Dit is ons nieuw hondje Kira, een kruising van een waterhond en een Podenko. Ze is sinds 7 februari 2024 bij ons en druk bezig ons hart te veroveren. Het is een lief, aanhankelijk hondje, dat zich op een week snel aan ons heeft aangepast. Ze is heel vinnig en nieuwsgierig, een heel ander hondje dan Noleke.
This is our new dog Kira, a cross between a water dog and a Podenko. She has been with us since February 7, 2024 and is busy winning our hearts. She is a sweet, affectionate dog who quickly adapted to us within a week. She is very quick and curious, a very different dog than Noleke.
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Verder heb je ook het Belgisch-Ufo-meldpunt en Caelestia, die prachtig, doch ZEER kritisch werk leveren, ja soms zelfs héél sceptisch...
Voor Nederland kan je de mooie site www.ufowijzer.nl bezoeken van Paul Harmans. Een mooie site met veel informatie en artikels.
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MUFON's mission is the analytical and scientific investigation of the UFO- Phenomenon for the benefit of humanity...
Je kan ook hun site bekijken onder www.mufon.com.
Ze geven een maandelijks tijdschrift uit, namelijk The MUFON UFO-Journal.
Since 02/01/2020 is Pieter ex-president (=voorzitter) of BUFON, but also ex-National Director MUFON / Flanders and the Netherlands. We work together with the French MUFON Reseau MUFON/EUROP.
ER IS EEN NIEUWE GROEPERING DIE ZICH BUFON NOEMT, MAAR DIE HEBBEN NIETS MET ONZE GROEP TE MAKEN. DEZE COLLEGA'S GEBRUIKEN DE NAAM BUFON VOOR HUN SITE... Ik wens hen veel succes met de verdere uitbouw van hun groep. Zij kunnen de naam BUFON wel geregistreerd hebben, maar het rijke verleden van BUFON kunnen ze niet wegnemen...
25-04-2017
22/04/2017 Alien Project / Thierry répond aux questions
22/04/2017 Alien Project / Thierry répond aux questions
Uploaded on Apr 23, 2017
11ème vidéo de réponse aux questions des contributeurs d'Alien Project.
La super-Terre LHS 1140b, une nouvelle cible pour la recherche de traces de vie
La super-Terre LHS 1140b, une nouvelle cible pour la recherche de traces de vie
Cette super-Terre orbite autour d'une étoile peu lumineuse, ce qui permet aux télescopes terrestres de la sonder pour étudier son atmosphère et y détecter des signes de vie.
Vue d'artiste de la nouvelle exoplanète rocheuse qui abrite des conditions favorables à la vie.
ESO / SPACEENGINE.ORG
CANDIDATE. LHS 1140b orbite autour d'une naine rouge (une étoile plus petite et moins brillante que le Soleil) dans la constellation de la Baleine, à environ 40 années-lumière de la Terre. Elle a été détectée une première fois par l'Observatoire MEarth-South, composé d'un réseau de petits télescopes automatiques installés dans le désert chilien. Puis c'est le spectrographe HARPS de l'Observatoire Européen Austral (ESO) qui a poursuivi les investigations. Pourquoi autant d'intérêt pour cette exoplanète ? Parce qu'avec son étoile, elle offre des conditions d'observation presque idéales et que les scientifiques espèrent pouvoir analyser son atmosphère (si elle en a une) en détaillant les gaz qu'elle contient et peut-être y dénicher des éléments associés à la vie, telle qu'elle existe sur Terre. C'est actuellement la meilleure candidate pour la réussite d'un tel projet.
L'Observatoire MEarth-South installé sur le Cerro Tololo, au Chili.
LHS 1140b est une super-Terre d'un diamètre d'environ 1,4 fois celui de la Terre pour une masse sept fois supérieure. C'est donc un poids lourd. Elle est sans doute composée de roches avec un noyau dense de fer et elle orbite en 25 jours autour de son étoile (LHS 1140) dont elle est très, très, proche. Mais cette étoile est une naine rouge faiblement lumineuse si bien que la planète ne reçoit qu'environ la moitié de l'insolation terrestre. Cela implique que 1140b est située dans la zone habitable de son système : elle est susceptible d'abriter de l'eau liquide à sa surface. De plus, étoile et planète forment une paire céleste d'un âge respectable (environ 5 milliards d'années), ce qui assure une certaine stabilité des deux membres. "Les conditions actuelles de cette naine rouge sont particulièrement favorables - LHS 1140 tourne plus lentement et émet moins de radiations à haute énergie que d'autres étoiles de faible masse similaires", souligneNicola Astudillo-Defru de l'Observatoire de Genève, en Suisse.
Enfin, et c'est sans doute le plus important, les astrophysiciens peuvent depuis la Terre observer la planète passer devant son étoile. Un phénomène nommé transit qui permet d'analyser les subtiles différences de luminosité qui se produisent quand une planète occulte en partie son étoile mère et d'en déduire de nombreux renseignements sur les éléments présents dans l'étoile et la planète. Grâce à cette méthode, une équipe européenne a récemment réussi à détailler gangue de gaz entourant GJ1132b, une autre super-Terre située à 39 al du Soleil. Mais il s'avère que cette dernière est dépourvue d'eau liquide en surface et donc peu propice à la vie. Ce qui fait dire à Jason Dittmann du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysic et premier auteur d'un article publié dans Nature sur LHS 1140b que c'est "l'exoplanète la plus excitante que j'ai vu depuis dix ans". Un enthousiasme à tempérer en attendant les résultats de la prochaine campagne d'observation qui sera menée avec le télescope Hubble et qui confirmera ou non la présence d'une atmosphère autour de 1140b. Si elle en possède une, elle s'avérera effectivement être une candidate de choix pour les instruments qui équiperont les futurs télescopes comme le TMT (Télescope de Trente Mètres) qui donneront à l'humanité des capacités d'observation inégalées depuis la Terre.
Jean-Claude Bourret : “Il existe un autre univers à côté du nôtre”
Jean-Claude Bourret : “Il existe un autre univers à côté du nôtre”
À la faveur d’un nouveau livre, Jean-Claude Bourret fait le point sur quarante années de découvertes et d’hypothèses scientifiques pour faire émerger la vérité sur le phénomène ovni.
Le journaliste Jean-Claude Bourret associé à un ancien directeur de recherche au CNRS, Jean-Pierre Petit, relancent la question des univers parallèles…
Quelle est cette «extraordinaire» découverte que vous annoncez dans votre livre ?
L’ouvrage est constitué de deux parties. La première s’adresse au grand public, elle est accessible à tous. La seconde est plutôt réservée aux scientifiques de haut niveau. Jean-Pierre Petit nous expose le résultat de ses 40 années de recherches. Il a trouvé une formule mathématique révolutionnaire qui, si elle est avérée, devrait lui valoir un prix Nobel. Cette formule prouve qu’il existe un autre univers à côté du nôtre. Tandis que nous sommes dans un univers « positif », il existerait un univers « négatif » dans lequel la vitesse de la lumière est différente, c’est-à-dire plus de 300.000 kilomètres par seconde. Ainsi, des civilisations extraterrestres utiliseraient les lois physiques de leur univers pour rejoindre le nôtre et nous observer depuis des millénaires. Les calculs et hypothèses de Jean-Pierre Petit ont été publiés dans des revues scientifiques de haut niveau.
On a toutefois du mal à le suivre lorsqu’il dit que ses recherches ont été inspirées par de mystérieuses lettres émanant de gens qui prétendent être des extraterrestres !
Ça paraît fou parce qu’on ne connaît pas le dossier, donc on a tendance à prendre Petit pour un illuminé. Il m’a montré certaines de ces lettres «anonymes» qui lui ont permis de progresser et de transcender la formule de la relativité d’Einstein. Au début, il croyait à un canular. Mais quand il a vérifié ces formules et il a constaté que ça marchait parfaitement. Il a fait des simulations sur ordinateur qui permettent de faire un bond en avant considérable sur la compréhension de la constitution des galaxies. Il faut ajouter qu’aucun scientifique n’a contesté le travail de Jean-Pierre.
À votre avis, d’où viennent ces lettres ?
Personnellement, j’ai toujours considéré que Jean-Pierre Petit avait eu accès à une connaissance initiatique qui lui avait été transmise. Un polytechnicien de haut niveau, qui travaillait pour le Premier ministre, m’avait dit être au courant et que, même si ça paraît invraisemblable, les résultats annoncés par Petit étaient scientifiquement recevables. Selon lui, ça pouvait venir des services secrets soviétiques qui, faute de temps et de budget, les transmettaient à des scientifiques très pointus pour faire avancer les recherches. Jean-Pierre ne cache pas que son obstination à travailler sur les ovnis lui a coûté sa carrière !
“Prétendre que nous sommes seuls dans l’univers est une absurdité totale”
Jean-Claude Bourret
Pourquoi le phénomène ovni dérange-t-il autant ?
J’ai mis longtemps à le comprendre. En fait, les scientifiques sont très hostiles parce que, face aux ovnis, ils perdent leur statut de personnalité la plus cultivée et la plus intelligente de la planète terre. Quand le «professeur Duchemoll» est confronté à la vie extraterrestre, il se rend compte qu’il est comme un singe par rapport à un prix Nobel. Prétendre que nous sommes seuls dans l’univers est une absurdité totale.
À votre avis, quelles seraient les conséquences si on révélait l’existence d’extraterrestres ?
Elles seraient immenses car ça remettrait tout en cause. Nos connaissances, les maladies et tout notre système seraient détruits par les avances technologiques et philosophiques d’une civilisation extraterrestre qui serait forcément bien supérieure à la nôtre. Sans parler de la remise en cause de toutes les religions. C’est une supposition, mais imaginez qu’ils nous disent « Sur la planète Terre, vous vous tuez entre musulmans, juifs, chrétiens, protestants et hindous, en disant «C’est mon Dieu qui est le meilleur !» Maintenant, je vais vous dire que Dieu n’existe pas, et voilà comment l’univers a été créé ! » À ce moment-là, toutes les religions s’effondreraient. À ce propos, l’Italien Mauro Biglino, traducteur officiel pour le Vatican, va très loin puisqu’il remet en cause les fondements même de la religion en affirmant que la Bible évoque les véritables créateurs de l’espèce humaine, c’est-à-dire une race extraterrestre.
Dans votre livre, vous donnez tous les détails pour fabriquer un détecteur d’ovnis (« Ufo-catch »)…
C’est l’autre point important du livre. On en a assez de voir que les États nous cachent les observations d’ovnis depuis 40 ans. Donc, on va se prendre en main en construisant ce système qui ne coûte pas cher (entre 100 et 160 euros). Avec les bénéfices du livre, qui sont intégralement reversés à l’association de Jean-Pierre Petit, nous ferons fabriquer une série qu’on vendra au prix coûtant, pour que chacun puisse mettre une caméra sur son toit ou son balcon. Chacun pourra dialoguer à travers un forum et échanger ses données. Vous savez, je dis aux gens « Apprenez à vos enfants à regarder les étoiles. On ne peut pas continuer à vivre sur cette petite planète terre comme si on était seuls dans l’univers ». Il faut apprendre à nos enfants qu’il y a des milliards de civilisations et qu’elles sont beaucoup plus avancées que la nôtre.
Diriez-vous comme Fox Muller, dans la série « X-Files », que « la vérité est ailleurs » ?
Non, la vérité est universelle. Mais il faut ouvrir la bonne porte pour avoir sa lumière !
«Prétendre que nous sommes seuls dans l’univers est une absurdité totale»
«Prétendre que nous sommes seuls dans l’univers est une absurdité totale»
Jean.-Marie Potiez.
À la faveur d’un nouveau livre, Jean-Claude Bourret fait le point sur 40 années de découvertes et d’hypothèses scientifiques pour faire émerger la vérité sur le phénomène ovni.
Le journaliste Jean-Claude Bourret (75 ans) et un ancien directeur de recherche au CNRS, Jean-Pierre Petit, relancent la question des univers parallèles…
Quelle est cette "extraordinaire" découverte que vous annoncez dans votre livre ?
L’ouvrage est constitué de deux parties. La première s’adresse au grand public, elle est accessible à tous. La seconde est plutôt réservée aux scientifiques de haut niveau. Jean-Pierre Petit nous expose le résultat de ses 40 années de recherches. Il a trouvé une formule mathématique révolutionnaire qui, si elle est avérée, devrait lui valoir un prix Nobel. Cette formule prouve qu’il existe un autre univers à côté du nôtre. Tandis que nous sommes dans un univers "positif", il existerait un univers "négatif" dans lequel la vitesse de la lumière est différente, c’est-à-dire plus de 300.000 kilomètres par seconde. Ainsi, des civilisations extraterrestres utiliseraient les lois physiques de leur univers pour rejoindre le nôtre et nous observer depuis des millénaires. Les calculs et hypothèses de Jean-Pierre Petit ont été publiés dans des revues scientifiques de haut niveau.
On a toutefois du mal à le suivre lorsqu’il dit que ses recherches ont été inspirées par de mystérieuses lettres émanant de gens qui prétendent être des extraterrestres !
