Fascinating: These 7 predictions by sci-fi authors have really come true

Science fiction has inspired people for centuries. However curious their authors' view of the distant future may be, their fantastic visions often come true.

Whether Jules Verne, Aldous Huxley, Gene Roddenberry or George Lucas - they all have one thing in common: they open up a glimpse of the technology of the future that has already become reality or is at least about to become so.

#1 The moon landing

104 years before the first man would set foot on the moon, Jules Verne published his idea of landing on the moon. The novel "From Earth to Moon" from 1865 is about three Americans who take off with a spaceship into space and land on the moon.

#2 The communicator from "Star Trek"

In 1966, the famous communication device from Star Trek was presented to the public for the first time. What seemed revolutionary at the time is now reminiscent of a folding mobile phone.

Although engineers were already working on mobile phone technology in the 1960s, it took Motorola until 1973 to present the world's first mobile phone.

Ten years later, in 1983, the then heavy, large and expensive devices came onto the market. However, the world had to wait another six years for the really first clamshell mobile phone. The device, which was then released, came very close to the Star Trek communicator.

#3 The Iron Man Suit

Ever since it first appeared in the Iron Man comics, Tony Stark's suit has been a legend. Although nobody will be flying around in such high-tech wonders in the near future, the US military is working under the name "Talos" on a technology that combines some of the features of the Iron Man suit.

In addition, there are hobby craftsmen like Richard Browning, who has made his very own flight suit in the style of Iron Man.

#4 Electrically powered submarines

Jules Verne, the second: In his novel "20,000 Miles Under the Sea" from 1870, the Sci Fi author impressively describes a submarine that is completely powered by electricity. At that time, however, such monsters functioned exclusively mechanically.

An MIT historian decades later confirmed to National Geographic that Verne's fictional submarine "Nautilus" would hardly differ from today's watercraft.

#5 Bluetooth headset

In "Fahrenehit 451" of 1953, Sci-Fi writer Ray Bradbury wrote about "shells" and "thimble-sized radios" that are very similar to today's Bluetooth headphones. Today Apple AirPods are used by millions of people every day.

According to Bradbury, his devices "created an electronic ocean of sounds, music, and conversation that washed away on the beach of your waking consciousness.

#6 The atomic bomb

H.G. Wells, author of "The Liberated World", visioned in 1914 in his novel of a grenade made of uranium that "exploded indefinitely". Three decades later, these bombs were dropped on Japan and cost the lives of countless people.

Wells himself described a drop from an airplane, as was the case during the Second World War. Nevertheless, experts say that the author's invented atomic bombs differed significantly from their very real counterparts. They exploded continuously for several days, weeks or months.

#7 Driving robot cars

Cars with "robot brains" said Isaac Asimov, father of the robot laws, already in 1964 before, after he had visited the world exhibition at that time.

More than 50 years later, companies such as Waymo, Tesla, Apple, and others are trying to create autonomous vehicles that do without the driver's help. Many of them want to bring their vehicles onto the roads by 2030.

Conclusion: Science fiction is real

It is a fascinating thought that people can think up technological developments that will become reality decades later. However, we do not know to what extent this has influenced subsequent generations and has led to the implementation of certain concepts.

{ https://www.disclose.tv/ }

21-01-2019 om 17:44 geschreven door peter  

Oumuamua : l'objet interstellaire est-il un vaisseau extraterrestre?

Oumuamua, dont le nom hawaïen signifie « messager venu de loin et arrivé le premier » , n'a pas fini de faire parler de lui. D'abord pris pour une comète venue d'une autre étoile, puis pour un astéroïde, l'hypothèse de la comète est de nouveau privilégiée. Cependant, l'objet interstellaire n'a pas le comportement d'une comète venant de dégazer. Dans ce cas, si ce n'est ni un astéroïde, ni une comète, qu'est-ce que c'est ? 'Oumuamua est-il le messager d'une autre étoile ?

Quelques semaines après la découverte de 'Oumuamua, une première salve d'observations suggérait que le premier objet interstellaire jamais détecté dans notre Système solaire était un astéroïde de forme inhabituelle, plus long que large (entre 6 et 10 fois), un peu comme un cigare. Un objet cylindrique venu d'une autre étoile... ? Mais, ne serait-ce pas Rama, le vaisseau spatial décrit dans le roman de science-fiction Rendez-vous avec Rama, d'Arthur C. Clarke. Pour tenter de le savoir, des chercheurs ont donc mis 1I/2017 U1 « sur écoute », voici un an, à l'affut d'éventuelles émissions radio qui proviendraient de l'intérieur... Mais cela n'a rien donné, l'objet était silencieux.

Alors, exit l'hypothèse d'un vaisseau (ou d'une sonde) venu d'ailleurs ? Non, une nouvelle étude (consultable sur arXiv) relance le débat quant à la vraie nature de ‘Oumuamua. S'agit-il d'un objet naturel expulsé d'un autre système planétaire ou d'un artefact envoyé par une civilisation extraterrestre pour découvrir s'il y a de la vie ailleurs dans la galaxie ? Les deux auteurs n'excluent pas cette possibilité.

L’énigme de l’excès d’accélération de ‘Oumuamma

Dans leur article, les deux astrophysiciens du Harvard Center for Astrophysics, Shmuel Bialy et Abraham Loeb, n'affirment pas que 'Oumuamua est un vaisseau spatial mais ils posent la question (d'ailleurs, le titre de leur article est : La pression de rayonnement solaire peut-elle expliquer l'accélération particulière de 'Oumuamua ?). Tous deux restent très intrigués par « l'excès d'accélération » de l'objet observé lors de sa traversée de notre Système solaire.

Mais avant de continuer, un rapide rappel des faits s'impose : 1I/2017 U1 est passé au plus près de notre étoile, le 9 septembre (à 0,25 UA, soit un quart de la distance Terre-Soleil). Le 14 octobre, il était au plus proche de la Terre (0,15 UA)... Et ce n'est que cinq jours plus tard, le 19 octobre, que Robert Weryk et son équipe l'ont découvert sur les relevés du télescope Pan-STARRS-1, installé sur le volcan Haleakalā, à Hawaii. Quelle émotion ce fut pour l'équipe de mettre la main sur le premier objet de ce type ; en effet, les astronomes attendaient ce moment depuis des décennies... Et voici qu'enfin, sous leurs yeux, venant de la direction de la Lyre, quelque chose qui ressemble à une comète ou un astéroïde venu d'ailleurs fait son apparition.

Revenons à cette accélération. Pourquoi se comporte-t-il ainsi, faisant fi surtout des interactions gravitationnelles avec le Soleil et les planètes, contrairement à ce que s'attendaient à observer les astronomes. Dans une étude publiée au début de l'été 2018, l'explication était que cela était dû à un léger dégazage. Finalement, l'énigmatique ‘Oumuamua serait une comète et non un astéroïde. Mais une comète atypique car les recherches n'ont révélé aucune trace d'une queue cométaire (c'est d'ailleurs pour cette raison qu'après sa découverte, il fut postulé que c'est un astéroïde). Ce serait une comète sans glace (ou presque). Bref, un objet qui n'est pas sans rappeler Phaéton ou encore 9969 Braille. Fin de l'histoire ? Pas tout à fait.

« Si 'Oumuamua était en fait une comète, pourquoi alors n'a-t-il pas eu tendance à dégazer quand il était au plus près de notre soleil ?, interrogent Shmuel Bialy et Abraham Loeb qui ne veulent pas en rester là. Or, 'Oumuamua ne montre aucun signe d'activité cométaire, pas de queue de comète, ni aucune émission de gaz ou ligne d'absorption. Et si le dégazage était responsable de l'accélération, alors les couples associés auraient entraîné une évolution rapide de la rotation de 'Oumuamua », pointent-ils. Mais rien de semblable n'a été observé. Pour comprendre ce qu'il s'est passé, les deux astrophysiciens ont donc procédé à des modélisations.

