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13-01-2017
KLEE, l’indicatif TV revenu de nulle part
KLEE, l’indicatif TV revenu de nulle part
« Les civilisations avancées de l'espace utiliseront un jour les signaux de télévision pour contacter l'humanité », prédisait, en 1975, le grand astronome et astrophysicien américain de l'Université Stanford, le Dr Ronald N. Bracewell (1). Et d'ajouter: « A mon avis le message nous sera envoyé par l'entremise de la télévision parce qu'il est plus aisé d'échanger des idées par des signes et des images. Ce seront probablement des signaux géométriques que les extra-terrestres enverront comme test pour savoir s'il existe de la vie intelligente sur la Terre ». L'ennui, chez les scientifiques, fussent-ils aussi illustres que le Dr Bracewell (1921-2007), c'est qu'ils sont certes les champions en matière de prospective technologique et les maîtres dans le domaine de la futurologie à long terme, mais ils demeurent bassement anthropomorphiques dès qu'il s'agit d'imaginer des comportements, des intentions, des lignes de conduite émanant d'intelligences autres que la nôtre. Dans le cas précis qui nous occupe, il est question de déterminer quelle forme pourrait prendre le message que des êtres « étrangers » auraient décidé de transmettre par le biais de la télévision. Et là l'idée de l'astronome américain, à savoir un message formé d' « images géométriques », paraît simpliste pour ne pas dire naïve. Beaucoup plus grisante est la démarche qui consiste à se demander comment « ils » interféreraient avec nos propres émissions pour se signaler à notre attention sans déclencher la vague de panique si souvent redoutée. Cette manière de raisonner est d'autant plus féconde qu'elle permet d'envisager que de tels messages aient pu déjà nous parvenir sans que quiconque, sur Terre, ne les ait reconnus comme tels ! Plutôt que d'ajouter foi à quelques relations peu crédibles selon lesquelles des entités étrangères seraient apparues sur des postes TV isolés et y auraient transmis un message - le cas se serait produit, selon le St Petersburg Times du 28 Novembre 1977, à Southampton (Grande Bretagne), penchons-nous ici sur le cas d'une anomalie TV observée autour des années soixante, oubliée depuis, mais qui pourrait constituer la manifestation du message tant attendu et pas assez explicite pour emporter la conviction des spécialistes. Du Texas à l’AngleterreVoici les faits, en un premier temps. Jusqu'en 1950, il y avait à Houston, Texas (USA) une station de télévision dont la marque d'identification était constituée par le sigle de 4 lettres: KLEE. C'est sur le même principe que nos trois chaînes TV françaises sont désignées respectivement par TF1, A2, FR3 et autre M6. Comme il est coutume, pendant les périodes creuses ou la station ne diffusait aucune émission (2), elle transmettait tout de même une mire destinée aux réglages que doivent nécessairement effectuer les professionnels en dehors des heures de programmes. Ainsi, la mire de la station comportait-elle, en grosses lettres sur l'écran, l'inscription KLEE TV. En juillet 1950, la station texane fut revendue à un groupe concurrent qui la débaptisa en « KPRC TV ». Automatiquement, la mire marquée « KLEE TV » fut remplacée et alors, selon toute logique, elle n'aurait plus dû jamais réapparaître en direct ou autrement sur aucun appareil récepteur de télévision et ceci au Texas, certes, mais aussi ailleurs, à plus forte raison. Or, justement de façon tout à fait imprévue - voire impossible - des images de cette mire furent captées plusieurs années plus tard, non seulement dans la banlieue de Houston, mais dans des lieux aussi éloignés que le Wisconsin, le Connecticut, le New Jersey, l'état de New York et même en Angleterre ! C'est ainsi que des particuliers tels que Charles W. Batley de Londres, H. C. Taylor de Morecambe, Lancashire, spécialiste des réceptions TV longue distance et des professionnels de l'Atlantic Electronics Ltd de Lancaster, signalèrent le fait à plusieurs reprises à l'automne 1953 et au début de 1954.
Une photo du signal parasite
Et des photos d'écrans affichant le sigle « KLEE TV » furent même envoyées à Paul Huhndorff, ingénieur en chef à la KPRC.Pas de doute, bien qu'ayant subi certaines distorsions, les lettres étaient tout à fait reconnaissables et leur disposition correspondait exactement à celle qu'elles occupaient sur la mire de KLEE transmise jusqu'en 1950 et qui n'avait plus été diffusée depuis plus de 3 ans!
Le phénomène continua à être rapporté pendant plusieurs mois... même des années puisqu'en février 1962, une téléspectatrice de Millwaukee (Wisconsin) vit apparaître sur son écran la fameuse inscription KLEE TV. Mrs Rosella Rose, c’était son nom (!), relata : « C'était le matin, entre 7 et 7 h 30, avant de partir au travail, je tentais de capter une émission sur ma télé. Soudain, sur l'écran, apparut l'inscription KLEE TV. Or, je n'avais jamais entendu parler de cette station et je ne savais pas d'où cela pouvait provenir. L'image clignota plusieurs fois et disparut ». Un « différé » de plus de 11 ans totalement incompréhensible. Une « absurdité technique selon les techniciens britanniques de la BBC et ce, à plus d'un titre. Absurdité technique ?Tentons d'expliquer simplement pourquoi la réception différée d'un signal de télévision sur ainsi plusieurs années, et à une telle distance de l'émetteur, peut constituer « une des plus étranges énigmes des temps modernes » ; une « impossibilité technologique », surtout à une époque où aucun satellite de communication n'était officiellement installé dans le ciel et où les liaisons transatlantiques étaient laborieuses. Tout d'abord, la nature même des ondes TV dites de hautes fréquences (longueur 1 à 10 m, fréquence 30 à 300 mégahertz selon les pays) exclut complètement l'éventualité d'un « signal vagabond » ricochant sur les couches supérieures de l'atmosphère; l'hypothèse évoquée d'un train d'onde errant à réflexion multiple est donc une utopie. Les ondes TV se propagent, en effet, en ligne droite et traversent normalement l'atmosphère, s'échappant directement dans l'espace, si bien que, compte tenu de la rotondité de la terre, il a fallu les rabattre vers le sol afin d'atteindre et « arroser » une plus vaste zone ; comme, ainsi, au delà de l'horizon optique le champ décroît très vite, on a dû disposer sur le territoire visé de hautes antennes relais pour augmenter la portée de la diffusion et, plus tard, placer des satellites en orbites destinés au même effet. En 1950, il n'y en avait pas que je sache. Qui n'a pas, par ailleurs, remarqué que les ondes porteuses de TV ont un champ de transmission extrêmement limité et qui n'en a jamais pâti (3), à l’époque héroïque des premières réceptions TV, en suivant un film où les images étaient désagréablement déformées ? Bien que les ondes TV soient plus pénétrantes que les ondes radio -lesquelles ont de plus grandes longueurs d'onde -, elles butent sur les obstacles matériels solides, créant de véritables « zones d'ombre ». C'est bien connu. Et la propagation indirecte par réflexion, peu importante au demeurant, ne peut pas être exploitée techniquement, sauf cas particuliers, à cause des effets d'échos ou de distorsion. C'est pourquoi les relais sont de complexes systèmes récepteurs- réémetteurs et non pas de simples miroirs réfléchissants. Quant à la réflexion des signaux TV sur les couches gazeuses de l'ionosphère, elle ne se produit pratiquement pas, contrairement à celle des ondes radio qui, elles rebondissent dessus et peuvent ainsi faire le tour de la Terreplusieurs fois de suite, provoquant de la sorte des messages « errants ». Ce type de phénomène de ricochet est donc totalement exclu en télévision. De la sorte, les ondes TV traversent la coquille gazeuse de l'atmosphère terrestre et se perdent alors dans l'espace. C’est ainsi qu’on a pu dire que d’éventuels extraterrestres sont avisés de nos programmes de télé depuis plus d’un demi-siècle. Pour expliquer le retour incongru du signal KLEE TV, on a bien émis l'hypothèse que les ondes porteuses avaient pu être renvoyées vers la Terre dans des conditions atmosphériques particulières. De l'avis des experts, c'est possible mais peu probable. De cette manière, justifierait-on par des circonstances climatiques exceptionnelles que le fameux sigle eût pu être réceptionné à une distance aussi lointaine du point d'émission que l'Angleterre ? Difficile déjà à admettre. Problème du décalageMais le mystère reste entier pour ce qui est du « décalage temporel » enregistré entre le moment de la dernière diffusion (1950) et celui de la première « réception impossible » en 1953 ! Car une autre propriété des ondes TV, c'est qu'elles se propagent à une vitesse proche de celle de la lumière ; donc, même si elles subissaient des réflexions successives autour du globe terrestre - et les chances en sont naturellement infinitésimales, on l’a vu -, elles seraient captées avec un retard qui ne saurait excéder quelques dixièmes de seconde ! Par conséquent, que le dernier signal KLEE TV ait pu errer entre ciel et terre de façon captive, pendant trois ans et même plus, répercuté alternativement au sol et sur les couches supérieures de l'atmosphère comme une mouche enfermée dans une bouteille, relève de la pure utopie ou plutôt de la plus grande stupidité. D'ailleurs, si par extraordinaire cela s'était produit, la mire aurait dû être régulièrement interceptée entre 1950 et 1954 ; or, elle ne l'a pas été... Ce retour à l'envoyeur fortuit après tant de déviations aurait dû aussi générer des déformations telles qu’elles auraient rendu la mire non identifiable. Une autre conjecture avancée en la circonstance pour solutionner le problème posé est que les ondes TV porteuses du fameux message KLEE TV aient traversé l'ionosphère (comme toute onde TV qui se respecte), se soient échappées dans l'espace normalement et réfléchies accidentellement sur « un corps céleste inconnu » propice à cela, situé à quelques années lumière de