Ça paraît fou parce qu’on ne connaît pas le dossier, donc on a tendance à prendre Petit pour un illuminé. Il m’a montré certaines de ces lettres "anonymes" qui lui ont permis de progresser et de transcender la formule de la relativité d’Einstein. Au début, il croyait à un canular. Mais quand il a vérifié ces formules et qu’il a constaté que ça marchait parfaitement, il a fait des simulations sur ordinateur qui permettent de faire un bond en avant considérable sur la compréhension de la constitution des galaxies. Il faut ajouter qu’aucun scientifique n’a contesté le travail de Jean-Pierre.
À votre avis, d’où viennent ces lettres ?
Personnellement, j’ai toujours considéré que Jean-Pierre Petit avait eu accès à une connaissance initiatique qui lui avait été transmise. Un polytechnicien de haut niveau, qui travaillait pour le Premier ministre, m’avait dit être au courant et que, même si ça paraît invraisemblable, les résultats annoncés par Petit étaient scientifiquement recevables. Selon lui, ça pouvait venir des services secrets soviétiques qui, faute de temps et de budget, les transmettaient à des scientifiques très pointus pour faire avancer les recherches. Jean-Pierre ne cache pas que son obstination à travailler sur les ovnis lui a coûté sa carrière !
Jean-Pierre Petit.
Pourquoi le phénomène ovni dérange-t-il autant ?
J’ai mis longtemps à le comprendre. En fait, les scientifiques sont très hostiles parce que, face aux ovnis, ils perdent leur statut de personnalités les plus cultivées et les plus intelligentes de la planète Terre. Quand le "professeur Duchemoll" est confronté à la vie extraterrestre, il se rend compte qu’il est comme un singe par rapport à un prix Nobel. Prétendre que nous sommes seuls dans l’univers est une absurdité totale.
Pensez-vous que la découverte récente de nouvelles exoplanètes pourrait faire changer d’avis les scientifiques ?
Espérons-le ! En tout cas, il faut rendre hommages aux Belges qui font faire des bonds en avant considérables à la connaissance scientifique de l’univers. Qui a imaginé le Big Bang ? C’est le chanoine belge Georges Lemaître. Qui vient de découvrir qu’il y avait une étoile avec neuf planètes, dont trois "habitables", qui tournent autour d’un soleil ? C’est le Liégeois Michael Gillon et son équipe. Il y a chez vous un creuset impressionnant de génies scientifiques !
À votre avis, quelles seraient les conséquences si on révélait l’existence d’extraterrestres ?
Elles seraient immenses car ça remettrait tout en cause. Nos connaissances, les maladies et tout notre système seraient détruits par les avances technologiques et philosophiques d’une civilisation extraterrestre qui serait forcément bien supérieure à la nôtre. Sans parler de la remise en cause de toutes les religions. C’est une supposition, mais imaginez qu’ils nous disent : « Sur la planète Terre, vous vous tuez entre musulmans, juifs, chrétiens, protestants et hindous en disant "C’est mon Dieu qui est le meilleur !" Maintenant, je vais vous dire que Dieu n’existe pas, et voilà comment l’univers a été créé ! » À ce moment-là, toutes les religions s’effondreraient. À ce propos, l’Italien Mauro Biglino, traducteur officiel pour le Vatican, va très loin puisqu’il remet en cause les fondements même de la religion en affirmant que la Bible évoque les véritables créateurs de l’espèce humaine, c’est-à-dire une race extraterrestre.
Dans votre livre, vous donnez tous les détails pour fabriquer un détecteur d’ovnis ("Ufo-catch")…
C’est l’autre point important du livre. On en a assez de voir que les États nous cachent les observations d’ovnis depuis 40 ans. Donc, on va se prendre en main en construisant ce système qui ne coûte pas cher (entre 100 et 160 euros). Avec les bénéfices du livre, qui sont intégralement reversés à l’association de Jean-Pierre Petit, nous ferons fabriquer une série qu’on vendra au prix coûtant, pour que chacun puisse mettre une caméra sur son toit ou son balcon. Chacun pourra dialoguer à travers un forum et échanger ses données. Vous savez, je dis aux gens : « Apprenez à vos enfants à regarder les étoiles. On ne peut pas continuer à vivre sur cette petite planète Terre comme si on était seul dans l’univers. » Il faut apprendre à nos enfants qu’il y a des milliards de civilisations et qu’elles sont beaucoup plus avancées que la nôtre.
Diriez-vous comme Fox Muller, dans la série "X-Files", que « la vérité est ailleurs » ?
Non, la vérité est universelle. Mais il faut ouvrir la bonne porte pour avoir sa lumière !
Un photographe finlandais a assemblé des images prises par la sonde MRO en un spectaculaire film qui donne l'impression de survoler la planète Rouge en rase-mottes.
Image extraite du film du photographe Jan Fröjdman, qui a assemblé les images de la planète Mars capturées par la sonde MRO
Jan Fröjdman est un photographe amateur finlandais. C'est aussi un passionné d'espace, et un utilisateur habile des logiciels de montage et d'effets spéciaux. Fasciné par les images de la planète Mars, prises par la caméra HiRise montée sur la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (MRO), le photographe a décidé de les sublimer. Il s'est attelé à la tâche de collecter de multiples clichés de plusieurs zones pour les assembler. Résultat : un film de 4 minutes 30 qui donne l'illusion de survoler la surface de la planète Rouge de si près que le relief des dunes et des collines nous apparaît très nettement.
Recréer cette impression de relief à partir d’images capturées par une caméra mono-objectif (et donc pas prévue pour tourner en 3D) a nécessité un travail de fourmi. Le photographe explique avoir dû prendre pour chaque cliché des milliers de points de repère au sol (plus de 33.000, chiffre-t-il) afin que la succession des images se déroule de manière fluide. Et comme chaque image a été capturée avec un angle différent, cet effet de relief est alors naturellement recréé au fil des images qui se succèdent. "Cela m’a pris trois mois à temps plein pour réaliser ce film" estime le photographe. Ce dernier précise toutefois que son travail est plus artistique que scientifique. Les couleurs notamment, qui ont demandé un gros travail d’étalonnage, ne sont pas conformes à la réalité. Ce qui n’enlève absolument rien à la fascinante beauté de ce film.
Il n’existe pas de plan en cas de visite extraterrestre
Il n’existe pas de plan en cas de visite extraterrestre
crédit: metro.co.uk/ Quick – steal his iPad (Picture: Getty Images)
Nick Pope précise que contrairement à ce que pensent les ufologues aucun plan n’est prévu en cas de rencontre avec des visiteurs d’un autre monde.
Pour clarifier, la politique de SETI en matière de post-détection (son document « Déclaration de principes » et le matériel associé) pourrait être considérée comme un plan, mais bien entendu elle ne s’applique qu’à la détection de signaux et non à une arrivée réelle.
Du moins, c’est ce que déclare Nick Pope – qui était responsable du projet OVNI du gouvernement entre 1991 et 1994.
Nick Pope est l’un des principaux experts mondiaux sur les ovnis, les théories du complot et l’inexpliqué.
Dans le cadre d’une longue carrière au ministère de la Défense, il a passé quatre ans à diriger le département des OVNIS du gouvernement, se préparant à une éventuelle invasion – ou visite amicale – de nos voisins célestes.
Alors, après tout ce temps, quel est le plan du gouvernement?
– Il n’y a pas de plan.
…Oh.
Il n’y a pas de plan d’urgence pour autant que je sache, a-t-il dit à Metro.co.uk. « La réponse du gouvernement serait que, » Nous considérons cela comme une possibilité incroyablement petite « .
«Mais je dirais, pourquoi ne pas avoir un plan s’il y a même la plus petite possibilité que cela seproduise.
Aucune idée de quoi faire au cas où cela se produit
(Image : Getty Images)
Bien que cela puisse être alarmant pour certains, Pope déclarait qu’une visite extraterrestre ne ressemblerait pas vraiment à la «guerre des mondes» à laquelle nous nous attendons.
Au lieu de cela, selon lui cela ressemblerait davantage à Arrival (1er Contact)- qui sort en DVD le 20 mars – dans lequel chaque pays réunit une équipe de scientifiques, d’universitaires culturels et d’experts militaires pour essayer de communiquer avec la nouvelle espèce.
Surtout parce que, étant donné qu’ils ont réussi à visiter la Terre avec succès, ils auraient sans doute déjà plusieurs milliers d’années d’avance technologique sur nous.
Mais cela, à son tour, pourrait mener à certains conflits internationaux, du moins à court terme. Pope a déclaré: « Il y aurait une lutte pour la technologie étrangère, et les armes. Certaines des grandes nations – et aussi, à l’heure actuelle, les entreprises – se battraient pour mettre la main sur la technologie étrangère. «Le pays qui obtient cette [technologie] serait le leader mondial dans un avenir prévisible».
Bien qu’il ait poursuivi en disant que, à long terme, nous allions tous nous en approcher.
«En fin de compte, cette [visite étrangère] pourrait avoir un effet unificateur», a déclaré Pope.
«Une arrivée extraterrestre pourrait nous convaincre qu’il y a plus de choses qui nous unissent que de choses qui nous séparent.
Alors, tandis que les dirigeants mondiaux poussent en avant leurs élites, quelle est la meilleure chose à faire pour les gens normaux comme nous ?
«D’abord, et c’est un cliché, mais ne paniquez pas», prévient Pope.
‘Ne commencez pas à courir vers les collines ou à tirer sur des vaisseaux extraterrestres. Attendez que les esprits les plus fins de la planète aient compris ce dont il s’agit.
Dans le même temps, ça ne fait jamais mal de vous procurer une assurance. David King, de Budget Insurance, a déclaré à Metro.co.uk qu’ils commencent une liste d’attente pour une police qui couvre les invasions d’extraterrestres.
«Pour être prudent, nous ouvrons une liste d’attente pour les clients qui seraient désireux de retirer une couverture de dommages anti-alien le cas échéant», a t-il dit.
Et «ne tirez pas sur les vaisseaux étrangers» est particulièrement important, a t-il dit, parce que nous pourrions un jour avoir besoin de quitter la planète nous-mêmes – et pourrions le faire avec quelques conseils.
« Un jour, nous devrons aller de l’avant, alors il serait bon d’avoir de l’aide des extraterrestres », a-t-il dit.
«Pour le moment, nous sommes confinés sur Terre, mais nous espérons qu’un jour nous aurons la technologie qui nous emmenera vers les étoiles.
Donc, notre meilleur plan est : se calmer, se lier d ‘amitié avec les extraterrestres, voler leur technologie quand ils ne regardent pas.
Patrice Huet a réalisé ce montage photographique avec en haut à droite l'horizon et plusieurs grossissements du phénomène observé dans le ciel de Saint-Leu.
(Photos Patrice Huet)
INSOLITE.Directeur scientifique de la cité du volcan, féru d'astronomie, Patrice Huet a été le témoin involontaire mais privilégié d'un étrange ballet aérien dans le ciel de Saint-Leu dimanche dernier au crépuscule. Aucune explication n'a pour l'instant été apportée au phénomène que Patrice Huet a pu photographier.
Quels sont ces objets volants qui se sont inscrits dans le ciel de Saint-Leu en fin d'après-midi dimanche dernier ? Le ballet aérien n'a semble-t-il eu que peu de témoins mais le hasard qui a mis Patrice Huet aux premières loges pour assister brièvement au spectacle a bien fait les choses.
Directeur scientifique de la Cité du volcan, Patrice Huet est autant passionné de volcanologie que féru d'astronomie. Observer le ciel est pour lui une seconde nature. Que ce soit lui qui ait immortalisé cet étrange phénomène, donne un poids particulier à cette observation dans la mesure où l'on est en présence d'un témoin crédible qui ne laisse aucune place au sensationnalisme ou à la manipulation.
Peu avant 19 heures, dimanche dernier, Patrice Huet roule en voiture avec sa compagne. À hauteur de Saint-Leu, il jette machinalement un regard vers le ciel. Il fait un temps superbe. «Nous étions quelques minutes après le coucher du soleil, confie Patrice Huet. À force d'observer le ciel j'ai acquis une certaine facilité à identifier les phénomènes qui s'y passent. Soudain avec ma compagne notre regard a été attiré par un point lumineux sur la mer en direction de l'ouest - sud-ouest et à environ 10, 15° au-dessus de l'horizon».
trois points lumineux dans le ciel
Patrice Huet pense avoir identifié Mercure. « C'est alors que j'ai aperçu deux autres points lumineux plus ou moins alignés au dessous. » Surpris par l'apparition de ces trois points lumineux, Patrice Huet décide de s'arrêter. « Le temps de garer la voiture, il n'en restait plus qu'un ». Par chance il a avec lui son appareil photo. Il réalise quelques clichés mais le temps de retourner à la voiture pour prendre un objectif plus adapté, le rideau est retombé sur cette scène des plus insolites.
