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03-11-2018
Les déclarations des scientifiques sur les Ovnis - PART III
Les déclarations des scientifiques sur les Ovnis - PART III
Claude Poher, Ingénieur français, docteur en astronomie. (1936)
Un intérêt pour les ovni qui débute en (1969)
En 1969, Poher est Directeur de la Division Fusées-Sondes du CNES. En voyage aux USA pour une mission préparatoire à un programme spatial d'astronomie réalisé par le CNES en collaboration avec la NASA, Poher fait la connaissance de J. Allen Hynek au cours d'un dîner professionnel. Ce dernier lui fait part de plusieurs anecdotes étranges qui intriguent Poher, et tous deux se retrouvent le week-end suivant, en compagnie de Fred Beckman à examiner les archives d'Hynek chez ce dernier. Poher repart avec l'intention de travailler sur le sujet sur son temps personnel, et examiner les cas français. Il lit le rapport Condon qui paraît cette année-là, et en ressort d'autant plus motivé quand il constante le nombre de cas restant non-identifiés. Il recueille des données, prend des contacts avec différents groupes d'étude du phénomène, et entre dans le Collège Invisible, et collabore avec le GEPA.
A partir de 1970, il se constitue des archives et commence une étude statistique afin de tenter de déterminer les caractéristiques du phénomène. Le résultat est un fascicule de plus de 200 pages (étude portant sur cas 1000 informatisés en Fortran sur cartes perforées), bourré de tableaux et graphiques.
Les conclusions de Poher sont que :
il existe une similitude des observations faites dans le monde les récits présentent les caractéristiques d'événements réels (non inventés) le phénomène observé reste inexplicable, se distinguant nettement des phénomènes connus des experts.
A partir de 1971, Poher commence à informer sa hiérarchie au CNES. Il tient également informé l'Etat-Major de l'Armée en l'air, en retour des rapports d'observations qu'elle a bien voulu lui communiquer. A partir de 1972, L'étude statistique de Poher commence à circuler sous le manteau.
En 1974, alors qu'a lieu une vague d'observations, Poher élabore une 2ème étude sur les corrélations entre les visions d'ovnis et les perturbations électromagnétiques. En Février, le ministre de la défense Robert Galley reconnaît la nécessité d'une étude officielle et cite l'étude de Poher que lui a communiqué l'armée.
En mars se tient aux USA une réunion de scientifiques et universitaires intéressés par le problème ovni, auquel se rend Poher.
A cette même époque, Poher participera à une série d'entretiens radiophoniques sur les ovnis à France Inter, animée par Jean-Claude Bourret :
Bourret : Qui avez-vous rencontré aux USA ?
Poher : J'ai rencontré une trentaine de scientifiques. Les plus connus sont le docteur Hynek, Jacques Vallée, le docteur Saunders, etc. Ils excercent tous une activité classique, en consacrant toutefois une partie de leurs loisirs au phénomène ovni, appelé là-bas phénomène U.F.O. (Unidentified Flying Objects). J'ai rencontré également des représentants de l'American Institution for Aeronautics and Astronautics. Cette institution a créé un sous-comité U.F.O., qui publie des articles dans les revues de l'AIAA - pour que la communauté scientifique prenne conscience du phénomène. Ces personnes ne travaillent pas personnellement sur la question. Il s'agit de juges extrêmement impartiaux, extrêmement prudents. Néanmoins, ils ont publié des cas fort intéressants et continueront de le faire.
Bourret : Où en est la question des ovnis aux USA ? Y a-t-il une meilleure approche du problème qu'en France ?
Poher : Non. Il semble qu'en France les ovnis soient plus facilement acceptés par la communauté scientifique qu'aux Etats-Unis. Cela résulte de l'action de la commission Condon, qui a été négative et continue à produire des effets improductifs aux Etats-Unis. En France, nous n'avons pas eu de retombées négatives : la plupart des scientifiques ne connaissent pas le rapport Condon.
Bourret : Le rapport Condon n'est pas négatif pour celui qui veut bien le lire jusqu'au bout (1000 pages). Il renferme des cas d'observations d'ovnis et de photos jugées authentiques par la commission qui, pourtant, n'était pas favorable aux ovnis, pusiqu'elle avait reçu pour mission de réduire le phénomène ovni à des mauvaises interprétations de phénomènes connus.
Poher : Oui, c'est le moins que l'on puisse dire. J'ai rencontré le docteur Saunders, qui faisait partie de la commission Condon, et qui a démissionné, il reste la personne qui, dans le monde, possède le plus gros catalogue informatique d'observation d'ovnis. Aux dernières nouvelles, il a 85000 cas d'observations dans son ordinateur.
Bourret : Pouvez-vous rappeler pourquoi le docteur Saunders a démissionné de la commission Condon ?
Poher : Tout simplement parce qu'il n'était pas d'accord avec les méthodes de travail et les conclusions apportées par la commission Condon.
Bourret : Vous dites 85000 cas, Claude Poher. S'agit-il de cas d'atterrissage ou d'observations et d'atterrissages ?
Poher : Non, c'est un mélange de toutes les observations. 10 % des cas portent sur des atterrissages. Aux USA, il existe une certaine spécialisation des scientifiques s'occupant du problème UFO. Le docteur Saunders réunit toutes les informations sur la question et, à partir de ce travail, dresse des statistiques à la demande des autres scientifiques. Par exemple, je lui ai demandé un certain nombre de travaux qu'il eu l'amabilité d'exécuter. Bourret : Quels travaux ? Poher : Par exemple, on obtient facilement l'ensemble des cas français. Des témoins étrangers ont vu des ovnis en France ; ils ont rapporté leurs observations en retournant dans leur pays. Ce genre d'observations est intéressant : on peut comparer celles-ci avec ce que décrira un témoin français. Ces comparaisons apportent une confirmation de la description du phénomène identique - quelle que soit la nationalité du témoin.
Bourret : Et les atterrissages ?
Poher : Il existe actuellement 546 cas d'atterrissage avec des traces où les scientifiques américains ont réalisé une enquête poussée. En comparant les traces de ces atterrissages avec celles qui ont été analysées en France, on trouve exactement les mêmes caractéristiques.
Bourret : Lesquelles ?
Poher : Par exemple, la répartition temporelle des instants d'atterrissages suit une loi strictement la même aux USA et en France : c'est troublant. Parce que s'il s'agit d'un phénomène sociologique ou psychologique, il n'y a aucune raison pour que les français et les américains soient amenés à établir des rapport coïncidants sur tous les points alors que leur mode de vie diffère sensiblement.
Bourret : Tout au long de cette émission, j'ai rencontré beaucoup de scientifiques. Les uns étaient "contre", d'autres étaient "pour" les ovnis. J'emploie à dessein ce vocabulaire simpliste : il a le mérite de définir les attitudes. Or, je n'ai jamais rencontré un scientifique qui, s'étant penché sérieusement sur la question ovni en réalisant notamment des enquêtes sur le terrain, figure dans les "contre" après une étude approfondie du dossier. Et aux USA ?
Poher : Une importante étude a été menée, aux USA, sur cette question. Les résultats en sont récents. Sur 195 scientifiques, mêlés de près ou de loin à l'étude des ovnis aux USA, 40 % étaient "pour" au début ; 60 % étaient "contre". Après une étude du dossier plus ou moins longue (de quelques jours à plusieurs années) on trouve 95 % des scientifiques qui sont "pour" ! Le reliquat de 5 % tient plus des "réservés" que des "contre". Il s'agit d'ailleurs de ceux qui ont étudié le problème le moins longtemps : quelques jours ou quelques semaines. Cela résulte d'une analyse portant sur 15 ans. Cette statistique est donc intéressante. Les scientifiques eux-mêmes ont répondu à un questionnaire qui leur a été envoyé. Par conséquent, c'est bien la réponse et la position des scientifiques eux-mêmes.
Bourret : Claude Poher, nous sommes à l'heure du bilan. Nous tournons les dernières pages de ce dossier ovni. Pouvez-vous dire quelles hypothèses sont retenues par les scientifiques américains pour tenter d'expliquer le phénomène ovni.
Poher : A peu près les mêmes que celles avancées au cours de votre émission. L'hypothèse extra-terrestre est loin d'être la seule capable d'expliquer le phénomène. Il y en a d'autres, difficiles à vérifier. Des hypothèses qui concernent la manipulation de l'espace-temps. On en est encore, à l'heure actuelle, à essayer de connaître les caractéristiques du phénomène. On ne les jauge qu'à travers le témoignage humain - avec tout ce que cela comporte d'inexactitudes. L'approche faite aux Etats-Unis, comme en Europe, est multiple. Nous essayons d'améliorer notre connaissance en poussant des enquêtes plus approfondies, plus sérieuses, en utilisant des compétences plus appropriées, en particulier dans l'interrogation des témoins. Les enquêtes concernant les atterrissages sont mieux exploitées. On approche aussi le phénomène par des méthodes d'analyse statistique. On s'est aperçu en effet que, lorsqu'on dispose de milliers de témoignages, des caractéristiques apparaissent. Lorsque les enquêtes sérieuses seront à notre disposition en très grande quantité, par le seule étude statistique, on obtiendra une connaissance du phénomène ovni beaucoup plus précise.