distance de la Terre. On peut toutefois et on doit se demander lequel. Et là les réponses ne se bousculent pas au portillon. A propos de KLEE, un ingénieur de la BBC (British Broadcasting Corporation) déclarait : « Il est physiquement impossible que ces ondes de télévision soient allées rebondir par hasard sur quelque obstacle céleste situé à une si grande distance. Nous sommes confrontés à un phénomène qui défie complètement nos connaissances actuelles sur les transmissions TV ». Autre impossibilité !Mais il y avait pire que cela pour inscrire cette énigme au livre de l'amphigourique. Car, quand bien même la réflexion aurait eu lieu sur un corps inconnu de l'espace, il était de surcroît hors de question à l'époque que, émis par une station TV américaine, le message puisse être capté et rendu « télévisuellement » directement par un appareil récepteur britannique puisque les deux pays n'utilisaient pas le même système de transmission. Les caractéristiques techniques des images transmises par l'un et l'autre des pays étaient totalement incompatibles : polarité, balayage horizontal et vertical (nombre de lignes), fréquence, amplitude de modulation, etc. Même aujourd'hui, lorsque des émissions américaines en direct sont relayées par satellite pour être diffusées sur le continent européen, cela nécessite une opération intermédiaire effectuée par un convertisseur électronique pour les rendre compatibles et intelligibles à nos appareils européens. La tendance actuelle (4) est à la vente de postes TV qui fonctionnent selon les deux systèmes (PAL et SECAM) mais, en 1955, ils n'étaient pas encore inventés ! Restait alors la seule solution admissible cadrant réellement avec les faits qui semblent indubitablement établis, à savoir dernière émission du sigle KLEE TV en juillet 1950 et réception à partir de 1953 dans différentes régions de la planète : la récupération par « quelqu'un » du signal KLEE pendant la durée de son émission, son enregistrement, son stockage quelque part pendant plusieurs années et sa réémission en différé, reconverti ou non. Mais dans quel but et par qui ? Telles sont les questions clés sur lesquelles repose désormais le mystère. Deux possibilités ont été évoquées: les plaisantins et le contact extra-terrestre. Canular ?La première - et c'est malheureusement celle à laquelle s’arrêtèrent les autorités, bien embarrassées par cette histoire - ne voit dans l'affaire du message retardé qu'une farce de radio-TV amateur isolé ou non. Le fait que la réception pirate signalée à Milwaukee ait eu lieu à peu près à la date où les stations TV non professionnelles - locales dirions-nous aujourd'hui - obtenaient l'autorisation d'utiliser les ultra-hautes fréquences (UHF) pour leurs diffusions aux USA, a largement conforté cette idée. Une diapositive de la mire KLEE TV avait-elle été gardée en souvenir par un opérateur, TV amateur à ses heures, et n'avait-il rien trouvé de plus intelligent que de la réémettre histoire d'enflammer les imaginations de ses contemporains ? La malignité humaine, certes, n'a pas de limites et personne ne peut savoir où elle va se loger. Mais dans ce cas, le jeu en valait-il la chandelle ? D’autre part, l’idée d’un seul bouc émissaire a été contestée parce qu’il a fallu disposer d'un matériel fort onéreux pour réussir cette tromperie et on voit mal ce qu'elle a pu rapporter à son auteur ; on a parlé d’un groupe anglais (non identifié) qui, à l'époque, aurait tenté ainsi de faire homologuer l'invention d'un système (lequel ?) de transmission TV longue distance. Sinon la satisfaction de constater avec quel sérieux l'affaire fut considérée par les meilleurs spécialistes anglo-saxons en matière de détection de signaux suspects en provenance de l'espace. Surtout s’il s’agissait d'une pub pour la marque KLEE… NEX) ! Il y avait, en effet, encore une autre hypothèse pour expliquer la réception différée du sigle KLEE TV et elle est directement en rapport avec les déclarations de R. Bracewell, rapportées ci-dessus mais fut traitée beaucoup plus confidentiellement. Message extraterrestre ?N'est-ce pas excitant de penser que ce « message TV impossible » ait pu constituer le test psychologique d'intelligence évoqué par l'astronome américain ? En tout cas, il dénoterait une subtilité de jugement sans égale à celle qui consisterait à nous envoyer « des signaux géométriques » en guise d'examen probatoire de mesure de notre QI. L'absurdité d'un tel retour décalé dans le temps et l'espace, selon les lois communes de la transmission d'images sans fil, serait franchement un moyen génial de jauger le niveau de nos capacités mentales. Ce raisonnement pourrait paraître gratuit si l'on ne savait pas qu'à l'époque où le message KLEE TV fut reçu en Grande Bretagne, un enquêteur américain important fut dépêché sur les lieux.
C'était le Dr Frank Drake, de l'observatoire astronomique de Green Bank et fondateur du projet OZMA, une des premières tentatives élaborées par les Etats Unis dans le dessein de détecter les signaux intelligents émanant de l'espace. Le Dr Drake, à l'époque reconnu comme le plus grand expert du monde sur ces questions de contacts interstellaires, fut l'hôte ni plus ni moins du ministère britannique de la Défense. Pour parler, en autre, du mystèreKLEE ? Finalement, le rapport de Frank Drake sur cette affaire, autant qu'on puisse en savoir, conclut à la mystification en une variante de ce qui a été indiqué plus haut. Selon Drake, les auteurs de cette farce seraient « deux hommes d'affaires anglais qui auraient voulu faire croire que les images TV pouvaient traverser l'Atlantique ». A quelle fin ? Cela n'a pas hélas été divulgué. Bien entendu, jamais personne ne fut informé des éléments qui avaient amené F. Drake (5) à conclure dans ce sens. De son côté, le projet OZMA fut ajourné sans aucun résultat positif. D'autres opérations similaires furent lancées et elles avortèrent toutes. Le projet SETI - search for extraterrestrial intelligence = recherche d'intelligences extra-terrestres - est toujours en cours, n'ayant encore rien donné à ce jour (2009). Il est de plus en plus contesté dans sa forme plutôt que dans son principe : les extraterrestres ne seraient pas forcément des accrocs de la communication électromagnétique ! N'avons-nous pas reconnu le message contenu implicitement dans le retour vers la Terre de la mire KLEE TV? Les responsables de cet écho insolite - mais pas unique - basés à quelques années lumière de la Terre, ont-ils placé trop haut la barre d'intelligence susceptible de retenir leur attention (périphrase qui peut cacher des intentions plus inquiétantes) et ainsi, en ont-ils conclu que notre planète est encore sans intérêt pour eux, les créatures y vivant étant incapables d’identifier et de déchiffrer la signification de leur subtil appel ? C'est une éventualité cocasse qui me plaît énormément et que j'aimerais voir envisager avec le plus grand sérieux même si celle-ci heurte quelque peu notre orgueil d'Homo Sapiens...
Notes et références :
1/ Auteur, notamment, de The Galactic Club ; Intelligent Life in Outer Space, Stanford Alumni Association, Stanford, Californie, 1974. 2/ Les chaînes de l’an 2000 diffusent aujourd’hui tant de programmes enregistrés et de rediffusions que l’on ne voit plus guère les « mires ». 3/ Je parle d’un temps que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître ! Quand, par exemple, mon père devait se rendre au fond du jardin de la maison familiale pour modifier l’orientation de l’antenne TV afin que nous puissions continuer à suivre une émission !! 4/ Dans les années 1990. 5/ Frank Drake, consacre 5 pages à l’affaire KLEE dans le chapitre 12 qu’il a écrit pour le livre collectif UFO A Scientific Debate, édité par C. Sagan et T. Page, aux Cornell University Press, Ithaca et Londres, en 1972. Chapitre sur les « capacités et les limitations des témoins » (sic) des phénomènes ovnis et similaires ! A noter qu’il omet de mentionner son implication personnelle dans l’affaire, ce qui dénote une mentalité disons assez équivoque.
Paru initialement in LE MONDE INCONNU, N°82, avril 1987 (mensuel disparu en 1993). Republié en abrégé dans DIMANCHE SAÔNE & LOIRE, 29 juillet 1990. Dernière mise à jour le 3 décembre 2009.
Le mystère des « échos à long retard » (E.L.R.) apparut quasiment simultanément dès les premières expériences de transmission radio longue distance, dans les années 20 du siècle dernier.
Il est intéressant, selon moi, de les examiner comme des indices qui pourraient accréditer l’idée que des extraterrestres, autres êtres pensants que nous-mêmes vivant ailleurs dans l’univers, auraient tenté un jour, en les provoquant, de faire un test sur notre capacité d’intelligence. Histoire de détecter notre niveau intellectuel! Hélas, il se pourrait bien que nous ayons été bel et bien recalés à l’examen.
C'est en juillet 1927 qu'un jeune radioamateur norvégien, Jorgen Hals, en essayant d'intercepter sur son poste à ondes courtes des messages en provenance d'une station radio hollandaise, signala qu'il enregistrait des « échos » inexplicables.
Professeur C. Strömer
Aussitôt, il en parle au Professeur Carl Strömer (1874-1957), de l'Université de Oslo, qui vérifie le phénomène et s'étonne du fait que des signaux, émis les uns après les autres (toutes les 5 secondes dans le cas précis), même s'ils rebondissent sur un obstacle céleste, ne mettent pas toujours le même temps pour en revenir. Car, en effet, les « échos » ne sont pas réguliers et leur retard varie de 3 à 30 secondes. Aucune explication d'échos classiques n'est satisfaisante, à moins de supposer que le miroir réfléchissant se situe entre 500 000 et 5 millions de kilomètres et se déplace entre ces bornes à une vitesse quasi infinie. A titre indicatif, une répercussion radio sur la Lune induit un écho décalé de 2,5 secondes. De plus, les échos norvégiens qu'on corrobore en 1928 à Oslo, Londres et Eindhoven, ont une autre caractéristique absurde: ils ne s'atténuent pas avec le retard. C'est même le contraire qu'on constate.