« Je n'ai pas pu voir la fin du phénomène. Il semblait se déplacer avec des composantes verticales et horizontale vers la droite. »
Patrice Huet a marqué d'une flèche les différents points observés. En dessous de la flèche centrale l'objet qu'il a agrandi.
Si à l'œil nu on ne voit qu'un point lumineux, le 250 mm de Patrice Huet a capté quelques détails étonnants. Il réalise le photo montage que nous publions. On y voit à gauche l'horizon au moment de l'observation. Le phénomène n'est pas dans le champ, il est légèrement sur la gauche. Cependant on distingue les trainées d'un avion avec un léger bougé sur la partie droite de la photo. Sur l'autre photo, Patrice Huet a signalé avec des flèches noires, quatre points noirs qu'il n'avait pas remarqué lors de la prise de vue.
Après la parution dimanche dernier de notre dossier sur les manifestations extraterrestres, certains auront vite fait de faire le rapprochement.
S'il a la tête dans les étoiles, Patrice Huet garde, lui, les pieds sur terre. Pas question pour cet esprit scientifique d'aller chercher des explications abracadabrantes. Il a envoyé ses clichés à Franck Marchis et à l'astronaute Jean-Jacques Favier.
L'un et l'autre sont venus animer à la Réunion des cycles de conférence. D'origine réunionnaise, Franck Marchis est astronome et planétologue. Il est actuellement chercheur à l'Institut SETI, un organisme sans but lucratif qui a pour mission d'"explorer, comprendre et expliquer l'origine, la nature et la prévalence de la vie dans l'univers". Il est surtout connu pour la découverte et la caractérisation de plusieurs astéroïdes, ses études sur le volcanisme de Io et sur l'imagerie des exoplanètes, les planètes qui gravitent autour d'autres étoiles que le Soleil. L'astéroïde (6639) Marchis a été nommé en son honneur le 4 avril 2007. Jean-Jacques Favier a été le premier scientifique français à passer seize jours à bord de la navette Columbia du 20 juin au 7 juillet 1998.
Patrice Huet compte sur l'éclairage de ces deux spécialistes pour percer l'énigme de son observation.
La 11e fournée d'épisodes de X-Files devrait voir le jour, cependant pas avant la rentrée 2017/2018, selon les présidents de FOX TV.
S'il n'y a jamais de repos pour les agents Mulder et Scully, il y a des pauses pour leurs interprètes ! Selon les présidents de FOX TV, Gillian Anderson et David Duchovny ne pourront pas tourner une nouvelle saison de X-Files avant 2017/2018 ! Ce qui les retient ? Un agenda bouché !
Si Duchovny vient de terminer le tournage de Twin Peaks saison 3 et Aquarius saison 2 (cette dernière sera diffusée cet été), Anderson va commencer celui du film Official Secrets avec Paul Bettany et Harrison Ford et de The Fall saison 3. La co-présidente de FOX TV Dana Walden se montre tout de même rassurante, en précisant que les deux acteurs de la série sont "partants", de même que le créateur de la série Chris Carter.
Pour son retour après 14 ans d'absence, X-Files et sa 10e saison avaient réuni en moyenne 9,53 millions de téléspectateurs sur la FOX, et en France une moyenne de 3,51 millions de téléspectateurs et 14,6% du public sur M6.
La production comme la chaîne souhaitent donc un retour de Mulder et Scully dès que possible, a priori pour la saison 2017/2018. Ce retour augurera-t-il d'un nombre d'épisodes plus élevé que les six épisodes de la dernière saison ? Wait and see...
Ovnis : un Sherlock Holmes brise les rêves des "croyants" avec un logiciel
François Louange est ingénieur de formation et spécialiste de l'analyse des images. En collaboration avec le Cnes, il a développé un logiciel pour enquêter sur les phénomènes inexpliqués. Les pieds sur terre.
Une chasseuse d'orages filme le ciel bourré d'éclairs, sur le flanc de la colline du Fort de Six-Fours-les-Plages (Var). Vers 18 heures, le 3 février, en rentrant chez elle, la jeune femme découvre une image furtive. Un flash rectiligne fend le ciel électrique, puis rebondit comme un vulgaire galet (à environ 0'11" dans la vidéo ci-dessous). Coloration rouge. Un tiers de seconde au total. "Mais quel est cet étrange phénomène ?", s'interroge le quotidien Nice-Matin. Fox Mulder étant indisponible, voici une enquête pour François "Sherlock" Louange, ingénieur à la retraite, spécialiste de l'analyse d'images.
Une foule de paramètres pour "interroger" l'image
Direction Le Fresne, un village normand situé à 950 kilomètres de là. Peluche à l'effigie d'ET, lampe en forme de soucoupe... "Ma fille me bombarde de ces trucs pour me chambrer", sourit François Louange, face à deux écrans. Fasciné par les ovnis – ou Pan ("phénomène aérospatial non identifié") – ce scientifique a développé Ipaco, un logiciel d'analyse photo et vidéo. Consultant pour la Défense, puis pour le groupe d'observation dédié aux Pan – rattaché au Cnes – le retraité poursuit sa quête, depuis son bureau de l'Eure. Déjà, l'ingénieur affûte ses hypothèses.
Méthodique et volubile, François Louange joue sur la vidéo avec les contours, l'orientation... Ce qu'il nomme "les conditions de visualisation". Il peut également extraire des séries de trames pour examiner davantage les images. "Je superpose les sept trames où le flash est visible, et je règle la brillance et le contraste. Là, on dirait que 'ça tape' loin, dans la mer ou sur le sol." L'image est sombre. François Louange cale l'image au moment d'un éclair, pour distinguer le paysage et localiser précisément le site sur Google Earth.
Il décortique également la technique. La scène est tournée avec un iPhone 5C, un modèle déjà enregistré dans la base de données d'Ipaco. François Louange connaît donc la longueur focale, 33 mm. En traçant des segments à la souris sur l'image, il procède à des mesures angulaires des objets, c'est-à-dire un rapport entre la taille et la distance. Ce qui lui permet de connaître la vitesse potentielle de ceux-ci.
Chaque hypothèse est patiemment examinée
L'ingénieur tente de comprendre l'origine du phénomène lumineux. Première option : un trucage vidéo. "Cela consiste à inscruster des objets ou des traces. Il y a des outils vidéo pour le faire sans problème." Mais, dans cet exemple, François Louange écarte l'hypothèse – "j'ai fouillé les structures de pixels, les métadonnées... Ce n'est pas trafiqué". Son logiciel, prolongement d'Ocapi, qu'il a lui-même développé pour l'armée dans les années 1980, permet de lire les balises suspectes sur les photos et de déceler d'éventuelles retouches.
François Louange poursuit les hypothèses. Une météorite ? Les réseaux de détection Fripon et Boam n'ont rien enregistré ce jour-là. "Et puis, leur chute n'est pas autant en biais, à l'approche du sol", ajoute François Louange. Quoi d'autre alors ? Une balle traçante ? "Il y a un fort militaire derrière, mais ce ne sont pas des forcenés ! Ces projectiles atteignent 900km/h. D'après la mesure angulaire, la balle serait alors passée à 50 mètres de la photographe", or elle n'a rien entendu. Foudre en boule ? "J'ai contacté un spécialiste de la question, Raymond Piccoli, qui est catégorique". Des cendres incandescentes provenant d'une cigarette ? "La fille était seule."
Un vol de nuit à tire-d'aile
Les chasseurs d'orages filment dans l'obscurité : il suffit d'une faible lumière pour qu'un objet apparaisse très constrasté. "C'est de l'optique adaptative, l'histogramme s'adapte au noir." Deux projecteurs installés sur le fort militaire de Six-Fours, justement, se trouvent dans le dos de la photographe. Et pourquoi pas un insecte ? Type de vol, fréquence du battement des ailes, taille, vitesse… François Louange et son coéquipier Antoine Cousyn ont fini par trouver le suspect le plus plausible : le sphinx colibri. Ses caractéristiques de vol ? "Une vitesse de 50 km/h, des lignes droites sur des périodes supérieures ou égales au quart de seconde..."
La mesure angulaire est appliquée à la taille du papillon, 4 centimètres. D'après les calculs de l'ingénieur, l'insecte se trouverait donc à trois mètres de distance de la caméra, avec un vol à environ 53 km/h. Cohérent. Par ailleurs, l'alternance de rouge et d'ombre sur les images correspond, en fréquence et en couleur, au battement des ailes, qui laisse deviner une tache rouge caractéristique de l'insecte. Un papillon de lumière sous les projecteurs, donc, pour paraphraser la chanteuse Cindy Sanders. Après un jour et demi de travail, le dossier a été classé "B" : "probablement expliqué".
Quand c'est flou, il y a... parfois une poussière
Analyse quantitative de l'image, reflets optiques... Sans décrocher les yeux de l'écran, François Louange détaille ses nombreuses méthodes de résolution et prend un autre exemple résolu en 2007, qui s'appuie, cette fois, sur les lois de la diffusion atmosphérique.
Un objet noir apparaît noir quand il est proche, mais gris foncé, puis gris clair, quand il est distant. François Louange mesure donc le pixel le plus sombre de l'ovni (valeur 25 ; 0 est le noir absolu), situé en haut à gauche de cette image prise lors d'un rassemblement de montgolfières. La valeur est de 14 pour l'aéronef de droite (marqué d'un S rouge), 35 pour celui le plus à gauche (multicolore). L'objet se trouve donc à mi-distance.
Grâce à la mesure angulaire et au diamètre (15 mètres) des montgolfières, il calcule leur éloignement et déduit celui de l'ovni : environ 300 mètres et 80 cm de long. Quelques semaines plus tard, après un témoignage, le scientifique est conforté dans ses conclusions : ce jour-là, un enfant avait laissé s'envoler un gros ballon de baudruche dans le ciel.
Ainsi, François Louange reçoit des demandes variées. "Les gens, en majorité, sont incapables d'évaluer les distances, les durées, les détails… Même de bonne foi." L'armée chilienne l'a même contacté, après avoir observé un phénomène étrange, en novembre 2014. François Louange a conclu à la présence d'un avion en phase d'atterrissage. Une conclusion sans doute prosaïque pour le Comité de Estudios de Fenómenos Aéreos Anómalos (CEFAA), qui a boudé cette étude.
En attendant, les logiciels photo et les appareils numériques font bondir les faux témoignages d'ovni. "C'est comme le dopage dans le sport : les dopés ont une longueur d'avance." Un nouveau logiciel serait même capable d'effacer toutes les métadonnées des images –"Mais j'ai la parade", assure François Louange.
La Lune, les insectes, les avions sont souvent pris pour des ovnis, quand ce n'est pas la prise de vues elle-même qui pose problème. "Un objet net se trouve dans la profondeur de champ. S'il est flou, c'est qu'il est en deça (ou au-delà, mais c'est rare avec le numérique), explique François Louange. Cela arrive avec des poussières, parfois prises à tort pour des orbes [cercles lumineux paranormaux] ou je ne sais quoi."
L'ingénieur a aussi développé un outil pour faire un sort aux lanternes volantes, de plus en plus à la mode lors des mariages. Ces ballons à air chaud, semblables à de petites montgolfières, stimulent décidément l'imagination des témoins. "On est submergé par ces témoignages !", soupire François Louange. Du menu fretin.
"Pour certains 'croyants', un substitut de religion"
Toutes ces enquêtes lui valent parfois de solides inimitiés. "Vous savez, je suis mort si je vais à Mac Minville", plaisante l'ingénieur. Célèbre dans le monde entier depuis la diffusion d'un cliché en 1950 montrant ce qui pourrait ressembler à une soucoupe volante, cette petite ville américaine voue toujours un culte aux ovnis. Sauf que François Louange soutient que l'objet en question est suspendu par un fil, invisible à l'image.
"Un type m'a même menacé de procès pour atteinte à la mémoire des témoins", après une étude sur un autre cas signalé en 1952 au lac Chauvet (Puy-de-Dôme).
Certaines personnes sont dans une telle projection, une telle réalisation de soi, qu'elles ne peuvent pas accepter de retomber sur terre. C'est vous qui passez pour un menteur. Une majorité des gens qui s'intéressent aux ovnis le font par croyance ou substitut de religion.
François Louange
à franceinfo
Parfois, François Louange tend lui-même le bâton pour se faire battre. En 2013, il est l'invité d'honneur du Mufon, un congrès ufologique à la rigueur très relative. "J'ai servi de caution scientifique, je le sais bien. Les conférences ont viré sur les reptiliens et les corps d'extraterrestres, des conneries quoi. J'ai arrêté de les suivre." Rebelote à Sofia (Bulgarie), où un astronome "croyant" rêve d'une structure officielle, à la manière du Geipan(groupe d'étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés) français. "Les débats allaient très loin dans le psychique, le métapsychique [il siffle] : presque des sectes."
François Louange consulte peu les forums d'ufologie – "les croyants y sont très costauds, sous couvert d'anonymat". Mais l'ingénieur dénonce également l'autre pôle, celui des "débunkers", dont l'objectif serait de contrer, coûte que coûte, les superstitions des"croyants". "Il y a des milliers de témoignages et d'enregistrements dans l'atmosphère qu'on n'explique pas. Ce qui me motive, c'est de trouver des explications". Et tant mieux si ces enquêtes lui procurent tant de "satisfaction intellectuelle".
