise de contact. «Peut-être quun jour, on
tombera sur un truc incroyable», veut croire Jacques Patenet. Seule certitude,
depuis le début de lannée, les ufologues de la région nont rien eu à se mettre
sous la dent. Ce qui nest pas une raison pour arrêter de scruter le ciel. Et
ses mystères.
Deux sites internet incontournables avec celui du Geipan : mufon-france.fr et
les-rencontres-ufologiques.com
Ancien directeur du Geipan, le groupe détudes et dinformations sur les
phénomènes aérospatiaux non identifiés, Jacques Patenet consacre sa retraite aux
mystères du ciel.
Le temps est une sorte d'arbre aux multiples branches, où les
événements futurs ne sont que des possibilités. Mais nous sommes en train de
finir de couper la branche sur laquelle nous nous croyions assis et installés à
jamais. Cest ce qui ressort du témoignage dArthur Newman, plus connu sous le
pseudonyme dHenry Deacon.
Henry Deacon est un physicien, haut fonctionnaire américain
impliqué dans la question des relations du gouvernement des États-Unis avec les
extraterrestres. À plusieurs reprises, il a pris des risques pour dénoncer les
méfaits de l'incroyable technologie développée dans l'ombre par les "black
programs" américains : voyages spatio-temporels, portes des étoiles,
colonisation de Mars, armes climatiques et contrôle
démographique.
La réalité va bien au-delà des fictions les plus audacieuses,
puisqu'il s'avère que ces technologies ont déjà provoqué des fissures au niveau
de notre trame spatio-temporelle. Le problème de ces ruptures dans notre
espace-temps est qu'elles ouvrent la voie à des choses et même à des êtres
"indésirables" qui risquent de nous compliquer la tâche au cours de notre
transition vers l'Ère Nouvelle.
par J.P.
Réaction par Gildas Bourdais - écrivain / ufologue
D'où viennent les "révélation de Henri Deacon ?
Voici la réponse dans un extrait de mon livre de 2010 "OVNIs vers la fin du secret ? , que peu de gens ont lu, semble-t-il, sur Dan Burisch et Henri Deacon (pages 328, 329). Il est vrai que les bouqins, c'est dépassé.
Dan Burisch, et Henry Deacon : encore des hommes venus de notre futur
Dan Burisch, apparu en 1999, sest présenté comme un témoin de lintérieur américain, un whistleblower. Il a vite fait quelques vagues dans le milieu conspirationniste, en dévoilant des études ultra secrètes et des contacts avec des hommes venus de notre futur. Décidément, le voyage temporel est en vogue : plus récemment, un autre témoin supposé, Henry Deacon, a raconté une histoire analogue, mais voyons dabord le cas Burisch. Celui-ci a raconté, en 2002 sur la radio Coast to Coast de George Noory et Art Bell, quil était titulaire dun doctorat de microbiologie de luniversité de létat de New York, qui avait été effacé par le gouvernement. Mauvaise entrée en matière ! Il a dit avoir travaillé à S4, le laboratoire secret de la Zone 51 où Bob Lazar disait avoir étudié une soucoupe. Burisch, pour sa part, prétend avoir fait des expériences biologiques avec un extraterrestre du nom de J-Rod, un nom déjà connu dans le milieu". Selon Burisch, J-Rod était un rescapé du crash de Kingman, en Arizona, en 1953, et il était un humain de notre :futur lointain. Il était revenu à notre époque pour tenter de régénérer des gènes défaillants, un thème lui aussi asez populaire. Le dessin que Burisch a fait du malheureux ressemble à un Petit Gris à bout de souffle ! Abrégeons cette nouvelle histoire à dormir debout. Dabord soutenu par des enquêteurs connus comme Bill Hamilton et Linda Moulton Howe, il na pas tardé à susciter une vive polémique et à être rejeté par beaucoup. Son témoignage a des points communs, on le voit, avec celui de Bob Lazar, lancé puis mis en doute par le journaliste George Knapp, de Las Vegas. Or cest le même George Knapp qui a violemment dénoncé Burisch comme un imposteur, le traitant même de couillon intégral (a complete goofball), dans les colonnes du UFO Magazine américain (août-septembre 2004). En bon journaliste, Knapp a fait son enquête et a découvert que Burisch avait travaillé en réalité comme garde de sécurité au Sahara Hotel de Las Vegas !