B. Van Der Pol
Tous ces problèmes n'empêchent pas le Professeur C. Strömer et son collègue B. Van Der Pol (1889-1959) de publier la théorie lénifiante selon laquelle c'est un phénomène naturel qui crée les échos, à savoir des courants de particules chargées, soumis à l'influence du champ magnétique terrestre (?).Et, bien qu'observés encore en 1929 par des Français en Indochine, lesquels constatent une cessation complète des E.L.R. durant une éclipse de Soleil et par O. G. Villard, de l'Université américaine Stanford en 1932, le mystère est oublié pendant plus de 30 ans.
Un break de trois décennies
Jusqu'en 1960, date à laquelle la question de la vie extra-terrestre devint d'une brûlante actualité avec le démarrage de la conquête spatiale. C'est alors que l'illustre Professeur R.N. Bracewell (1921-2007), de Stanford, lui aussi, exhumant le rapport de Strömer sur les E.L.R., suggéra audacieusement que ce pouvait être une sonde interstellaire stationnaire présente quelque part dans le système solaire qui était responsable des échos. Elle aurait été mise là par une civilisation lointaine pour contrôler les signes d'intelligence sur la Terre. Sans égard à la notoriété de son auteur, cette hypothèse ne souleva pas l'enthousiasme de la communauté scientifique. Il fallut qu'un Ecossais, Duncan Lunan, astronome (amateur ?) et écrivain de science-fiction (!), prenne l'idée de Bracewell au sérieux, qu'il affirme avoir décodé le message des E.L.R. et qu'il vienne exposer ses résultats devant les membres médusés de la Société Interplanétaire Britannique (BIS), pour secouer la somnolence des esprits. L'interprétation du message était résumée en ces termes: « Je viens de l'Etoile Epsilon du Bouvier, à 103 années lumière de votre planète autour de laquelle je tourne depuis 13 000 ans. Répondez ! »
Malgré son côté exceptionnel
- n'était ce pas l'annonce du premier contact avec une civilisation extra-terrestre ? - cette traduction du message des E.L.R., selon D. Lunan, parut « très convaincante » à beaucoup d'astronomes.
C'est que D. Lunan avait fait un travail remarquable et ingénieux de décryptage à partir des séquences de retard des échos de 1928-29. Elles lui avaient permis de reconstituer la carte stellaire de la constellation du Bouvier.Et il concluait que c'était de là que venait la sonde émettrice d'échos et qu'elle faisait partie d'une flottille d'engins similaires, envoyés vers « des soleils prometteurs », afin d'y chercher une preuve de vie et surtout un « nouvel habitat », la planète d'origine devenant inhospitalière du fait d'un soleil défaillant. La proposition de Duncan Lunan (1) était de reproduire les séquences d'échos sur Terre « et la sonde, reconnaissant le code, se mettra à communiquer véritablement avec nous ». Il s'agissait ni plus ni moins que de répondre au S.O.S. d'une civilisation E.T. en détresse. Plusieurs prétextes s'opposèrent à ce projet. Tout d'abord, il n'est pas certain que la population terrienne aurait pris le risque de réagir à un tel appel au secours. Ensuite, parce que les données astronomiques de l’époque infirmèrent que la distance à la Terre d'Epsilon du Bouvier, pierre angulaire des diagrammes de Lunan, était bien de 103 années lumières. On trouva 203 ! Et aujourd’hui, on la situe à 209,75. De plus, des chercheurs indépendants prenant pour bases d'autres séquences de E.L.R. trouvèrent, qui une carte de la constellation du Lion située à l'opposé du ciel (Ilyev), qui aucune carte céleste du tout (Lawton), ce qui redonna de la vigueur aux partisans de l'explication naturelle. Et on en resta là. Le hasard avait bien servi le petit astronome écossais ou plutôt « trop d'imprécisions et de degrés de liberté », terme édulcoré pour dire qu'il s'était fourvoyé. Et les E.L.R. étaient dus, comme on l'avait subodoré, à des ricochets sur des nuages de gaz fortement ionisés de la basse atmosphère qui se comportent comme de « gigantesques tubes ampli radio ». Certaines mauvaises langues trouvèrent curieux, tout de même, que si les E.L.R. étaient si naturels que cela, on envoie copie du rapport final d'étude de Crawford/Sears & Bruce (2) à tout l'état-major des armées américaines et au ministère de la Défense nationale. De toute façon, il n'y avait donc plus à s'étonner des E.L.R., même si 92 radioamateurs les mentionnèrent entre 1968 et 1971. Quant à la sonde, soit elle n'existait que dans l'imagination de Duncan Lunan, soit elle attend toujours notre réponse, croyant que la Terre est peuplée de créatures obtuses et myopes puisqu'elles regardent si loin en négligeant une évidence rapprochée (3).
Pour en savoir plus :
1/ Duncan Lunan, A l’écoute des galaxies, Les énigmes de l’Univers, Robert Laffont, 1976. A noter qu’un curriculum vitae de Duncan Alasdair Lunan datant de 2007 (lui-même est encore en vie étant né en 1945), qu’on peut trouver sur Internet, ne donne même pas la référence de ses écrits sur le message E.L.R. qu’il avait prétendu avoir décodé. Il faudrait se procurer une « revisitation » de cette affaire qu’il a effectuée dans le numéro de mars 1998 de Analog Science Fiction and Fact, volume 118 n°3, titré : « Epsilon Boötis Revisited », ce que je m’apprête à faire à la date de la remise à jour de ce texte. Depuis, ce travail été effectué avec l’aide de D. A. Lunan lui-même et publié dans LE MONDE DE L’INCONNU de février-mars 2011 (n° 48). Cette revue est encore disponible à l’achat version papier sur http://www.zepresse.fr. 2/ F. W. Crawford, D. M. Sears, R. L. Bruce, « Possible observations and mechanism of very long delayed radio echoes », Journal of Geophysical. Research, section A = Space Physics, vol. 75, no. 34, pages 7326 à 7332, décembre 1970. 3/ Ce constat n’est-il pas applicable au phénomène ovni ?
Publié in LE COURRIER DE SAÔNE & LOIRE DIMANCHE du 25 mai 1986.
Black hole at centre of galaxy spitting out PLANET-sized objects towards Earth
Black hole at centre of galaxy spitting out PLANET-sized objects towards Earth
THE BLACK Hole at the centre of the Milky Way is spitting out planet-like objects that are much bigger than any celestial body in our solar system and they are Earth-bound, researchers have warned.
An artist's impression of the objects being flung from a black hole
Astronomers have discovered that supermassive black holes which usually occupy the centre of galaxies are propelling planet size object out into space.
While the objects have yet to be discovered, researchers strongly suspect, through computer algorithms, that these “spitballs” could be as much as several times the size of Jupiter – by far the biggest planet in our solar system.
When stars wander too close to a black hole, the intense gravitational pull of the black hole has the power to completely shred the star.
The new research shows however that that is not the end of the story.
The objects could be three times the size of Jupiter
The gas from the star then gathers itself into a massive planet-sized object which is then flung out into space.
Lead author Eden Girma, an undergraduate student at Harvard University, said: "A single shredded star can form hundreds of these planet-mass objects. We wondered: Where do they end up? How close do they come to us? We developed a computer code to answer those questions.”
GETTY
Black holes are riping up stars and spitting them back out
From the centre of the Milky Way, the researchers say that these object could whizz past us just a few hundred light years away.
GETTY
There is a supermassive black hole at the centre of the Milky Way
However, other galaxies, like the nearby Andromeda, is firing these “spitballs” at us.
Co-author James Guillochon of the Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics said: "Other galaxies like Andromeda are shooting these 'spitballs' at us all the time.”
Despite being similar in stature to planets, the mysterious objects are made up of the same stuff as stars and do not have a rocky core.
They are also formed in just a year, whereas planets can take millions, even billions, of years to form.
Once they have been flund out of the black hole, travelling at speeds of 20 million miles per hour, it would still take them about one million years to reach this part of the Milky Way.
Twelve years ago, a small spacecraft parachuted through a thick, extraterrestrial haze and drifted down toward an alien surface. It punched a small hole in the icy ground, bounced, slid, and wobbled.
After a few seconds, it came to rest in a damp floodplain on Titan, Saturn’s largest moon.
On January 14, 2005, the European Space Agency’s Huygens probe became the first robot explorer to touch the surface of this smoggy, orange moon and beam back detailed pictures. Huygens frantically gathered data for about an hour before its batteries died and its mothership, NASA’s Cassini spacecraft, disappeared over the horizon.
During its descent and those moments on the surface, the probe gathered enough data to give scientists a glimpse of an alien world that looks deceptively Earth-like.
MARMALADE SKIES
Saturn's largest moon, Titan, passes in front of the planet and its rings in this true-color snapshot from NASA's Cassini spacecraft.
PHOTOGRAPH BY NASA
LAND O'LAKES
This colorized mosaic from Cassini shows Titan's northern land of hydrocarbon lakes and seas.
IMAGE BY NASA, JPL-CALTECH, ASI, USGS
DESOLATION OF SMOG
Titan's thick atmosphere long obscured our view of the moon's surface.
PHOTOGRAPH BY NASA
SHINING PEARL
Titan hangs like a gem above Saturn's rings in this view from Cassini.
PHOTOGRAPH BY NASA, JPL-CALTECH, SPACE SCIENCE INSTITUTE
PEEK-A-BOO
One of Saturn's smaller moons, Tethys, slips behind Titan in a sequence of pictures from Cassini.
PHOTOGRAPH BY NASA, JPL, SPACE SCIENCE INSTITUTE
STRANGE SEAS
Peering through the haze, Cassini is able to map Titan's hydrocarbon lakes and icy dunes.
