UFO'S of UAP'S, ASTRONOMIE, RUIMTEVAART, ARCHEOLOGIE, OUDHEIDKUNDE, SF-SNUFJES EN ANDERE ESOTERISCHE WETENSCHAPPEN

Depuis 1953, l’organisme public Geipan (Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) a recensé trois « phénomènes » étranges à Brive.

1. Une apparition aux toilettes

Ce matin du 11 janvier 1979, un collégien de Brive se lève pour « aller au WC » vers 6h45. « J’ai ouvert la fenêtre pour observer le temps afin de m’habiller en conséquence », raconte-t-il dans procès-verbal rédigé par la gendarmerie. « J’ai alors constaté qu’un objet ovale, dont la forme ressemblait à un ballon de rugby, se déplaçait au-dessus de la route. » Le jeune homme estime que l’objet qu’il a aperçu est d’un volume équivalent à « une Citroën CX ». Il ajoute qu’il comportait, dans sa partie supérieure, « environ six feux fixes de couleur rouge et verte », ainsi qu’un feu de couleur jaune « bien plus important que les autres ».

Des ovnis très sérieusement étudiés en Auvergne

La très sérieuse enquête réalisée par la gendarmerie conclura que le témoin a vu un avion de ligne FBOOM bimoteur. Un tel appareil a atterri, ce jour-là, à 6h42, pour redécoller à 6h59 de l’aérodrome de Brive, tout proche du lieu de l’observation. Une thèse confirmée par les déclarations d’un palefrenier travaillant dans un centre équestre tout proche du lieu de l’observation. « Assez fréquemment, à la même heure, j’entends le bruit de cet avion qui doit desservir une ligne […]. Le ronflement que j’ai entendu ce matin m’a paru être plus fort que celui produit par les petits avions de tourisme. Donc, il doit s’agir d’un avion de passagers un peu plus important que ceux de l’aéro-club », a-t-il indiqué lorsqu’il a été interrogé par les gendarmes.

Je ne pense pas que j’aie vu un avion, parce que cet engin ne faisait pas de bruit.

Dans le dossier compilé par le Geipan, figure également le témoignage du chef de l’aérodrome qui précise, à propos du bimoteur qui s’est posé ce matin-là : « Je dois dire que lors de l’atterrissage, cet appareil allume ses feux de position, un vert à droite et un rouge à gauche au bout de chaque aile. À la queue, il a également des feux. Il possède aussi deux phares d’atterrissage groupés très puissants émettant une lumière blanche très vive. »
« Je ne pense pas que j’aie vu un avion, parce que cet engin ne faisait pas de bruit », avait pourtant affirmé le collégien dans sa déposition.

2. Une forme ronde derrière le Stadium

Le 26 novembre 1983, un homme à la crédibilité jugée « normale » témoigne auprès d’un adjudant-chef de la gendarmerie de Brive. Il déclare avoir aperçu, vers 9h10, un objet volant non-identifié. « Cet objet était, selon ses dires, de couleur rouge très vif, rapporte le gendarme. Il descendait verticalement à grande vitesse. Une trace blanche d’une longueur moyenne d’un à deux mètres lui était accolée. Il était d’une forme ronde de vingt à quarante centimètres. »

Le témoin affirme que l’Ovni se trouvait à environ cinq cents mètres de distance lorsqu’il l’a vu tomber « à une vitesse relativement élevée » dans le secteur du stadium municipal. « Je me suis immédiatement rendu sur place, par curiosité, pensant trouver une trace. Ma vision n’a été que de très courte durée, environ une seconde. Sur le coup, je me suis demandé si je ne rêvais pas. Néanmoins, je maintiens ma déclaration et je suis très formel. Je peux même dire que j’ai ressenti une vive émotion. »

Cinq affaires d'ovnis non élucidées en Auvergne

Il explique avoir cherché une trace de cet objet, dans le secteur du stadium municipal, sans résultat. Les gendarmes ont eux aussi effectué des recherches dans le secteur « susmentionné » sans plus de résultat. « Plusieurs personnes ont été contactées, ainsi que le commissariat de police », écrit l’adjudant-chef en charge de l’affaire.

3. « Peur » à Ussac

Le 25 juin 2010, un homme âgé de trente-sept ans, habitant à Ussac, sur les hauteurs de Brive, aperçoit, pendant environ une minute, un objet scintillant descendant du ciel à grande vitesse. L’objet, « sphérique, blanc et trois fois plus lumineux qu’une étoile » s’arrête en vacillant et sans aucun bruit à cent mètres du témoin, qui affirme n’avoir consommé « ni alcool ni drogue ».

À la gendarmerie, cet homme confiera avoir été très secoué par cette étrange apparition. « Je suis rentré chez moi et je me suis enfermé. J’ai beaucoup réfléchi en me disant que c’était fou ce que je venais de voir. J’ai été pris d’un sentiment de peur et d’affolement. » Persuadé qu’il s’agit d’un « phénomène extraterrestre » ou d’un objet de « très haute technologie militaire », le témoin, qui se décrit comme un « grand lecteur de revues scientifiques », finira par contacter directement le Geipan.
Jean-Baptiste Chadelle, correspondant du Geipan dans la région, a mené l’enquête. Pour lui, pas de doute : le témoin a observé un passage de l’ISS, la station spatiale internationale. Deux autres observations similaires avaient été effectuées, le même jour, à La Réole (Gironde) et Bruay-la-Buissière (Pas-de-Calais).

Tanguy Ollivier

As if astronauts needed one more horror to worry about in the soul-crushing vacuum of deep space. Between the perils of cosmic radiation, the unknown side effects of unexplained genome changes, and the whole blowing up upon launch thing, it’s not easy being a space traveller. Now, a team of international medical researchers has conducted a study of astronauts’ health while aboard the International Space Station and has discovered a new threat: “space fever.” While space fever sounds like a perfect title for a 1950s B movie, the condition is actually a little understood and potentially life-threatening condition which could hamper our plans at deep space travel.

Space very well could be one of the worst places to get sick.

After combing through health records of eleven different ISS astronauts, researchers found that all astronauts’ body temperatures increased by 1°C (1.8°F) after just a few months in space and remained elevated for the duration of astronauts’ time in space. In their published data, the researchers claim that while mild, this “space fever” poses a significant problem for space agencies and their astronauts:

This space fever, as we may call it, has potential implications for long-term spaceflights in terms of astronauts’ health, well-being, and support, including energy, nutrient, and fluid requirements as well as physical and cognitive performance.

Even increase of body temperature of this small magnitude can lead to serious health complications if left unchecked for long periods of time. Along with the increased body temperatures, researchers also discovered increases in certain inflammation markers. Together, these all indicate that the human body is definitely better suited for life on Earth as opposed to space, meaning we have a lot more barriers to overcome than just fuel and food supplies before we can join Elon Musk’s car on Mars. We’ll figure it out though, right?

Should we create a genetically-altered race of deep space supermen to carry our stink throughout the galaxy?

Wouldn’t that be a cruel irony to develop the means of deep space travel but be unable to go due to the limitations of these crude, stinking meat sacs we’re cursed to inhabit. Of course, given recent advances in gene editing, it likely won’t be long before we can simply create genetically advanced astronauts who can withstand deep space much better than our current models. As with everything though, we likely won’t know the long-term implications of such therapies until space stations are crawling with horrifying human hybrids hell-bent on eating brains and chewing gum. And I don’t need to tell you how scarce gum is in space. Should we aim for the stars no matter what the cost? Per aspera ad astra.