Bourret : C'est l'avenir de l'étude sur les ovnis ? Poher : Il n'y a pas seulement cela. On peut espérer que, dans un avenir assez proche, on pourra implanter un certain nombre de stations de mesures automatiques capables de fournir des données plus objectives du phénomène. Actuellement, on ne sait pas si l'émission lumineuse que les témoins affirmetn apercevoir reste limitée ou non au visible. Cette émission lumineuse peut très bien s'étendre dans l'infrarouge et dans l'ultraviolet.
Bourret : Qui dit station scientifique automatique dit "crédits" ?
Poher : C'est le noeud du problème ! Pourtant, les sommes dépensées ne seraient pas considérables. Avec quelques millions de francs anciens, on pourrait faire progresser la connaissance objective du phénomène. Pour des stations élaborées, il faudra évidemment des sommes plus importantes que la Recherche Scientifique ne veut pas débloquer - pour l'instant du moins !
En 1978, dans le rapport de Juin GEPAN au Comité Scientifique, Poher indique (volume 1, chapitre 4) :
En prenant en compte les élements collectés sur les témoins et les lieux de leurs observations, nous pouvons affirmer que les cas d'observation impliquent généralement un phénomène matériel. Dans 60 % des cas cités, la description du phénomène correspondant à celle d'une machine volante dont l'origine, les modes de déplacement et/ou de propulsion sont totalement en-dehors de notre champ de connaissance.
Universons
En 2001, Poher contacte Auguste Meessen pour lui proposer de faire partie d'un groupe de scientifique travaillant sur sa théorie des universons. Cependant Meessen n'est pas convaincu par les fondations de cette théorie.
Le 7 septembre 2003, Poher revient publiquement sur le devant de la scène, avec la 1ère publication de sa théorie des universons. Le lendemain il participe à une conférence-débat du GIRA sur sa théorie, à laquelle assiste notamment Meessen, qui fait part de ses objections.
Auteur de :
Etudes statistiques portant sur 1000 témoignages d'observations d'UFO, publication privée (1971) Etudes et réflexions à propos du phénomène OVNI, L'Aéronautique et l'Astronautique n° 52 (1975), pp. 69-74 Repris dans LDLN n° 152 (février 1976) pp. 3-7 Repris dans [Bourret 1976-2, pp. 242-258] "Basic patterns in UFO observations" avec Jacques Vallée, 13ème Convention Annuelle de l'AIAA sur les Sciences Aérospatiales à Pasadena, Californie, 20-22 Janvier 1975 [Poher 2003] Les Universons, énergie du futur (Editions du Rocher, 2003)
Références :
[UFO-Revue Information Ufologique n° 11 juillet 1992 (C) CISU] Rencontre avec Claude Poher, "La Vague d'OVNIs" - Radio Ici & Maintenant !, 7 septembre 2004 La propulsion des ovnis et les thèses de Claude Poher (4 janvier 2005) - Suite à la réunion du GIRA du 8 septembre 2004 http://rr0.org/personne/p/PoherClaude/
Josef Allen Hynek (docteur) (1910-1986)
Hynek naît le 1er mai 1910 à Chicago (Illinois) de parents tchécoslovaques. Il obtient un B.S. de l'Université de Chicago en 1931, puis un doctorat en astrophysique en 1935, où il rejoint l'équipe de l'observatoire McMillin. Travaillant avec N. T. Babrovnikhoff, Hynek observe Nova Herculis en 1934 et Nova Lacerta en 1936. En 1946 la direction assurée par Emerson McMillin est reprise par Hynek jusqu'à la retraite du professeur Manson. Il occupe à cette époque une double fonction, en assurant également la direction de l'Observatoire Perkins.
Au début, Hynek était sceptique quant à l'existence réelle des OVNI. Il pensait que toute ces apparitions pouvaient s'expliquer par des confusions avec des canulars et des phénomènes naturels ou avec des avions. En 1948 il déclara même que "ce sujet entier semble ridicule" et qu'il s'agit d'un phénomène de mode qui s'eteindra bientôt.Cependant, après avoir examiné des centaines de témoignages, dont beaucoup émanaient de témoins crédibles (astronomes, pilotes de chasses, policiers, offiers militaires, etc.), sa croyance s'effrita et il commença à douter et à réviser son opinion. Il déclara : "En tant que scientifique, je dois être conscient du passé; trop souvent, des sujets d'une grande importance scientifique ont été négligés car le nouveau phénomène sortait de la norme scientifique du temps".
Dans une interview donnée en 1985, quant on lui demanda ce qui lui avait fait changer d'opinion, il répondit : "Deux choses, en fait. La première était l'attitude complètement fermée de l'Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d'exister, même si ils volaient au-dessus d'une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m'énerver, même si à l'origine je ressentais la même chose qu'aux, je savais maintenant qu'ils n'étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouver supposer qu'une chose n'existe pas si vous n'avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont par exemples été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu'ils avaient été bien entrainés, c'est donc là que pour la première fois j'ai pensé que peut-être il y avait quelque chose derrière tout cela."
Un autre changement dans l'opinion d'Hynek est venu après qu'il ai fait un sondage chez ses collègues astronomes (dont Clyde Tombaugh, le découvreur de Pluton). Sur 44 astronomes, 5 d'entre eux (c'est à dire un peu plus de 11%) avaient déjà vu des phénomènes aériens qu'ils n'avaient pu expliquer avec la science conventionelle. La plupart n'avait rien rapporté avant par crainte du ridicule et de répercussions sur leurs carrières. Hynek à également noté que cette proportion de 11% de phénomènes non-identifiés était plus importante que dans les études portant sur les observations faites par la populations générale. C'est donc que contrairement à la croyance entretenue par les sceptiques, les astronomes ne voient non pas moins, mais plus d'OVNI inexplicables.
J Allen Hynek got the call October 4 1957
De plus, les astronomes sont normalement plus informée que le grand public au sujet de l'observation celeste, ainsi leurs observations en sont d'autant plus crédibles. Hynek était par ailleurs scandalisé par l'attitude arrogante et prétentieuse de certains scientifiques sceptiques à l'égards des OVNIs et des témoins.
Hynek reviendra plus tard sur Blue Book :
J'étais là au [Projet] Blue Book et je sais quel était leur travail. On leur disait de ne pas exciter le public, de ne pas faire de houle... A chaque fois qu'arrivait un cas qu'ils ne pouvaient pas expliquer — et il y en avait quelques uns — ils y faisaient particulièrement attention, et laissaient çà aller aux médias... Pour les cas très difficiles à expliquer, ils faisaient des pieds et des mains pour en laisser éloignés les médias. Ils avaient un travail à faire, que ce soit bien ou mal, empêcher le public de s'exciter.
La 1ère fois que je fus impliqué dans ce domaine, j'étais particulièrement sceptique à propos des gens qui disaient avoir vu des ovnis à diverses occasions et complètement incrédule quant à ceux qui déclaraient avoir été à bord de l'un d'eux. Mais j'ai dû revoir mon jugement.
Je me souviens de l'époque de Galileo lorsque j'essayais d'amener les gens à regarder les tâches solaires. Ils se disaient que le Soleil était le symbole de Dieu; Dieu est parfait; donc le Soleil est parfait; donc les tâches ne peuvent exister: donc il n'y a pas à regarder [10].
Une interview du docteur J. ALLEN HYNEK
Par Dennis Stacy Une interview With The Dean 1985 Re-Edited for CUFON by Dale Goudie 1991, traduction française par l'auteur de ce site:
Cette interview nous expose les vues d'un scientifiques éminemment respecté qui n'accepte pas que la recherche au sujet du phénomène OVNI continue à être ridiculisée. Le dr. J. Allen Hynek nous dit:
"Le fameux "gaz des marais" qui a été cité plus tard finalement m'a poussé à bout. A partir de ce moment, j'ai commencé à regarder les rapports d'un oeil différent, et cela m'a amené à dire que certains d'entre eux pourraient être des OVNIS réels."
Pendant plus de deux décennies, de 1948 à 1969, le dr. J. Allen Hynek était un conseiller en astronomie de l'Armée de l'Air des Etats-Unis. Le domaine ou il devait conseiller les militaires, cependant, n'était pas le programme spatial à ses débuts ni même la lune et les étoiles mais les objets volants non identifiés. A cette occasion ses recherches l'ont amené à changer sa conviction initiale qui était un scepticisme total.
STACY: Dr. Hynek, en tant que scientifique, vous avez une vue globale du phénomène OVNI qui remonte à plus d'années en arrière que probablement n'importe qui vivant aujourd'hui. Comment votre contact avec ce phénomène a-t-il précisément commencé?
HYNEK: C'est une histoire facile à raconter. Au printemps de 1948, j'enseignais l'astronomie à l'Université d'Etat de l'Ohio, à Columbus. Des trois hommes se sont présentés un beau jour, et ils n'étaient pas habillés en noir, eux, (I), ils sont venus pour me voir depuis la base aérienne de Wright Patterson à Dayton pas très loin. Ils ont commencé par parler de la pluie et du beau temps, pour autant que je me le rappelle, et d'autres sujets futiles, et alors finalement l'un d'eux m'a demandé ce que je pense des soucoupes volantes. Je leur ai dit que je pense qu'elles n'étaient que des racontars et des non-sens et ainsi de suite, ce qui a semblé leur faire plaisir, et alors ils en sont venu au motif de leur visite. Ils ont dit qu'ils ont besoin d'une certaine consultation en astronomie parce que c'était leur travail de découvrir ce qu'il en était vraiment de ces histoires de soucoupe en volantes.