PHOTOGRAPH BY NASA, JPL-CALTECH, SPACE SCIENCE INSTITUTE
SCRATCHING THE SURFACE
Titan, as seen from 6 miles above the surface. This view was created by stitching together images from the Huygens probe.
PHOTOGRAPH BY ESA, NASA, JPL, UNIVERSITY OF ARIZONA
Nearly 900 million miles from the sun, temperatures on Titan are so low that ice is as hard as rock and organic compounds like ethane and methane—which are normally gases on Earth—are chilled into liquids that pool and flow into enormous lakes and seas.
But with its mountains, rain, winds, and waves, 3,200-mile-wide Titan is really more like a planet than just another dead, cratered moon. It not only has those oily seas on its surface, but it also harbors a buried ocean of liquid water, making it among the best places to search for life beyond Earth.
“Titan is kind of a double ocean world,” said planetary scientist Sarah Hörst of the Johns Hopkins University. “In principle, there’s the possibility that it has both life as we know it and life as we don’t know it.”
PIERCING THE HAZE
The Huygens probe hitchhiked to the Saturn system on board NASA’s Cassini spacecraft, which dropped off the lander not long after pulling into orbit around the ringed planet.
Though Cassini had been assigned the task of exploring Saturn and its many moons, that little probe—named after the Dutch astronomer Christiaan Huygens—had just one target in sight: Titan, which is shrouded in a puffy atmosphere that mostly obscures the moon’s surface.
After a 20-day journey to Titan, Huygens sank through the moon's atmosphere for more than two hours before landing on a frigid plain, where temperatures are nearly 300 degrees below zero, and gathering data.
“Huygens revealed Titan’s environment directly, whereas most of what was 'known' before was rather indirectly determined,” says the University of Arizona’s Ralph Lorenz. “It showed us the surface close up.”
Data showed us highlands, ravines, and channels carved by liquids, as well as winds whipping through Titan’s nitrogen atmosphere. Measurements from the surface showed the probe didn’t land in a dry desert, and that some kind of liquid was moistening the sand beneath it.
Huygens’ atmospheric measurements have since helped scientists reconstruct the composition of Titan’s ancient atmosphere (probably a combination of ammonia and methane) and study how organic molecules can behave in a predominantly nitrogen atmosphere, as Earth’s once was before life evolved and oxygen became abundant.
“It’s the only other substantial nitrogen atmosphere besides ours,” Hörst says. “Presumably, a lot of the chemistry in Titan’s atmosphere could have been happening on the early Earth, before oxygen.”
MIRROR MOON
The Huygens mission marks the first and—so far—last time humans set a spacecraft on a moon other than our own.
A mission called the Titan Mare Explorer was once among NASA’s top picks for a future interplanetary adventure. Had it been selected, that mission would have sent a space boat to explore Ligeia Mare, one of Titan’s largest northern seas. Made of runny, liquid hydrocarbons, the moon’s surface seas could be home to life with a completely different chemistry than ours.
“That’s a test for a diversity of life: Could you also find life that uses a different liquid than life on Earth?” Hörst says.
In addition, humanity will soon lose its ambassador to the whole Saturn system: Cassini’s mission ends later this year, with a dramatic plunge into the giant planet. Still, even after they’re gone, data gathered by spacecraft like Huygens and Cassini can continue to offer new clues to our solar system and help scientists build the case for future missions.
With Titan, we’ve found a world that is both totally alien and yet somewhat familiar. Seasonal rains darken its plains, it’s rich in organic molecules, and a wintry vortex decorates its poles (complete with hydrogen cyanide clouds).
“Titan's appeal is its mix of the familiar and exotic,” Lorenz says. “Ultra-low temperatures, ices, organics, liquid methane—but making familiar rain, rivers, dunes, seas.”
Simply put, it’s a world that scientists would dearly love to get to know a little bit better, not only because of the excitement of exploring extraterrestrial terrains, but because it can teach us more about this planet we call home.
“Titan is so active and has so many Earth-like processes, it’s such a good test for our fundamental understanding of how planets work,” Hörst says.
Abandoned in space in 1967, a US satellite has started transmitting again
Abandoned in space in 1967, a US satellite has started transmitting again
An American satellite abandoned in 1967, now assumed to simply be space junk, has started transmitting again after 46 years.
This was one of the satellites designed and built by Lincoln Laboratory at MIT between 1965 and 1976, for testing techniques for satellite communication.
They made the series of satellites easy to recognize by naming them LES1 through to LES9. LES1-LES4 suffered different launch issues. LES1 and LES2 were supposed to be delivered to the same 2800 x 15000 km orbit, but a failure of a boost stage left LES1 in a 2800 km circular orbit.
LES-1
LES3-LES4 were supposed to land in geostationary orbit, but didn’t make it due to a launch problem which left them in transfer orbit. Even though the first four satellites in the series ended up in the wrong orbits, they all produced remarkable results. LES 5, 6, 8, and 9 all ended up where they were supposed to. LES7 never made it anywhere due to the funding drying up and the program being canceled.
In 2013 in North Cornwall, UK, an Amateur Radio Astronomer picked up a signal which he determined to be the LES1 that was built by MIT in 1965. The satellite never made it to its intended orbit and had been spinning out of control ever since.
Phil Williams, the amateur radio astronomer from near Bude, picked out the odd signal which was transmitting due to it tumbling end over end every four seconds as the solar panels became shadowed by the engine. “This gives the signal a particularly ghostly sound as the voltage from the solar panels fluctuates,” Williams said.
It’s more than likely the onboard batteries have disintegrated, and something else caused its 237Mhz transmission to resume when it was in sunlight.
The LES1 is about the size of a small automobile and should not cause any issues more than any other piece of space junk in orbit.
This proves electronics built around 50 years ago, 12 years before Voyager 1, and far before microprocessors and integrated circuits are still capable of working in the hostile environs of space. Phil refers to his hobby as “Radio-Archaeology”.
LES1 and LES2 were almost identical experimental communication satellites. They both had a single X-band transponder and an 8-horn electronically switched antenna. Altitude control and sensing experiments were conducted on these twin satellites.
Their first project initiative was to build, launch, and field a system to show off practical military satellite communications. Project West Ford’s availability for the advanced super-high-frequency (SHF) technology (at seven-to-eight gigahertz) contributed to the decision to design the system for that band.
The concurrent procurement of a series of satellites and terminals for the Department of Defense that commenced with the Initial Defense Communications Satellite Program (IDCSP) meant lessons were learned from the experiments would find an additional application.
On February 11, 1965, LES1 was launched from Cape Canaveral but only accomplished a few of its objectives. It seems miswiring of the satellite circuitry was what caused it to never leave the circular orbit and it stopped transmitting in 1967. LES2, the twin of LES1, did much better; it made its planned final orbit on May 6, 1965.
Astronomen wijzen vijf gestolen sterren aan in de Melkweg
Astronomen wijzen vijf gestolen sterren aan in de Melkweg
Caroline Kraaijvanger
Vijf van de elf meest afgelegen sterren in onze Melkweg blijken eigenlijk thuis te horen in een ander sterrenstelsel.
Dat schrijven onderzoekers in het blad The Astrophysical Journal. De vijf sterren – die zo’n 300.000 lichtjaar van de aarde verwijderd zijn – zouden oorspronkelijk aan het Sagittarius Dwarf Spheroidal Galaxy (kortweg Sgr dSph) hebben toebehoord.
Trekken Het Sgr dSph is één van de tientallen kleine sterrenstelsels die de Melkweg omringen. Het sterrenstelsel is onze Melkweg – in de lange geschiedenis van het universum – al meerdere malen gepasseerd. En elke keer wanneer dat gebeurde, trok de Melkweg aan het sterrenstelsel waardoor het steeds verder uit elkaar werd gerukt.
Een simulatie van de bewegingen van Sgr dSph over een periode van acht miljard jaar. Ook het hart van de Melkweg (GC) is aangeduid. De blauwe deeltjes staan voor donkere materie. De rode deeltjes voor sterren.
Afbeelding: Marion Dierickx / CfA.
Stromen Onderzoekers hebben nu – met behulp van computermodellen – de bewegingen van Sgr dSph in kaart gebracht. Zo gingen ze na hoe het sterrenstelsel zich de afgelopen acht miljard jaar ontwikkeld heeft. Uit het onderzoek blijkt dat Sgr dSph aan het begin van de simulatie een massa had die ongeveer 10 miljard keer groter was dan de massa van de zon. Maar door de tijd heen verloor het sterrenstelsel ongeveer een derde van zijn sterren en maar liefst 90 procent van zijn donkere materie. Het resulteerde – volgens de simulaties – in drie goed van elkaar te onderscheiden stromen sterren die zich uitstrekken tot aan de rand van de Melkweg. En zeker vijf van de elf meest afgelegen sterren die ons in de Melkweg bekend zijn, blijken deel uit te maken van één van deze stromen. De simulaties tonen namelijk aan dat de vijf sterren posities en snelheden hebben die overeenkomen met de positie en snelheden die je van Sgr dSph gestolen sterren zou verwachten. De andere zes sterren lijken niet afkomstig te zijn van Sgr dSph en zijn waarschijnlijk van een ander dwergsterrenstelsel gestolen, zo vermoeden de onderzoekers.
In dit door de computer gemaakte plaatje zie je een rood ovaal. Het staat symbool voor de schijf van de Melkweg. De rode stip geeft de locatie van Sgr dSph aan. De gele cirkels staan voor sterren die van Sgr dSph weg zijn gerukt en door de ruimte zijn geslingerd. Vijf van de elf meest afgelegen sterren die ons in de Melkweg bekend zijn, zouden op deze manier van Sgr dSph zijn ontvreemd.
Afbeelding: Marion Dierickx / CfA.