"Il faut un service officiel sur ces questions"
Toute sa vie, François Louange a milité pour la création d'une structure officielle dédiée à ces questions. Spécificité française, le Geipan est créé en 1977. Le Service d'expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique (Sepra) lui succède en 1988, mais bat de l'aile. En 2000, François Louange est chargé d'un audit sur ce service rattaché au Centre national d'études spatiales. "Il y a d'abord une raison scientifique : expliquer ces phénomènes. Et une raison civique : ce problème existe et la population se pose des questions."
L'Etat doit faire un choix. Ou bien il agit, et met un service, même minimum, capable de répondre aux questions. Ou il ne fait rien, au risque de laisser la place à Raël, aux sectes et à ce genre de choses.
François Louange
à franceinfo
Le Geipan a succédé au Sepra en 2005, assurant la pérennité du service. "Nous avons besoin d'un service officiel, ne serait-ce que pour obtenir les données de l'aviation civile, de l'armée, de la gendarmerie." Mais ces arguments ne convainquent pas tous les scientifiques. "Le Sepra est (...) une contamination mystique au cœur de la science",tonnait l'Association française d'information scientifique (Afis), à la période de l'audit.
Dans cet article, l'Afis dénonce notamment la présence de François Louange à un séminaire entre chercheurs "croyants" et scientifiques, financé par Laurance S. Rockefeller en 1997, à Pocantico (Etats-Unis). Dans les années 90, déjà, il était apparu sur les plateaux des frères Bogdanov et de Jacques Pradel, dans des émissions parfois gourmandes en récits farfelus. "Je ne leur en veux pas, mais je pense qu'il ne faut plus d'émissions télé sur ces sujets".
"Ce qui est troublant, c'est de passer des dizaines d'années à tenter de comprendre quelque chose, et de ne pas avancer du tout", résume François Lange, compréhensif avec les réactions parfois hostiles de confrères. Lui peaufine encore son outil, qui intéresserait désormais le gouvernement argentin. Pour le convaincre, il compte s'attaquer à un nouveau monument de l'ufologie : une "soucoupe" aperçue dans un lac du Costa Rica, en 1971, lors d'une mission de cartographie. Sherlock Holmes garde la tête dans les étoiles. On ne sait jamais.
Un militaire russe aurait abattu un ovni avant d’être attaqué et tué par les aliens survivants de l’engin, selon un rapport déclassifié de la CIA. Il est important de préciser que celui-ci s’est basé sur des articles de presse de l’époque et qu’aucune enquête de terrain de leur part n’a vraisemblablement eut lieu
Ce rapport choquant, créé le 27 Mars 1993, vient d’être mis en lumière par le média express.co.uk et relève d’une traduction par la CIA d'un rapport du journal ukrainien "Ternopil Vechirniy", aussi repris par Weekly (magazine Canadien).
Il indique tout d’abord que suite au Putsch de Moscou de 1991, de nombreuses archives du KGB ont été récupéré par la CIA, y compris les 250 pages présumées au sujet d’un dossier sur l'attaque d’un ovni, comprenant des photos et des témoignages.
Le rapport suggère qu’un ovni en forme de soucoupe, volant à basse altitude, était apparu au-dessus d’une unité militaire de Sibérie, avant que l'un des soldats ne tire un missile sol-air en direction de l’engin.
Cinq humanoïdes de petites tailles, avec de grosses têtes et de grands yeux noirs seraient sortis des décombres de l’appareil.
Deux soldats auraient survécu et décrit « cinq êtres ayant fusionnés en une boule sphérique blanche et brillante de lumière. Elle bourdonnait et sifflait. »
La boule aurait ensuite explosé et transformé la vingtaine de soldats en pierre, comme l’indique le rapport.
Le document explique : « Le rapport du KGB poursuit en disant que les restes des « soldats pétrifiés » ont été transférés au sein d’une institution de recherche secrète près de Moscou. »
Un représentant de la CIA a déclaré : « Si le fichier du KGB correspond à la réalité, alors ce cas met en évidence une extrême menace ». Il ajoute : « Les aliens possèdent une technologie qui va au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer ».
Cette affaire, sans fondements réels, pourrait représenter la face sombre de la CIA et qui consiste, concernant le dossier ovni, à colporter des récits farfelus de ce type dans le but de désinformer le public et désorienter les chercheurs.
Vous découvrirez avec stupéfaction que l’armée française détenait déjà en 1954 un ovni dans un blockhaus de bord de mer, mis sous haute surveillance militaire.
Une question se pose néanmoins : mais depuis combien de temps ?
Les USA avec plusieurs crashs d’ovnis récupérés, dont celui de Roswell, ne sont donc absolument pas les seuls a détenir des vaisseaux d’une autre technologie déjà durant la dernière guerre les nazis en avait récupéré au moins un. En septembre 1954 Marius Dewilde est témoin de l’atterrissage d’un vaisseau et de ses occupants, posé sur la voie ferrée près de sa maison de garde-barrière. Son histoire a défrayé la chronique à l’époque, et plus tard il a raconté son histoire dans un livre: « Ne résistez pas aux extra-terrestres ».
Nous sommes le vendredi 10 septembre 1954, il est environ 22 h 30. J’habite une petite maison à Quarouble, dans le nord de la France. C’est une maison de garde-barrière, donc très proche de la voie ferrée. Les « soucoupes volantes »? Connais pas ou plutôt, j’en entends parler comme tout le monde, mais pour moi, c’est de la foutaise……..
Je suis un homme simple, un ouvrier métallurgiste qui ne pense qu’a améliorer son confort. J’ai pu acheter une télévision: en 1954, ce n’est déjà pas si mal. Ce soir là, ma femme regardait le petit écran tandis que moi, je préférait lire mon journal, car en tant qu’ancien marin un article me passionnait, il s’agissait du drame de l’Abeille.
Soudain, Kiki, mon chien, s’est mis a aboyer d’une façon anormale depuis sa niche qui est à l’extérieur de la maison. – Qu’est-ce qui lui prend ? questionne ma femme.
– Je n’en sais rien, je vais aller voir. Je pose mon journal, prends une torche électrique et sors de la maison pendant que ma femme demeure assise devant le poste de télévision. Dehors, la nuit est sombre. Je ne vois qu’un écran noir. Je braque ma torche électrique sur Kiki, littéralement terrorisé, levant le museau vers le ciel pour « hurler a la mort ».
Je ne suis pas superstitieux, mais ce hurlement me colle un mauvais frisson sur la peau:
-Tais-toi !
Kiki obéit, mais en gémissant, comme s’il souffrait. J’observe les alentours que je balaie de ma torche électrique: rien de particulier! Je me dirige alors vers la droite de la maison qui est entourée par une palissade de 1 mètre 20 de hauteur, je l’ai construite moi-même pour empêcher les enfants et le chien d’aller traîner sur la voie ferrée. En arrivant près de la barrière, j’éteins la torche et satisfait un besoin naturel.
C’est alors que j’aperçois, sur ma gauche, une masse sombre posée sur les rails, a environ six ou sept mètres de moi. Je pense tout d’abord a un wagon mais, rapidement, je me rends compte que l’engin ressemble a tout ce que l’on pourrait imaginer sauf a un wagon ferroviaire.
Brusquement, derrière moi, près de la maison des bruits de pas… Je ne m’affole pas outre mesure car, souvent, des contrebandiers empruntent ce chemin, près de la maison, pour passer en Belgique. Le chien recommence a s’exciter, allant en tous sens, tirant sur sa chaîne. Des ombres se profilent et avancent vers moi.
J’ai trente-trois ans, ma taille est bien au-dessus de la moyenne, je pèse soixante-quinze kilos, je suis tout a fait sûr de ma force; ce sont probablement des gamins en maraude des chapardeurs de poulailler. Pourquoi songerais-je a des gamins ?
Pour deux raisons: ils en ont la taille et cherchent a fuir – sans précipitation d’ailleurs – en se dirigeant vers la porte de la palissade. D’un bond, je leur barre le chemin et braque sur eux le faisceau lumineux de ma torche. Stupéfaction! La lumière que je projette se réfléchit sur leur tête comme sur du verre. Ils sont vêtus d’une sorte de combinaison sombre qui semble être de la matière très souple.
Ma première idée: en ceinturer un. On dirait alors que cette pensée agressive (probablement captée) déclenche un rayon de lumière qui jaillit de la masse sombre posée sur les rails. Ce rayon m’enveloppe en me paralysant de la tête aux pieds. Je voudrais crier, bouger, impossible.
Seul mon cerveau fonctionne d’une manière on ne peut plus lucide. Je ressens des picotements dans tout le corps tandis que je vois et entends parfaitement.
Ils marchent sur la dalle de ciment, franchissent la porte de la palissade, se fondent dans la nuit, rejoignent la masse sombre posée sur la voie. Un bruit de porte a glissière me parvient et, bientôt, un sifflement qui s’intensifie. Je perçois un souffle tiède, très agréable a respirer, comme l’odeur des foins fraîchement coupés.
Le rayon lumineux disparaît et je retrouve, instantanément, l’usage de mes membres. Je vois alors l’engin – toujours une masse sombre – qui monte dans le ciel: peut-être à la verticale, environ trente ou quarante mètres. L’engin s’illumine peu a peu, devient fluorescent, orange, presque rouge. C’est fini. Il a disparu …
CHAPITRE 4 (le lendemain quelques heures après la déposition à la police)
Cela commence par une voix d’homme derrière moi. – Monsieur Dewilde ? Je me retourne
– Oui, c’est moi
– C’est pour la Voix du Nord. Pourriez-vous m’accorder une interview, s’il vous plaît?
Apres avoir pris des notes sur son carnet, le journaliste me scrute
– Vous devriez rentrer chez vous, monsieur Dewilde, il y a beaucoup de monde…
Beaucoup de monde: bel euphémisme ! Un cordon de police empêche une foule de curieux d’envahir le terrain qui entoure la maison. Dans celle-ci ma femme reçoit le commissaire Gouchet tandis que, dans le même instant, arrivent la gendarmerie de l’Air et la D.S.T. Et ce n’est pas fini, les « envahisseurs » ne sont pas les extraterrestres d’un mauvais feuilleton télévisé.. mais bien plutôt toutes les polices, y compris la police de l’Air de Lille et de Paris munies d’appareillages.
Ce qui se passe alors dépasse l’entendement humain et j’ai l’impression d’être transporté dans un monde démentiel ou les ordres fusent toutes parts, ou chacun réclame une priorite d’action: A cet égard, ce sont des militaires revétus d’une combinaison antiradiations qui s’imposent en tout premier lieu: mon locataire, toute ma famille et moi-même sommes soumis à la d étection des compteurs Geiger, ensuite c’est le tour des animaux et du terrain. Résultat de l’opération: « La radioactivite est supportable pour l’être humain et les animaux ».
La preuve est faite: L’ENDROIT OU L’ENGIN S’EST POSE EST RADIOACTIF !
Je ne devrais pas trop me réjouir de cette « preuve », elle va entraîner des conséquences désastreuses pour moi.
L’enquete sur les lieux est brusquement interrompue par une rumeur houleuse venant de la foule maintenue par le cordon de police. A cette rumeur s’ajoute un grincement strident suivi d’un grondement lourd.
Le premier moment de surprise passe, la Police et l’Armée tirent les conclusions de ce nouveau phénomène, plus « rationnel » que l’atterrissage dont j’ai été témoin: un train, en passant lentement pour ne pas provoquer d’accident parmi l’attroupement, a provoque un affaissement de la voie (le grondement sourd) tandis que ses roues patinaient sur les rails (le grincement strident).
L’affaissement s’est produit à l’endroit même ou l’astronef s’était posé quelques heures plus tôt.
Le machiniste immobilise sa locomotive, met pied a terre pour aller téléphoner tandis que les enquêteurs, stupéfaits, constatent une friabilite anormale de la voie et du ballast.
Quelques instants plus tard , le machiniste s’écrie: – Le téléphone ne fonctionne pas!
– Je sais, dis-je, il ne fonctionne plus depuis l’atterrissage.
– Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire? gronde une voix aux mâles accents militaires.
Cette voix ne dira plus rien dès que celui qui en a l’usage constatera que les piles sont neuves et paradoxalement vidées.
Je ne peux alors résister au plaisir de lui montrer ma torche électrique et mon poste transistor! Il compare, rumine, tente de ne rien laisser paraître sur un front soucieux et qui se voudrait intelligent, mais derriére lequel il n’y a que le vide de l’incompréhension !
Prés de la voie, un officier attire l’attention de tous:
– Venez voir ici! Il y a un creux, une sorte de cuvette sur une longueur d’au moins six métres, il y a également des traces sur le travers du ballast et des entailles sur les traverses des rails.
Les preuves s’accumulent et, bizarrement, chaque fois qu’un nouvel élément accrédite mes declarations, j’ai la désagreable sensation de poser le pied sur les marches d’un escalier qui descendrait aux enfers.