Henry Deacon, autre whistleblower américain supposé, a été lancé en 2006 par une équipe denquêteurs, Bill Ryan et Kerry Cassidy, qui ont interviewé beaucoup de monde ces dernières années pour leur Project Camelot. Deacon leur a décrit la technologie très avancée des black programs américains : voyages spatio-temporels, portes des étoiles, colonisation de mars, armes climatiques et contrôle démographique, etc. Un script pour nouvelle série de télévision du genre Stargate ! Il a fait des révélations sur Roswell. Et voici qui me met la puce à loreille, une fois de plus : Les aliens de Roswell nétaient pas des aliens. Cétaient des hommes du futur, revenus à notre époque pour rectifier notre avenir, et déméler les fils dun imbroglio chronologique compliqué. Malheureusemnt lexpédition a mal tourné, comme nous le savons. Leur accident a été provoqué par un puissant radar militaire, et Deacon avoue lui-même être surpris quils naient pas prévu ce danger avant dopérer leur retour dans le temps. En effet. Remarquons que ces révélations tombaient au bon moment pour semer la pagaille dans le dossier de Roswell, qui était justement relancé à ce moment là, comme nous lavons vu. Ryan et Cassidy ont dit que, à partir de mars 2007,« lhomme a mystérieusement rompu toute communication » (60). Mais il a refait surface, à une conférence organisée en Espagne par le groupe Exopolitics en septembre 2009, où il a parlé sous son vrai nom, Arthur Neuman...
Lévitation par le son, 'Le Temps', Genève, 20.7.2013 - MAGONIE
Transporté par le son
*
Lévitation Des chercheurs de lEPFZ sont parvenus à déplacer des objets à
travers les airs grâce à des ondes acoustiques * Le dispositif pourrait être
utile pour manipuler des produits biologiques, chimiques ou
radioactifs
Lucia Sillig
Il ny a pas que les saints,
bonzes et super-héros américains païens qui sy connaissent en lévitation. Les
physiciens aussi font voler toutes sortes de choses: y compris des insectes, des
poissons et des grenouilles. Des chercheurs de lEcole polytechnique fédérale de
Zurich (EPFZ) viennent de franchir une nouvelle étape. Grâce à des ondes
sonores, ils arrivent à déplacer des objets à travers les airs. Des gouttelettes
de liquide, mais aussi des particules solides, des petites boules dacier et
même un cure-dent. Leur dispositif permet de manipuler plusieurs éléments à la
fois, voire de les mélanger, sans les toucher. Plusieurs applications sont déjà
envisagées. Ces travaux ont été publiés cette semaine dans Proceedings of the
National Academy of Sciences (PNAS).
La lévitation nest pas une
branche récente de la physique. Il y a plus dun siècle, Lord Rayleigh posait
les bases de la méthode acoustique. Dautres techniques, comme la lévitation
magnétique ou optique, ont déjà fait leurs preuves. «Mais lapproche magnétique
est limitée à des matériaux ayant des propriétés particulières, commente Dimos
Poulikakos, un des auteurs de létude parue dans PNAS. Quant à la méthode
optique, elle ne fonctionne que pour des objets extrêmement petits.» En
septembre dernier, des chercheurs de lArgonne National Laboratory, près de
Chicago, avaient fait sensation avec leur système acoustique permettant de faire
léviter plusieurs gouttes de liquide.
Les ondes sonores sont des
variations de pression. Elles exercent une force sur les surfaces quelles
rencontrent. Si leur intensité est assez élevée, elles peuvent contrebalancer la
gravité. Le dispositif classique comprend une plaque vibrante, à laquelle on
oppose une autre plaque, qui fait office de réflecteur, explique Dimos
Poulikakos. Londe sonore émise par la partie vibrante et sa réflexion se
superposent pour créer une onde stationnaire, cest-à-dire une onde dont
certains éléments appelés nuds restent fixes dans le temps. «Sur ces nuds,
la force due à la pression acoustique compense la gravitation. De plus, la
pression locale est nulle, alors que ça nest pas le cas juste en dessous ou en
dessus.» Cest ce qui stabilise le système: lobjet se trouvant à cet endroit
est comme pris au piège.
«Mais cela fait plus de cent ans quon en est à
ce point, poursuit le chercheur. Cest impressionnant, un peu magique, mais pas
très utile. Pour la première fois, nous sommes capables de manipuler de manière
contrôlée des particules, et de les déplacer à lintérieur dun plan.» Au lieu
dune seule plaque vibrante, le système mis au point par les Zurichois comprend
un assemblage de petites plaques de la taille dun timbre, disposées en damier.
Chacune peut être activée et contrôlée séparément. En variant les paramètres de
deux plaques voisines, on arrive à faire glisser horizontalement le «piège
acoustique» de lune à lautre. Et ainsi déplacer lobjet en
suspension.
Les chercheurs travaillent à environ 160 décibels soit bien
au-delà de ce qui est supportable par loreille humaine , mais dans les
ultrasons, à une fréquence inaudible pour nous. Grâce à leur dispositif, ils ont
notamment mélangé «en apesanteur» de leau et du sodium, provoquant la brutale
réaction qui libère de lhydrogène. Ils ont aussi inséré de lADN dans des
cellules. Ou encore préparé de minuscules portions de café
instantané.