Eén van de van Sgr dSph afkomstige stromen sterren is tijdens de Sloan Digital Sky Survey al in kaart gebracht. Maar de simulaties suggereren nu dat de stroom veel groter is dan dit onderzoek ons liet geloven. Met nieuwe, betere telescopen zouden we in staat moeten zijn ook de minst heldere sterren in de stroom te detecteren en zo de ware omvang ervan vast te stellen. “Meer uitlopers van Sgr dSph wachten om ontdekt te worden,” verwacht onderzoeker Marion Dierickx. “De stromen die tot op heden in kaart zijn gebracht, zijn beekjes in vergelijking met de gigantische rivieren die we naar verwachting uiteindelijk gaan waarnemen.”
Het centrale zwarte gat van de Melkweg braakt reuzenballen
Het centrale zwarte gat van de Melkweg braakt reuzenballen
Tim Kraaijvanger
Het supermassieve zwarte gat in het centrum van de Melkweg spuugt af en toe reusachtige ballen de ruimte in. Deze braakballen vliegen met een snelheid van 10.000 kilometer per seconde bij het zwarte gat vandaan.
Het centrale zwarte gat van de Melkweg trekt met zijn zwaartekracht veel sterren naar zich toe. Wanneer een ster te dichtbij komt, wordt deze uit elkaar getrokken en ontstaat er een lange sliert gas. Uit nieuw onderzoek blijkt dat het gas weer kan samenklonteren en dat hierdoor bizarre objecten ter grootte van een planeet ontstaan, die door het zwarte gat worden weggeworpen.
“Uit de lange gasstroom van één ster kunnen honderden gasballen ontstaan”, schrijft student Eden Girma van de Harvard-universiteit. “We vroegen ons af: waar blijven deze ballen? En kunnen ze wellicht in de buurt van de aarde komen? Dankzij een computerberekening weten we het nu.”
In de buurt van de aarde Uit de berekeningen van Girma blijkt dat sommige van deze braakballen minder dan een paar honderd lichtjaar van de aarde verwijderd zijn. Deze gasballen zijn zwaarder dan de planeet Neptunus en kunnen zelfs een paar keer zwaarder dan Jupiter zijn. De gasballen gloeien waarschijnlijk heel licht, al zijn ze niet te vinden met hedendaagse telescopen. Wellicht dat het de James Webb-ruimtetelescoop of de Larger Synoptic Survey-telescoop wel lukt om enkele braakballen te spotten.
Gasbollen zijn geen planeten Overigens zijn de objecten geen planeten. Een planeet heeft al snel miljoenen jaren nodig om te ontstaan, terwijl deze gasballen in een jaar tijd ontstaan. Ze worden gevormd uit verschillende delen van de vroegere ster, waardoor ook de samenstelling van deze bollen varieert.
Hoe snel verdwijnen ze? De overgrote meerderheid van de gasballen – zo’n 95 procent – zien we nooit meer terug. Op hoge snelheid verlaten ze de Melkweg. We hebben hier even zitten rekenen. Licht legt zo’n 300.000 kilometer per seconde af. Dit betekent dat de braakballen dertig keer langzamer reizen dan licht. De Melkweg heeft een lengte van 100.000 lichtjaar, wat betekent dat een braakbal binnen 1,5 miljoen jaar (= 50.000 lichtjaar * 30) ons sterrenstelsel verlaat. Stel dat zo’n bal richting het Andromedastelsel gaat, dat 2,5 miljoen lichtjaar van ons verwijderd is, dan duurt deze reis zo’n 75 miljoen jaar. Kosmisch gezien is dat een korte tijd. Zo is onze planeet al 4,5 miljard jaar oud.
Eén op de duizend solitaire planeten is een braakbal Stel, we vinden ooit een solitaire planeet (oftewel een planeet zonder moederster), dan is de kans volgens Girma een op de duizend dat het een kosmische braakbal van ons centrale zwarte gat is.
NASA fotografeert de enige echte Death Star: maantje Mimas!
NASA fotografeert de enige echte Death Star: maantje Mimas!
Caroline Kraaijvanger
Ruimtesonde Cassini heeft een prachtige foto gemaakt van de maan die akelig veel lijkt op de Death Star uit Star Wars.
De bijnaam ‘Death Star’ heeft Mimas natuurlijk te danken aan de enorme krater die het maantje rijk is. De krater is ongeveer 139 kilometer breed en pronkt op een maantje dat slechts 396 kilometer breed is.
Mimas. Afbeelding: NASA / JPL-Caltech / Space Science Institute.
De krater – die vernoemd is naar zijn ontdekker: William Herschel – draagt de naam Herschel-krater. In het hart van de krater bevindt zich een berg. Deze is bijna net zo hoog als de Mount Everest. Op de foto van Cassini komt die berg – net als de omringende kraterwanden – prachtig uit de verf, omdat ze een schaduw werpen op hun omgeving. Cassini maakte de foto vorig jaar en was toen zo’n 185.000 kilometer van de maan verwijderd.
Ruimtesonde Cassini bestudeert Saturnus en zijn manen al een tijdje. Daar komt later dit jaar echter – helaas – verandering in. Dan komt de Cassini-missie met een geplande duik in de atmosfeer van de gasreus tot een einde. Maar zover is het nog niet: de komende maanden mogen we nog spectaculaire beelden van de ruimtesonde verwachten. Zo bestudeert deze momenteel de buitenste randen van Saturnus’ grote ringen (het leverde eerder al dit prachtige kiekje van maan Pandora op) en zal deze later dit jaar in de ruimte tussen Saturnus en zijn ringen gaan duiken.
Are Unidentified Flying Objects (UFOs) piloted by aliens from outer space preparing to invade Devon? UFOs certainly seem to have been taking a great interest in this county in recent months.
On 12 September 2016 a man saw two triangular objects fly at a fast rate over his back garden in Exmouth at 10.30pm. They were bouncing around the sky and were being followed by a helicopter. Other witnesses in the area also saw the same three craft in the sky, including a serving soldier who said he has never seen anything like these objects moving in the sky like this before.
The sightings led to speculation that if these were not the infamous triangular spaceships seen by many witnesses throughout the world then it was due to military testing in the area.
A resident of Rolle Street, Exmouth claimed he saw the same thing. He thought it was a police helicopter that flew so low over his home that it caused his front door to rattle. Immediately, before the arrival of the helicopter a bright blue light swept over his garden and it was his view someone was playing around with a drone with a laser strapped to it. Another person claimed the lights were caused by an Edinburgh to Southampton aircraft that coincidentally flew over at the same time as the helicopter.
In the same week Tanya Davis and her daughter, Charlee, filmed a bright light outside their home in Exeter Road, Exmouth. Charlee said:
“Me, my friend and my mum went rushing outside and the light stood still for two minutes. We thought it was a plane until we saw that it wasn’t moving. It was making no noise, and as it eventually got closer I saw five lights spinning and it was a diamond shape.
“We were thinking that it was a drone at one point, but really could not explain it. I ran off screaming!”
It is noteworthy this activity occurred near the Phear Park area of Exmouth where in 2010 retired engineer Roy Shaw was walking his dog had a close encounter with a translucent object that made a droning sound. He said:
“The object was round in shape and about 30 feet in diameter with blue and red flashing lights on its perimeter, and it appeared to land at the top end of the park by the bowling green.
“My dog started to growl when what I can only describe as a white shape came towards us.
“It was about four-feet high and seemed to be translucent, and moved very slowly towards us.”
Tyron Osbourne, 52, from Exmouth, Devon, spotted a mystery object above the Devon town, from his garden (SWNS).
Not surprisingly, he ran away from the scene and that night his dog kept whimpering as it looked out the window facing the park, and Roy had trouble sleeping.
In those instances no one took a picture of the UFOs but in the past year a few people have managed to capture images of them. John Mooner who describes himself as the chief photographer for the World UFO Photos website, who lives in Newton Abbot has been particularly prolific. In September he claimed that he had taken photographs of eight UFOs in the past three months leading him to think Newton Abbot is a hotspot for alien activity.
These pictures were mainly of distant objects, but one of the most spectacular was spotted on 18 July 2016. This was of a cigar shaped object that emitted white smoke as it travelled slowly across the sky. John said:
“An alien being with black eyes then proceeded to stick his head out from the back of the cigar shaped UFO and looked in my direction.
“The alien then stuck it’s long tongue out at me and then smiled. What the hell. They have tongues? I managed to capture the alien in the photograph.”
SWNS
In October 2016, John said he was walking in a local park when he came face to face with a grey alien who was blocking his way. He had the presence of mind to quickly take a picture before the batteries fell out of the camera. The staring black eyes of the alien scared him so much he ran “like hell through the woods”. He ran for what seemed like miles before coughing up blood.
At the very end of December 2016 a UFO flew at high speed towards three witnesses in Churchill Road, Exmouth. Mark Emmins said:
“It was lit up like a white light at first, then changed colour to a dark shade before it vanished. But it was stationary for a few hours before it moved.”
His neighbour Tyron Osbourne who managed to take pictures of the object said:
“It was in Upper atmosphere well above civil aviation but still in our atmosphere when it started moving even with a tripod I struggled to keep up, so as a cameraman I pre-empted where it was going to be so as not to move the camera.”
Mark like many other witnesses in Devon of strange phenomena in the sky, concluded:
“I have no idea what it was, we have been baffled.”
Whether you are a believer or a sceptic it is fascinating to wonder what is really going on and if we should get ready to welcome extraterrestrial visitors to the splendours of Devon.
Nigel Watson is the author of numerous UFO books including the UFO Investigations Manual (Haynes) and UFOs of the First World War (The History Press).
Are Unidentified Flying Objects (UFOs) piloted by aliens from outer space preparing to invade Devon? UFOs certainly seem to have been taking a great interest in this county in recent months.
On 12 September 2016 a man saw two triangular objects fly at a fast rate over his back garden in Exmouth at 10.30pm. They were bouncing around the sky and were being followed by a helicopter. Other witnesses in the area also saw the same three craft in the sky, including a serving soldier who said he has never seen anything like these objects moving in the sky like this before.