Je sais, désormais, que la précognition n’est pas un vain mot!.
CHAPITRE SIXIEME (quelques jours plus tard)
Werner Von Braun n’est pas l’inventeur des V.1 et V.2…….
Le temps s’écoulait mais j’en perdais pratiquement la notion. Depuis combien de temps étais-je dans cet endroit bizarre ou l’on enfermait, indifféremment, aussi bien les fous, « les individus dangereux » que les lepreux? 4, 5, 6 jours? Comment savoir avec ces piqûres journalieres qui me maintenaient dans un etat semi-comateux. Et toujours les interrogatoires, la sempiternelle question: Vous n’avez pas tout dit, n’est-ce pas ?
Un matin, la porte s’ouvre:
– Habillez-vous Dewilde, on y va.
Ou ? Quelle importance! Je me sens habité par une espèce de fatalisme a toute epreuve, car l’échéance est fatale: Je m’en sortirai, d’une manière ou d’une autre, sans avoir a intervenir personnellement. Quant à expliquer ce sentiment, cela m’est impossible: je sais, voila tout.
Une nouvelle fois,le fourgon. Une heure de route. Je n’ai ni ceinture ni lacets.
En descendant du fourgon, je découvre un camp militaire qui est, en fait, une ancienne prison civile. La fête continue: médecins, interrogatoires, piqûres. Je me souviens du conseil de l’infirmier « l’individu classé dangereux » se fait doux comme un agneau, mais il ne rajoute rien a ses dépositions précédentes.
Durant trois jours, c’est l’habituel carrousel: hopital, camp militaire, camp militaire, hopital: Ils sont inlassables. Moi aussi.
Ils optent enfin pour le camp militaire où le médecin est un commandant qui officie dans le service du professeur Merle d’Aubigne. J’y demeure quelques jours.
Aujourd’hui, en 1980, je me demande si les autorités qui me détenaient n’ont pas commis une regrettable erreur en me laissant parler à un autre détenu, lui aussi classé « dangereux » ou « fou », et avec lequel j’ai longuement conversé, il ne m’a paru ni dangereux, ni fou. Il s’agit du savant Georges Claude qui voulut vendre son invention a la France, laquelle refusa parce qu’elle jugeait cette invention aussi inutile que coûteuse. Georges Claude trouva acquéreur en Allemagne et les nazis attribuèrent la paternité de l’invention à Werner von Braun !
On m’accuse, maintenant de trahison ! me dit Georges Claude.
Mais si j’ai trahi, pourquoi n’informe-t-on pas l’opinion publique ?
– Parce que j’aurais mon mot a dire!
Intéressante digression, non ?
Est-ce bien cela que vous avez vu ? Electrochocs, penthotal, séances d’hypnose, finalement, a mon insu, j’ai probablement parlé. Mais n’anticipons pas. On m’eveille en pleine nuit, on m’emmène jusqu’au fourgon qui, a l’aube, stoppe au bord de la mer. Laquelle ? Je n’en sais rien. Je suis encore sous l’effet des « calmants ». J’entends cependant le bruit des vagues dans l’obscurité de la nuit et je respire, à pleins poumons, l’air salin.
On me pousse vers des marches que je descends, me voici devant un blockhaus surveillé, gardé par des fusiliers marins. L’officier qui m’accompagne désigne des meurtrières dans la masse de béton.
– Regardez a l’intérieur.
J’obtempère tanisé, je n’en crois pas mes yeux.
L’officier me murmure a l’oreille:
– Est-ce bien cela que vous avez vu ? Dans une grande pièce à l’intérieur de l’édifice, je vois un énorme engin de forme lenticulaire, long d’environ dix mètres et parfaitement éclairé.
Je l’observe tandis qu’il se situe en contrebas par rapport à mon angle de vision.
– Est-ce que l’engin que vous avez vu ressemble a celui-ci ? insiste l’officier.
Je déglutis difficilement. – Il m’est impossible de répondre affirmativement, car je n’ai vu aucun détail lors de la nuit du 10 septembre, sinon la forme approximative de l’engin.
A ma grande surprise, l’officier semble se contenter de cette réponse. Il me laisse tout a mon observation qui ne durera pas moins de trente minutes, après quoi, on m’a ramené chez moi, à Quarouble.
Etait-ce bien la fin du cauchemar ?
***** L’armée récupère la boite*****
Il n’y avait pas un quart d’heure que j’étais de retour à Quarouble qu’une Jeep de l’armée de Terre s’arrêtait devant la maison. A son bord: un commandant, un capitaine et deux hommes de troupe en armes. Suivi de près par le capitaine, le commandant s’approcha: – Monsieur Dewilde, donnez-nous la boite.
– La boite ? Quelle boite ?
– Allons… vous savez bien la boite
– Je ne sais pas de quoi vous parlez.
– Nous savons ou elle se trouve, monsieur Dewilde.
– Eh bien, dans ce cas, vous n’avez qu’a la prendre.
Le commandant eut un sourire circonspect.
– C’est ce que nous allons faire. A mon grand étonnement, je vis les deux officiers et les deux soldats se diriger vers la cave. Ils réapparurent quelques instants plus tard avec la boite !
– Monsieur Dewilde, déclare le commandant, on vous paiera cet objet. On vous le paiera très cher. La somme que vous recevrez sera vraiment très importante.
Je n’ai plus jamais entendu parler de la boite, quant à l’argent promis par le commandant, celui-ci a du oublier de me le faire parvenir…
Ce vendredi 17 février 2017, la Nasa a interrompu une transmission en direct des caméras extérieures de la Station Spatiale Internationale, au moment où l’on voit passer au moins six objets lumineux derrière l’ISS. Il n’en fallait pas plus pour les ufologues.
Les chasseurs d’ovnis et ufologues en sont persuadés, « au moins six objets volants non identifiés » sont passés non loin de la Station Spatiale Internationale (ISS). Ceux-ci ont été capturés en vidéo, la Nasa retransmettant en direct depuis les caméras extérieures de l’ISS ce vendredi 17 février. Problème, au moment de cet étrange passage, la Nasa a interrompu le direct et les images ont été remplacées par une transmission montrant l’intérieur d’une salle de réunion.
« C’est un problème technique » s’est défendue l’agence spatiale américaine. Peu convaincant pour beaucoup, à commencer par le chasseur d’ovnis « Streetcap1 », qui fut le premier à s’être rendu compte de ce phénomène étrange. Il a ensuite partagé les images avec « SecureTeam10 », un groupe d’ufologues qui enquêtent sur la vidéo et publient leurs conclusions en ligne.
« Streetcap1 a découvert ce que certains appellent une flotte d’objets volants non identifiés survolant la Station spatiale internationale. Nous avons vu au moins six ovnis passant derrière l’ISS. À en juger par la distance, je suppose que la taille de ces objets, quels qu’ils soient, est assez grande« , a déclaré Tyler de SecureTeam, qui publie la vidéo ci-dessous, au Daily Mirror. Dans l’attente d’explications de la Nasa, ces objets restent un mystère.
Date : 24 mars 2014, vers 22h30 Lieu :Nassau, Bahamas Type d’observation : Lumières Nocturnes
Le 24 mars 2014, une femme en voyage en visite chez son amie a pu observer quatre (4) lumières étranges en regardant le ciel. La demeure de l’amie du témoin principal se trouvait près de l’Hôtel « Melia Nassau Beach Hotel ». Les trois (3) premières lumières se trouvaient dans le ciel, immobiles, lorsque les deux femmes ont regardé le ciel. Les anomalies avaient toutes les mêmes dimensions (semblables aux étoiles mais blanches et un peu plus grosses) et étaient alignées à intervalle régulier.
Elles ont commencé à bouger tranquillement et ont accéléré au fil des secondes pour disparaître rapidement hors de vue. Après cette apparition, une quatrième lumière identique est apparue un peu plus loin de l’emplacement original des premières lumières et elle s’est déplacée rapidement dans la même direction que celles qui venaient de s’éloigner. Cette dernière lumière a effectué un cercle complet avant de continuer sa route dans la même direction. L’observation à durer moins de deux minutes.
Représentation des trois premières lumières
Représentation de la quatrième lumière
Carte google près de l’endroit où l’observation s’est déroulée
Témoignage
J’étais avec une copine à Nassau dans les Bahamas, dans sa maison. Il y avait un beau ciel de nuit… et vers 22:30, lundi le 24 mars je dis à ma copine « Tu viens prendre de l’air avec moi et regarder les étoiles ? », drôle de coïncidence ça s’est passé au moment même quand on est arrivé dehors. Je lève la tête et voilà tout de suite on aperçoit 3 boules de lumière ou gros ronds lumineux qui sont très hauts, assez pour dire que ce n’est pas nos appareils à nous c’est sûr.
Donc les 3 lumières sont au-dessus de nous mais très hautes, immobiles… tout cela se passe en l’instant d’une minute et demi et là elles se mettent à bouger tranquillement et à ce moment je dis à ma copine : « As-tu vu!? ». Au même instant, elles se mettent à partir très très vite et une quatrième lumière apparaît et disparaît comme un filament lumineux qui tourne et elle va rejoindre les autres un peu plus loin.
Ce mercredi 5 novembre 1975, sept bucherons ont passé la journée à couper des arbres dans la forêt nationale Apache-Sitgreaves, dans les Montagnes Blanches, proche de Snowflake, à 240 km au nord de Phoenix (Arizona, USA). Le patron, Mike Rogers, avait vingt-huit ans, le plus âgé des sept hommes, et ses subordonnés se nomment : Allen Dalis, John Goulette, Dwayne Smith, Kenneth Peterson, Steve Pierce et Travis Walton, qui a 22 ans à l'époque.
Le coucher du Soleil dans ce lieu un peu élevé et montagneux se produisit vers 17h45 et, après avoir continué à travaillé dans la lumière déclinante, l'arrêt du labeur fut donné à 18 heure précise. Le temps de récupérer les outils, les scies à chaînes, les bidons de pétrole et d'huile et de se regrouper, les hommes s'entassèrent dans le vieux pick-up de 1965, qui put partir vers 18h10. Les places étaient bien définies dans la camionnette : les non-fumeurs à l'avant (Mike Rogers qui conduit, Kenneth Peterson au mileu et Travis Walton à droite, contre de la porte donc. Tous les autres sont assis à l'arrière et sont fumeurs. Ils commencèrent à monter la crète menant à la route, ils devraient être rentrés chez eux vers 19h30. Ils ouvrirent les fenêtres malgré le froid qui tombait : la chaleur et sueur du travail était encore bien présente...
Ils avaient atteint la route depuis quelques minutes et continuaient à monter quand Travis Walton aperçut une lumière à travers les arbres situés à leur droite et 100 mètres en avant. Il supposa d'abord qu'il s'agissait du soleil en train de descendre à l'ouest, mais se souvint que ce dernier avait déjà disparu depuis une bonne demi-heure. Il pensa alors qu'il s'agissait des lumières d'un camp de chasseurs, ou des phares ou même un possible incendie. Les collègues placés à droite de la camionnette avaient du aussi voir quelque chose car ils étaient bien silencieux. Alors qu'ils continuaient à avancer vers cette luminosité, une trouée dans les arbres permis de la distinguer un peu mieux...
" Fils de . . ." commença Allen Dalis.
- Qu'est-ce que c'était ? Demanda Travis Walton.
Ses yeux s'efforçaient de donner un sens à la lueur scintillante à travers les arbres denses qui bloquaient leur vision. De la fenêtre ouverte, il pouvait voir l'éclat jaunâtre apparaître au travers de leur chemin, sur la route, quarante mètres plus loin. Du siège du conducteur, Mike Rogers ne pouvait pas utiliser son œil droit sans se pencher, " Qu'est-ce que vous voyez ? " Demanda-t-il avec curiosité.
Dwayne Smith répondit :" Je ne sais pas - mais cela ressemblait à un avion écrasé suspendu dans un arbre ! "
Finalement, notre excitation croissante a poussé Mike Rogers à accélérer un peu la petite vitesse que le pick-up pouvait encore atteindre sur l'inclinaison. Nous passâmes au-delà de l'ombre des feuillus persistants, vers l'endroit où nous pouvions avoir une vue dégagée sur la source de l'étrange éclat. Soudainement, nous avons été électrisés par la vue la plus impressionnante, incroyable que nous avions vue dans nos vies entières.
" Arrêtez ! " Cria John Goulette. " Arrête le camion ! "
Alors que le camion glissait dans un arrêt poussiéreux sur la route rocailleuse, Travis Walton ouvrit sa portière pour avoir une vue plus claire de la chose éblouissante.
" Mon Dieu ! " Cria Allen Dalis. " C'est une soucoupe volante ! "...