‘Oumuamua est-il un objet naturel ou artificiel ?

Selon leurs calculs, 'Oumuamua aurait bénéficié d'un effet de « voile solaire ». « Nous expliquons l'excès d'accélération de 'Oumuamua loin du soleil comme étant le résultat de la force que la lumière du soleil exerce sur sa surface. Pour que cette force puisse expliquer l'excès d'accélération mesuré, l'objet doit être extrêmement fin, de l'ordre d'une fraction de millimètre, et de plusieurs dizaines de mètres en surface. Cela rend l'objet léger pour sa surface et lui permet d'agir comme une voile légère » écrivent-ils. Et si tel était le cas, ils indiquent que l'objet interstellaire pourrait survivre à un long périple dans la galaxie, sans trop de dommages, sur une distance de l'ordre de quelque 16.000 années-lumière.

Alors, qui est vraiment 'Oumuamua ? Pour les chercheurs, quand bien même l'objet interstellaire ne serait pas un vaisseau extraterrestre qui explore les étoiles et leurs planètes dans une partie de la galaxie, l'humanité devrait s'intéresser à la recherche de débris - ou épaves - de sondes extraterrestres. Après tout, de telles missions pourraient exister et d'ailleurs, plusieurs Terriens songent à en envoyer, à commencer vers notre plus proche voisine, Proxima b. Justement, en plus d'être titulaire de la chaire d'astronomie à Harvard, Abraham Loeb est le président du Conseil consultatif du projet de voile solaire de Breakthrough Starshot.

Le moins que l'on puisse dire est que depuis sa sortie, l'article déposé sur arXiv (et en attente de publication) suscite énormément de réactions et d'attaques. Pourtant, Avi Loeb et Shmuel Bialy n'affirment pas que c'est un vaisseau extraterrestre mais veulent montrer, par cet exercice, qu'après tout l'hypothèse d'une sonde équipée de voiles solaires est possible. Pour eux, le comportement d''Oumuamua s'explique bien dans le cas d'un objet très fin et de grande surface, arguent-ils.

Mais l'étude ne convainc pas tous leurs pairs. Seth Shostak (Seti), par exemple, a déclaré à NBC en réponse à leur article qu'« on ne devrait pas accepter aveuglément cette hypothèse habile quand il y a également une explication banale pour 'Oumuamua, à savoir que c'est une comète ou un astéroïde lointain ».

De son côté, Alan Fitzsimmons, de la Queens University, a indiqué à l'AFP que « comme beaucoup de chercheurs, j'aimerais beaucoup qu'il existe une preuve irréfutable de vie extraterrestre, mais ce n'est pas le cas. Il a déjà été démontré que les caractéristiques observées de l'objet sont cohérentes avec celles d'un corps similaire à une comète éjectée d'un autre système stellaire, ajoutant que certains arguments de leur étude se fondent sur des chiffres qui contiennent beaucoup d'incertitude ».

Sur Twitter, Katie Mack, de l'université de la Caroline du Nord, écrit : « Il faut bien comprendre que pour les scientifiques, l'idée la plus folle est toujours publiable, du moment qu'il existe une chance infime qu'elle ne soit pas fausse. Même les auteurs n'y croient probablement pas eux-mêmes ». Ce à quoi a répondu Shmuel Bialy : « Je ne dirais pas que je "crois" qu'il ait été envoyé par des extraterrestres. Car je suis un scientifique, pas un croyant. Je me fonde sur des preuves afin de trouver des explications physiques possibles à des phénomènes observés ».

Bref, tout le monde n'est pas d'accord. Découvrir d'autres astéroïdes ou comètes interstellaires pourra en tout cas nous éclairer. Ils devraient être des millions et pour l'instant, un seul a été observé. Alors, y a-t-il d'autres 'Oumuamua dans le Système solaire ? Et existe-t-il des vaisseaux à la dérive qui appartenaient à des civilisations extraterrestres ? Les télescopes sont à l'affut.

Ce qu'il faut retenir

Deux astrophysiciens de Harvard relancent le débat sur la nature de 1I/2017 U1 ‘Oumuamua.
Selon leurs modélisations, l'accélération observée de l'objet interstellaire lors de sa traversée du Système solaire pourrait être liée à une voile solaire.
L'étude suscite beaucoup de réactions et d'interrogations
'Oumuamua, dont le nom hawaïen signifie « messager venu de loin et arrivé le premier » , n'a pas fini de faire parler de lui. D'abord pris pour une comète venue d'une autre étoile, puis pour un astéroïde, l'hypothèse de la comète est de nouveau privilégiée. Cependant, l'objet interstellaire n'a pas le comportement d'une comète venant de dégazer. Dans ce cas, si ce n'est ni un astéroïde, ni une comète, qu'est-ce que c'est ? 'Oumuamua est-il le messager d'une autre étoile ?

Quelques semaines après la découverte de 'Oumuamua, une première salve d'observations suggérait que le premier objet interstellaire jamais détecté dans notre Système solaire était un astéroïde de forme inhabituelle, plus long que large (entre 6 et 10 fois), un peu comme un cigare. Un objet cylindrique venu d'une autre étoile... ? Mais, ne serait-ce pas Rama, le vaisseau spatial décrit dans le roman de science-fiction Rendez-vous avec Rama, d'Arthur C. Clarke. Pour tenter de le savoir, des chercheurs ont donc mis 1I/2017 U1 « sur écoute », voici un an, à l'affut d'éventuelles émissions radio qui proviendraient de l'intérieur... Mais cela n'a rien donné, l'objet était silencieux.

Alors, exit l'hypothèse d'un vaisseau (ou d'une sonde) venu d'ailleurs ? Non, une nouvelle étude (consultable sur arXiv) relance le débat quant à la vraie nature de ‘Oumuamua. S'agit-il d'un objet naturel expulsé d'un autre système planétaire ou d'un artefact envoyé par une civilisation extraterrestre pour découvrir s'il y a de la vie ailleurs dans la galaxie ? Les deux auteurs n'excluent pas cette possibilité.

L’énigme de l’excès d’accélération de ‘Oumuamma

Dans leur article, les deux astrophysiciens du Harvard Center for Astrophysics, Shmuel Bialy et Abraham Loeb, n'affirment pas que 'Oumuamua est un vaisseau spatial mais ils posent la question (d'ailleurs, le titre de leur article est : La pression de rayonnement solaire peut-elle expliquer l'accélération particulière de 'Oumuamua ?). Tous deux restent très intrigués par « l'excès d'accélération » de l'objet observé lors de sa traversée de notre Système solaire.

Mais avant de continuer, un rapide rappel des faits s'impose : 1I/2017 U1 est passé au plus près de notre étoile, le 9 septembre (à 0,25 UA, soit un quart de la distance Terre-Soleil). Le 14 octobre, il était au plus proche de la Terre (0,15 UA)... Et ce n'est que cinq jours plus tard, le 19 octobre, que Robert Weryk et son équipe l'ont découvert sur les relevés du télescope Pan-STARRS-1, installé sur le volcan Haleakalā, à Hawaii. Quelle émotion ce fut pour l'équipe de mettre la main sur le premier objet de ce type ; en effet, les astronomes attendaient ce moment depuis des décennies... Et voici qu'enfin, sous leurs yeux, venant de la direction de la Lyre, quelque chose qui ressemble à une comète ou un astéroïde venu d'ailleurs fait son apparition.