Dans le Washington Post, Rick Weber, de lArgonne
National Laboratory, qui avait fait léviter les gouttelettes, salue lapproche
«hautement innovative» des chercheurs de lEPFZ. Il ajoute que la méthode ouvre
beaucoup de nouvelles perspectives pour la lévitation acoustique. Dimos
Poulikakos est déjà en discussion avec lindustrie pharmaceutique suisse. Il
souligne que le dispositif peut être utile pour la manipulation de toutes sortes
déchantillons, chimiques ou biologiques, en particulier. Notamment lorsque lon
souhaite éviter quils ne soient contaminés par un récipient. Ou alors, pour
manier des produits dangereux, chimiques ou radioactifs, par exemple.
«On
pourrait penser que le problème majeur est le poids, relève Dimos Poulikakos,
mais nous sommes parvenus à faire léviter des petites boules dacier, qui sont
dix fois plus denses que leau. Il est beaucoup plus difficile de manipuler des
liquides. Si la pression acoustique est trop forte, ils sévaporent.» Il ne faut
pas que la pression dépasse la tension superficielle, cette tendance contractive
due à la cohésion des molécules, qui fait que la surface dun verre deau est
bombée ou que des insectes peuvent courir sur une marre. Mais le réglage est
subtil car, si la pression est trop faible, la goutte tombe.
Hormis le
cure-dent, les éléments que les chercheurs zurichois ont déplacé en lair
mesuraient jusquà quelques millimètres. Peut-on imaginer passer à des objets
plus grands? Voire expérimenter nous-même un jour les joies de la lévitation
acoustique? «En théorie, il ny a pas de raison quon ne puisse pas aller plus
loin, estime Dimos Poulikakos. Mais, dans la pratique, il risque dy avoir des
problèmes techniques.»
Le temps est une sorte d'arbre aux multiples branches, où
les événements futurs ne sont que des possibilités. Mais nous sommes en train de
finir de couper la branche sur laquelle nous nous croyions assis et installés à
jamais. Cest ce qui ressort du témoignage dArthur Newman, plus connu sous le
pseudonyme dHenry Deacon.
Henry Deacon est un physicien, haut fonctionnaire américain
impliqué dans la question des relations du gouvernement des États-Unis avec les
extraterrestres. À plusieurs reprises, il a pris des risques pour dénoncer les
méfaits de l'incroyable technologie développée dans l'ombre par les "black
programs" américains : voyages spatio-temporels, portes des étoiles,
colonisation de Mars, armes climatiques et contrôle
démographique.
La réalité va bien au-delà des fictions les plus audacieuses,
puisqu'il s'avère que ces technologies ont déjà provoqué des fissures au niveau
de notre trame spatio-temporelle. Le problème de ces ruptures dans notre
espace-temps est qu'elles ouvrent la voie à des choses et même à des êtres
"indésirables" qui risquent de nous compliquer la tâche au cours de notre
transition vers l'Ère Nouvelle.
Réaction de G.B. Un morceau de bravoure mais j'aurais bien aimé avoir la source (le témoignage de
Deacon en anglais sans commentaire) car dans cet article il y a des phrases qui
n'ont aucun sens. "Fissures au niveau de notre trame spatio-temporelle", ça veut
dire quoi ? Que les équations de champ ne fonctionnent plus localement ? Et
qu'est-ce diable que "notre transition vers l'Ere Nouvelle" ? Les fantasmes sur
l'ère du Verseau qui traversent le monde de l'ésotérisme et le new age depuis un
bon siècle ? La traduction donnée du témoignage de Deacon : "Pour commencer par l'essentiel, je pense
être un "walk-in", c'est-à-dire une âme ayant remplacé au début de son
incarnation celle d'un jeune collégien." Doctrine ésotérique ultra-minoritaire,
qui ouvre la porte à tous les délires. Et ce qui suit pourrait biern en faire
partie : "J'ai des souvenirs
d'une autre planète qui se mélangent dans un certain désordre avec mes
souvenirs d'enfance. Ce que je ressens est bizarre et difficile à expliquer.
J'ai toujours eu, intuitivement, la capacité de pénétrer des informations
scientifiques complexes et de comprendre des systèmes savants sans avoir reçu de
formation préalable. Je travaille principalement sur ces systèmes. En toute
modestie, je dois vous dire que je suis en possession d'une grande masse
d'informations scientifiques avancées ; mais je ne peux rien révéler à ce
sujet pour le moment." Ben voyons.
Le reste est un joli roman. Cela
ferait un superbe film de space opera. La seule question à se poser sur ce tissu
de rêves, c'est de savoir si l'auteur parle de lui-même ou s'il est mandaté pour
nous farcir la tête d'un mélange de vrai et de faux, comme l'a bien remarqué
Gildas pour d'autres "révélations". Vrai : les simulations d'armes
nucléaires par laser. Faux : Montauk, à mon avis et les portes menant sur Mars
ou Alpha du Centaure.