The sightings led to speculation that if these were not the infamous triangular spaceships seen by many witnesses throughout the world then it was due to military testing in the area.
A resident of Rolle Street, Exmouth claimed he saw the same thing. He thought it was a police helicopter that flew so low over his home that it caused his front door to rattle. Immediately, before the arrival of the helicopter a bright blue light swept over his garden and it was his view someone was playing around with a drone with a laser strapped to it. Another person claimed the lights were caused by an Edinburgh to Southampton aircraft that coincidentally flew over at the same time as the helicopter.
In the same week Tanya Davis and her daughter, Charlee, filmed a bright light outside their home in Exeter Road, Exmouth. Charlee said:
“Me, my friend and my mum went rushing outside and the light stood still for two minutes. We thought it was a plane until we saw that it wasn’t moving. It was making no noise, and as it eventually got closer I saw five lights spinning and it was a diamond shape.
“We were thinking that it was a drone at one point, but really could not explain it. I ran off screaming!”
It is noteworthy this activity occurred near the Phear Park area of Exmouth where in 2010 retired engineer Roy Shaw was walking his dog had a close encounter with a translucent object that made a droning sound. He said:
“The object was round in shape and about 30 feet in diameter with blue and red flashing lights on its perimeter, and it appeared to land at the top end of the park by the bowling green.
“My dog started to growl when what I can only describe as a white shape came towards us.
“It was about four-feet high and seemed to be translucent, and moved very slowly towards us.”
Tyron Osbourne, 52, from Exmouth, Devon, spotted a mystery object above the Devon town, from his garden (SWNS).
Not surprisingly, he ran away from the scene and that night his dog kept whimpering as it looked out the window facing the park, and Roy had trouble sleeping.
In those instances no one took a picture of the UFOs but in the past year a few people have managed to capture images of them. John Mooner who describes himself as the chief photographer for the World UFO Photos website, who lives in Newton Abbot has been particularly prolific. In September he claimed that he had taken photographs of eight UFOs in the past three months leading him to think Newton Abbot is a hotspot for alien activity.
These pictures were mainly of distant objects, but one of the most spectacular was spotted on 18 July 2016. This was of a cigar shaped object that emitted white smoke as it travelled slowly across the sky. John said:
“An alien being with black eyes then proceeded to stick his head out from the back of the cigar shaped UFO and looked in my direction.
“The alien then stuck it’s long tongue out at me and then smiled. What the hell. They have tongues? I managed to capture the alien in the photograph.”
SWNS
In October 2016, John said he was walking in a local park when he came face to face with a grey alien who was blocking his way. He had the presence of mind to quickly take a picture before the batteries fell out of the camera. The staring black eyes of the alien scared him so much he ran “like hell through the woods”. He ran for what seemed like miles before coughing up blood.
At the very end of December 2016 a UFO flew at high speed towards three witnesses in Churchill Road, Exmouth. Mark Emmins said:
“It was lit up like a white light at first, then changed colour to a dark shade before it vanished. But it was stationary for a few hours before it moved.”
His neighbour Tyron Osbourne who managed to take pictures of the object said:
“It was in Upper atmosphere well above civil aviation but still in our atmosphere when it started moving even with a tripod I struggled to keep up, so as a cameraman I pre-empted where it was going to be so as not to move the camera.”
Mark like many other witnesses in Devon of strange phenomena in the sky, concluded:
“I have no idea what it was, we have been baffled.”
Whether you are a believer or a sceptic it is fascinating to wonder what is really going on and if we should get ready to welcome extraterrestrial visitors to the splendours of Devon.
Nigel Watson is the author of numerous UFO books including the UFO Investigations Manual (Haynes) and UFOs of the First World War (The History Press).
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De elementen van leven zijn verspreid te vinden in de Melkweg
De elementen van leven zijn verspreid te vinden in de Melkweg
Tim Kraaijvanger
Wij bestaan uit ‘sterrenstof’, dus het is niet gek dat de elementen van leven te vinden zijn in andere sterren. Wetenschappers hebben een kaart gemaakt van de verdeling van de elementen van leven in ons melkwegstelsel.
“Voor het eerst kunnen we nu zien hoe deze elementen verdeeld zijn”, vertelt astronoom Sten Hasselquist van de staatsuniversiteit van New Mexico. “Het gaat hier om de atomen die 97% van de massa van het menselijk lichaam vormen.” De zes meest voorkomende elementen van leven op aarde zijn koolstof, waterstof, stikstof, zuurstof, zwavel en fosfor. Ons lichaam is voor meer dan 97% uit deze elementen opgebouwd. Ieder element heeft een belangrijke rol. Zo is zuurstof belangrijk voor onze longen, terwijl fosfor onmisbaar is voor onze botten.
Deze mooie illustratie laat goed zien welke elementen op welke plekken in ons lichaam cruciaal zijn. Overigens vertekent de afbeelding wel, want de zes elementen kom je overal in jouw lichaam tegen.
Meer dan 150.000 sterren Van meer dan 150.000 sterren uit de database van de Sloan Digital Sky Survey is de verdeling van deze zes belangrijke elementen, plus een aantal andere elementen in kaart gebracht. Dankzij een techniek die spectoscropie heet kunnen astronomen het sterrenlicht opsplitsen en het spectrum bestuderen. Op die manier is te achterhalen welke elementen een ster heeft en om welke hoeveelheden het gaat.
Oudere ster = meer zware elementen De sterren in het binnenste deel van ons melkwegstelsel huisvesten meer zware elementen dan de sterren die verder van het centrum zijn verwijderd. Dit is te verklaren. De sterren in het binnenste deel zijn ouder. Wanneer een ster geboren wordt en start met stralen, dan bestaat deze doorgaans uit lichte elementen. Door middel van kernfusie worden lichte elementen omgezet in zwaardere elementen. Oudere sterren hebben dus simpelweg meer tijd gehad om lichte elementen om te zetten in zwaardere elementen en bevatten dus gemiddeld meer zwaardere elementen dan jonge sterren.
Oké, en buitenaards leven dan? Hoewel mensen voor 65% uit zuurstof bestaan, is zuurstof verantwoordelijk voor minder dan één procent van het totale gewicht van alle elementen in de ruimte. Betekent dit dat wanneer een ster te weinig zuurstof heeft, dat er dan geen leven mogelijk is? Nee, eigenlijk kunnen wetenschappers hier niets over zeggen. Leven kan er op andere plekken in het heelal heel anders uitzien. Koolstof, waterstof, stikstof, zuurstof, zwavel en fosfor zijn voor aards leven enorm belangrijk, maar op een verre exoplaneet zijn de kaarten mogelijk anders geschud.
Toevallig schreef Scientias.nl-auteur Bas Cartigny hier onlangs een mooi artikel over: hoe zien buitenaardse wezens eruit? Als er buitenaards leven is, dan zijn het niet per definitie groene mannetjes met zwarte oogjes.
De inmiddels wereldberoemde ster KIC 8462852 blijft de gemoederen bezighouden. Astronomen hebben een mogelijke verklaring voor het vreemde gedrag van deze ster gevonden: de ster at een planeet op.
Ken je het verhaal van KIC 8462852 – met de bijnaam Tabby’s ster – nog niet? In oktober 2015 richtte de Kepler-telescoop zijn ogen op de ster in de hoop een dipje in de lichtcurve van de ster te spotten. En jawel, de lichtcurve van Tabby’s ster vertoont ‘dipjes’, maar die zijn onregelmatig. Zo zagen onderzoekers de helderheid tussen dag 788 en 795 met vijftien procent afnemen. En tussen dag 1510 en 1570 nam de helderheid zelfs met 22 procent af. Dat laatste is abnormaal: wanneer een exoplaneet voor een ster langs beweegt, houdt deze maar een fractie van het licht van de ster tegen.
Buitenaards leven? Het afgelopen jaar zijn er allerlei verklaringen geopperd. De meest bijzondere verklaring is dat buitenaardse wezens een megastructuur om de ster hebben gebouwd. Mogelijk een zogenoemde Dyson-bol: een bol die bestaat uit een systeem van satellieten die de energie van een ster opvangen. Zo’n bol houdt een deel van het licht van de ster tegen en zou de vreemde dipjes in de lichtcurve kunnen verklaren. Toch zijn de meeste wetenschappers het er over eens dat dit zeer onwaarschijnlijk is. Er moet een andere plausibele verklaring zijn.
Sterren lusten wel een planeetje. Zo zal onze zon over een paar miljard jaar Mercurius, Venus en mogelijk ook de aarde absorberen. Wees dus blij dat er wordt geïnvesteerd in ruimtevaart, want ooit is dat onze redding.
Planeet op het menu Wetenschappers van de Columbia Universiteit in New York hebben nu een mogelijke verklaring gevonden. Volgens Brian Metzger en zijn collega’s heeft KIC 8462852 een exoplaneet verorberd. Dit verklaart tevens waarom Tabby’s ster in de periode van 1890 tot 1989 veertien procent in helderheid is afgenomen.
Even dimmen Als Tabby’s ster een planeet heeft opgegeten, dan zou de ster eerst helder worden en daarna langzaam dimmen. Des te groter de planeet, des te langer de afname in helderheid duurt. Afhankelijk van de grootte van de planeet heeft deze gebeurtenis 200 tot 10.000 jaar geleden plaatsgevonden.
Stofwolk Tijdens het vernietigingsproces is de planeet mogelijk uit elkaar gescheurd en zijn eventuele manen weggeslingerd. Hierdoor is er waarschijnlijk een stofwolk rondom de ster ontstaan. Iedere keer als brokstukken tussen de aarde en Tabby’s ster zweven, wordt een deel van het licht van deze ster geblokkeerd. Dit zou de dipjes in de lichtcurve verklaren.