Mike Rogers coupa le moteur et ils regardèrent tous, interloqués un étrange disque doré qui planait silencieusement à 20 pieds au-dessus du sol . Nous avons regardé, épouvanté. Les hommes du côté gauche du camion se penchaient pour qu'ils puissent voir. Là, à vingt pieds (6 mètres) au-dessus du sol, un étrange disque d'or planait silencieusement, à 30 yards d'eux (27 mètres). Ses bords étaient clairement définis. La machine d'or était nettement dessinée contre le bleu profond du ciel clair du soir. Un hâlo léger jaune émanait de l'embarcation et illuminait faiblement la zone immédiate d'une lueur mystérieuse. Sous la lumière étrange, la forêt autour prenait des teintes bizarres, qui étaient très différentes de ses couleurs naturelles. Les arbres, les branches et l'herbe reflétaient de nouvelles nuances subtiles et singulières.
D'après leur estimation, l'objet avait un diamètre global (un diamètre étant une ligne droite) de quinze ou vingt pieds (5 à 6 mètres - soit 18 mètres de circonférence env.); Il avait huit ou dix pieds d'épaisseur (3 mètres). Le disque aplati avait une forme semblable à celle de deux gigantesques poêlons placés lèvre à lèvre, avec un petit bol rond retourné sur le dessus. A peine visible de leur angle de vue, un dôme blanc dépassait en effet le contour supérieur du navire. Ils pouvaient voir des rayures plus foncées d'un éclat d'argent terne qui divisaient des zones incandescentes de sections en panneaux. La lumière jaunâtre pâle émise par la surface avait l'éclat du métal chaud, incandescent d'un haut fourneau. Il n'y avait aucune antenne ou protubérance visible d'aucune sorte. Rien qui ressemblait à une trappe, portes ou structures en forme de fenêtres ne pouvait être vu. Il n'y avait aucun mouvement et aucun bruit de l'engin.
Selon Travis Walton, il fut soudainement saisi de l'urgence d'aller voir la chose de près. Il eut peur de son départ et qu'il puisse manquer la chance de sa vie de satisfaire sa curiosité à ce sujet. Il sortit précipitamment du camion et se dirigea rapidement mais calmement vers le mystérieux véhicule et une clairière...
Ces collègues s’inquiétèrent de son action aussitôt :
" Qu'est ce que tu crois faire ? " Demanda Mike Rogers dans un fort murmure.
" Hé, Travis ! " l'appelèrent les hommes avec insistance.
Walton a longuement hésité, puis il est reparti plus lentement vers l'engin, à demi-courbé. Puis il s'est redressé en entrant dans le cercle de luminosité jaune laissé par l'engin sur le sol. Il était à peine à 1m80 d'être en-dessous de l'engin quand il s'est arrêté à nouveau. Là, il perçoit comme un son sourd, un étrange mélange de sons mécaniques bas et aigus. Il y avait des pointes intermittentes, perçantes, des bip superposés sur le bruit lointain, un bas grondement d'une machinerie lourde. Les sons étranges étaient tellement mélangés qu'il était impossible de les comparer à un son quelconque, déjà entendu.
- Travis, éloigne-toi de là ! cria Mike Rogers.
L'interpellé a jeté un regard fugitif sur le pick-up garé sur la route, puis a reporté son attention sur l'étude du navire incroyable. Soudain, il est surpris par une houle puissante et tonnante avec l'augmentation du volume des vibrations de l'engin. Il semble sauter sur place à cause du son vibrant, comme celui d'une multitude de générateurs de turbine démarrant. Il voit que la soucoupe commençe à vaciller sur son axe avec un mouvement d'accélération, comme une balance autour d'un sommet non stabilisé. Le même côté a continué à lui faire face pendant que l'engin restait à peu près à la même hauteur tout en se balançant
Il était en train de s'accroupir lorsqu'un rayon bleu-vert brilla du fond de l'engin. Il n'a rien vu ni rien entendu, juste la sensation d'un coup engourdissant, comme une électroction. Et puis sa conscience s'est enfoncée dans des ténèbres intenses...
Les hommes dans le camion ont vu son corps s'archer en arrière, les bras et les jambes tendus, lorsque la force du coup l'a soulevé du sol. Il a été projeté en arrière, en l'air de plusieurs pieds (5-6 mètres). Ils ont vu son épaule droite frapper la dure terre rocheuse de la crète. Mon corps restait immobile, étendu sur le sol.
" Il l'a eu! " Cria Steve Pierce.
Dwayne Smith a crié: " Partons d'ici ! "
" Faites bouger ce fils de pute ! " hurla hystériquement Allen Dalis.
Ce n'était pas la peine de demander à Mike Rogers : il tâtonnait déjà désespérément, cherchant le commutateur d'allumage. Ses doigts tremblants saisirent finalement la clé. Le moteur rugit à la vie. Mike mit le camion sur la piste qui était parsemée de cailloux. Il tourna frénétiquement le volant d'un côté, puis de l'autre, parcourant la route tortueuse, écrasant la pédale de l'accélérateur...
- Il nous suit ? Cria-t-il par-dessus son épaule. Personne n'a répondu.
- C'est après nous ? Cria-t-il encore...
Quand encore aucune réponse ne vint, il se tourna pour voir les regards choqués et stupéfiés sur les visages de son équipe. Leurs visages pâles regardaient droit devant eux, vides. En réaction à l'horreur incroyable de ce qu'ils avaient vus, six bucherons endurcis étaient réduits à une terreur sans intelligence... lui-même terrorisé, il pencha la tête par la fenètre pour voir s'ils étaient poursuivis tout en écrasant la pédale... le camion faisait des embardés, cognait des petites roches en bordure de la route, et ce ne fut que lorsqu'ils perdirent le rétriviseur droit, touché par un tronc d'arbre et que le camion fit un vol plané sur une forte bosse, faisant gémir les amortisseurs d'une façon inquiétante à l'atterrissage, qu'il freina et diminua sa vitesse... réalisant que la mauvaise route et sa vitesse étaient tout aussi dangereux...
Il finit par arrêter la camionnette à 30 mètres de la Rim Road.
« Il ne semble pas être après nous », frissonna Mike Rogers. La pause a poussé les hommes hors de leur silence choqué. Ils ont commencé à japper hystériquement. Tout le monde hurlait aussitôt, dans une confusion de cris aigus. Il insista : " Je l'ai vu retomber, mais qu'est-ce qui lui est arrivé ? "
" Man, un rayon bleu est sorti du fond de cette chose et l'a frappé partout ! Cela semblait l'engloutir ." La voix de Kenneth Peterson était solennelle.
- Bon sang ! Il semblait qu'il se désagrègeait ! s'écria Dwayne Smith.
- Non, il était d'une seule pièce, contredit Steve Pierce. Je l'ai vu frapper le sol.
" Je sais une chose, il a l'air d'avoir été frappé par un éclair !" revint Dwayne Smith. " J'ai entendu un zap - comme si il avait touché un fil électrique ! "
" Hé, les gars, nous ferions mieux d'y retourner ! " a dit quelqu'un.
- Pas question, mec, je n'y retourne pas ! Dit quelqu'un d'autre.
Comme les hommes l'ont soutenu, Mike Rogers intervint. " Allons faire un feu pour que les gars qui ne veulent pas y aller puissent rester ici dans la clairière, tandis que le reste d'entre nous y retourna ".
A ce moment, une camionnette s'approche sur la route en contrebas : ils se précipitent et l'arrêtent, pour demander s'ils ont vu quelque chose... Le conducteur demande aussitôt s'ils avaient vu ça ?... Il semble que le chauffeur de ce camion ait vu un disque au sud, qui s'est élevé et est parti à toute vitesse vers le nord-est... Du coup, les bûcherons ne pensent plus à rien et reprennent la route, tout en discutant...
Ils discutent encore à un mile (1,5 km) sur la route, où ils ont atteint le virage qui allait au nord de Heber. Là, ils sont finalement arrivé à une conclusion inévitable. Mike Rogers a remit le camion à l'arrêt. Il a dit fermement : " Ce camion va faire demi-tour, tous ceux qui ne veulent pas venir peuvent sortir ici et maintenant, et attendre... Nous avons agi comme un tas de lâches. Maintenant, ce que nous devons faire est ce que nous devrions avoir fait en premier lieu ! "
Les hommes embarrassés ne protestent plus de revenir sur le site. Même si certains étaient encore réticents, ils avaient honte de le dire. Aussi, la perspective d'attendre seul dehors dans l'obscurité était bien pire que de revenir tous ensembles... Leur courage avait été renforcé par le temps et la distance du site. Cependant, lorsqu'ils tournèrent à gauche, au large de la Rim Road vers la scène originale, leur appréhension commençait à se reconstruire. Ils ont commencé à spéculer sur les possibilités redoutables de ce qu'ils pourraient trouver quand ils seront revenus. Plus ils se rapprochaient, plus ils étaient anxieux.
Quelqu'un a suggéré de mener le camion autour et de pointer les phares vers la pile de rondins au-dessus de laquelle ils avaient vu l'engin planant. Ils montèrent et tirèrent, en roulant vers le sapin qui se penchait sur le chemin. Leurs yeux ont cherché dans la zone éclairée par les phares. Ils n'ont rien trouvé.
" Nous allons juste devoir sortir et regarder autour, " dit Mike Rogers.
Ils ont cherché d'abord dans la sécurité des phares. Tout le monde est resté ensemble, se serrant près de Mike Rogers, qui portait la seule lampe de poche. Le faisceau de la lampe de poche sondait dans la nuit, en examinant chaque forme sombre. Ils ont cherché derrière chaque bûche, buisson et souche. Ils ont appelé à plusieurs reprises: " Travis! ... TRAVIS !! " A l'exception de leurs appels, les bois étaient tranquilles. Ils ont cherché plus au nord, comme AllenDavis avait suggéré. Ils ont cherché au-delà du sommet de la crête et plus au sud. Ils n'ont trouvé aucun signe nulle part - pas d'objets étrangers ou de marques inhabituelles. Pas de brûlures, pas d'empreintes ou de terrain dérangé. Pas une trace de pistes et aucune preuve d'une lutte.
Plus ils continuaient, plus Mike Rogers était inquiet, plus émotionné. Il trébucha, puis se releva, regardant ses pieds, luttant pour contrôler ses sentiments. La perte de son ami, sa culpabilité en partant, et la pression de la direction qui lui était demandée devinrent trop lourdes pour un instant. Finalement, Mike Rogers réussit à reprendre son sang-froid. " D'accord, les gars, nous ne faisons rien de bien ici. Allons-y ! "
Ils sont entrés dans le camion et ont commencé la longue route de retour à Heber. Le souvenir de ce qu'ils avaient vu récemment les a laissés avec une gamme de fortes réactions émotionnelles.
Puis Kenneth Peterson a exprimé la pensée qu'ils avaient tous évité jusqu'à présent. " Nous allons devoir en informer les autorités "...
Après avoir beaucoup réfléchi de peur qu'on les accuse de cette disparition, ils prennent l'initiative d'aller voir le shérif adjoint, qui alerte immédiatement le shérif Marlia Guillespie. Celui-ci soupçonne fortement ces hommes d'être à l'origine du meurtre de leur collègue, et que tôt ou tard ils vont avouer et raconter ce qu'il s'est réellement passé. Des fouilles intensives sont organisées sur les lieux afin de tenter de retrouver d'éventuelles traces du disparu, en vain. En fait, c'est bien durant les quatre jours suivant que la police, aidée pour l'occasion par plusieurs dizaines de volontaires, organise des battues pour retrouver Walton, sans succès. Pendant la battue, des tests de radioactivité étaient réalisés en vain sur le terrain, mais des radiations étaient présentes sur l'équipement des compagnons de Trevis Walton. Après quatre jours de recherches, le 9 novembre, des rumeurs du meurtre de Travis par ses camarades commencent à circuler parmi la population et les autorités. C'est alors que le shérif décide de faire passer les compagnons de Travis au détecteur de mensonge. De nombreuses caméras de télévision y assistèrent. La personne chargée de réaliser le test polygraphique (détecteur de mensonge) était l'une des meilleures de l'Arizona (C. Y. Gilson). Durant cet examen, cinq des collègues de Travis ont réalisé le test ; le dernier, Allen Dalis, a refusé de le passer. Le plus extraordinaire est que le résultat fut sans appel, car les cinq personnes furent jugées sincères par le détecteur de mensonge.
Le 10 novembre, en fin de journée, le beau-frère de Travis Walton reçoit un appel téléphonique en PCV : il s'agit de Travis qui l'appelle d'une cabine publique à quelques kilomètres de là. On le retrouve sur place, nu, désorienté et en état de choc, amaigri et déshydraté (comme le confirmera un examen médical ultérieur : Un médecin local confirma l'état d'extrême désorientation et de déshydratation sévère dont souffrait Travis lorsqu'on le retrouva le 10 novembre. Le récit de Travis Walton est conforme à ceux des autres témoins, y compris le témoignage sous hypnose. Pour l'expert qui mena le test, Travis croyait dire la vérité.).