Cela dit, les véritables avancées sont encore plus
passionnantes. Contre-poison
:
http://actuwiki.fr/environnement/22428
Voyager plus vite que la lumière a toujours été attribuée à la
science-fiction, mais tout a changé lorsque Harold White et son équipe de la
NASA ont commencé à travailler et peaufiner le moteur Alcubierre. - See more at:
http://actuwiki.fr/environnement/22428#sthash.A45NHjvF.dpuf
» Voyager plus vite que la lumière a toujours été attribuée à la
science-fiction, mais tout a changé lorsque Harold White et son équipe de la
NASA ont commencé à travailler et peaufiner le moteur Alcubierre. La relativité
restreinte peut être vraie, mais pour aller plus vite ou à la vitesse de la
lumière, nous pourrions ne pas avoir besoin dun engin qui peut se déplacer à
cette vitesse. La solution pourrait être de placer un engin dans un espace qui
se déplace plus vite que la vitesse de la lumière ! Par conséquent, lengin
lui-même na pas à se déplacer à la vitesse de la lumière à partir de son propre
type de système de propulsion. - See more at:
http://actuwiki.fr/environnement/22428#sthash.A45NHjvF.dpuf
» Voyager plus vite que la lumière a toujours été attribuée à la
science-fiction, mais tout a changé lorsque Harold White et son équipe de la
NASA ont commencé à travailler et peaufiner le moteur Alcubierre. La relativité
restreinte peut être vraie, mais pour aller plus vite ou à la vitesse de la
lumière, nous pourrions ne pas avoir besoin dun engin qui peut se déplacer à
cette vitesse. La solution pourrait être de placer un engin dans un espace qui
se déplace plus vite que la vitesse de la lumière ! Par conséquent, lengin
lui-même na pas à se déplacer à la vitesse de la lumière à partir de son propre
type de système de propulsion. - See more at:
http://actuwiki.fr/environnement/22428#sthash.A45NHjvF.dpu
Robert Wood, qui a joué (et joue
encore) un rôle clé dans l'évaluation et la publication de ces documents, a
consacré un ouvrage à la question des virus étrangers, se basant sur le corpus
qu'il a rassemblé ces dernières années:
N'ayant
pas encore le livre de Wood (il vient de paraître ce 4 juillet !) je n'en dirai
pas plus (cependant on peut en lire des extraits sur le site d'Amazon).
D'ailleurs seules des personnes connaissant bien le sujet (comme James !) sont à
même d'émettre une opinion autorisée. Enfin, comme cet épineux problème de
virus aliens a été évoqué sur cette liste, j'ai pensé utile de signaler
cette parution...
Réaction de T.C.: Redfern a travaillé su les MIB et sur la NASA notamment. Sa théorie
échevelée sur Roswell l'a temporairement fait basculer du coté des sceptiques.
Le problème n'est pas tant les doutes qu'il peut formuler sur ce qui s'est passé
à Roswell en 47 mais la théorie qu'il developpe et qui est pour le moins
farfelue...
"L'auteur fortéen Nick Redfern, qui écrit sur les OVNIS, les fées, les
diablotins et tout autres choses extraordinaires ou supposées telles, nous
apporte une nouvelle théorie au sujet de ce qui se serait vraiment passé lors de
l'incident de 1947 à Roswell, se basant sur des entrevues avec des gens qui lui
ont affirmé être dans le secret. Il dit que l'incident à Roswell n'avait rien à
voir avec des extraterrestres et leur engin, ni avec des restes de ballons
utilisés par le projet Mogul, mais que les militaires américains avaient
effectué secrètement des essais aériens avec des nacelles et planeurs japonais
d'inspiration allemande de la deuxième guerre mondiale, attachés sous des
ballons. Il dit que des prisonniers de guerre des japonais qui étaient des nains
atteints de maladies issus d'expérimentations diabolique peu différentes ce
celles auxquelles s'étaient livré Mengele en Allemagne, et également des
victimes de la progéria et de radiations, étaient emprisonnés à bord de ces
gondoles et nacelles, puis lâchés pour une descente fatale vers le sol. Il dit
que comme ils ont ressemblé à des extraterrestres pour des gens qui les ont vu
après la chute, ces gens ont rapporté pour avoir vu des
extraterrestres".
Redfern n'a aucune excuse pour avoir commis ce livre grotesque. Il a avoué
à mon ami le Dr Leir, qui le connaît et qui me l'a raconté en 2006, qu'il savait
bien que c'était de la m---
Il a aussi écrit depuis un autre livre, "Final Events", qui raconte que les
ovnis sont diaboliques et qu'ils annoncent l'apocalypse.
Il y a cité notamment le pasteur Ray Boeche, celui qui avait recomandé
Vallée à Linda Howe. Vous voyez comme le monde est petit...
Voir mes articles sur mon blog :
Mon article sur Body Snatchers est la VF de mon article paru dans le
MufoUFO Journal de novembre 2005 (écrit à la demande du directeur du
journal):
2005 Le livre de Nick Redfern « Body
Snatchers in the Desert »
Malgré toute mon estime et mon amitié pour Jean-Gabriel Greslé, je me sens
obligé d'attirer l'attention sur les violentes controverses qui ont agité
l'ufologie américaine et internationale sur les documents "Majescic 12", en
particulier le gros paquet divulgué à partir de 1998 par l'ufologue californien
Timothy Cooper, largement repris par JG Greslé dans son nouveau livre
"1942-1954. La genèse d'un secret d'état".