Certains étaient des météores, pensaient-ils, d'autres des étoiles et ainsi de suite, et ils pouvaient donc avoir besoin des compétences d'un astronome. Et bien chiche, ai-je dit, cela semble amusant, et en outre, je recevrai une habilitation "top secret". A ce moment-là, cela s'appelait le Projet Sign (II), et une partie du personnel au moins prenait le problème tout à fait sérieusement. En même temps un grand schisme se produisait dans l'Armée de l'Air entre deux écoles de pensée. L'école sérieuse a préparé une évaluation de la situation qui fut envoyée au Général Vandenburg, mais l'autre côté par la suite a remporté la partie et les gens sérieux ont été réaffectés à d'autres tâches en d'autres lieux. Les "négationnistes" ont gagné la bataille, en d'autres termes.
Mes propres investigations pour le projet Sign m'ont ajouté à ce fait également, je pense, parce que j'étais tout à fait négatif dans la plupart de mes évaluations. J'ai utilisé toute l'élasticité possible pour donner une explication naturelle à chaque cas, même quand cette explication naturelle ne pouvait pas vraiment s'appliquer. Je me rappelle un cas au Snake River Canyon, je pense, où un homme et ses deux fils ont vu un objet métallique venant en tourbillonnant du bas de la gorge et qui a fait osciller le haut des arbres. Dans ma tentative de trouver une explication normale à cela, j'ai dit que c'était une certaine sorte de remous atmosphérique. Naturellement, je n'avais jamais vu un remous comme cela et je n'avais aucune vraie raison de croire qu'une telle chose puisse seulement exister. Mais j'étais si impatient de trouver une explication normale parce que j'ai été convaincu qu'il devait y en avoir une, que naturellement, j'en avais inventé une, et ce n'est que bien plus tard que j'ai commencé à changer d'avis.
STACY: Arriva-t-il que l'Armée de l'Air elle-même fasse pression pour que proposiez-vous une explication conventionnelle à ces phénomènes?
HYNEK: Il y avait une pression implicite, oui, c'est absolument certain.
STACY: En d'autres termes, vous vous êtes trouvés piégé, comme la plupart d'entre nous, dans une situation ou vous devez plaire à votre chef?
HYNEK: Oui, vous pouvez aussi bien le dire de cette façon, bien qu'en même temps je ne sois pas allé à l'encontre de mes préceptes scientifiques. En tant qu'un astronome et physicien, j'étais d'avis simplement a priori que tout a dû avoir une explication normale en ce monde. Il n'y avait pas de "si" ou de "mais" è ce sujet. Les cas que je ne pouvais pas résoudre, pensai-je, seraient résolus si nous essayions juste un peu plus, et que si nous faisions une meilleure recherche plus appropriée nous trouverions probablement une explication naturelle. Ma moyenne de rapports expliqués était d'environ 80 pour cent et je pensais que c'était largement suffisant. Cela laissait environ 20 pour cent de cas non résolu pour moi, mais seulement environ trois ou quatre pour cent pour l'Armée de l'Air, parce qu'ils ont employé des statistiques d'une manière que je n'aurais jamais considérée comme valide moi-même. Par exemple, les cas marqués "information insuffisante", étaient considérés comme "résolus"! Ils avaient encore d'autre manières de nous duper. Si une lumière était vue, ils disaient, "les avions ont des lumières, donc, c'est probablement un avion." Puis, à la fin de l'année, quand les statistiques ont été calculées, ils on simplement laissé tomber les "possible" ou "probable" et les ont comptés comme "avions".
STACY: Qu'est-ce qui vous a conduit à changer votre propre perception du phénomène?
HYNEK: Deux choses, en fait. L'une était l'attitude complètement négative et intransigeante de l'Armée de l'Air. Ils ne donneraient aux OVNIS aucune chance d'exister, même s'ils volaient à travers la rue en plein jour. Tout devait avoir une explication. J'ai commencé à trouver cela dérangeant, quoique j'aie fondamentalement mené les choses de la même manière, parce que je pensais toujours qu'ils n'abordaient pas le problème de la bonne manière. Vous ne pouvez pas supposer que tout est toujours explicable. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me préoccuper. Un certain nombre de cas ont été rapportés par les pilotes militaires, par exemple, et je les connais pour être assez bien entraînés, ainsi c'est comme cela que j'ai commencé pour la première fois à penser que, peut-être bien, il y a là quelque chose de vrai.
Le fameux "gaz des marais" qui a été cité plus tard finalement m'a poussé à bout. A partir de ce moment, j'ai commencé à regarder les rapports d'un oeil différent, et cela m'a amené à dire que certains d'entre eux pourraient être des OVNIS réels.
STACY: Alors que votre propre attitude changeait, l'attitude de l'Air Force envers vous a-t-elle changé, elle aussi?
HYNEK: Certainement, tout à fait, en fait. Dans le fond, je pourrais ajouter que le défunt dr. James E. McDonald, un bon ami à moi qui était alors météorologiste atmosphérique à l'Université de l'Arizona, avait eu quelques échanges assez vifs avec moi à ce sujet. Il avait l'habitude de beaucoup m'accuser en disant "vous êtes le conseiller scientifique de l'Armée de l'Air, vous devriez marteler les portes des généraux et insister pour obtenir qu'un meilleur travail soit entrepris." Je lui disais, "Jim, je suis du sérail, vous ne connaissez pas leur mentalité". Ils étaient soumis aux instructions du Pentagone, suivant les recommandations du Robertson Panel de 1953, qui étaient que le sujet entier doit être discrédité, un point c'est tout, sans aucune question à ce sujet. C'était l'attitude régnante. Le Panel avait été assemblé par la C.I.A, (III), et j'y avais été invité, mais je n'ai pas été invité à signer la résolution. Si on me l'avait demandé, je ne l'aurais pas signé, parce qu'ils ont pris une attitude complètement négative au sujet de tout. Ainsi quand Jim McDonald m'accusait de commettre une sorte d'injustice scientifique, j'ai dû lui dire que si j'avais fait ce qu'il me demandais, les généraux ne m'auraient pas écouté. Ils écoutaient déjà le dr. Donald Menzel et les autres gars du département d'astronomie de Harvard.
STACY: Avez-vous pensé qu'ils vous auraient montré la porte et invité à ne pas revenir?
HYNEK: Dans les 15 jours, j'imagine. Vous êtes familier avec le cas de Tycho Brahe et de Johannes Kepler dans l'histoire de l'astronomie? Brahe effectué des observations et n'a pas su quoi en faire, et Kepler, qui était myope, ne pouvait pas faire ces observations. En fait, j'ai joué le rôle de Kepler en face de Tycho Brahe au sein de l'Air Force. J'ai su que l'Armée de l'Air obtenait des données et j'ai voulu y jeter un oeil, alors j'ai fait usage intensive des photocopieuses à Wright-Patterson. J'ai gardé pratiquement un double de leurs dossiers parce que je savais qu'un jour ces données seraient utiles. Vers la fin, cependant, je parlais à peine avec le Major Quintanilla qui était responsable (IV). Nous avions commencé en tant qu'amis vraiment proches et alors les choses se sont vraiment gâtées parce qu'il a avait un lieutenant qui était un vrai "pisse-en-lit", je trouvais. Tout devait être soit "Jupiter ou Vénus" ou ceci ou cela. Vous n'avez aucune idée de quelle fermeture d'esprit, de quelle attitude fermée il s'agissait. J'ai continué maladroitement dans ces conditions, mais je puis sans risque dire que le pendant toute la durées ou j'étais avec l'Armée de l'Air nous n'avons jamais eu quoi que ce soit qui pouvait même ressembler de loin à un dialogue scientifique le sujet.
STACY: Ils n'étaient pas vraiment intéressés par une recherche véritable sur ce sujet à ce moment?
HYNEK: Ils ont dit qu'ils étaient intéressé sérieusement, naturellement, mais ils auraient fait des mains et des pieds pour empêcher qu'un cas valable puisse parvenir à "l'attention des médias". Pour tous les cas qu'ils avaient résolus, ils n'avaient aucun problème pour en faire communication aux média. C'était vraiment très regrettable... Je pense leur plus grande erreur au départ, fut de ne pas confier l'affaire aux universités ou à certain groupes scientifiques. Ils ont considérée que c'était une question relevant du renseignement militaire et se trouvaient de plus en plus embarrassés par l'affaire. Après tout, nous payons l'Armée de l'Air en Dollars sonnants et trébuchants pour qu'ils assurent la sécurité de notre espace aérien et cela aurait été de mauvaises relations publiques pour eux d'avouer qu'il y a quelque chose là haut là, mais qu'ils sont impuissants. Ils ne pouvaient pas faire cela, et ainsi ils ont pris des mesures, c'est humain, pour protéger leurs propres intérêts. Ce qu'ils ont dit était que nous avons résolu 96 pour cent des cas et que nous pourrions avoir résolu les quatre autres pour cent si nous avions juste essayé plus sérieusement.