Dessin effectué d'après les descriptions de Walton sous hypnose
Travis Walton a tout oublié sur le coup, mais sa mémoire lui reviendra petit à petit, sans qu'il soit soumis à l'hypnose, contrairement à ce qui a été affirmé sur certains sites. Il racontera ceci : après avoir perdu connaissance sur la route, il se réveilla dans une pièce, allongé sur une table, entouré de trois créatures d'1,50 m de haut qu'il décrira comme ressemblant à des fœtus, avec la peau presque blanche, portant des robes longues bien ajustées de couleur brunes. Pris de panique, il repoussa violemment les trois créatures qui sortirent et il entreprit de sortir à son tour.
Il entreprend alors d'explorer l'ovni. Après avoir parcouru un couloir incurvé, il pénètre dans une salle circulaire. Au centre, il voit un fauteuil. A mesure que Travis s'en approche, la lumière s'atténue. Il distingue alors au-dessus de sa tête une voûte étoilée, s'assoit sur le siège face à une sorte de tableau de bord et commence à essayer de le manipuler, faisant parfois réagir l'engin. Un humanoïde d'assez grande taille, équipé d'un casque, entre alors dans la pièce, lui adresse un sourire et le conduit dans une autre partie du vaisseau - lequel se révèle beaucoup plus grand que Travis ne l'avait imaginé (on peut supposer ici qu'il n'est plus dans le premier vaisseau mais a été transféré de vaisseau pendant son inconscience). Apercevant plusieurs soucoupes réunies dans une vaste salle, il suppose qu'il est à bord d'un "vaisseau-mère". Il se retrouve finalement dans une autre salle, de dimensions plus réduites, où des êtres d'apparence humaine sont rassemblés. Il y a une femme parmi eux, mais tous se ressemblent comme des jumeaux. A cet instant, les visiteurs cosmiques endorment Travis, qui ne réussira pas, par la suite, à se souvenir de ce qui s'est passé après. Lorsqu'il revint à lui, il eut juste le temps de voir l'OVNI disparaître... Pour lui donc, peu de temps s'était passé, alors qu'il a été absent plusieurs jours en réalité...
Travis a également réalisé le test du détecteur de mensonge avec la même personne que pour ses cinq camarades, et sa sincérité fut également reconnue.
A priori, Les premiers ufologues sur les lieux sont le Dr. Lester Stewart du GSW et le professeur Allen Hynek, représentant alors le CUFOS, qui interrogent la famille Walton alors que Travis est encore disparu. L'attitude de la famille, qui aurait déjà eu des expériences avec des OVNIs, et le fait qu'ils ne semblent pas inquiets, fait que Hynek a de forts doutes "instinctifs" envers ce cas.
- La famille Walton dans son ensemble a eut une histoire continue avec les ovnis. Les garçons Walton ont signalé avoir fait 10 à 15 observations d'ovnis distinctes (très élevé, certes !). Lorsque Duane a été interrogé sur la disparition de son frère, il a déclaré que "Travis sera retrouvé, que les ovnis sont amicaux." Le GSW a objecté : "Comment savez-vous que Travis sera retrouvé ?". Duane a dit "J'ai un pressentimment, un fort pressentiment." Le GSW a demandé "Si les 'capteurs' de l'ovni vont rendre Travis, aurez-vous un appareil photo pour immortaliser ce grand événement ?" Duane, "Non, si j'ai un appareil photo 'ils' ne le rendront pas." - Notons tout de même que cela ne prouve rien, ni dans un sens, ni dans l'autre, de ressentir des choses...
La mère des Walton n'a pas démontré une émotion débordante lors de la "perte" de Travis. Elle a dit que les ovnis ne feront pas de mal à son fils, qu'il sera rendu et que des ovnis ont été vus par sa famille de nombreuses fois. Idem, cela peut être logique si une famille est "privilégiée" avec ce type de phénomène, tout comme il semble avoir existé dans le passé des familles de "sorciers" ou de guérisseurs, radiesthésistes, etc...
Les Walton ont refusé toute aide scientifique extérieure ou quiconque qui doutait logiquement de la portion d'enlèvement de l'histoire. Les media et le GSW ont été honnêtes avec les témoins. Cependant, lorsque l'histoire à commencé à "dériver" les Waltons n'ont parlé qu'aux gens qui ne doutaient pas de l'histoire d'enlèvement. Méfiance logique envers l'adversité...
L'APRO s'est impliquée et a critiqué le GSW et le Dr. Hynek pour avoir adopté une position négative sur la rencontre. Les Waltons ont "vendu" leur histoire au National Enquirer et l'histoire a été complètement déformée de la vérité. Tous les témoins ayant subi des ragots, soupçons de drogues, d'alcool ou autres, d'avoir eu leur vie bouleversée, est-il anormal de vouloir avoir quelques bons côtés financiers ? Sûrement pas...
L'enquête sera longue et difficile et les expertises contradictoires. Walton et ses amis seront, des années durant, tournés en ridicule et accusés de supercherie. On dira que Walton fut sous l'empire d'une drogue (canabis), qu'il avait halluciné (alors qu'il n'a jamais fumé et le canabis ne provoque pas d'hallucinations !). Lui et ces compagnons seront soumis au détecteur de mensonges, à des interrogatoires croisés, qui ne permettront pas d'infirmer leur témoignage, à aucun moment...
Depuis 1975, aucun de ces hommes n'a changé sa version des faits, et c'est en 1993 que C. Y. Gilson eut l'opportunité de faire passer le test du polygraphe au dernier de la bande, Allen Dalis à propos de l'enlèvement de Travis par un OVNI. Le résultat fut conforme à ceux obtenus avec les collègues d'Allen Dalis.
On rappelle qu'il est impossible que sept personnes puissent tromper un détecteur de mensonge sur une même histoire, d'où le grand intérêt des médias pour cette dernière. Néanmoins, un détecteur de mensonge ne fait qu'indiquer la sincérité de celui qui y est soumis, c'est-à-dire si ce dernier est convaincu de ses dires ; il ne prouve en rien leur véracité (même si c'est tout de même un fort indicateur).
Travis Walton écrivit un livre sur cette affaire, The Walton experience, qui fut publié en 1978 et réédité en 1996 sous le titre Fire in the Sky.
Un long-métrage également intitulé Fire in the Sky (Visiteurs extraterrestres en français) et librement inspiré de ces événements fut réalisé en 1993 par Robert Lieberman. A part l'enlèvement même dont l'horreur est exagérée dans le film, le livre est bien respecté...
Il est important de noter que le NICAP, organisme auto-proclamé d'enquêtes sur les OVNI, enquêta sur cette affaire et conclut à un canular orchestré par Travis Walton et son frère Duane, en affirmant avoir en sa possession des pièces de loupés non déclarés de tests de détecteurs de mensonges, mais sans réellement les montrer officiellement ni les avoir fait formellement authentifiées par des instances "neutres". De plus, Ryan Somers, dans son livre " The Blue Planet Project " soupçonne fortement le NICAP (et d'autres organismes d'ufologues) d'être très infiltré par la NSA afin de discréditer au mieux certains témoignages ou affaires "crédibles"... difficile donc de faire la part des choses en final, et comme souvent sur la plupart des affaires UFO, et cela semble bien voulu... il s'agit d'interventionisme de sécurité et non de "complot" donc, même si le résultat apparaît comme fortement anti-démocratique...
Travis Walton Document (repost d'une vidéo déjà hébergée) par yveshSFH
UFO CONSCIENCE avec Lynne Kitei - Les Lumières de Phoenix, un vaisseau mère au dessus de l'Arizona?
UFO CONSCIENCE avec Lynne Kitei - Les Lumières de Phoenix, un vaisseau mère au dessus de l'Arizona?
Rédigé par Olivier de Sedona
Important: Cette émission étant totalement indépendante et gratuite je vous demanderais juste de laisser la pub qui est diffusée sur Youtube jusqu'à la fin sans l'ignorer, en respectant cette demande UFO Conscience pourra continuer à exister grâce à vous.
Des traces au sol dans un cas OVNI non loin d'une usine d'amiante en 1954
Des traces au sol dans un cas OVNI non loin d'une usine d'amiante en 1954
Rédigé par Olivier de Sedona
Je suis en train de vous concocter une belle émission illustrée d'images et d'articles de presse et qui va sortir le vendredi 10 février sur la chaîne Youtube d'UFO Conscience.
Joël Mesnard qui sera mon invité nous parlera de rencontres du 3ème type pendant la vague d'OVNI de 1954, de RR4 et des "fameux" MIB (hommes en noir)
Une émission qui va passionner les personnes qui veulent des faits, du concret et non de la théorie!
L'émission sera disponible sur la chaîne Youtube UFO Conscience à cette adresse:
PONCEY-SUR-L'IGNON 04.10.1954 Observation de plusieurs phénomènes en deux jours sur une même commune
Description :
Les 2 et 4 octobre 1954 plusieurs personnes de la commune de Poncey-sur-l'Ignon (21) vont être témoins de phénomènes qui les intriguent. Le PV de la Gendarmerie fait état des deux séries d’évènements distincts dans un même secteur traités ici chronologiquement.
Le premier évènement a lieu le 2 octobre 1954 à Poncey-sur l'Ignon. A 19h40, une cultivatrice qui vient de traire les vaches, remarque d'abord dans le ciel "un engin lumineux" "se rapportant à tout ce que l'on voit dans la presse ces jours-ci". Le témoin rapporte qu'elle a vu « comme un rayon de lune » qui "éclairait la cour". Elle pense qu'il s'agit de la Lune mais découvre que celle-ci a une forme bizarre. En fixant son attention, le témoin observe alors un cylindre vertical dont elle estime la hauteur à 1,5m et le diamètre à 80cm. Il est lumineux sur toute sa surface, de couleur orange avec un reflet vert autour et se déplace debout à faible hauteur et plutôt près des bâtiments. Convaincue qu'il ne s'agit pas de la Lune mais d'un "engin" inconnu, elle avertit son mari, son fils et une voisine. Ces derniers ont le temps de voir la lumière venant du Nord disparaître vers le Sud. La voisine décrit une boule lumineuse comme un ballon de football plus orangée qu'une ampoule électrique et se déplacant silencieusement.
La seconde série d’évènements a lieu le 4 octobre 1954 au Val d'Ignon au lieu-dit 'l'usine d'amiante" à 1km au sud du village de Poncey-sur-l'Ignon. Ce lieu-dit est composé d'un groupe de bâtiments dont une partie sert d'habitation à trois familles d'ouvriers. Il est entouré au Nord, à l'Est et à l'Ouest par des prés et au sud par un étang. Vers 19h30, alors qu’elle ferme les volets de sa chambre, une jeune femme voit en direction du Nord, au-dessus d’un prunier situé dans la cour, une lumière assez forte de couleur jaunâtre, en forme de champignon semble-t-il, ovale à la partie supérieure et ronde à la partie inférieure, se présentant comme un globe transparent éclairé de l’intérieur. Elle estime sa hauteur à une quinzaine de mètres, sa distance à 50 m et compare sa taille à celle d’une cuisinière. Aucun bruit particulier n'est entendu. Elle ne la regarde que quelques instants et ne peut préciser son état de mouvement. Prise de panique, elle prend son enfant et va chercher refuge chez une voisine qui est seule avec sa fille. Aucun autre témoin n'observera ce phénomène.
Vers 20h30, le gendre et le fils de la voisine arrivent et trouvent les trois femmes apeurées. Ensemble ils vont dans le pré contigu à la cour à l'endroit dans la direction d'observation du phénomène. Ils constatent la présence d’une zone approximativement rectangulaire (1,50 x 0,50-0,70 m) creusée dans le sol (sur 5 cm) avec de la terre brisée aux deux extrémités et les mottes de terre et d’herbe répandues alentour dans un cercle d’environ 4 m de rayon. Les mottes de tailles inégales (en général 30 x 20 cm sauf deux de 60 cm) sont retournées herbe vers le bas. Deux témoins rapportent la présence de nombreux vers blancs vivants présents au milieu des traces.
De la droite à la gauche: Mme Fourneret montrant les étrangetés de la trace au reporter et ufologue Charles Garreau et à l'ufologue Jimmy Guieu qui sont venus interviewer les témoins et enquêter sur les lieux.
Vers 20h45, le second fils de la voisine (18 ans), revenant de son travail au village voisin distant de 1,5 km, aperçoit brièvement dans le ciel, un « engin » en forme de cigare sans aile, entièrement lumineux, de couleur « transparente » avec des reflets vert et orange qui traverse le ciel très rapidement en direction Nord-Sud. Apeuré par cette vision il rentre rapidement chez ses parents. Aucun autre témoin observera ce phénomène.
Les gendarmes sont prévenus le 5 octobre à 19h30 et constatent les traces au sol le soir même. Ils procèdent à l’enquête et constituent le dossier photographique le 6 octobre 1954. Ils examinent la possibilité d’une farce du gendre et du fils de la voisine mais, après vérification de leur emploi du temps, les gendarmes rejettent cette hypothèse. D'après un témoin qui habite le quartier aucun bétail n'est en pâture dans le pré et il n'a vu personne rôder dans cet endroit la veille.