Revenons à cette accélération. Pourquoi se comporte-t-il ainsi, faisant fi surtout des interactions gravitationnelles avec le Soleil et les planètes, contrairement à ce que s'attendaient à observer les astronomes. Dans une étude publiée au début de l'été 2018, l'explication était que cela était dû à un léger dégazage. Finalement, l'énigmatique ‘Oumuamua serait une comète et non un astéroïde. Mais une comète atypique car les recherches n'ont révélé aucune trace d'une queue cométaire (c'est d'ailleurs pour cette raison qu'après sa découverte, il fut postulé que c'est un astéroïde). Ce serait une comète sans glace (ou presque). Bref, un objet qui n'est pas sans rappeler Phaéton ou encore 9969 Braille. Fin de l'histoire ? Pas tout à fait.

« Si 'Oumuamua était en fait une comète, pourquoi alors n'a-t-il pas eu tendance à dégazer quand il était au plus près de notre soleil ?, interrogent Shmuel Bialy et Abraham Loeb qui ne veulent pas en rester là. Or, 'Oumuamua ne montre aucun signe d'activité cométaire, pas de queue de comète, ni aucune émission de gaz ou ligne d'absorption. Et si le dégazage était responsable de l'accélération, alors les couples associés auraient entraîné une évolution rapide de la rotation de 'Oumuamua », pointent-ils. Mais rien de semblable n'a été observé. Pour comprendre ce qu'il s'est passé, les deux astrophysiciens ont donc procédé à des modélisations.

‘Oumuamua est-il un objet naturel ou artificiel ?

Selon leurs calculs, 'Oumuamua aurait bénéficié d'un effet de « voile solaire ». « Nous expliquons l'excès d'accélération de 'Oumuamua loin du soleil comme étant le résultat de la force que la lumière du soleil exerce sur sa surface. Pour que cette force puisse expliquer l'excès d'accélération mesuré, l'objet doit être extrêmement fin, de l'ordre d'une fraction de millimètre, et de plusieurs dizaines de mètres en surface. Cela rend l'objet léger pour sa surface et lui permet d'agir comme une voile légère » écrivent-ils. Et si tel était le cas, ils indiquent que l'objet interstellaire pourrait survivre à un long périple dans la galaxie, sans trop de dommages, sur une distance de l'ordre de quelque 16.000 années-lumière.

Alors, qui est vraiment 'Oumuamua ? Pour les chercheurs, quand bien même l'objet interstellaire ne serait pas un vaisseau extraterrestre qui explore les étoiles et leurs planètes dans une partie de la galaxie, l'humanité devrait s'intéresser à la recherche de débris - ou épaves - de sondes extraterrestres. Après tout, de telles missions pourraient exister et d'ailleurs, plusieurs Terriens songent à en envoyer, à commencer vers notre plus proche voisine, Proxima b. Justement, en plus d'être titulaire de la chaire d'astronomie à Harvard, Abraham Loeb est le président du Conseil consultatif du projet de voile solaire de Breakthrough Starshot.

Le moins que l'on puisse dire est que depuis sa sortie, l'article déposé sur arXiv (et en attente de publication) suscite énormément de réactions et d'attaques. Pourtant, Avi Loeb et Shmuel Bialy n'affirment pas que c'est un vaisseau extraterrestre mais veulent montrer, par cet exercice, qu'après tout l'hypothèse d'une sonde équipée de voiles solaires est possible. Pour eux, le comportement d''Oumuamua s'explique bien dans le cas d'un objet très fin et de grande surface, arguent-ils.

Mais l'étude ne convainc pas tous leurs pairs. Seth Shostak (Seti), par exemple, a déclaré à NBC en réponse à leur article qu'« on ne devrait pas accepter aveuglément cette hypothèse habile quand il y a également une explication banale pour 'Oumuamua, à savoir que c'est une comète ou un astéroïde lointain ».

De son côté, Alan Fitzsimmons, de la Queens University, a indiqué à l'AFP que « comme beaucoup de chercheurs, j'aimerais beaucoup qu'il existe une preuve irréfutable de vie extraterrestre, mais ce n'est pas le cas. Il a déjà été démontré que les caractéristiques observées de l'objet sont cohérentes avec celles d'un corps similaire à une comète éjectée d'un autre système stellaire, ajoutant que certains arguments de leur étude se fondent sur des chiffres qui contiennent beaucoup d'incertitude ».

Sur Twitter, Katie Mack, de l'université de la Caroline du Nord, écrit : « Il faut bien comprendre que pour les scientifiques, l'idée la plus folle est toujours publiable, du moment qu'il existe une chance infime qu'elle ne soit pas fausse. Même les auteurs n'y croient probablement pas eux-mêmes ». Ce à quoi a répondu Shmuel Bialy : « Je ne dirais pas que je "crois" qu'il ait été envoyé par des extraterrestres. Car je suis un scientifique, pas un croyant. Je me fonde sur des preuves afin de trouver des explications physiques possibles à des phénomènes observés ».

Bref, tout le monde n'est pas d'accord. Découvrir d'autres astéroïdes ou comètes interstellaires pourra en tout cas nous éclairer. Ils devraient être des millions et pour l'instant, un seul a été observé. Alors, y a-t-il d'autres 'Oumuamua dans le Système solaire ? Et existe-t-il des vaisseaux à la dérive qui appartenaient à des civilisations extraterrestres ? Les télescopes sont à l'affut.

Ce qu'il faut retenir

Deux astrophysiciens de Harvard relancent le débat sur la nature de 1I/2017 U1 ‘Oumuamua.
Selon leurs modélisations, l'accélération observée de l'objet interstellaire lors de sa traversée du Système solaire pourrait être liée à une voile solaire.
L'étude suscite beaucoup de réactions et d'interrogations

SOURCE: 

• https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/vie-extraterrestre-%CA%BBoumuamua-objet-interstellaire-il-vaisseau-extraterrestre-69025/

 { http://ovni-extraterrestre.com/ }

21-01-2019 om 17:28 geschreven door peter  

IN BEELD. Zo mooi was de totale maansverduistering - HLN.be - PART I

Tijdens een maansverduistering staan de zon, de aarde en de maan op één lijn en komt de maan helemaal in de schaduw van de aarde te liggen. Het fenomeen was vanmorgen ook in België te zien – met dank aan het heldere weer - en de maan zag er bloedrood uit (vandaar ook de term ‘bloedmaan’). Dat resulteert in prachtige beelden. De maansverduistering was compleet om 6.12 uur, maar je kon er een glimp van opvangen tot iets na zonsopgang. Geniet alvast mee, want pas in 2029 kan je in ons land nog eens een totale maansverduistering zien.

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Marc Vermeulen@marcvermeulennl

@helgavanleur Zie de super-bloed-maan schijnt door de bomen...

• 6

6:09 AM - Jan 21, 2019

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Danny van Schendel@dvschend

Dat was het hoogtepunt mensen. Ik maakte net deze foto. Voor de fotografieliefhebbers: 1944 mm, iso 100, 1" #maansverduistering #maan #bloedmaan #vollemaan

• 111

6:22 AM - Jan 21, 2019

• 23 people are talking about this

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De maan boven het Victoria Alada-standbeeld in Madrid.

BELGA

  

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Maan kleurt felrood vanochtend: bloedmaan, supermaan én totale maansverduistering

Een honderdtal mensen zakte vanochtend vroeg af naar de volkssterrenwacht Mira om de totale maansverduistering te aanschouwen. Door de goede weersomstandigheden was het fenomeen goed zichtbaar, stelt woordvoerder Francis Meeus. “Ondanks het vroege uur is er met een honderdtal mensen een mooi aantal geïnteresseerden naar Mira gekomen”, aldus Meeus. Er waren ook heel wat kinderen bij. “Sommigen vertelden dat ze door de spanning helemaal niet geslapen hadden.”