Cooper a dit qu'ils lui avaient été fournis par un informateur anonyme,
surnommé "Cantwheel", et on ne sait pas vraiment d'où ils viennent, en fait.
Voir à ce sujet un extrait, ci-joint, de mon livre OVNIS vers la fin du
secret ? L'analyse de ces documents suggère fortement qu' ils ont été
manipulés, ce qui amène à suspecter une dose de "désinformation amplifiante",
selon le principe : mélanger des vérités avec des mensonges qui seront vite
dénoncés. Je signale que l'auteur du livre Clear Intent, justement
cité par Greslé p. 9 (Greenwood et non pas Randle, mais Randle aussi !) est de
ceux qui ont totalement rejeté les documents de Cooper... Il y a deux
documents nouveaux, signés Roosevelt, au début du livre, qui n'échappent pas à
cette critique. Un élément qui me paraît particulièrement suspect est la
découverte supposée d'un "moteur atomique" et de matières fissiles (U 235,
plutonium) à bord d'une soucoupe en1941 ou 1942, qui aurait aidé les Américains
à fabriquer leurs premières bombres atomiques... Là, ça "craint" énormément
!
Quand j'aurai fini la traduction du livre de Leslie Kean, j'espère fin
juillet, je me propose de revenir là-dessus plus en détail dans un nouvel
article.
Cordialement G.B.
EXTRAIT:
Extrait
de mon livre OVNIS. Vers la fin du secret ? (JMG,2010)
Chapitre
7 Révélations spectaculaires et désinformationn pages 266 à 270
1998-1999 : une avalanche de nouveaux de documents
Les critiques virulentes contre le document
SOM1-01 sonnaient-elles le glas de laffaire Majestic-12 ? Pas du tout, car une
nouvelle vague, plus importante, ne tarde pas à arriver : un premier lot de 125
pages en 1998, puis un paquet plus important encore en 1999, le total
atteignant alors près de 2 000 pages. Depuis lors, dautres documents ont
encore fait leur apparition, mais en moins grand nombre, semble-t-il, et de
moindre intérêt.Le contenu du premier
lot, de 1998, porte toujours sur la découverte et létude secrète des ovnis
accidentés, à partir de 1947. Ce sont le Dr Robert Wood et son fils Ryan qui en
dévoilent lexistence à une conférence à New Haven le 11 octobre 1998. Le Dr
Wood est lun des chercheurs les plus réputés en ufologie. Docteur en physique
de luniversité Cornell, il a fait toute sa carrière à des postes de
responsabilités dans lindustrie aérospatiale américaine, notamment la société
McDonnell-Douglas. Son fils Ryan est un ingénieur en informatique qui a
travaillé dans de grandes entreprises : Intel, Digital, Toshiba.
Les Wood étudiaient depuis un certain temps
ces documents qui leur avaient été fournis par le chercheur californien Timothy
Cooper. Celui-ci dit les avoir reçus dun agent des services secrets quil
appelle Cantwheel, mais dont il ne donne pas lidentité véritable. Ces
documents sont rendus disponibles en novembre sur internet, sur le site de
Joseph Firmage, un jeune homme daffaires qui a fait fortune dans
linformatique à la Silicon Valley, et qui sest reconverti de manière
spectaculaire dans la recherche sur les ovnis (11). Signalons quil sen est
maitenant retiré et na ainsi fait quune brève carrière ufologique. Pour sa
part, le Dr Wood les publie sous forme dune brochure de 190 pages de grand
format, The Majestic Documents,
reprenant également les documents précédents (12).
Une fois de plus, les critiques pleuvent.
Certaines sont graves et il devient vite évident que ces documents sont pour la
plupart, sinon en totalité, des fabrications, en dépit des arguments de Wood
père et fils. Il serait beaucoup trop long de les détailler, mais donnons quand
même ici une idée de ce débat, ainsi que du contenu des documents, qui nest
pas non plus sans intérêt. Le premier document est une curieuse étude, datée de
juin 1947 et signée par les deux grands physiciens Robert Oppenheimer et Albert
Einstein, intitulée Relations avec les habitants de corps célestes. Le texte
est intéressant, mais comporte des fautes bizarres, dès le titre. Le mot
céleste est écrit en anglais celestrial
au lieu de celestial, ce qui fait
douter. Dans une analyse convaincante, le physicien Bruce Maccabee déclare le
document faux. A cela Wood répond quEinstein, le véritable auteur, ne
maîtrisait pas bien langlais, et sa secrétaire non plus !
Les documents suivants tournent autour de la
découverte dun ou plusieurs véhicules accidentés en juillet 1947. Il y est
question, bien sûr, du crash de Roswell, mais les choses se compliquent un peu.