STACY: Étaient-ce les fameuses observations du Michigan de 1966, expliqués après comme étant des "feux follets" qui finalement mené l'Armée de l'Air à demander la caution d'une université honorable?
HYNEK: Oui, cela, comme vous le savez, c'est devenu une sorte de plaisanterie nationale et le Michigan fut bientôt connue comme "l'état des feux follets." Par la suite, cela a eu comme conséquence une audition congressionnelle réclamée par un membre du Congrès d'Etat, Gerald Ford, qui naturellement plus tard est devenu Président des Etats-Unis. La recherche a été confiées au Comité de Brian O'Brien qui a fait un très bon travail. Si leurs recommandations avaient été suivies, les choses se seraient améliorées. Ils avaient recommandé que les OVNIS ne soient plus l'affaire de l'Armée de l'Air mais confié à un groupe d'universités, pour étudier la chose aussi bien que possible. Et bien, elles ne sont pas allées à un groupe d'université, elles sont allées à une université et un homme dont ils étaient sur, à savoir, le dr. Edward Condon à l'Université du Colorado. C'était ainsi que le Comité Condon et par la suite son rapport ont été réalisés.
STACY: Avez-vous été jamais invités à témoigner avant, ou à conseiller le Comité?
HYNEK: Dans les premiers jours ils m'ont invité à leur parler, à leur donner des informations, mais ce fut tout. Ils n'ont certainement pas eu l'intention de prendre conseil auprès de moi ou utilisé quelque conseil que ce fut de ma part.
STACY: En 1968, le rapport généralement négatif de Condon a été rendu public et l'Armée de l'Air a utilisé ses conclusions pour se tirer d'affaire en ce qui concerne les OVNIS. Etiez-vous encore un consultant ou un conseiller officiel à ce moment-là?
HYNEK: Ah, oui, j'étais avec l'Armée de l'Air du début jusqu'à la fin, mais c'était juste sur le papier. Personne n'avait encore coupé la tête du poulet, mas le poulet était mort. Les derniers jours du Projet Blue Book, c'était juste du rangement de paperasse.
STACY: Au sujet du phénomène OVNI lui-même, où en était-on à ce moment?
HYNEK: Et bien, comme vous le savez, le rapport Condon déclara qu'un groupe de scientifiques avait étudié les OVNIS et que le sujet était clos. Les OVNIS, naturellement, n'ont pas pris la peine de lire le rapport et pendant la vague de 1973, ils sont revenus en force.
Edward J. Ruppelt, le premier chef de Blue Book, déclara à propos de Hynek : " Le Dr. Hynek fut l'un des scientifiques les plus impressionnants que j'aie rencontré en travaillant sur le projet ovni, et j'en ai rencontré un bon nombre. Il évita de faire deux choses que certains d'entre eux faisaient : vous donner la réponse avant de connaître la question ; ou immédiatement commencer à exposer ses réalisations dans le domaine de la science"
Auteur de :
"Rapport spécial sur les conférences avec des astronomes sur les objets aériens non-identifiés à l'ATIC", Projet Stork, 6 août 1952 "Unusual Aerial Phenomena", Journal of the Optical Society of America, avril 1953 "UFO's merit scientific study", Science n ° 154, 21 octobre 1966 "Are flying saucers real ?", magazine Post, 17 décembre 1966 "How to photograph a UFO", Popular Photography, mars 1968, pp. 69-110-112-114 "Statement of Dr J. Allen Hynek", Symposium sur les ovnis du Congrès US, 29 juillet 1968 "The Condon Report and UFOs", Bulletin of the Atomic Scientist, avril 1969, pp. 39-42 "Twenty-one years of UFO reports", AAAS, 134ème Conférence, 27 décembre 1969 The UFO experience - A Scientific Inquiry, Henry Regnery, Chicago, 1972, ISBN 0-345-27361-3 — Hynek y décrit sa classification, son audition devant le comité O'Brien, sa critique du Rapport Condon et du projet Blue Book, la justification que lui demande l'USAF de cette critique. traduit Les Objets Volants Non-Identifiés : mythe ou réalité ? Robert Laffont, 1974, ISBN 2-7144-0206-2 "The Emerging Picture of the UFO Problem", 13èmes Rencontres des Sciences Aérospatiales de Pasadena (Californie), 20-22 janvier 1975 The Edge of Reality avec Jacques Vallée, Henry Regenry, IL, 1975 (Library of Congress Catalog Card Number: 75-13226) — Approche philosophique pour examiner le status de l'ufologie, sa relation avec la communauté scientifique, et les perspectives pour résoudre le problème. traduit Aux limites de la réalité, Belfond, 1978, 197 The Hynek UFO report, New York, Barnes & Nobles, 1977 / New York, Dell Publishing Co., 1977 traduit Nouveau rapport sur les ovnis, Belfond 1979, ISBN 2-277-51384-9 "The UFO phenomenon: laugh, laugh, study, study", Technology Review, Vol. 83, n° 7, Juillet 1981, pp. 50-58 Night siege, The Hudson Valley UFO sightings avec Bob Pratt et Philip J. Imbrogno, Ballantine Books, 1987 The spectrum of UFO Research, CUFOS, Chicago 1988
Références :
"Scientists Accused on 'Flying Saucers'", The New York Times, 18 septembre 1966 "UFO's for Real?", Newsweek, 10 octobre 1966 Un nouveau démarrage pour l'ensemble du problème ovni ? par Joachim P. Kuettner (Aeronautics and Astronautics, journal de l'AIAA, Novembre 1973) — Critique de [12] Close encounter with Dr. J. Allen Hynek - An interview with the dean avec Dennis Stacy (1985) réédité pour le CUFON par Dale Goudie (1991) Cohen, Jerry, Dr. J. Allen Hynek - Capsuled Biographical information Webb, Walter (1993), Allen Hynek as I knew him, IUR 1/93
Smith naît en 1910 à Lethbridge (Alberta). Il est diplômé de l'Université British Columbia en 1933 avec un Bachelor of Science en ingéniérie électronique, puis obtient une Maîtrise de Science Appliquée en 1934 dans la même université. Après ses études il devient ingénieur en chef à la station radio CJOR à Vancouver.
Il fait beaucoup pour Smith encourager des améliorations techniques dans les installations d'émission au Canada, et prend personnellement part à la formation de l'association Canadienne des Consultants en Emission, qui conseillera souvent le Departement du Transport (DOT) sur les questions d'allocation de fréquence et autres sujets. Il joue également un rôle important dans le lien entre ce département et le Comité de Planification Technique Radio Canadien. En 1939, il rejoint le Département du Transport fédéral. Il est engagé dans le service de surveillance d'ingéniérie du Canada en temps de guerre et, en 1947, est responsable de l'établissement d'un réseau de stations de mesures ionospheriques, dont quelques unes se trouve dans des régions isolées du Nord. A sa mort, il est de l'Ingéniérie de Règles Radios avec le Département du Transport (DOT), responsable des aspects ingéniérie pour toutes les questions concernant l'utilisation de la radio au Canada, y compris les équipements standards, les systèmes-relais radio (micro-ondes), les installations de diffusion et les études d'interférences. Dans un mémorandum déclassifié par le gouvernement canadien et daté du 21 novembre 1950, Wilbert Smith a écrit : "Le sujet est de la plus haute confidentialité pour le gouvernement des Etats-Unis, plus secret même que la bombe H. Les soucoupes volantes existent. Leur mode de fonctionnement est inconnu mais des efforts intenses sont faits par un petit groupe dirigé par le Dr Vannevar Bush."
Premiers intérêts ufologiques
La curiosité de Smith va donner le meilleur de lui-même lorsqu'il lit un magazine sur les "soucoupes volantes" à la fin des années 1940s et à partir de ce moment développe un grand intérêt dans l'étude des soucoupes volantes ou ovnis. Au DOT, il effectue des recherches sur la réduction du champ magnétique terrestre en tant que source d'énergie. Comme Smith pense que les soucoupes volantes exploitent les principes du magnétisme, il semble que ce travail du DOT pourrait expliquer leur mode opérationnel. Il pense que nous sommes sur la piste de quelque chose qui pourrait bien se révéler être l'introduction d'une nouvelle technologie. (... ) [Ceci] est né des études menées actuellement en rapport avec les soucoupes volantes [Memorandum pour le Contrôleur des Télécommunications, W.B. Smith, 21 Novembre 1950, p. 2].
Visite à Washington, D.C. (1950)
Les études auxquelles il fait référence sont celles menées par le gouvernement US à l'époque. Fin 1950, Smith assiste à la North American Radio Broadcasting conference à Washington DC, et alors qu'il est là, émet des requêtes via le personnel de l'Ambassade Canadienne qui est capable de l'informer que :
la question ovni est le sujet le plus hautement classifé aux USA, plus encore que le bombe H ; les ovnis existent ;
leur modus operandi [mode opératoire] est inconnu, mais des efforts concentrés sont menés par un petit groupe dirigé par le docteur Vannevar Bush ;
le sujet dans son ensemble est considéré par les autorités US d'une importance considérable [Memorandum pour le Contrôleur des Télécommunications, W.B. Smith, 21 Novembre 1950, p. 3].