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Esther Hanko@EstherHanko

Beetje krap maar het paste! De verduisterde maan met 1 van de koepels van het @uva_api #maansverduistering #lunareclipse #eclipse2019

• 35

7:31 AM - Jan 21, 2019

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Joyce@JoyceSandifort

Een poging gewaagd om de bloedmaan te fotograferen. Helaas heb ik ondanks dat ik al een fortuin aan apparatuur heb niet de juiste tools om de maan helemaal scherp te krijgen. Het was wel een prachtig tafereel om te zien... #bloedmaan #Delftlandenview #CanonEOS70D #nofilter

• 6

7:49 AM - Jan 21, 2019

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☆Matthijs Burgmeijer@MMBurgmeijer

Prachtig natuurverschijnsel! #stilvan #LunarEclipse #maansverduistering #lunareclipse2019 #smartphone #astronomy #moon #maan

• 4

6:28 AM - Jan 21, 2019

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Koen in het Italiaans@corradofr_

#maan #moon #bloedmaan #bloodmoon #wolfmaan #wolfmoon #superwolfbloedmaan #superwolfbloodmoon #sky #photography #night #art #moonlight #nightsky #nature #fullmoon #stars #eclipse #space #lunareclipse #love #luna #nightphotography #photo #photooftheday #redmoon #oostkapelle
me

• 2

6:25 AM - Jan 21, 2019

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21-01-2019 om 16:21 geschreven door peter  

IN BEELD. Zo mooi was de totale maansverduistering - HLN.be - PART II

Henk Diever@henkdiever

Rode maan boven Noordwolde fr Maandagmorgen 21 januari 2019.

• 14

6:50 AM - Jan 21, 2019 · Weststellingwerf, Nederland

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Jos@jnvdg

De #Maan in de schaduw van de aarde (#maansverduistering, #eclips) met daarnaast Castor en Pollux Zelfs goed te zien in lichtstad #Leiden

• 1

6:30 AM - Jan 21, 2019

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Danny van Schendel@dvschend

Soms moet je ook even geluk hebben. Zoals dat er net een vliegtuig langsvliegt wanneer je net afdrukt #maansverduistering #bloedmaan #maan #vollemaan

• 39

7:59 AM - Jan 21, 2019

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{ https://www.hln.be/ }

21-01-2019 om 16:19 geschreven door peter  

If you name your kid “Killer,” you should be prepared to accept the consequences … or at least his therapy bills (and if Killer’s a she, you need help as well). So it should come as no surprise that an asteroid named for an ancient Egyptian god of destruction, darkness and evil (apparently, in the case of asteroids, those are not redundant) is actually being predicted to cause destruction, darkness and evil. Not only that, the estimated time of arrival is a mere few decades from now. Will there be time to send a force of good, light and wholesomeness (with a nuclear warhead, of course) to stop it?

“The [asteroid’s] approach causes a significant scattering of possible trajectories, among them trajectories indicating convergence in 2051. Further orbital resonance reentries contain a great number (about one hundred) possible collisions between Apophis and the Earth, the most dangerous of them in 2068.”

While you may not be concerned about 99942 Apophis, Russian scientists are. In a new report to be presented at the 43rd Korolev Readings on Cosmonautics (an annual scientific forum dedicated to the memory of Sergei Korolev – a rocket engineer considered to be the Soviet Union’s Robert Goddard and the father of practical astronautics), researchers from St. Petersburg State University are predicting Apophis will come within 16 million km (10 million miles) of Earth in 2044, within 760,000 km (472,000 miles) in 2051, within five million km (3.1 million miles) in 2060, and within 100,000 km (62, 000 miles) in 2068. (For reference, the Moon is 385,000.6 km (239,228.3 mile) from Earth).

Apophis’ hitting the keyhole in 2029

That doesn’t sound so bad, right? It gets worse, according to Sputnik News, (interesting coincidence — Sergei Korolev worked on Sputnik 1, the first artificial satellite.) Apophis is also making a very close pass by Earth in 2029 (within 37,600km (23,363 miles) and that one will determine if and when the asteroid will hit the Earth on a future (and last) trip. That’s when Apophis could pass through a tiny gravitational keyhole which would alter its trajectory enough to cause a collision on the future pass in 2036.

Yes, we’ve heard about this many times before since it was discovered in 2004 (when initial observers predicted a 2.7% chance that it would hit the in 2029. Subsequent revisions in the calculations eliminated the probability for a hit in 2029 but came up with the keyhole possibility instead. What kind of impact would this 350 meter (1,150 feet) diameter rock have? The Sentry Risk Table estimates that Apophis would make atmospheric entry with 750 megatons of kinetic energy. For comparisons, the Siberian Tunguska event in 1908 was in the 3–10 megaton range and the biggest hydrogen bomb ever exploded was around 57 megatons.

While anti-conspiracists say the odds of an Apophis hit are so low that there’s no need to even be talking about it, Russians scientists certainly are, as evidenced by the Korolev Readings presentation. And the “force of good nuke versus evil asteroid” is a real option studied by researchers at Tomsk State University in Siberia. Why are the Siberians so worried? Can asteroid strike twice in the same place? For that matter, why are the Russians? Do they know something we don’t? Or something NASA won’t tell us?

Apophis, the Egyptian god of destruction, is often depicted as a serpent

There seem to be reports monthly of asteroids that pass very close to the Earth without warning. Is it really hand-wringing or fear-mongering to worry about a real asteroid with a known schedule and a distinct possibility of hitting Earth?

Especially one named after the god of destruction?

{ https://mysteriousuniverse.org/ }

21-01-2019 om 15:10 geschreven door peter  

One of the lesser known aspects of the Bob Lazar controversy– a very bizarre aspect, I have to say – is that which suggests he just might have seen an alien entity at Area 51 – a live one, no less. A joke? A case of mistaken identity (of what I have no idea at all)? A hoax? A strange case of someone screwing around with Lazar’s mind? The odd story gets very little publicity, but it’s as fascinating as it is downright weird. The issue of aliens – alive, dead or possibly both over at Area 51’s secret S-4 facility – first surfaced from Lazar in the early part of 1989, roughly thirty years ago. When asked about that specific matter by journalist George Knapp, Lazar quickly shot down the question in what was undeniably a very awkward fashion and he chose to change the subject. Later on though, in what was a private, rather than public, interview Lazar opened up a little bit more on the curious claims. What he had to say was brief but amazing – if it’s all true, of course. That, needless to say, is the most important aspect of the story.

According to Lazar’s memories of the strange situation he is said to have found himself in, “I walked down the hallway at one time I was working down there, and there were these doors – the doors that go to the hangar are smaller than the doors in the corridors and have a 9-inch or 12-inch square window with little wires running through it, just about head level. And as I was walking by, I just glanced in and I noticed – at a quick glance – there were two guys in white lab coats, facing me towards the door.”

Lazar then got to what is undeniably the heart of the matter: the two men were said to have been looking down at a small, humanoid figure with long arms. And seemingly talking to it, no less! As you do. Although Lazar has gone on record as saying that he only saw the entity for a second or so, he was in no doubt about what it appeared to be. I say “appeared” because Lazar himself admitted that he suspected this was all some kind of strange set-up. He said of this thought-provoking possibility: “Maybe they stuck a doll in front of these guys and made me walk by it and look at it, just to see what my reaction would be.”