Ce sont :
-une
instruction (Field Order) donnée
début juillet à une unité spécialisée, la Interplanetary
Phenomenon Unit (IPU) de se rendre immédiatement sur les lieux ;
-le
résumé de lIPU, document de sept pages daté du 22 juillet. Celui-ci décrit
sommairement la découverte de deux objets volants entre le 4 et le 6 juillet,
lun près de Corona, site LZ-1 (LZ, pour Landing
Zone) on reconnaît là le ranch de Brazel - et lautre à environ 30 km au
sud-ouest de Socorro, près dOscura Peak, proche du site de lexplosion de la
première bombe atomique. Sur ce deuxième site, on a trouvé cinq cadavres,
denviron 1,50 m de haut, la peau gris rose, pas de cheveux, le corps mince,
vêtus dune combinaison ajustée, à lépreuve du feu. Ils sont sexués mais de
manière peu visible. Dautres corps ont été trouvés près du site LZ-1, ainsi
que des parties de corps danimaux à lintérieur de lappareil à LZ-2. Peu
après la découverte, quatre techniciens sont tombé gravement malades et trois
sont morts dhémorragie ;
-une
instruction donnée le 8 juillet au général Twining de se rendre à White Sands
pour faire une évaluation des ovnis qui y sont conservés ;
-un
rapport de Twining du 16 juillet, de trois pages, intitulé Air Accident Report, qui décrit la
soucoupe trouvée près de Victorio Peak (site absent de la carte routière du
Nouveau-Mexique : faut-il comprendre Oscura Peak ?), en forme de beignet
denviron 10 m de diamètre (35 pieds). A lintérieur, un compartiment suggère
la présence possible dun moteur atomique. Les scientifiques allemands de
Fort Bliss et White Sands (cest là quétait notamment von Braun) nont pu
identifier cet appareil comme un engin secret humain. Selon Oppenheimer et von
Karman, cest le corps même de lappareil qui pourrait faire partie du système
de propulsion (une idée qui figurait déjà dans le livre du colonel Corso :
lappareil pourrait se charger électriquement ) ;
-un
mémorandum du CIG ( Central Intelligence
Group, précédant la CIA qui va être mise en place le 18 septembre, le même
jour que lUS Air Force). Daté du 19 septembre, et signé Hillenkoetter
(Directeur du CIG puis de la CIA dans la foulée), ce texte dune seule page
dévoile lexistence dun troisième site, à 50 km (30 miles) à lest du terrain
daviation dAlamogordo (plus tard Holloman), découvert le 5 juillet !
-vient
ensuite un Mission Assessment, de
19 pages, daté du 19 septembre, qui inaugure le sigle ULAT pour désigner les
ovnis ( Unidentified Lenticular ShapedAerodyne ). Là, il y a un petit
problème : les deux zones de crash sont inversées. LZ-1 est placée près de
Socorro ;
-enfin,
une pièce importante, non datée mais écrite daprès le contexte en 1952, le
Premier rapport annuel du Groupe Majestic-12. De nouvelles précisions sont
apportées, sans toutefois clarifier complètement ce scénario daccidents en
série. On y évoque léjection à haute altitude dun cylindre de sauvetage (escape cylinder) à la suite dune
collision entre deux soucoupes dorigine interplanétaire. Des cinq corps
retrouvés, deux étaient dans le cylindre. Mais la suite nest pas claire,
envisageant lhypothèse assez incroyable dune collision avec un appareil
expérimental (on a observé la fusion de trois spots radar). Mais après tout,
quen savons-nous ?
Ces pages ont été, bien entendu, passées au
crible par les sceptiques et, dès les premiers jours a éclaté une première
grenade, le mot retro-virus qui apparaît dans le document de 1952. Or le mot
nexistait pas encore à cette date. Le physicien Jack Sarfatti, qui se situe
sur laile avancée de lufologie américaine (il a eu une rencontre rapprochée
impressionnante dans son enfance) a recommandé aux Wood dadmettre lerreur,
mais ils nont pas voulu reculer, même sur ce point. Un autre gros pépin a été
la mention dune vieille légende ufologique, la disparition dun régiment
Néo-Zélandais à Gallipoli, dans les Dardanelles en 1915. Or il a été prouvé que
cette histoire était fausse. Erreur fatale, proclame alors Barry Greenwood,
de plus en plus sceptique, dans son bulletin Just Cause !
Pour couronner le tout, Timothy Cooper finit
par être soupçonné de les avoir fabriqués, y compris le document SOM1-01. Le
Britannique Timothy Good dévoile en septembre 1999 que certains défauts
typographiques apparaissent à lidentique sur des lettres quil a reçues de
Cooper. Est-ce le coup de grâce ? Certains lannoncent déjà, comme Jan Aldrich,
ancien militaire très hostile à toutes ces histoires (Roswell compris), qui
sexclame sur internet : Clouons tous ces dindons ! (Lets nail these turkeys!). Cela dit, sur cette question des
défauts typographiques notés par Timothy Good, le Dr Wood réplique quil a fait
étudier le problème par un expert, or celui-ci na pas jugé largument décisif,
car ce type de défaut peut être commun à de nombreuses machines.