Smith sent que les résultats préliminaires de ses travaux en géomagnétisme correllent les données disponibles sur le comportement rapporté des ovnis, et qu'ils sont très proches des réponses. L'officier de liaison du DRB à l'ambassade canadienne de Washington est évidemment d'accord avec Smith pour qu'il puisse contacter le docteur Solandt, président du DRB à son retour à Ottawa, pour discuter avec lui de futures études au sujet de la diffusion d'énergie géomagnétique.
A son retour au Canada, Smith rencontre donc Solandt le 20 Novembre, et obtient son soutien. Solandt est d'accord sur le fait que le travail sur l'énergie géo-magnetique devrait être mené aussi rapidement que possible et offre la collaboration du DRB au travers de la mise à disposition de ses laboratoires, les équipements et le personnel spécialisé nécessaires [Memorandum pour le Contrôleur des Télécommunications, W.B. Smith, 21 Novembre 1950, p. 4].
Le mémo de Smith
Le 21 Novembre il décrit sa proposition dans un mémorandum au Contrôleur des Télécommunications, faisant mention du soutien du DRB et demandant la mise sur pieds d'un projet et s'en occupe à temps partiel jusqu'au moment où des résultats suffisants pourront permettre une action plus définitive [Memorandum pour le Contrôleur des Télécommunications, W.B. Smith, 21 Novembre 1950, p. 4]. Le proposition décrit 7 axes d'étude, tous liés à la recherche géo-magnetique et non au sujet des ovnis [Project Magnet, program, W.B. Smith, p. 2]. Il propose que les travaux soient classifiés, considèrant que les aspects les moins connus et peu explorés du magnétisme pourraient contenir la clé d'une nouvelle technologie importante, dont l'impact sur notre civilisation devraient être évalué si ses intuitions se révèlent correctent. Le commandant C. P. Edwards, alors Ministre Délégué aux Transport pour les Services Aériens, donne son aval au projet, demandant à être régulièrement informé à son sujet. Le 19 mai 1952 ils se rencontrent pour la seconde fois et, au passage, se renomment en "Project Second Storey", "Theta" n'étant apparemment pas sur la liste des noms valides pour les projets de ce type. Le 25 juin 1952, Smith soumet un rapport préliminaire sur le projet Magnet :
Si, comme cela semble évident, les Soucoupes Volantes sont les émissaires d'une autre civilisation, et opèrent en fait sur des principes magnetiques, il y a avant nous le Fait que nous avons manqué quelque chose dans la théorie magnetique mais avons une bonne indication de la direction dans laquelle rechercher les quantités manquantes. Il est donc fortement recommandé que le travail sur le Projet Magnet soit poursuivi et étendu pour inclure des experts de chacun des divers domaines impliqués dans ces études [Interim Report on Project Magnet, W.B. Smith, 25 Juin 1952].
Quoi qu'il en soit, Smith reste occupé durant quelques années suivantes. Des indices permettent de considérer que ses expériementations ne s'étaient pas interrompues pour autant :
(...) il devint rapidement apparent qu'il existait un fossé réel et relativement grand entre cette science alien et la science à laquelle j'avais été formé. Certaines expérimentations cruciales avaient été suggérées et menées à bien, et à chaque fois les résultats confirmèrent la validité de la science alien. Au delà de cà la science alien semblait simplement incomprehensible [Déclaration concernant les expérimentations supposément suggérées par les EBEs (Extraterrestrial Biological Entities), 31 Mar 1958].
Le Dr Walter Riedel, ex-directeur de la base
Il déclara également qu'il n'avait jamais vu lui-même un OVNI, mais que pendant plusieurs années, il avait accumulé des rapports d'observations d'OVNI du monde entier.
Il développa son argumentation en quatre points :
"Premièrement, aucune structure terrestre ne pourrait supporter la température induite par les conditions de vol observées. A de telles vitesses et altitudes, l'échauffement du revêtement ferait fondre n'importe quel métal ou métalloïde connu."
"Deuxièmement, considérez les grandes accélérations auxquelles ils opèrent... Si vous songez à la force centrifuge qui dans les quelques minutes de ces évolutions rejetterait l'équipage vers l'extérieur, et ferait de même avec le sang, vous voyez ce que je veux dire."
"Troisièmement, dans de nombreux cas, ils ont fait des choses que seul un pilote pourrait faire, mais qu'aucun pilote humain ne pourrait supporter."
"Quatrièmement, dans la plupart des rapports, il y a absence d'émission visible. La plupart des observateurs relatent des engins sans flamme ni traînée. S'il s'agissait de n'importe quel type connu de réacteur, fusée, moteur à piston, ou moteur à réaction en chaîne, il y aurait une traînée à haute altitude très visible. C'est un moteur inconnu.
L'astrophysicien Bernard Haisch
Haisch naît à Stuttgart (Allemagne). Il obtient son doctorat en 1975 et devient astronome professionnel. Il publie un nombre respectable d'articles dans des journaux scientifiques (dont Science et Nature), est Enquêteur Principal dans plusieurs études de la NASA, sert comme referee et examinateur de proposition pour la NASA et la NSF, appartient à une demi-douzaine de sociétés professionnelles, préside des conférences internationales.
Haisch est rédacteur-en-chef bénévole du Journal of Scientific Exploration (JSE) pendant 12 ans, spécialisé dans les articles sur les ovnis.
« Nous sommes dans une situation curieuse aujourd’hui, là ou nos meilleurs théories physiques et astrophysiques prédisent que nous devrions faire l'expérience d’une visite extra terrestre, toute preuve possible d’une telle menace dans le phénomène des OVNIS est l’objet de risée à l'intérieur de notre communauté scientifique. »
Auteur de :
"Fermi's Paradox and the Preparation for Contact Hypothesis" "UFO's and Mainstream Science", MUFON UFO Journal n° 335, mars 1996, pp. 14-16 "A Retrospective on the Journal of Scientific Exploration" avec Marsha Sims, JSE, vol. 18, n° 1, pp. 15–25, 2004
Les déclarations des scientifiques sur les Ovnis - PART IV
Les déclarations des scientifiques sur les Ovnis - PART IV
Stanton T. Friedman
Stanton T. Friedman, consultant en physique nucléaire pour le MUFON
Friedman naît à Elizabeth dans le New Jersey le 29 juillet 1934. Il est nommé valedictorien de sa classe de lyçée du New Jersey en 1951, et passe 2 ans à l'Université de Rutgers à New Brunswick (New Jersey), avant d'aller à l'Université de Chicago en 1953. Il obtient une licence et une maîtrise de physique en 1955 et 1956, où Carl Sagan est un de ses caramades de promotion.
C'est à cette époque qu'il se passionne pour les ovnis. Il achète par correspondance le livre d'Edward Ruppelt [1] dont l'aspect "officiel" le stimule. Il lit une quinzaine d'autres ouvrages sur le sujet dont celui de son ami d'Indianapolis Frank Edwards [2]. En 1967, sur le conseil de ce dernier il appelle KDKA, une station radio Clear Channel de 50,000 watts, non loin de chez lui, pour parler au producteur du talk show Contact, qui promettent poliment de le rappeler. Quelques semaines plus tard cependant il est bien rappelé, pour remplacer un invité annulé à la dernière minute. Une des auditrices, technicienne du Laboratoire Astronucléaire de Westinghouse près de Pittsburgh (Pennsylvanie) où il travaille comme physicien nucléaire, l'appelle peu après, pour faire une conférence sur le livre Edwards que couvre son club littéraire [3].
En tout Friedman travaillera ensuite 14 ans comme physicien nucléaire pour des compagnies telles que General Electric, General Motors, Westinghouse, TRW, Aerojet General Nucleonics, et McDonnell Douglas sur des projets avancés, hautement classifiés, finalement abandonnés tels qu'un appareil nucléaire, des fusées à fission et fusion, et des centrales nucléaires pour l'espace :
J'ai passé 14 ans dans l'industrie à travailler sur des programmes financés par le gouvernement qui ont tous été abandonnés : avions nucléaires, fusées à fission, fusées à fusion nucléaire, centrales nucléaires spatiale. J'ai travaillé pour de grosses sociétés : General Electric, Westinghouse, General Motors, TRW, Aerojet General [4].
En effet à la fin des années 1950s, les USA avaient l’intention de construire des vaisseaux spatiaux propulsés par l’énergie nucléaire. Il en sortira 2 projets, Orion et Daedalus mais tous deux seront abandonnés 10 ans plus tard faute de support politique, face à la concurrence des propulseurs chimiques et surtout suite au moratoire interdisant les explosions nucléaires dans l’espace.
J'ai été très tôt intéressé par les techniques de pointe, les technologie avancées, les voyages dans l'espace et des choses comme cela... et j'ai travaillé sur des programmes comme... on a fait fonctionner des fusées nucléaires d'une puissance de 4000 mégawatts, dit-il en souriant, on a fait tourner des moteurs d'avions à l'énergie nucléaire dit-il en écarquillant les yeux.