Such a thing is not at all impossible, as the following brief, but notable, comment from Lazar makes clear: “They play so many mind games there [italics mine].” While enthusiastic UFO researchers may dearly want to believe that living aliens are running around and hanging out at Area 51, Lazar’s carefully worded statement suggests that we should exercise a significant amount of restraint on this issue – at least until, or if, further vindication comes along. So far, it has not – to any degree at all. George Knapp, who spent a lot of time trying to secure and figure out the whole story of Bob Lazar, made a thought-provoking statement in a 1993 paper for the Mutual UFO Network (MUFON). It may have a bearing on the issue of how certain elements of the U.S. government – such as counterintelligence and disinformation experts – might be using the UFO issue as a cover for something else, such as a dummy for an alien, we might well suggest. Knapp said in his paper, “Area 51, Bob Lazar, and Disinformation – A Reevaluation“: “Again and again, I have heard self-appointed Groom Lake experts conclude, without any reservations, that the Groom Lake aerial ballet is disinformation, pure theater, a show designed to distract attention away from earthly black projects, or as some sort of exercise in mass psychology.” It’s a paper I recommend to anyone and everyone with an interest in the Area 51 saga; you really should read it.

As all of the above demonstrates, there is a distinct possibility that a great deal of high-strangeness is afoot at Area 51; however, that does not mean UFOs and aliens (dead or alive) are necessarily within its confines. I would be extremelysurprised, and totally amazed, if they were. Maybe, someone wants us to believe that’s what’s going on, but for reasons which are not yet fully understood.

{ https://mysteriousuniverse.org/ }

21-01-2019 om 14:59 geschreven door peter  

Russian company wants to put advertisements in SPACE so they can be seen in the night sky

• StartRocket wants to use tiny briefcase-sized satellites to put adverts in the sky  
• They have a reflective sail and would arrange themselves in a specific pattern 
• Each Cubesat would form one pixel in the advert which relies on the sun's light 
• The advert would be visible for a total of six minutes three or four times a day 

By JOE PINKSTONE FOR MAILONLINE 

Controversial plans from a Russian firm would see adverts run across the evening sky using hundreds of tiny orbiting satellites.  

The ambitious marketing project would beam down luminous slogans and logos from 300 miles (480 kilometres) above the people it is targeting.  

StartRocket is a budding company hoping to use Cubesats - briefcase sized spacecrafts - in low-Earth orbit and arranging them in a particular way based on the demands of the paying customer.

They would reflect light from the sun back towards Earth's surface and therefore only be functional when light is available near Earth but not on the surface, such as at dawn and dusk.

Each satellite would have a huge reflective sail which would act as a single pixel within the display.

Not everyone is happy with the plans, however, with critics pointing out the problem of light pollution the scheme will generate.

This may even threaten astronomical research on the ground, it has been claimed.

Scroll down for video 

A Russian firm wants to to put adverts in the sky using hundreds of tiny orbiting satellites. The ambitious marketing project would beam down luminous signs and logos from space from 300 miles (480 kilometres) above the people it is targeting 

StartRocket estimates the advert would measure approximately 19 square miles (50 square kilometres). 

The advert would theoretically be visible for a total of six minutes at a time and exist three or four times a day. 

'We are ruled by brands and events,' project leader Vlad Sitnikov told Futurism.

'The Super Bowl, Coca Cola, Brexit, the Olympics, Mercedes, FIFA, Supreme and the Mexican wall. 

'The economy is the blood system of society. Entertainment and advertising are at its heart.

'We will live in space, and humankind will start delivering its culture to space. The more professional and experienced pioneers will make it better for everyone.' 

StartRocket is a budding company hoping to use Cubesats - briefcase sized spacecrafts - in low-Earth orbit which would be arranged in a particular way, depending on the demands of the paying advertiser

The theory has since caused a significant stir in the astronomical society with many outraged by the prospect of adverts in space.  

'It's a threat to the ability to do astronomical research from the ground,' astronomer John Barentine of the International Dark Sky Association told Astronomy.com.

'Every one of those moving blips of light in the night sky is something that can interfere with our ability to collect photons from astronomical sources.'

Space entertainment, as it is being called, is a developing field with many individuals and companies looking to use space for profit. 

A Japanese firm launched a satellite which sets the wheels in motion for artificial meteor showers. 

China has also toyed with the concept of an artificial moon.  

WHAT ARE CUBESATS?

A cubesat is a miniature satellite that has been sent into space.  

Nasa defines them as a class of nanosatellites that use a standard size and form factor.

Each unit, or U, is 10cm x 10cm x 10cm (4 in x 4 in x 4 in) and the cubes can be pieced together to create larger structures. 

These can include 1.5, 2, 3, 6, and even 12U objects. 

They are often made of commercial off the shelf products and are a low-cost option for space exploration. 

Cubesats have a variety of functions. The small satellites are intended for low Earth orbit (LEO) where they perform a number of scientific research functions and explore new space technologies. 

They were originally developed to teach university students about satellites, CubeSats are now a major commercial technology, providing data on everything from shipping routes to environmental changes.

Each unit, or U, is 10cm x 10cm x 10cm (4 in x 4 in x 4 in) and the cubes can be pieced together to create larger structures. These can include 1.5, 2, 3, 6, and even 12U objects

Read more:

• This Startup Wants to Launch Giant Glowing Ads Into the Night Sky
• This Russian startup wants to put billboards in space. Astronomers aren’t impressed | Astronomy.com

{ https://www.dailymail.co.uk/ }

21-01-2019 om 14:50 geschreven door peter  

Remember that image of Carl Sagan holding the “Don’t Forget, No Billboards in Space” sign that’s been bouncing around the internet the past few years? Turns out its fake, but that in no way takes away from the sentiment. Space in many ways is the final frontier, the last piece of untouched, untainted real estate we have on our shrinking, stinking planet. Why ruin it with advertising?

Let’s agree to ignore the massive amounts of orbital pollution surrounding the Earth.

Billboards in space sound objectively horrible to anyone who’s not a reptilian capitalist overlord, which is exactly why a Russian startup with massive amounts of venture capital behind it already has the billboards ready to fill the night sky with flashing neon reminders of the hellish corporate dystopia we’ve found ourselves in. Just wait until They find a way to advertise to us in our dreams.

The real photograph showed Sagan holding one of the plaques sent along with the Pioneer 10 and Pioneer 11 spacecraft.

Aerospace startup StartRocket wants to launch tiny cube satellites into orbit some 400-500 (~250-300 miles) kilometers above the Earth in order to create massive glowing displays which could be seen from dozens of square kilometers below at a time. The landing page on the company’s website displays an image of stargazers taking in the nightmarish scene of a fake Coca-Cola logo (“Loca-Cola”) floating through the night sky along with the mission statement “Space has to be beautiful. With the best brands, our sky will amaze us every night.” Blech. StartRocket project leader Vlad Sitnikov told Futurism that regardless of what literally everyone else in the world says, he insists his vision is all about bringing “beauty” to the world – in the form of brand names and logos:

We are ruled by brands and events. The economy is the blood system of society. Entertainment and advertising are at its heart. We will live in space, and humankind will start delivering its culture to space. The more professional and experienced pioneers will make it better for everyone.

The company plans on launching their first prototype in 2021, and says their orbital displays could be programmed to display logos at six minute intervals, orbiting a particular location three or four times a day. Start clawing your eyeballs out now; it can take a lot longer than you think. 

Tiny cube-shaped satellites called Cubesats are being developed for all sorts of purposes.

Of course, there are huge legal and regulatory hurdles the orbital billboards would face if they ever came to fruition, so it’s unknown if they’ll ever be launched at all. Whew. Still, there is some precedent for orbital “art.” Last year, a New Zealand startup called Rocket Lab shot a cross between a disco ball and a D20 into space, prompting widespread criticism from astronomers. Caleb Scharf, director of astrobiology at Columbia University, wrote in Scientific American that despite being billed as a work of art, the orbital disco ball was merely “another invasion of my personal universe, another flashing item asking for eyeballs, adding that it was “hogging some of that precious resource, the dark night sky, polluting part of the last great wilderness” we have left on Earth. What will Scharf and other astronomers have to say about these garish orbital billboards?