Si ces documents sont faux, vient alors la
question : qui les a donc fabriqués et dans quel but ? La plupart des
sceptiques ne poussent pas très loin la réflexion : pour eux, ce sont des faux
fabriqués par des escrocs qui veulent faire croire à toutes ces calembredaines
! Qui croire ? En réalité, cette énorme quantité de documents apparus de
manière mystérieuse ces dernières années pourrait bien illustrer ce processus
de divulgation progressive de linformation, déjà évoqué plus haut, qui serait
poursuivi par certains services secrets désireux de débloquer à terme le verrou
du secret, mais sans provoquer une explosion médiatique. Le jeu consisterait à
toujours maintenir le doute en fabriquant des documents délibérément entachés
derreurs. Ainsi, de linformation est mise en circulation mais on empêche
lopinion de semballer. On pourrait comparer cela aux barres de contrôle dune
pile atomique qui lempêchent dexploser (si tout va bien). Au congrès
international de Laughlin, de mars 2000 au Nevada, les Wood père et fils ont
encore défendu avec une belle énergie leur point de vue radical, à savoir que
ces documents sont essentiellement authentiques. Ils sont dailleurs attelés à
une lourde tâche, lanalyse de plus de mille pages de nouveaux documents quils
ont reçues de Timothy Cooper en 1999, et quils ont lintention de divulguer
progressivement sur internet. Jai soumis à Ryan Wood cette idée de divulgation
progressive avec des erreurs délibérées, mais je ne lai visiblement pas
ébranlé. Il ne semble pas que la question ait beaucoup avancé depuis lors.
Lautre hypothèse, plus brutale, reste bien sûr celle de la désinformation amplifiante,
pour discréditer lufologie. Celle-ci semble être pertinente dans dautres cas,
comme laffaire Bennewitz, et quelques autres épisodes de révélations trop
sensationnelles, quil faut rappeler maintenant, en revenant en arrière au
début des années quatre-vingts.
Je
ne les ai pas tous lu mais il semble que certains articles soient plus
neutres...
Voir par exemple l'article ci-dessous :
OVNI ou pas OVNI ?
D'une certaine manière, Google relance le débat autour du 66ème
anniversaire de l'affaire Roswell, l'une des plus retentissantes et des plus
étranges affaires autour de la présence ou non de débris provenant d'une
soucoupe volante extra-terrestre sur le sol terrien. Le 4 juillet 1947, le fermier William "Mac" Brazel et son fils
découvrent "une large zone de débris brillants, bandes de caoutchouc, feuilles
d'étain, un papier plutôt dur et des barres", comme ils l'ont expliqué au
journal Roswell Daily Record. Partageant leur découverte avec leur plus proche
voisins, ces derniers conseillent au fermier de s'adresser au représentant de
l'ordre le plus proche. Au shérif, ils seront plus expéditifs en disant qu'ils
pensent avoir assisté à un crash d'une soucoupe volante, d'un objet volant non
identifié, ou OVNI.
Le 8 juillet, le lieutenant Walter Haut,
représentant du Roswell Army Air Field (RAAF), fait un premier communiqué de
presse à la demande du colonel William Blanchard commandant de la base de
Roswell. Il y annonce qu'ils ont récupéré une soucoupe volante écrasée près d'un
ranch à Roswell. Cette annonce, qui déclenchera les passions des médias à
l'époque, se succédera un autre communiqué expliquant qu'il ne s'agissait que
d'un ballon sonde. Tentative d'étouffement de l'affaire ou bonne foi de l'Air
Force ? Le débat reste ouvert, l'affaire sagrémentant régulièrement d'éléments
venant confirmer ou infirmer chacun des bords.
C'est ce premier
communiqué qui est célébré par Google en ce 8 juillet, à travers un Doodle
interactif prenant la forme d'un mini-jeu où l'utilisateur dirigera un
extra-terrestre qui devra utiliser certain objets sur des éléments terriens afin
de récupérer les trois parties de son véhicule pour repartir vers sa
planète.