Et vers 1961, à la bibliothèque de l'Université de Californie à Berkeley, une très grande bibliothèque, je suis tombé sur une version publiée à titre privé du "Project Blue Book, special report number 14", la plus grande étude scientifique officielle jamais entreprise pour l'US Air Force. Il y avait des informations sur 3200 sites prospectés par des professionnels à plein temps : classement par catégories, mesures qualitatives, tableaux, graphiques, cartes... 240 documents ! J'étais au paradis ! Car vous savez, les informations, c'est mon truc, j'aime les rassembler et leur donner du sens. [5]
Friedman rassemble énormément de données et de magazines, parfois des canulars, et devient convaincu de la réalité du phénomène ovni, et commence à donner ses premières conférences à partir de 1967, sur le sujet invariable "Les ovnis sont réels", dans plus de 600 collèges et plus de 100 groupes professionels dans 50 états, 9 provinces canadiennes, l'Angleterre, l'Italie, l'Allemagne, la Hollande, la France, la Finlande, le Brésil, l'Australie, la Corée, le Mexique, la Turquie, l'Argentine et Israel. Il a publié plus de 70 articles sur les ovnis en plus de douzaines d'articles conventionnels et apparaît sur des émissions radio et télévisées (TNT Larry King UFO Special le 1er Octobre 1994; Nightline; Sally Jessy Raphael; Unsolved Mysteries; Entertainment Tonight; Leeza; Sightings; Canada AM; Coast to Coast AM with Art Bell et bien d'autres).
Déjà en 1978 Friedman est convaincu, fort de ses nombreuses preuves, que la planète Terre est visitée par des véhicules contrôlés intelligemment à distance.
Reprenant ses propres mots, en d’autres termes, certains ovnis sont des vaisseaux spatiaux appartenant à quelqu’un. Il est de plus convaincu qu’il existe un intérêt énorme de la part du public, couplé à une grande angoisse d’ignorance :
En tant que scientifique, je me sens obligé de dire ce qui est. On est sûr de 4 choses, au bout de 38 ans d'études et d'enquêtes.
Premièrement, il est évident que la Terre est visitée par des vaisseaux extraterrestres intelligents. En d'autre termes, certains, "certains" souligné 27 fois, certains ovnis sont des vaisseaux extraterrestres, la plupart n'en sont pas. La plupart des isotopes ne sont pas fissiles, et ne m'intéressent pas...
Deuxièmement, les soucoupes volantes sont une sorte de "Watergate" cosmique. Par là je veux dire qu'il y a un petit nombre de personnes dans les gouvernements des Etats-Unis, de France, de Grande-Bretagne, du Canada, d'Allemagne, qui savent sans aucun doute depuis 1947 - et je ne parle pas du 2nd crash qui a eu lieu un peu à l’ouest d'ici (Nouveau-Mexique) ni de la raison pour laquelle je m'y suis intéressé - quelques personnes donc, dans ces gouvernements, ont su que la planète était visitée. On ne garde pas un secret en le divulguant. Le besoin de savoir est incoercible.
Troisièmement, aucun des arguments hostiles aux 2 premières conclusions émis par les grands "démystificateurs", comme Carl Sagan, mon camarade de l'Université de Chicago, ne résiste à un examen scrupuleux. Leur argument sonnent très bien, mais face aux preuves, ils s'écroulent.
Et enfin, quatrièmement, c'est la plus grande histoire du millénaire : la visite de la Terre par des vaisseaux extraterrestres, la dissimulation réussies des preuves majeures, épaves et corps, depuis presque 50 ans. [6]
Friedman reste convaincu que la dissimulation d'un incident extraterrestre dans le cas de Roswell. Lorsqu'un journaliste lui fait part de ses doutes, il répond :
Confronté à des dizaines de témoignages concernant l’incident de Roswell, on ne peut nier qu’un certain nombre d’entre eux se recoupent. Il est donc impossible d’ignorer cette problématique ou de considérer froidement, sans prendre la peine d’enquêter, que tout cela n’est qu’un immense canular (...)
Je suis totalement incapable de comprendre votre remarque considérant que Roswell est un énorme canular. Sur quelle base vous fondez-vous pour proposer cette étrange conclusion. Oui, certaines personnes ont menti mais cela ne signifie pas que toutes l’on fait. Il y a des preuves accablantes selon lesquelles 2 soucoupes se sont écrasées et dans lesquelles ont a retrouvé des corps... [8].
Friedman déclare sans ambiguités que :
Certains ovnis sont des appareils extraterrestres Le sujet des soucoupes volantes représente une forme de Watergate Cosmique Aucun des arguments anti-ovni ne résiste à un examen minutieux Nous sommes face à la plus grande histoire du millénaire Les visites de la planète Terre par des vaisseaux extraterrestres sont réelles Il existe une dissimulation des meilleures données par les gouvernements Des épaves et des corps furent récupérés au Nouveau-Mexique il y a 54 ans
Auteur de :
"Flying saucers are real", Aeronautics and Astronautics (journal de l'AIAA), février 1968, p. 16 Déclaration au symposium sur les ovnis de la Chambre des Représentants U. S. (1968) "More on UFO's", Physics Today, janvier 1971, pp. 97-99 — Prolongement de l'article de William T. Powers rejettant l'argument des non-identifiés comme "manque d'information", avec référence à l'étude statistique du projet Bear (Stork) "UFO reports available", Aeronautics and Astronautics (journal de l'AIAA), avril 1971, p. 4 Avec B. Ann Slate, ""Secret" Air Force Study Says UFOs Are Real", Rapport ovni Saga, p. 28, vol. 1, n° 5 — Sur le rapport spécial n° 14 du Projet Blue Book, étude statistique préparée par le BMI (1974) Crash at Corona avec Don Berliner (1992) "The Case for the Extraterrestrial Origin of Flying Saucers", 1995 - Argumentaire pour l'HET, exploitant notamment l'étude statistique du projet Bear mené par le BMI pour l'ATIC en 1952
Professeur d'ingénierie aéronautique au Collège Parks à St. Louis.
Il a passé 8 ans dans l'Air Force à la base de Wright-Patterson, et a travaillé 30 autres années pour McDonnell-douglas sur les technologies exotiques. Lorsqu'il fut à la base de l'Air Force de Wright-Patterson, il a été impliqué dans le pistage d'OVNI au-dessus du Missouri, de l'Ohio et du Michigan. Ces OVNI ont été vus par beaucoup de gens: militaires, police locale, civils, et ont été chronométrés à des vitesses avoisinant 20'000 MPH (30'000 km/h, Ndt) en faisant des manoeuvres inhabituelles, silencieuses. Le Dr Czysz a passé plus de la moitié de sa carrière chez McDonnell-Douglas, travaillant sur des projets classifiés et fragmentés, et il témoigne du secret maintenu autour de ces projets. Il dénonce la tendance humaine à faire de chaque nouvelle technologie une arme, soulignant que la mise en place d'armements dans l'espace ne vise pas la menace des terroristes, et l'idée d'utiliser ces armes contre des cibles extraterrestres serait suicidaire.
Diverses déclarations
Dr. Vladimir Azhazha :
Neil AMSTRONG annonça à la base de contrôle que deux grands mystérieux objets les surveillait après qu'ils ait alunis près du module . Mais ce message ne fut jamais entendu par le public, parce que la NASA l'a censuré.
Dr. Aleksandr Kasantsev :
Buzz ALDRIN filma les OVNI sur pellicule couleur de l'intérieur du module, et continua à les filmer après que AMSTRONG sortit. AMSTRONG ne réfuta jamais tous ces fait, mais ne donna pas de détails plus précis en précisant que la CIA couvrait l'évènement.
Le Dr. Lee Katchen, physicien, expert atmosphérique de la NASA, déclara le 7 juin 1968 qu'il était persuadé que les Ovnis étaient d'origine extra-terrestres et prononça les propos suivants « Les observations d'Ovnis sont si communes que les militaires n'ont pas le temps de s'en occuper. Donc, ils les effacent de leurs écrans. Les principaux systèmes de défense (réseau SAGE) ont des filtres Ovni intégrés et quand un Ovni apparaît, ils l'ignorent simplement ».
Le célèbre physicien Stephen Hawking, qui fut invité à la Maison Blanche, déclara à la télévision américaine le 6 mars 1998 :
« Bien sûr, il est possible que les OVNIS contiennent réellement des extraterrestres comme le pensent beaucoup de gens, et que le gouvernement le cache ».
Mark McCandlish
US Air Force, décembre 2000
Mark McCandlish est un expert illustrateur de l'industrie aérospatiale et a travaillé pour beaucoup de grandes compagnies aérospatiales aux Etats-Unis. Son collègue, Brad Sorensen, avec qui il a étudié, est allé à l'intérieur d'une installation à la base de l'Air Force de Norton, où il a vu des reproductions de véhicules extraterrestres, ou ARV (Alien Reproduction Vehicule, Ndt), qui étaient pleinement opérationnels et volaient. Dans son témoignage, vous apprendrez que les Etats-Unis ne disposent pas seulement d'engins opérationnels à propulsion antigravitationnelle, mais que c'est le cas depuis très, très longtemps, et qu'ils ont été développés en partie à travers l'étude de véhicules extraterrestres pendant les cinquante dernières années. En plus, nous avons les dessins des engins que l'inventeur en aérospatiale Brad Sorensen a vu, aussi bien que le schéma d'une de ces reproductions de véhicules extraterrestres, avec des détails remarquables.