Is it just me, or does this image of one cup on Mars somehow seem worse than the millions of cups currently strewn about the Earth?

I don’t know why anyone would think this one is a good idea. Anyone except for the soulless, money-hungry cacodemons who sit on the boards of the world’s largest advertising firms and multinational corporations, that is. Sure, the night sky might be ruined for everyone else you say, but listen, you commie punk: at least the billboards created a lot of value for the shareholders. What’s more important than that?

{ https://mysteriousuniverse.org/ }

21-01-2019 om 14:37 geschreven door peter  

Police In Spain Record UFO Near Their Vehicle Watching Them, Jan 20, 2019, Photos, UFO Sighting News

Date of sighting: Jan 20, 2019

Location of sighting: Spain

Source: MUFON #97905

 

Here is a UFO hovering over a police car in Spain this week. The UFO is cloaked, but was revealed by the flashing blue lights of the police vehicle. The UFO appears to be small, about .5 to 1 meter across. Being so small makes me think that its probably an alien drone device, since our planet cannot support all forms of aliens out there. Our atmosphere is probably toxic and deadly to some species. Also the fact that this UFO is watching the police and recording their activities is amazing. 

Scott C. Waring

{ https://www.ufosightingsdaily.com/ }

21-01-2019 om 14:21 geschreven door peter  

2018 UFO Year in Review

Hosts Alejandro Rojas and Martin Willis (Open Minds UFO Radio) are joined by author and producer Lee Speigel to review the best UFO news stories of 2018.

2018 was a banner year for UFOs. It could be argued 2018 was the tipping point when UFOs became a serious topic in the mainstream. Some even argue it was the first full year we lived in a post UFO disclosure world. In this episode we review the stories and information that made 2018 so important for the UFO topic.

{ http://www.latest-ufo-sightings.net/ }

21-01-2019 om 14:14 geschreven door peter  

Have Aliens Found Us? A Harvard Astronomer on the Mysterious Interstellar Object ‘Oumuamua

21-01-2019 om 14:03 geschreven door peter  

We may have finally spotted a star turning into a black hole

For the first time, researchers observed a stellar death before their eyes – a supernova and a forming black hole or a neutron star

Scientists call it the AT2018cow – but of course it doesn’t go moo. The name is simply chosen based on a randomised three-letter naming convention. But as supernovae go, it’s certainly a whopper, and an extremely unusual, never before seen type of supernova (if it is indeed one - which isn't confirmed yet).

“It was fast, blue and bright,” says Regis Cartier, a researcher who observed Cow with the Southern Astrophysical Research SOAR Telescope in Chile. “I dropped everything else I was doing.” The stellar explosion was not only extremely bright, it also lit up science instruments across the electromagnetic spectrum.

First spotted on June 16 last year, the results of the observations have just been announced at the 233rd meeting of the American Astronomical Society in Seattle.

The Cow was first noticed - and named - by Stephen Smartt, an astronomer at Queen’s University Belfast, while he was analysing data from two asteroid-tracking ATLAS telescopes in Hawaii. His team sent out an alert to the astronomical community the next day. Shortly afterwards, multiple observatories all around the globe zoomed in on the unusual event – in the best spirit of a very new field known as multi-messenger astronomy. Since about three years now, scientists drop any non-urgent observations and co-ordinate their research whenever something spectacular happens in the universe.

As a result, the Cow was tracked by many different telescopes scanning the skies all the way from low-energy radio waves to visible light, X-rays and very high-energy gamma radiation - leading to a flurry of academic papers. “There was a bit of a race to see who could publish their results first,” says Caltech astronomer Brian Grefenstette, who is a NASA telescope NuSTAR instrument scientist and co-author of one of the papers. “We included theorists as well as radio, optical and X-ray observers… to make sure we get as complete a picture as possible of what’s going on in the source.”

Apart from the two ATLAS telescopes, the veteran Keck twins, also in Hawaii, swiveled into action, together with a telescope on La Palma, one of Spain’s Canary Islands, and several other instruments - focusing on the event for days, weeks and months.

Researchers are still trying to make sense of what exactly the Cow is (or was), though. The main theory is that we have witnessed a collapse of a star in action – forming a black hole or a neutron star, a sort of super-dense stellar corpse, 200 million years ago. And it happened in the (relatively) nearby constellation Hercules, on the outskirts of a dwarf galaxy there.

When a massive star dies, its core implodes, causing a bright explosion – a supernova. The core collapses into either a black hole or a neutron star. That’s a theory, though, and the Cow could be the most direct evidence yet of how such an event unfolds.

Supernovae have been observed since 185 AD, when Chinese astronomers recorded their observations of a “guest star”. The term supernova was coined by Swiss astronomer Fritz Zwicky in 1934. Until now, scientists had classified seven different types of Supernovae (Type 1a, 1b, 1c, II, III, IV and V), but the Cow is different. First, the event was unnaturally bright – 10 to 100 times brighter than the typical blast of an exploding star. It also reached its peak brightness over just a few days, while typical supernovae can take weeks, and the Cow’s visible light disappeared in just 16 days; the supernova observed in 185 AD, for example, lasted at least eight months.

R. Margutti/Keck

At first, Smartt and colleagues gathered mostly optical data - which prompted a team led by Daniel Perley, an astrophysicist at Liverpool John Moores University, to suggest that the event was the moment a black hole ripped apart a star. This is known as tidal disruption.

But soon data in other wavelengths started trickling in. Astronomer Anna Ho at the California Institute of Technology and the lead author of a paper accepted to the Astrophysical Journal, started observing the Cow in radio. First, she used (remotely) the Submillimeter Array in Hawaii, and then - the Atacama Large Millimeter/Submillimeter Array (ALMA) in Chile. The short-wavelength radiation from the Cow that ALMA picked up continued for weeks, again unlike a typical supernova, enabling the team to observe the phenomenon for 80 days.

This indicates, Ho says, the presence of some kind of a central engine – a just-born black hole accreting matter, or a rapidly rotating, highly magnetised neutron star. “There wasn’t just a single release of energy in an explosion, so there must be some kind of ongoing energy production,” Ho adds. 

Another team, led by Raffaella Margutti, an astrophysicist at Northwestern University, arrived to the same conclusion. The researchers spied on the Cow looking for X-rays with NuSTAR and the European Space Agency’s INTEGRAL space telescopes, and for radio waves using the National Radio Astronomy Observatory’s Very Large Array.

In a paper that will also appear in the Astrophysical Journal, Margutti's team say that the event was being reheated from the inside – indicating something powering it from within and echoing Ho's findings. Usually, there are plenty of heavy elements produced during a stellar explosion (the stuff that makes up things like humans and our Earth), which block the central engine – but this time, strangely, there was about 10 times less debris than expected - about a tenth of our sun's mass. Why? “This is a topic that’s still up for debate,” says Grefenstette. “But this is a whole new field. So hopefully, we’ll see more events like Cow in the future that can help us figure out what’s really going on.”

From the visible light analysis, scientists were able to estimate the composition and speed of the material ejected by AT2018cow, while the radio and X-ray data helped them calculate the densities of the material and the presence of inner engines. “This is a great example of multi-wavelength astronomy,” says David Clements, a reader in astrophysics at Imperial College London, who wasn’t involved in any of the papers. “They threw whatever they had at it and hoped that some of it would lead to clearer answers.”