OVNI ou pas OVNI ? D'une certaine manière, Google relance le débat autour
du 66ème anniversaire de l'affaire Roswell, l'une des plus retentissantes et des
plus étranges affaires autour de la présence ou non de débris provenant d'une
soucoupe volante extra-terrestre sur le sol terrien. Le 4 juillet 1947, le
fermier William "Mac" Brazel et son fils découvrent "une large zone de débris
brillants, bandes de caoutchouc, feuilles d'étain, un papier plutôt dur et des
barres", comme ils l'ont expliqué au journal Roswell Daily Record. Partageant
leur découverte avec leur plus proche voisins, ces derniers conseillent au
fermier de s'adresser au représentant de l'ordre le plus proche. Au shérif, ils
seront plus expéditifs en disant qu'ils pensent avoir assisté à un crash d'une
soucoupe volante, d'un objet volant non identifié, ou OVNI. Le 8 juillet, le
lieutenant Walter Haut, représentant du Roswell Army Air Field (RAAF), fait un
premier communiqué de presse à la demande du colonel William Blanchard
commandant de la base de Roswell. Il y annonce qu'ils ont récupéré une soucoupe
volante écrasée près d'un ranch à Roswell. Cette annonce, qui déclenchera les
passions des médias à l'époque, se succédera un autre communiqué expliquant
qu'il ne s'agissait que d'un ballon sonde. Tentative d'étouffement de l'affaire
ou bonne foi de l'Air Force ? Le débat reste ouvert, l'affaire sagrémentant
régulièrement d'éléments venant confirmer ou infirmer chacun des bords. C'est ce
premier communiqué qui est célébré par Google en ce 8 juillet, à travers un
Doodle interactif prenant la forme d'un mini-jeu où l'utilisateur dirigera un
extra-terrestre qui devra utiliser certain objets sur des éléments terriens afin
de récupérer les trois parties de son véhicule pour repartir vers sa planète.
Cette page, plus qu'approximative, est typique de la presse et du web.
J'ai regardé rapidement les liens cités par Google sur Roswell, et j'ai
arrêté au bout de dix pages, ayant vu défiler un bric à brac de sites et de
blogs plus ou moins sérieux, mais pas un seul livre (à moins d'avoir mal
regardé), et en tout cas pas les miens. Moralité : écrivez tant que vous voulez
un bon livre et faites en même plusieurs rééditions, soigneusement mises à jour,
plus des chapitres dans d'autres livres, des articles et des conférences qui
vous donnent le statut de "spécialiste " en France, eh bien ça ne vaut pas un
site web ou un clip vidéo mal torché, mais bien référencé, qui vous a
éventuellement copié, sans permission (j'ai remarqué ça). Même mon blog, avec
quelques articles sur le sujet, n'apparaît pas : trop petit, sans doute,
mon ami !
Voilà : le monde de l'internet grand public est arrivé. Les bouquins, on
peut les brûler dans les chaudières des centrales électriques (et alimenter
Internet, très gourmand !).
Vivez longtemps et prospérez !
Et oubliez ce mouvement d'humeur, et d'humour.
Deuxième Réaction de A.S.: Oui, G., et les professionnels de la désinformation vont se retrouver au
chômage: le travail se fait tout seul !
Mais ne vous désespérez pas: dès
qu'on se spécialise un peu, dans quelque domaine que ce soit, on mesure bien
vite le fossé qui sépare "l'initié" du grand public. Ce n'est pas particulier à
l'ufologie: le même phénomène existe dans le développement des sciences, les
infos financières, les ficelles de la politique... Ce qui paraît dans la presse
doit être "accessible" au premier venu - c'est-à-dire avoir un contenu minimum
et très approximatif (sans parler de l'inévitable orientation idéologique qui
s'y superpose).
Restons philosophes, et faisons bien la différence entre
cette bouillaque de grande diffusion et le vrai travail qui ne peut intéresser
qu'un petit nombre. On peut au moi! ns s'y livrer en paix !
Beste bezoeker, Heb je zelf al ooit een vreemde waarneming gedaan, laat dit dan even weten via email aan Frederick Delaere opwww.ufomeldpunt.be. Deze onderzoekers behandelen jouw melding in volledige anonimiteit en met alle respect voor jouw privacy. Ze zijn kritisch, objectief maar open minded aangelegd en zullen jou steeds een verklaring geven voor jouw waarneming! DUS AARZEL NIET, ALS JE EEN ANTWOORD OP JOUW VRAGEN WENST, CONTACTEER FREDERICK. BIJ VOORBAAT DANK...
Druk op onderstaande knop om je bestand , jouw artikel naar mij te verzenden. INDIEN HET DE MOEITE WAARD IS, PLAATS IK HET OP DE BLOG ONDER DIVERSEN MET JOUW NAAM...
Druk op onderstaande knop om een berichtje achter te laten in mijn gastenboek
Alvast bedankt voor al jouw bezoekjes en jouw reacties. Nog een prettige dag verder!!!
Over mijzelf
Ik ben Pieter, en gebruik soms ook wel de schuilnaam Peter2011.
Ik ben een man en woon in Linter (België) en mijn beroep is Ik ben op rust..
Ik ben geboren op 18/10/1950 en ben nu dus 73 jaar jong.
Mijn hobby's zijn: Ufologie en andere esoterische onderwerpen.
Op deze blog vind je onder artikels, werk van mezelf. Mijn dank gaat ook naar André, Ingrid, Oliver, Paul, Vincent, Georges Filer en MUFON voor de bijdragen voor de verschillende categorieën...
Veel leesplezier en geef je mening over deze blog.