Tabby, we houden je in de gaten Is deze hypothese te testen? Misschien wel. De astronomen hopen in de toekomst opnieuw een dipje in de lichtcurve te spotten en te achterhalen of het planetaire brokstukken zijn. “Zo’n dipje duurt slechts enkele dagen, dus als we er één zien, moeten we snel zijn en iedere telescoop op Tabby’s ster richten”, zegt Metzger.
The first detailed event to be reported on the Island was at the former Cowes Airport on July 27, 1950.
Ex-RAF pilot Capt Jessop spotted a Gloster Meteor jet sweeping south at 8,000ft, followed by a brilliant white oval-shaped light above it at 20,000ft, scorching across the sky, as he taxied his own aircraft on the runway.
"It was unlike anything I’ve ever seen before. It’s speed was fantastic — doing at least 2,000mph," he said.
Ryde. July, 1961
Clare Taylor, of Ryde, with her mother, reported a UFO sighting in July 1961. Miss Taylor, who was interviewed on local television, described the UFO as a 'disc craft’, which they saw hovering low over trees as they looked out towards The Solent just after midnight.
It began with a row of lights above the horizon, rapidly getting nearer, which Miss Taylor and her mother initially believed was the Saunders-Roe N1 hovercraft on trials.
The UFO was uncommonly silent and it eventually hung almost at eye level over trees.
Miss Taylor said she could see its dome-like structure, lit up by a row of five porthole lights, which, from its underside, emanated a red, furnace-like glow, which lit up the tops of the trees, before it flew off at 'vertiginous’ speed.
"One moment it was there and the next instant it was going away in the direction from which it came, like a shooting star," she said.
She said all that remained in its wake was an expanding, luminous ring of smoke, leaves and debris that rose and hung above the trees for several minutes.
Niton. Autumn, 1964
On one autumn morning in 1964, a Niton farmer reported a large, mysterious 5ft hole in his field — its sides clean and sharp, which bent sharply and dropped a further 10ft, without evidence of any vehicle being around it, said investigators.
It was as though the mass of dirt and stones had been sucked cleanly from the ground by a device suspended above the hole.
Investigators came to the conclusion a UFO may have been dropped low enough to collect a sample of earth.
Whippingham. July 1967
Experts in the paranormal descended on Whippingham in July 1967, after two boys saw a 37ft-wide UFO flying low, which had then hovered near their school.
During a six-week investigation, civil aviation officials said they were 'at a loss’ as to what caused a 12ft swathe of flattened barley, where the boys said the object had been, together with other puzzling crop formations from the scene down to the River Medina, almost a mile away.
Adgestone. 1975
Farmer Tom Reynolds was stunned to see a brightly lit and silent object, 100ft long and 30ft wide, appear very low over his buildings at Adgestone Farm one evening in 1975. He claimed it travelled towards Brading, at a height no more than 150ft, before it dipped down and disappeared from view.
Ryde. Spring 1976
In Ryde, at another former airfield, there was another unusual but detailed night sighting in the spring of 1976.
It was just after 10.30pm when former Royal Navy serviceman David Spicer and his wife noticed a strange, bright light, silent and triangular in shape, hanging 2,000ft above the airport tower.
As they puzzled over what it could have been, it made a sudden movement and rocketed into a vertical climb.
At the top of the climb, the UFO — a black mass with red lights around its perimeter — hovered momentarily before it banked and flashed back towards the startled couple, who claimed it bore no similarity to conventional aircraft but flew in a controlled manner.
Godshill. September 1976
In September 1976, Pan estate residents saw and heard the hum of a formation of grey, oval discs in broad daylight.
Nurse Shirley Rimmer, an eyewitness who saw the objects suddenly accelerate away over houses, said: "The sound was incredible — like deep thunder. It was terrifying. The whole area trembled as though an earthquake had hit us. The sound was like the chiming of church bells."
Fellow witness, Tim Woodward, said: "The roar as they passed overhead shook my house so violently I dashed outside to see what was happening.
"From the garden, I saw five discs streaking towards Godshill at lightning speed. They stopped and held station over Godshill for a few moments before shooting off out to sea."
Shanklin. December 23, 1993
There was an independent probe into UFO sightings after reports of UFO's in the Shanklin area. Mainland investigators of the paranormal called for Island witnesses. Among them was Christopher Harrington of the Havant-based Southern Paranormal investigations, who said there had been a number of reports of sightings over the Island from people living on Hayling Island.
Across the Island. October 13, 1996
On October 13, 1996, three Island residents came forward to record their sightings of what was seemingly the same UFO.
At 5.30am, a woman reported seeing a large, glowing orange light from her Shanklin home, heading towards The Solent.
An hour later, Richard Cattle, who was in Hunnyhill, Newport, saw a large, silent, pulsating ball of white light.
Interviewed at the time, he said: "It appeared on the horizon north of me. At first, I thought it was a planet still visible in the morning light, but soon dismissed the idea when it drew nearer. It passed over the Island from north west to south east at high altitude.
"I discovered two other people I had never met before, one from Ryde and the other, Shanklin, saw the same object that morning."
Mr Cattle, of Niton, has been documenting UFO phenomena over the Island ever since, weeding out the genuine witnesses.
"Over the years, I’ve looked at the UFO enigma on the Island. For some reason, certain areas are more prone to strange objects in the sky than others, particularly the kite-shaped UFO and white triangle that makes a ghostly appearance in our skies now and again," he said.
Across the Island. January 28, 2008
The last 'big’ sighting over the Isle of Wight came in January 2008, in which a number of Islanders spotted strange lights in the night sky from a silent, low-flying, brightly lit craft.The County Press first ran a story after former RAF technician, Frank Webb, reported his sighting over Newport, when walking along Terrace Road with his wife.
"I saw these very bright lights coming towards us, from east to west. They were unusually bright. It had no engine or landing lights and it wasn’t losing height, so it had got its power from somewhere."
Others came forward and the County Press was inundated with calls.
Among them was Barry Holland, who was cleaning at Calbourne Classics, near Shalfleet.
He said: "I’m not saying it was little green men from Mars but it was an object in the sky I couldn’t identify."
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“NASA vindt lichamen van aliens en vliegende schotel op Mars”
“NASA vindt lichamen van aliens en vliegende schotel op Mars”
Een opzienbarend bericht in een Russische krant: NASA-wetenschappers zouden tijdens het bestuderen van foto’s vreemde objecten hebben aangetroffen op Mars die lijken op een vliegende schotel en lichamen van aliens.
Toen de wetenschappers inzoomden zagen ze duidelijk twee hoofden en een borstkas, aldus de krant Pravda.
Het zou onmogelijk zijn om scherpere foto’s te maken, aangezien de Marsrover de locatie waar de vreemde objecten zijn gevonden alweer heeft verlaten.
Primitieve wezens
Wetenschappers van de Russische Academie van Wetenschappen geloven daarnaast dat de kans groot is dat er nog primitieve levensvormen zijn op Mars, met name rond de polen.
“We gaan er mogelijk oases vinden waar nog steeds primitieve wezens leven, die zich daar miljarden jaren geleden hebben ontwikkeld,” zei Igor Mitrofanov van het astronomische instituut RAS.
De aanwezigheid van waterijs in de Marsbodem wijst op de mogelijkheid van leven, aldus de wetenschapper.
Methaan
Daarnaast zou methaan in de atmosfeer van de rode planeet een biologische oorsprong kunnen hebben.
Verwacht wordt dat er resten kunnen worden gevonden van organismen die Mars meer dan 3,5 miljard jaar geleden bewoonden, toen de planeet een dichtere atmosfeer had, zo schrijft de krant.
Sante Fe witness recalls disc UFO near ground level
Sante Fe witness recalls disc UFO near ground level
A New Mexico witness at Santa Fe recalled a UFO encounter from the late sixties when a disc-shaped object hovered under six feet off the ground near his family’s mobile home park, according to testimony in Case 81404 from the Mutual UFO Network (MUFON) witness reporting database.
The witness was 11 years old when he saw the hovering disc. Pictured: Santa Fe, NM.
(Credit: Google)
The witness believes it was late 1966 or early 1967 when the incident occurred.
“The weather was cold, but no snow,” the witness stated.“I lived with my Mom and Dad. Dad was overseas. I lived outside the city limits of Santa Fe in a mobile home park with my mom.”
The witnesses’ Mom decided to go to the drive-in theater which was about half a mile west of the trailer park on the road to Albuquerque.
“We saw the movie and left to go home, late at night, yet a lot of traffic was going both ways. Mom got into the left turning lane to enter the park and had to wait for a lane to be clear. I was sitting directly behind her and was looking at the tree line alongside the mobile home park where the six-foot cyclone fence was. Then I spotted it.”
With all of the traffic surrounding him, the witness rolled his window down to get a good look at the object.
The object was between 18 and 24 feet long. Pictured: Santa Fe, NM.
(Credit: Google)
“Just about 100 feet away I saw a hovering saucer in the shadow of the pine trees that were along the fence line on the west side of property. The reflection of the object could be seen from the road. It was a bright moon so through the trees light was hitting the craft. The pine trees were casting a shadow and it was in it hovering above the ground, but I could still see it because the moon lit up the field behind it.”
The witness was able to see a dark looking hovering craft.
“It had an arm of some sort pointing and extending to the back of the trailer, but not touching it. There was no sound coming from it at all. It was 18 to 24-feet-wide. It hovered four to six feet off the ground and I saw blasts of blue-red-orange-yellow short flames coming from ports around the mid-section of it.”
The witness described the ports.
“These ports were evenly spaced around the furthest section, a little lower of its mid-section. Round and about six to eight inches in size. The flames came out from left to right and seemed to go around the craft because there were bright flashes of light continuing as long as I could see it on the ground on the other side. It wasn’t light. It was flames. Because the next time I saw the same ports facing me, the fire was a little different each time. I saw it was a hole where the flames came out of each time.”
The entire event lasted about five minutes.