Docteur Hal Puthoff
novembre 2000
Le Dr Hal Puthoff, un scientifique en physique théorique et expérimentale, est diplômé de l'Université de Stanford. Il a publié plus de quarante documents techniques dans les domaines des appareils à rayons d'électrons, des lasers, des effets quantiques de l'énergie du point-zéro, et possède des brevets dans les technologies lasers, les communications, et les champs d'énergie. Le Dr Puthoff a passé plus de trente années chez General Electric, Sperry, l'Agence Nationale de Sécurité (NSA), l'Université de Stanford, SRI International, et, depuis 1985, est directeur de l'Institut des Etudes Avancées à Austin, Texas, et président de EarthTech International, Inc. Dans son témoignage, le Dr Puthoff souligne que nous avons découvert les technologies rendant le voyage spatial possible, nous devons considérer la possibilité qu'il y ait d'autres civilisations qui ont suivi le même chemin que nous, avant nous. Cela rend crédible la possibilité de visites extraterrestres. Considérant que notre technologie électromagnétique est vieille d'un siècle, nous devons réaliser qu'il pourrait y avoir des civilisations avancées qui seraient des millénaires en avance sur nous, et que leurs technologies pourrait dépasser totalement notre imagination; de ce fait, le sujet Extraterrestre/OVNI devrait être pris au sérieux par les scientifiques modernes.
David Hamilton
Département de l'Energie, octobre 2000
David Hamilton travaille pour le Département de l'Energie dans le domaine des systèmes de propulsion de nouvelle génération. Il explique que nous avons presque épuisé les réserves mondiales de carburants fossiles, juste au moment où l'Asie et la Chine subissent une "révolution industrielle" et deviennent de plus grands consommateurs de ces carburants que les pays occidentaux ne le sont. Pour alléger les crises courantes de pollution environnementale, réchauffement global, etc. et avancer comme une société technologique soutenable, nous devons développer des technologies qui ne causent pas les mêmes problèmes.
Lieutenant Colonel Thomas E. Bearden
US Army (retraité), octobre 2000
Le Colonel Bearden est conceptualiste dans les technologies d'énergie alternatives, les effets biologiques électromagnétiques, les concepts dans la théorie des champs unifiés, et dans d'autres domaines parallèles. Il est Lieutenant Colonel à la retraite de l'US Army et possède un doctorat de physique et un M.S. en ingénierie nucléaire de l'Institut de Technologie de Géorgie. Il est en ce moment CEO du CTEC, Inc, Directeur de l'Association des Scientifiques Distingués de l'Amérique, et "Fellow Emeritus" de l'Alpha Foundation's Institute for Advanced Study. Dans le témoignage du Colonel Bearden, il parle largement sur la manière de tirer de l'énergie utilisable du vide sans violer aucune loi physique connue. Lui et d'autres ont construit des appareils électromagnétiques qui démontrent actuellement cette technologie. Il explique aussi comment certaines puissances préfèrent garder cette technologie secrète au lieu qu'elle se répande en dehors des petits cercles ésotériques. Le temps tourne cependant car notre Terre n'a pas assez de réserves de pétrole et de charbon, même pour cette génération. Il explique comment nos meilleurs cerveaux doivent d'abord reconnaître le problème avant de se rallier pour résoudre ce problème énergétique pour 2004.
Docteur Eugene Mallove
octobre 2000
Le Dr Eugene Mallove est en ce moment rédacteur en chef du magazine "Infinite Energy" et directeur du Laboratoire de Recherche sur la Nouvelle Energie au New Hampshire. Il possède deux diplômes du MIT en Ingénierie Aéronautique-Astronautique et un doctorat à Harvard sur les Sciences de la Santé de l'Environnement (Ingénierie de Contrôle de la Pollution de l'Air). Il a acquis une large expérience en ingénierie de haute-technologie dans des compagnies comme Hughes Research Labs, TASC (The Analytic Science Corporation), et le MIT Lincoln Laboratory. Le Dr Mallove fut le "Chef écrivain science" au MIT lorsque l'histoire de la fusion froide est apparue en mars 1989, et il a démissionné en 1991 après que sa demande d'investigation sur les données de la fusion froide au MIT (ce qui a aidé à discréditer le sujet entier) n'ait pas été faite correctement. La marginalisation par l'establishment scientifique du sujet de la fusion froide offre une forte ressemblance avec la marginalisation similaire du sujet extraterrestre/OVNI: les deux ont été ridiculisés parce qu'ils rompaient les paradigmes établis. Comme le fait état le Dr Mallove dans son interview, "Il n'y a rien de pire… que suggérer aux physiciens académiques en particulier, et aux académiciens en général, qu'ils n'ont pas seulement faux; qu'ils sont totalement dans le faux, qu'ils ont catastrophiquement torts." Dans son magazine, le Dr Mallove nous demande de nous souvenir des sentiments de Michael Faraday: "Rien n'est plus magnifique que d'avoir raison."
Docteur Paul La Violette
octobre 2000
Le Dr Paul La Violette a écrit quatre livres et a publié beaucoup d'études originales de physique, d'astronomie, de climatologie, de théorie des systèmes et de psychologie. Il a reçu son BA de physique de Johns Hopkins, son MBA de l'Université de Chicago, et son doctorat de physique de l'Université d'Etat de Portland, et il est en ce moment président de la Fondation Starburst, un institut de recherche scientifique interdisciplinaire. Il est le développeur de la cinétique subquantique, une nouvelle approche de la microphysique qui rend compte d'électricité, de magnétisme, de gravitation et de forces nucléaires d'une manière unique et qui résout beaucoup de problèmes physiques de longue date. Basée sur les prédictions de cette théorie, il a développé une cosmologie alternative qui remplace effectivement la théorie du big-bang.
Le Dr La Violette a aussi développé une nouvelle théorie de gravité qui remplace la théorie profondément imparfaite de la relativité générale. Prédit de la cinétique subquantique, cela rend compte du phénomène de couplage électrogravifique découvert par Townsend Brown et pourrait expliquer la technologie de propulsion avancée utilisée dans le bombardier B-2. En plus de sa compréhension des systèmes de propulsion des OVNI et des engins issus des "projets noirs", incluant la matérialisation et la dématérialisation, il a un profond savoir des travaux réalisés à l'intérieur de l'U.S. Patent Office.
Il déclare dans son interview que, en ce moment, si une invention ne "colle" pas avec le paradigme physique accepté, les examinateurs patentés la rejettent immédiatement en pensant que cela viole le paradigme et que cela doit être une erreur. En effet, les nouvelles technologies de l'énergie sont les perdantes. Elles ne "collent" pas avec le paradigme, de telle sorte qu'elles sont laissées de côté, ou leurs brevets sont refusés, même jusqu'au point où le Patent Office viole la loi. Pour alléger les actuelles crises environnementales de pollution, le réchauffement global, etc. et avancer en tant que société technologique, nous avons besoin de technologies qui ne "collent" pas avec le vieux paradigme.
Fred Threlfell
Royal Canadian Air Force, septembre 2000
M. Threlfell était instructeur en communications dans la Royal Canadian Air Force à la RCAF Station de Toronto en 1953, lorsqu'il a été témoin d'une expérience impliquant le succès d'une dématérialisation et d'une rematérialisation d'un objet. À cause de son autorisation élevée, il a pu vérifier, grâce à la librairie de la base, des films originaux pris depuis les caméras accrochées aux canons des avions de la Seconde Guerre mondiale. A plusieurs reprises, en regardant ces films, il a vu des OVNI, dans différentes positions, de différentes formes, mais définitivement non identifiés. Il a aussi vu lui-même des OVNI manoeuvrant dans le ciel.
Ted Loder
octobre 2000
Le Dr Ted Loder est un scientifique respecté et professeur d'océanographie à l'Université du New Hampshire. Après avoir appris de son cousin, le Brigadier Général Stephen Lovekin, que le sujet extraterrestre/OVNI n'était pas seulement réel mais était aussi la clé pour les technologies qui permettraient de préserver l'environnement de la Terre, en même temps qu'il permettrait l'avancement de l'humanité dans une société planétaire supportable, il est devenu un franc avocat de la fin du secret entourant ce sujet. Durant les quatre dernières années, il a expérimenté ses propres interactions avec des engins extraterrestres comme membre des équipes de recherche sur le terrain du CSETI et il a travaillé à sensibiliser des étudiants, d'autres scientifiques et des législateurs au fait que les humains ne sont pas seuls dans l'univers et qu'une interaction pacifique avec les extraterrestres est nécessaire à la survie de notre planète et de nos habitants.
Les déclarations des scientifiques au sujet des Ovnis
Les déclarations des scientifiques au sujet des Ovnis
En public, les astronomes rient, pour la plupart; en privé, ils voient des OVNIS comme tout le monde. En 1997, une assemblée de scientifiques de haut niveau a conclu au colloque de Pocantico ( New-York ), au vu des nouvelles évidences au niveau mondial » à la légitimité de l’étude des OVNI « .