{ https://www.wired.co.uk/ }

21-01-2019 om 01:11 geschreven door peter  

SPEEDING BULLET

{ https://futurism.com/ }

21-01-2019 om 00:43 geschreven door peter  

Un OVNI se dirigeait vers le groupe de combat : la Marine US brise le silence…

Découvrez l’observation étrange de marins américains à bord du USS Nimitz. Le phénomène, qui s’est déroulée le long des côtes de San Diego, a tellement enflammé leur imagination qu’ils y ont vu un navire d’origine extraterrestre…

Chers fans de la vie extraterrestre, est-ce que les histoires extraterrestres vous manquent? En voilà une: le personnel de la Marine américaine a observé un objet mystérieux circuler dans le ciel pendant des heures, non loin de la côte de San Diego, raconte Chris Mellon, ancien chef des forces de sécurité nationale qui a d’ailleurs travaillé sur des objets secrets au Nevada, sur la base Zone 51.

Selon lui, l’incident s’est produit en pleine journée lors d’une mission du porte-avions américain USS Nimitz, escorté du porte-avions léger USS Princeton.

«Imaginez ces bâtiments engagés dans des manœuvres d’entraînement au moment, où un vaisseau non identifié, ayant une signature radar faible, apparait sur les radars et se dirige directement vers les navires», décrit Mellon, qui a démontré ensuite un profond engouement pour les phénomènes extraterrestres.

Voir l'image sur Twitter

18d.Media@18dMedia

US Navy filmed UFO that DEFIED Physics claims former senior US national security chief  http://dlvr.it/PxJvXS  #UFO

• 43

12:09 - 24 oct. 2017

• 30 personnes parlent à ce sujet

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L’objet n’a pas répondu aux signaux radio. L’USS Princeton a contacté deux chasseurs F-18, déjà dans les airs, pour qu’ils interceptent l’objet. Les pilotes ont découvert, étonnés, que l’appareil n’avait ni ailes ni tuyau d’échappement:

«Il était blanc, allongé, d’environ 12 mètres de long et d’à peu près 4 mètres d’épaisseur», précise Mellon, cité par le journal britannique Express.

Ensuite, un pilote a tenté de prendre en chasse l’appareil: «Les pilotes ont été stupéfaits de voir l’objet se réorienter dans la direction du F-18 en s’approchant.»

De même, le «vaisseau» semblait défier les lois de la physique en manœuvrant. Les pilotes ont dû revenir sur le Nimitz, mais l’objet est resté encore dans les cieux durant quelques heures.

Peut-être, y-est-il encore? C’est à vous messieurs les ufologues de résoudre cette énigme.

Are UFO’s real?

Source

{ https://lesavoirperdudesanciens.com/ }

21-01-2019 om 00:31 geschreven door peter  

Artificial Intelligence – Software That Writes Itself

Jay Tuck explains how it’s not futuristic.  It’s happening now.  These computers are way smarter than we are.  No one understands exactly how stock markets work any more as the algorithms are written by machines.  Prices of airoplane seats are decided by machines.  Picture analysis is done better by machines in hospitals.

Robots are getting cuddlier.  They never die.  They have no heart.

The power of AI needs explaining. – surveillance cameras are able to see phenomenal detail on the ground from 17,ooo feet.  We can all be monitored by computers in real time.  Facial recognition can be done from above.  Our whole lives are being recorded.

Big data only works if you have artificial intelligence to make sense of it.  The company that has the most information in the world is buying up all artificial intelligence companies from around the world…Google.   DARPA financed robots which are able to operate as part of military units.

Modern drone Pegasus is invisible.  It films the sky above and projects the image onto the bottom of the drone.  Drones are not permitted to kill people without human input.  Yet robots are able to make kill decisions.  The goal is to get the robots to make the kill decisions.

Yet sometimes artificial intelligence makes mistakes.  A robotic weapon (Talon) went wrong in a demo in Iraq and a marine was able to knock it over before it killed two hundred spectators.  Yet it’s getting better every day.

Once the internet of things is brought into being, the supercomputer will operate spontaneously managing our lives.  AI is a network with back-ups all over the world which cannot be dismantled.  It has to be stopped before it kills us.

Source:

• http://tapnewswire.com/2019/01/artificial-intelligence-software-that-writes-itself/
  

{ https://beforeitsnews.com/v3/ }

20-01-2019 om 23:42 geschreven door peter  

Observations of a rare hypernova complete the picture of the death of the massive stars

Credit: Anna Serena Esposito

The end of a star’s life can occur in a tranquil manner in the case of low mass stars, such as the Sun. This is not the case, however, for very massive stars, which suffer such extreme explosive events that they can outshine the brightness of the whole galaxy that hosts them. An international group of astronomers has published a detailed study of the death of a high-mass star that produced a gamma-ray burst (GRB) and a hypernova, in which they have detected a new component in this type of events. The study, published in Nature, provides a link that completes the scenario that relates hypernovae with GRBs.

“The first hypernova was detected in 1998 as a very energetic type of supernova that followed a gamma-ray burst. This was the first evidence of the connection between both phenomena” says Luca Izzo, researcher at the Institute of Astrophysics of Andalusia (IAA-CSIC), and leader the study.

This is an image of the explosion obtained by the Gran Telescopio Canarias in the period of maximum brightness of the event.

Credit: Gran Telescopio Canarias

{ https://beforeitsnews.com/v3/ }

20-01-2019 om 23:31 geschreven door peter  

Dulce Insider Interview via Leak Project

Several Testimonies of Dulce, Archuleta Mesa, UFO’s Reptilians, Underground Bases

{ https://beforeitsnews.com/v3/ }

20-01-2019 om 23:10 geschreven door peter  

Waves in Saturn’s Rings Give Precise Measurement of Planet’s Rotation Rate

This has been a tricky problem for years as explained below, and now appears to have been resolved. But whether that’s the end of the story remains to be seen.

Saturn’s distinctive rings were observed in unprecedented detail by NASA’s Cassini spacecraft, and scientists have now used those observations to probe the interior of the giant planet and obtain the first precise determination of its rotation rate, reports Phys.org.

Saturn from the Cassini orbiter

[image credit: NASA]

The length of a day on Saturn, according to their calculations, is 10 hours 33 minutes and 38 seconds.

The researchers studied wave patterns created within Saturn’s rings by the planet’s internal vibrations. In effect, the rings act as an extremely sensitive seismograph by responding to vibrations within the planet itself.

Similar to Earth’s vibrations from an earthquake, Saturn responds to perturbations by vibrating at frequencies determined by its internal structure. Heat-driven convection in the interior is the most likely source of the vibrations. These internal oscillations cause the density at any particular place within the planet to fluctuate, which makes the gravitational field outside the planet oscillate at the same frequencies.

“Particles in the rings feel this oscillation in the gravitational field. At places where this oscillation resonates with ring orbits, energy builds up and gets carried away as a wave,” explained Christopher Mankovich, a graduate student in astronomy and astrophysics at UC Santa Cruz.

Mankovich is lead author of a paper, published January 17 in the Astrophysical Journal, comparing the wave patterns in the rings with models of Saturn’s interior structure.

Most of the waves observed in Saturn’s rings are due to the gravitational effects of the moons orbiting outside the rings, said coauthor Jonathan Fortney, professor of astronomy and astrophysics at UC Santa Cruz. “But some of the features in the rings are due to the oscillations of the planet itself, and we can use those to understand the planet’s internal oscillations and internal structure,” he said.

Mankovich developed a set of models of the internal structure of Saturn, used them to predict the frequency spectrum of Saturn’s internal vibrations, and compared those predictions with the waves observed by Cassini in Saturn’s C ring. One of the main results of his analysis is the new calculation of Saturn’s rotation rate, which has been surprisingly difficult to measure.