Un enquêteur privé s'est rendu sur les lieux en août 2015 pour tenter de préciser la topographie de l'observation : les lieux ont peu changé mais les habitants de 1954 n'habitent plus sur place ou sont décédés. Le GEIPAN a tenté de joindre par téléphone et courrier une des témoins mais sans succés. Concernant les traces au sol, l’hypothèse des sangliers ne paraît pas en très bon accord avec les descriptions faites de l’excavation : bords relativement nets, mottes déposées hors de l’excavation et plutôt régulières en taille et en position (retournée), vers blancs non consommés (les sangliers ont pu être dérangés). Les photographies des traces faites par la gendarmerie seront prises deux jours après l'observation. De plus ces traces ont été piétinées par les témoins. Cette hypothèse reste acceptable mais non confirmée.
Le phénomène lumineux peut-il être considéré comme la cause de la trace ? Les données disponibles ne fournissent aucune preuve directe d’un lien de cause à effet. On doit se contenter de la corrélation de direction d'observation des deux phénomènes (lumière et traces au sol) et corrélation relative de temps dans un intervalle d’une heure.
En résumé le cas d'observation du 4 octobre 1954 rapporte trois évènements : deux observations distinctes, courtes, par à chaque fois un seul témoin, d'un phénomène lumineux lointain. Puis des traces au sol. Ces trois évènements ne sont pas associés forcément entre eux. Pour chacun de ces évènements il existe des hypothèses fragiles qui ne peuvent être confirmées. Globalement la consistance de ce cas est moyenne car elle ne contient pas d'éléments vérifiables. Son étrangeté serait forte si on pouvait corréler de façon certaine les traces au sol et les phénomènes lumineux.
Remarques: il faut savoir que durant l'année 1954 et particulièrement en octobre, la presse nationale et locale a publié un grand nombre d'articles relatant des cas d'observation d'OVNI.
UNE CIVILISATION ANCIENNE INCONNUE AUPARAVANT DÉCOUVERTE EN AMAZONE
UNE CIVILISATION ANCIENNE INCONNUE AUPARAVANT DÉCOUVERTE EN AMAZONE
Le déboisement rapide en combinaison avec Google Earth a permis de détecter 210 géoglyphes sur 200 sites différents, dans une bande de 250 kilomètres sur 10 kilomètres de large...
Le déboisement rapide en combinaison avec Google Earth a permis de détecter 210 géoglyphes sur 200 sites différents, dans une bande de 250 kilomètres sur 10 kilomètres de large en Amazonie.
Tout comme les lignes de Nazca, les incroyables dessins géométriques, zoomorphes et anthropomorphes de l’Amazonie ne peuvent être vraiment appréciées que dans les airs. La question reste, pourquoi ?
De nombreux restes de ce qui fait évidemment partie d’une civilisation ancienne et jusqu’alors inconnue sont apparus sous les arbres de la forêt amazonienne. Selon les chercheurs, 260 avenues énormes, de longs canaux d’irrigation et des barrières pour le bétail ont été repérées depuis les airs. La découverte a été faite à proximité de la frontière entre la Bolivie et le Brésil
Les ruines ont été découvertes en raison de la déforestation rapide, un processus qui révèle ce qui était précédemment caché sous des couches profondes de végétation. L’idée traditionnelle de nombreux historiens est que, avant l’arrivée de l’espagnol et des portugais au quinzième siècle, et contrairement à l’histoire conventionnelle dans les Andes, il n’y avait pas de civilisations avancées dans la région amazonienne. Mais, compte tenu du fait que la déforestation a révélé une grande partie des secrets cachés de la région, les savants sont convaincus qu’une civilisation avancée habitait la région dans le passé lointain. Les nombreuses images aériennes et satellitaires révèlent un réseau complexe de villes, de routes et de structures qui jusqu’alors étaient restées cachées sous la couche impénétrable de l’Amazonie.
Jusqu’à présent, les chercheurs ont été aidés par Google Earth qui leur a permis d’identifier les structures qui ne sont pas visibles du sol. Jusqu’à présent, de nombreuses découvertes ont été faites, certaines étant des structures carrées ou rectangulaires, tandis que d’autres forment des cercles concentriques ou des figures géométriques complexes comme des hexagones et des octogones, tous reliés par un réseau de larges avenues.
Les chercheurs ont trouvé des tranchées ou des fosses propres, qui mesurent entre 1 et 4 mètres de profondeur, et renversées de 11 à 12 mètres de large. On les trouve dans différentes tailles et dessins: cercles, carrés, rectangles, formes composées, lignes droites et parallèles. En outre, les chiffres sont reliés par ce qui semble être des «routes».
Bien qu’il n’y ait aucune preuve que les anciens habitants de l’Amazonie ont construite des pyramides et développé une langue écrite, comme l’ont fait les anciens Égyptiens, ils ont montré des signes de grande complexité sociale et une aptitude à dompter l’environnement, quelque chose de très différent de ce qu’ils font Aujourd’hui, comme les tribus isolées vivant dans l’amazone d’aujourd’hui ont un agenda social très différent.
Grâce à la fouille, les chercheurs ont découvert des poteries, des pierres sculptées et d’autres éléments qui pointent vers des signes d’habitation humaine, bien que certains sites ne produisent aucun artefact, les chercheurs suggèrent que certains des sites archéologiques pourraient avoir eu des fonctions cérémoniales alors que d’autres pourraient avoir été conçus à des fins défensives.
Les traits dominants de la géométrie et la dimension des géoglyphes révèlent quelque chose de fascinant sur les anciens habitants de la région. Les chercheurs pensaient que les anciens, locaux de la région, n’étaient que des nomades, des chasseurs et des cueilleurs dans le passé lointain, mais le nombre de structures et leur taille pointaient vers une société complexe avec d’énormes capacités dans de nombreux domaines. Les chercheurs estiment que dans certains des sites archéologiques découverts jusqu’à présent, la population était d’environ 70 000.
Les chercheurs savent très peu sur cette civilisation amazonienne, jusqu’à présent, grâce à la poterie découverte au cours des fouilles, les chercheurs ont pu placer la civilisation dans l’histoire il y a 2000 ans.
En parlant aux NYTimes, Denise Schaan, archéologue à l’Université fédérale de Pará au Brésil, qui mène maintenant la recherche sur les géoglyphes, a déclaré des essais de radiocarbone a indiqué qu’ils ont été construits 1000 à 2000 ans et auraient pu être reconstruits plusieurs fois au cours de cette période.
«Si l’on veut recréer l’Amazonie précolombienne, la plupart de la forêt doit être enlevée, avec beaucoup de gens et un paysage géré et hautement productif le remplaçant», a déclaré William Woods, géographe à l’Université du Kansas qui fait partie d’un Équipe étudiant les géoglyphes d’Acre. « Je sais que cela ne va pas bien avec les ardents écologistes », a déclaré M. Woods, « mais que peut-on dire ? »
Cela fait maintenant 2 semaines que des habitants de La Roche-sur-Yon observent une boule de feu qui émet des rayons bleus dans le ciel.
La photo a été prise d'un balcon, qui donne sur la rue Friedland dans le quartier de la Garenne, en direction de la prison.
Plusieurs hypothèses semblent déjà émerger de ce casse-tête qui a même passionné les plus sceptiques... :
-Le drone (livraisons de drogues ou de téléphones portables en prison?) -La planète Vénus selon Richard Tanguy, le président du Centre Astronomique Vendéen (par contre il faudrait juste l'informer que Vénus ne se déplace pas) -La lanternes thaïlandaise bien utile quand on n'a pas le moindre début de réponse.
Et enfin l'hypothèse qui semble pour le moment la plus sérieuse: L'Objet Volant Non Identifié...
Autre photo qui donne sur la rue Friedland dans le quartier de la Garenne, en direction de la prison.
“Nous sommes face à l’un des cas les plus extraordinaires de l’ufologie
“Nous sommes face à l’un des cas les plus extraordinaires de l’ufologie"
L e Chili vient de rendre publique une vidéo tournée par un hélicoptère de la marine en 2014 au large de Santiago. Les images laissent sans voix les spécialistes depuis deux ans.
“Nous sommes face à l'un des cas les plus extraordinaires, les plus documentés et les plus incontestables de l'ufologie.” Paris Match consacre sur son site internet un long article à une affaire d'Ovni présentée comme exceptionnelle.
Selon l'hebdomadaire, qui s'appuie notamment sur une enquête du Huffington Post, les autorités chiliennes ont décidé début janvier de déclassifier une vidéo dont les images ont agité pendant deux ans militaires et scientifiques. Sans que personne ne parvienne à expliquer le phénomène que l'on peut désormais observer publiquement sur YouTube.
Le film, d'un peu plus de 9 mn, a été tourné en novembre 2014 par un hélicoptère de la marine au large de Santiago. L'appareil était piloté par un capitaine expérimenté et à son bord se trouvait un technicien chargé de tester une caméra infrarouge ulra performante.
Les deux hommes ont aperçu peu avant 14 h, à une soixantaine de kilomètres, un objet volant non identifié, dont la forme - tout en longueur - ne ressemblait à aucun appareil connu. Ils ont tenté d'entrer en contact avec lui, sans résultat. L'Ovni, pourtant “vu” également par la caméra, était indétectable aux radars. Et, précise Paris Match, “les contrôleurs aériens ont confirmé qu'aucun appareil civil ou militaire n'était signalé dans la zone”.
L'hélicoptère a dû rentrer à la base avant la fin du phénomène. Qui reste à ce jour une énigme. Le chimiste nucléaire Mario Avila, qui étudié de près la vidéo, se dit sur le Huffington Post “très impressionné”, notamment parce que les témoins sont particulièrement crédibles.
La CIA publie 13 millions de pages de documents déclassifiés en ligne.
La CIA publie 13 millions de pages de documents déclassifiés en ligne.
crédit image: hearthstone-decks.com/
Article source : bbc.com- Traduction Era pour
Publication de la BBC -Le 18 Janvier 2017
Environ 13 millions de pages de documents déclassifiés de la CIA ont été publiées en ligne.
Les rapports incluent des observations d’OVNI et des expériences psychiques du programme Stargate, qui a longtemps intéressé les théoriciens de la conspiration.
De longs efforts amorcés par les avocats des défenseurs de la liberté de l’information, qui ont intenté un procès contre la CIA, ont abouti à ce résultat.
L’archive complète est composée de près de 800 000 fichiers.
Auparavant, ils n’étaient accessibles qu’aux Archives nationales du Maryland.
Le précieux dossier comprend les papiers de Henry Kissinger, qui a occupé les fonctions de secrétaire d’état sous les présidents Richard Nixon et Gerald Ford, ainsi que plusieurs centaines de milliers de pages d’analyse de renseignement et de recherche scientifique et de développement.
Parmi les dossiers les plus inhabituels figurent les documents du Projet Stargate, qui traite des pouvoirs psychiques et de la perception extrasensorielle.
Ceux-ci incluent des dossiers d’essais du célèbre médium Uri Geller en 1973, lorsqu’ il était déjà un artiste reconnu.
Les notes détaillent comment M. Geller a réussi à reproduire en partie des images dessinées dans une autre pièce avec une précision variable, mais parfois précise, ce qui amène les chercheurs à écrire qu’il «a démontré sa capacité perceptive paranormale de manière convaincante et sans ambiguïté».
JFK et la montée des théories du complot:
D’autres dossiers inhabituels comprennent une collection de rapports sur les soucoupes volantes, et les recettes pour l’encre invisible.
Bien qu’une grande partie de l’information soit techniquement disponible au public depuis le milieu des années 1990, il a été très difficile d’y accéder.
Les dossiers étaient seulement accessibles sur quatre ordinateurs physiques situés à l’arrière d’une bibliothèque aux Archives nationales dans le Maryland, entre 09:00 et 16:30 chaque jour.
MuckRock,un groupe a but non lucratif pour la liberté d’information, a poursuivi la CIA pour forcer celle ci à télécharger la collection, dans un processus qui a pris plus de deux ans.
Dans le même temps, le journaliste Mike Best a financé plus de 15 000 $ pour consulter les archives et les publier ensuite, une par une, afin de faire pression sur la CIA.
«En imprimant et en numérisant les documents aux frais de la CIA, j’ai pu commencer à les mettre librement à la disposition du public et à donner à l’agence un incitatif financier pour simplement mettre la base de données en ligne», a écrit Best dans un billet sur son blog.
En novembre, la CIA a annoncé qu’elle publierait la matière, et toute l’archive CREST déclassifiée qui est maintenant disponible sur le site Web de la bibliothèque de la CIA.
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Over mijzelf
Ik ben Pieter, en gebruik soms ook wel de schuilnaam Peter2011.
Ik ben een man en woon in Linter (België) en mijn beroep is Ik ben op rust..
Ik ben geboren op 18/10/1950 en ben nu dus 73 jaar jong.
Mijn hobby's zijn: Ufologie en andere esoterische onderwerpen.
Op deze blog vind je onder artikels, werk van mezelf. Mijn dank gaat ook naar André, Ingrid, Oliver, Paul, Vincent, Georges Filer en MUFON voor de bijdragen voor de verschillende categorieën...
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