“I played in this area all the time. It was an empty field with 3-foot-tall dry grass. Directly under the craft the grass was moving violently back and forth, but outside the craft the tall grass wasn’t moving at all. I could make out small lines that went around one side and met up with the other. This was a saucer-like object, thicker on the bottom and with some sort of dome on the top.”
The witness was very disturbed by what he was seeing.
The witness described ports around the object that were round. Pictured: Santa Fe, NM.
(Credit: Google)
“It may have been great to finally see one, but I was only 11 years old. My mom didn’t know what it was, but she saw it. Saw the lights, saw the grass moving and it hovering above the ground. We spoke about it a couple of times, but she ended the conversation as soon as I started it. My father finally returned from overseas and I couldn’t talk about it again until the day he opened the newspaper to the “Living” section of The New Mexican newspaper and there was a picture of a UFO going over a farmer’s barn in the Santa Fe area that a farmer took and turned over to the paper. It was the same UFO that I saw, exactly, but taken during daylight hours.”
The witness told his father that this is what he saw and the photo was proof.
“I clipped it out of the paper and saved it in my mother’s scrap book, but it too has disappeared as well the paper. I never ever forgot and now that I’m 62 years old, I thought it time to tell my story of what we saw. My family has died and all I have is this memory of what was seen that night. I have a drawing, but it’s difficult to figure out how to send it even though I have a B.A. degree in social science. Get back with me if there’s more you can find out what I saw. I appreciate it.”
New Mexico MUFON Assistant State Director John Fegel investigated and closed this case as an Unknown. Please remember that most UFO sightings can be explained as something natural or man-made. The above quotes were edited for clarity. Please report UFO activity to MUFON.com.
UFO Over Hills Of Peru Causes Awestruck Crowd On Facebook, Jan 11, 2016, UFO Sighting News.
UFO Over Hills Of Peru Causes Awestruck Crowd On Facebook, Jan 11, 2016, UFO Sighting News.
Date of sighting: January 11, 2017 Location of sighting: Ocuviri District, Peru News Source:Inexplicata This is a fantastic video of a cloud orb moving about. Cloud orbs are usually soft looking like a cloud, but can move at great speeds. Often seen darting from cloud to cloud, this particular type of UFO is thought to be an alien drone or an undiscovered biological life form. Scott C. Waring Inexplicata states: Perú: Strange Object Recorded Over the Ocuviri District - a UFO? The images caused some fear among local residents. A camera employed by a resident of the Ocuviri District, Province of Lampa, Puno (Perú) raised doubts yet again as to whether we are alone in the universe. The object was taken on the morning of January 1, 2017 at approximately 7:00 a.m.. The image shows an unidentified flying object (UFO) in the Puna skies. The images caused some fear among local residents, who at first thought they were looking at an airplane, but dismissed the hypothesis after seeing it was motionless. It should be noted that the object appeared a few days after the earthquake that occurred in the district. Some locals noted that these sightings are in some way related to the tremor. Video is on Facebook, click here to watch the video on Facebook.
The green area of the UFO is the outer edges of the craft, the dark center is not a hole, but a window area or solid area that can be turned clear for observations. The photo below shows the clear area on top of the UFO in the Rocca Pia, Italy case that lasted for decades. This new video makes me think the aliens below the castle atRocca Pia are becoming interactive with humans again. This is good news. Scott C. Waring-Taiwan
Eyewitness states on Facebook:
UFO sighting of 9/1/2017 at about 19.38 hours. I don't know what was and what it is to call it but it is very strange. I was always in the company of my girl Angelica Scupola. Here's the video you do your considerations and especially tell me what I saw.
5 mind-boggling Moon mysteries that science cannot explain
5 mind-boggling Moon mysteries that science cannot explain
With a diameter of about 3,476 kilometers the Moon is a quarter the size of Earth, all other moons in our solar system orbit their planets around the equator, our moon does not, and there are lunar rocks that have been found to contain PROCESSED METALS such as Brass, Uranium 236 and Neptunium 237.
Simply put, Earth’s moon is one of the most mysterious objects in our solar system. It is considered a ‘weird’ celestial body due to its numerous physical qualities which scientists are unable to explain, and due to the fact that it is the most unique object in the solar system, incomparable to any other moon found to date.
In fact, the moon is so unique that Dr. Robert Jastrow, the first president of NASA’s Commission of Lunar Exploration called the moon “the Rosetta Stone of the planets.”
To get an idea just how weird the moon is, we only have to take a look at a quote by Robin Brett, a scientist from NASA who stated, “It seems easier to explain the non-existence of the Moon than its existence.”
But what makes the moon so weird?
It’s big. In fact, it is huge. With a diameter of about 3,476 kilometers the Moon is a quarter the size of Earth. Except for Pluto and Charon, this is the largest known proportion between a moon and its parent body among the numerous objects of our system.
It has a weird orbit that’s so unique scientists have not been able to find it anywhere else in the solar system. It turns that all other moons in our solar system orbit their planets around the equator. Our moon does not, and orbits Earth at an inclination of five degrees. The moon has a precise altitude, course, and speed, allowing it to “function” properly in regards of planet Earth. Simply put the Moon should not be where it is currently.
The Moon is almost an Earth. The composition of our natural satellite is similar to that of Earth, unlike most other moons. Who are clearly different from their parent planets.
If the above details did not catch your attention, there’s more.
There are some lunar rocks that have been found to contain PROCESSED METALS such as Brass, Uranium 236 and Neptunium 237. These elements have NEVER been found to occur naturally. Uranium 236 is a radioactive nuclear waste which is found in spent nuclear and reprocessed Uranium. More interestingly, Neptunium 237 is a radioactive metallic element and a by-product of nuclear reactors and the production of Plutonium.
These mysterious lunar characteristics have led Mikhail Vasin and Alexander Shcerbakov from the Soviet Academy of Science to write an article in the 1970’s about the moon called “Is the Moon the Creation of Alien Intelligence?”
Furthermore, Dr. Harold Urey, Nobel Prize winner for Chemistry said he was “terribly puzzled by the rocks astronauts found on the moon and their Titanium content. The samples were unimaginable and mind-blowing since researchers could not account for the presence of Titanium.
In other words, our Moon does not share any characteristics with other moons found in our Solar System. If that isn’t strange enough, consider that from any point on the surface of our planet only one side of the Moon is visible.
Phoenix Lights 20 years later: UFO witnesses take the stage at UFO conference in February
Phoenix Lights 20 years later: UFO witnesses take the stage at UFO conference in February
It has been 20 years since the UFO sighting that has had Arizona buzzing ever since the incident took place in March of 1997. Over 1000 witnesses reportedly came forward, including former Arizona Governor Fife Symington. Several of the witnesses who experienced the most spectacular sightings will be sharing what they saw on-stage at the International UFO Congress in Fountain Hills on February 18, 2017.
The ‘Phoenix Lights’ sightings were reported by thousands of people, both as a triangular formation and stationary lights. Phoenix City Councilwoman Frances Barwood says she personally spoke with over 700 Phoenix-area residents who claimed to have seen a large object float silently over the city. Symington, Arizona’s governor at the time, made light of the sightings in 1997, however, he now claims to have seen the UFO himself and says he does not think it was from this planet.
According to Fox News, Symington said, “I’m a pilot and I know just about every machine that flies. It was bigger than anything that I’ve ever seen. It remains a great mystery. Other people saw it, responsible people. I don’t know why people would ridicule it”
Fife Symington discussing his UFO sighting on CNN.
(Credit: CNN)
Symington first admitted to seeing the object during an interview with filmmaker James Fox. Fox had provided Symington with testimony from several witnesses who were disappointed with the way Symington dealt with the incident in 1997. Symington then admitted to Fox he had also seen the object, and he agreed it was unworldly. Symington then went on to discuss his sighting with CNN and other news outlets.
Fox will be presenting at the International UFO Congress, and will share footage of his interview with Symington, he says, he has not shared publicly before. Fox has also arranged to have several of the witnessed he spoke with, all of whom had a spectacular view of the strange object that cruised over Phoenix that fateful night, join him on-stage during his presentation to share their experiences with the audience.
UFO researchers, local Arizona UFO investigators and local UFO filmmaker Dr. Lynne Kitei will also be discussing their findings regarding the Phoenix Lights UFO event, and putting the sighting in perspective in relation to alleged UFO sightings throughout history.
Scientists, former military officers, authors and UFO researchers will also be discussing UFO sightings and related topics at the International UFO Congress this year. For a full list of speakers and their topics, visit UFOCongress.com.
About the International UFO Congress
The International UFO Congress is presented by OpenMinds.tv, an Arizona based organization dedicated to the dissemination of information related to UFOs and the search for extraterrestrial life. The conference was established in 1991 and is held annually. The event holds the Guinness World Record for the largest UFO conference in the world. It features presentations by scientists, academics, authors, researchers, experts, and those who have experienced paranormal or anomalous phenomena from all over the world. It also provides a forum to discuss experiences and findings. The event has over 20 Speakers, a Film Festival, and scores of vendors. Topics generally covered are UFO sightings, alien abduction, UFO crashes, crop circles, paranormal experiences, governmental UFO secrecy and much more.
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Over mijzelf
Ik ben Pieter, en gebruik soms ook wel de schuilnaam Peter2011.
Ik ben een man en woon in Linter (België) en mijn beroep is Ik ben op rust..
Ik ben geboren op 18/10/1950 en ben nu dus 73 jaar jong.
Mijn hobby's zijn: Ufologie en andere esoterische onderwerpen.
Op deze blog vind je onder artikels, werk van mezelf. Mijn dank gaat ook naar André, Ingrid, Oliver, Paul, Vincent, Georges Filer en MUFON voor de bijdragen voor de verschillende categorieën...
Veel leesplezier en geef je mening over deze blog.
1/ Duncan Lunan, A l’écoute des galaxies, Les énigmes de l’Univers, Robert Laffont, 1976.