As a gas giant planet, Saturn has no solid surface with landmarks that could be tracked as it rotates. Saturn is also unusual in having its magnetic axis nearly perfectly aligned with its rotational axis. Jupiter’s magnetic axis, like Earth’s, is not aligned with its rotational axis, which means the magnetic pole swings around as the planet rotates, enabling astronomers to measure a periodic signal in radio waves and calculate the rotation rate.

The rotation rate of 10:33:38 determined by Mankovich’s analysis is several minutes faster than previous estimates based on radiometry from the Voyager and Cassini spacecraft.

“We now have the length of Saturn’s day, when we thought we wouldn’t be able to find it,” said Cassini Project Scientist Linda Spilker. “They used the rings to peer into Saturn’s interior, and out popped this long-sought, fundamental quality of the planet. And it’s a really solid result. The rings held the answer.”

Cassini image shows in unprecedented detail a density wave in Saturn’s B ring, most likely caused by a small moon systematically perturbing the orbits of ring particles.

Credit: NASA/JPL-Caltech/Space Science Institute

The idea that Saturn’s rings could be used to study the seismology of the planet was first suggested in 1982, long before the necessary observations were possible.

This image of Saturn’s rings was taken by NASA’s Cassini spacecraft on Sept. 13, 2017. It is among the last images Cassini sent back to Earth.
Credit: NASA/JPL-Caltech/Space Science Institute

Read more at: 

• https://phys.org/news/2019-01-saturn-precise-planet-rotation.html#jCp

Source: 

• https://tallbloke.wordpress.com/2019/01/19/waves-in-saturns-rings-give-precise-measurement-of-planets-rotation-rate/

{ https://beforeitsnews.com/v3/ }

20-01-2019 om 23:00 geschreven door peter  

Tiny Animals Discovered in Lost Lake Beneath 3500 Feet of Ice in Antarctica

Coast of Antarctica with centuries-old thicknesses off glaciers

( sichkarenko_com / Adobe Stock )

Scientists drilling into Mercer Lake, a Subglacial Antarctic lake locked beneath 3500 feet (one kilometer) of ice have discovered the ancient carcasses of tiny animals including “water bears,” in a finding scientists described as “fully unexpected”.

On 26th December, researchers funded by the US National Science Foundation (NSF) succeeded in melting a hole through the thick ice to the water below. A report in the journal Nature said that the Subglacial Antarctic Lakes Scientific Access (SALSA) team “melted through an enormous frozen river with a high-pressure, hot-water drill.”

The water below the ice sheet is hydraulically active and connected with the Ross Sea and Mercer Lake has been identified as being at high risk of collapsing with the West Antarctic Ice Sheet, due to global warming. This is only the second time humans have ever glimpsed the contents of the lake and the massive scientific operation was conducted with technologies including “ice-penetrating radar and other remote-sensing techniques“, according to the article in Nature.

Main: An artist’s cross-section showing the process of drilling to reach the lake below ( public domain ).

Inset:  Mercer Lake ( CC by SA 3.0 )

Rediscovering Ancient Subaquatic Life

The Guardian reported that the scientists took samples of mud from the bottom of the lake’s icy waters and found “tendrils of plant or fungi and remnants of photosynthetic algae that lived and died in the area millions of years ago when Antarctica was much warmer.” The researchers later discovered shrimp-like crustaceans and eight-legged tardigrades, or “water bears” which are described as being smaller than poppy seeds.

David Harwood, a micro-palaeontologist at the University of Nebraska-Lincoln, told reporters at Nature that discovering the animals in the ancient lake was “fully unexpected”, but what really shocked biologists at Lake Mercer was the realization that some of the beasts were landlubbers.

The scientists know that these ancient creatures inhabited Transantarctic Mountain ponds and streams when the glaciers had receded during warm periods between 10,000 years or 120,000 years ago. But an outstanding problem is that these crustaceans and tardigrade inhabited ponds some 50 miles (80 kilometers) from Lake Mercer, and how they got there is not yet clear.

• Ancient Pyramids in an Icy Landscape: Was There an Ancient Civilization in Antarctica?
• Scientists Find 280-Million-Year-Old Fossilized Forest…in Antarctica
• Mysterious Map Emerges at the Dawn of the Egyptian Civilization and Depicts Antarctica Without Ice – Who Made it?

Tardigrades imaged with a scanning electron microscope

( CC by SA 2.5 )

DNA Might Provide Answers to the Creatures’ Ancient Origins

On 5 th January, the scientists sealed the borehole and they think it will take several years to analyze and test all of the collected samples. They need to test DNA samples from the carcasses of the crustaceans to ascertain whether they were marine or freshwater species. The SALSA team also aim to determine the age of the organic material with carbon dating and they will also sequence the creatures’ DNA attempting to answer how, when and how far the Antarctica’s glaciers retreated over the millennia.

www.Ancient-Origins.net – Reconstructing the story of humanity’s past

Source: 

• https://www.ancient-origins.net/news-history-archaeology/antarctica-0011357

{ https://beforeitsnews.com/v3/ }

20-01-2019 om 22:40 geschreven door peter  

Morgenochtend kleurt maan felrood: bloedmaan, supermaan én totale maansverduistering - HLN.be

Een groot deel van de Europeanen, Amerikanen en Afrikanen kunnen morgenochtend genieten van een totale maansverduistering. Ook in België zal de volledige maansverduistering zichtbaar zijn. Al moet je er wel vroeg voor opstaan en de weersomstandigheden moeten het toelaten. 

Om 3.36 uur raakt de maan de bijschaduw van de aarde waardoor er al sprake is van een gedeeltelijke eclips. Een uurtje later schuift de maan verder in de kernschaduw van de aarde waardoor de maan stilaan roder kleurt. 

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  Om 6.12 uur naar boven kijken, zal wellicht het mooiste resultaat opleveren. Dan kan de volledig verduisterde maan verschillende tinten rood vertonen, afhankelijk van de samenstelling van de atmosfeer. Het zonlicht dat op dat moment door de atmosfeer van de aarde doordringt, kleurt immers rood. 

De totale eclipsfase eindigt om 6.43 uur, en om 8.48 uur is de maansverduistering volledig voorbij. De maan zal dan net zijn ondergegaan. Wie deze maansverduistering mist, moet trouwens wachten tot 16 mei 2022. Dan vindt er nogmaals een eclips plaats omstreeks 5.50 uur. 

Totale maansverduistering en supermaan

Er kan slechts sprake zijn van een volledige maansverduistering als er ook een volle maan is. Daarbij moet de kernschaduwkegel van de aarde de maan volledig bedekken. Overal ter wereld waar de maan op dat moment zichtbaar is, is er een totale eclips te zien. Omdat de maan morgen tamelijk dicht bij de aarde staat, is er trouwens ook sprake van een zogenaamde supermaan. 

In de volksmond wordt zo’n totale eclips ook wel eens bloedmaan genoemd, omdat de maan dan eventjes rood kan kleuren. Afhankelijk van de samenstelling van de atmosfeer kan de kleur variëren van roestrood tot zeer helderrood. Hoe roder de maan kleurt, hoe meer stof er in de lucht hangt. 

Waarnemen

Je mag gewoon met het blote oog naar die (helder)rode maan kijken. In tegenstelling tot de zonsverduistering is het veilig om zonder gespecialiseerde apparatuur naar de hemel te kijken. Het is vooral belangrijk dat je jezelf op een tamelijk donkere plaats bevindt: hoe donkerder, hoe indrukwekkender het resultaat. Een verrekijker kan ook altijd van pas komen.

Bekijk ook:

{ https://www.hln.be/ }

20-01-2019 om 22:12 geschreven door peter