Werner Von Braun – Créateur des V2 allemands puis des fusées américaines
« Nous sommes confrontés à des puissances de très loin supérieures à tout ce que nous supposions jusqu’ici, et qui nous sont inconnues. Je ne peux en dire plus pour le moment. Nous sommes maintenant sur le point d’entrer en contact avec ces puissances, et d’ici 6 ou 9 mois, il devrait être possible de parler plus précisément de ce sujet. »
1959
▼ Le Dr Hermann Oberth – Créateur des premières fusées
« Les OVNI sont conçus et dirigés par des êtres de la plus haute intelligence, et sont propulsés par distorsion du champ gravitationnel, convertissant la gravité en énergie. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ces objets soient des sortes de vaisseaux interplanétaires. Mes collègues et moi sommes persuadés qu’ils ne sont pas originaires du système solaire, mais peut-être utilisent-ils Mars ou un autre corps céleste comme poste avancé. Ils ne sont probablement pas originaires du système solaire, ni même peut-être de notre galaxie. Nous ne pouvons pas nous prévaloir des avancées scientifiques dans certains domaines. On nous a aidés. »
Quand on lui demanda par qui, il répondit : « Les êtres des autres mondes. » Et il rajouta : « Je crois que des Intelligences Extra-terrestres observent la Terre et nous visitent depuis des milliers d’années. »
1960- A la retraite à un groupe de journalistes
▼ Dr Walter Riedel – Ex-directeur de la base allemande de Peenemünde
« Je suis parfaitement convaincu qu’ils ont une base en dehors de la Terre. » 7 avril 1952 dans « Life magazine »
Il développa son argumentation en quatre points :
– « Premièrement, aucune structure terrestre ne pourrait supporter la température induite par les conditions de vol observées. A de telles vitesses et altitudes, l’échauffement du revêtement ferait fondre n’importe quel métal ou métalloïde connu. »
– « Deuxièmement, considérez les grandes accélérations auxquelles ils opèrent… Si vous songez à la force centrifuge qui dans les quelques minutes de ces évolutions rejetterait l’équipage vers l’extérieur, et ferait de même avec le sang, vous voyez ce que je veux dire. »
– « Troisièmement, dans de nombreux cas, ils ont fait des choses que seul un pilote pourrait faire, mais qu’aucun pilote humain ne pourrait supporter. »
– « Quatrièmement, dans la plupart des rapports, il y a absence d’émission visible. La plupart des observateurs relatent des engins sans flamme ni traînée. S’il s’agissait de n’importe quel type connu de réacteur, fusée, moteur à piston, ou moteur à réaction en chaîne, il y aurait une traînée à haute altitude très visible. C’est un moteur inconnu. »
▼ Dr. Maurice Biot – Physicien, mathématicien et aérodynamicien
« L’explication la plus probable est que les OVNI sont artificiels et contrôlés. Mon opinion depuis quelque temps est qu’ils sont d’origine extraterrestre. » Dans « Life magazine »
▼ Maurice Chatelain – Programme Apollo – Responsable des communications de la NASA
« Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis, à distance et quelquefois de très près, par des vaisseaux spatiaux d’origine extraterrestre. A chaque fois, les astronautes en informaient « Mission Control », qui leur enjoignait de garder le silence le plus complet. »
En 1979, il déclara que la durée de transmission du dialogue entre le contrôle au sol et Apollo 11 permettait techniquement à la NASA de censurer des informations. Il soutient par ailleurs que tout le monde à la NASA savait que les astronautes observaient des OVNI, mais que la consigne était stricte : ne jamais en parler.
▼ Dr Dino Dini – Ingénieur spatial de la NASA
Au sujet des OVNI aperçus au cours du vol Apollo 11 : « Ces séquences furent effacées parce qu’il y avait là beaucoup de points qui ont surgi et qui faisaient partie de ce fameux Blue Book qui aurait dû être publié, avant qu’on change d’avis.
En fait, la réalité est la suivante : ce qu’Armstrong a vu était réel. Car partout où règne la confusion, au cours de la dernière guerre, pendant la guerre du Golfe, partout où le chaos se déclenche, apparaissent ces disques volants. Ceux-ci proviennent de stations postées près de la Terre. C’était donc juste de le dire, et nous avons dû le faire.
Neil Armstrong a vu des objets qui le suivaient, des vaisseaux spatiaux qui suivaient Apollo, et aussi des êtres vivants. Des vaisseaux ont également suivi les autres missions Apollo. C’est là une réalité attestée. C’est nous qui avons entravé le discours global, car nous avions reçu des instructions en ce sens. Nous étions effrayés au plus haut point lorsque nous avons compris l’énorme différence qu’il y avait entre notre technique, notre science et celle des OVNI.
Il est donc évident que cela nous a amenés à donner des avis négatifs, dans leur globalité. Indéniablement, le fait décevant est que nous n’avons pas d’explications, car notre science est encore pratiquement primitive en comparaison de celle de ces planètes d’où proviennent ces vaisseaux spatiaux. »
1997 – Lors d’une émission télévisée suisse
▼ Dr Lee Katchen – Phisicien, expert atmosphérique de la NASA
« Les observations d’OVNI sont si communes que les militaires n’ont pas le temps de s’en occuper. Donc, ils les effacent de leurs écrans. Les principaux systèmes de défense ( réseau SAGE ) ont des filtres OVNI intégrés et quand un OVNI apparaît, ils l’ignorent simplement. » puis : « Les filtres éliminent tous les objets ou cibles non conventionnels et ne font aucun enregistrement d’OVNI. Les cibles non conventionnelles sont ignorées parce qu ‘ apparemment, seules les cibles russes, potentiellement ennemies, nous intéressent. Quelque chose qui vole en stationnaire, puis qui « se tire » à 8 000 km/h, ne nous intéresse pas, car ça ne peut pas être l’ennemi. Les OVNI sont détectés par des radars au sol et en l’air et ils ont été filmés par des caméras embarquées. »
7 juin 1968
▼ Dr. James E. McDonald – Professeur en physique atmosphérique à l’Université d’Arizona
« Je n’ai absolument aucune idée d’où viennent les OVNI ni comment ils fonctionnent, mais après 10 ans de recherche, je sais qu’ils viennent d’au-delà de notre atmosphère. »
1967
▼ Hidoo Itokawa, scientifique japonais
« Les soucoupes volantes viennent d’un autre monde. »
Accuracy was essential to the filmmakers of First Man, and one of the reasons the film has been met with so much critical acclaim. To create the realism seen in the spaceflight portions of the film, the moviemakers relied on experts, such as former astronaut Alfred Worden who served as a technical consultant. Worden was the command module pilot for Apollo 15, and his work on the mission garnered him two Guinness World Records, including one for being “the most isolated that any human has been.”
Worden was not at work when the famous Apollo 11 mission was underway. He was in California preparing for a flight of his own. However, this time, he was not flying to space.
“As a matter of fact, I was heading back home,” Worden recently told Den of Geek. “I was sitting in my airplane at the airport, getting my flight plan to go back home, and Ground Control called me and said, ‘Hey, we know who you are and where you're going, and Apollo 11 is about to land on the moon. We've got the air-ground conversation going on. Would you like us to pipe it in so you can hear it?’ I said, ‘Absolutely, hold my fight plan.’ So, I sat there in the airplane and listened to them make their landing.”
Two years later Worden made his trip to the moon on Apollo 15. The mission broke several records and was hailed by NASA as its most successful mission at the time. Although Worden took a trip to the moon, he never set foot on its surface. He was the command module pilot, which is the only crewmember to stay behind as the others head to the surface.
However, Worden had no problem being alone. In an interview with the BBC in 2014, he said he thoroughly enjoyed it. He got used to flying alone as a fighter pilot.
He said it was much harder being cooped up in the module with two other guys.
“It is pretty small,” Wordon explained. “It's about the size of a Volkswagen Beetle. If you want to get a kick, get two guys, two friends, and get in a Volkswagen Beetle and live there for two weeks. I think you'd find very quickly that it's something that you have to get over, and all the training that we went through did that for us. We were very ready for that close environment that we were in during the two weeks of flight.”
During his time alone in the module, Worden was as far as 2,235 miles away from his crewmates on the surface. That is according to his Guinness World Record certificate for being “the most isolated that any human has been from another person.”
That wasn’t the only Guinness World Record he won for that trip. The second was for “the first spacewalk in deep space.” Worden was the first to perform a spacewalk outside of low earth orbit.
Despite having achieved these milestones in human achievement, Worden is humble about his accomplishments. He says he is no Neil Armstrong. While being humble himself, Worden also says humility was a virtue he admired in Armstrong. Armstrong’s humility is a prominent characteristicportrayed in the movie.
“He didn't go out looking for publicity,” says Worden. “He didn't market himself. He was so iconic. He followed what Charles Lindbergh had advised him. He stayed out of the limelight, but he did major appearances and talks where they were important.”
A proud moment for Worden was during a 40th-anniversary event for Apollo 11 when Armstrong talked about Worden’s work as a command module pilot.
“His talk was all about me as a command module pilot because he realized that command module pilots did most of the flying and were responsible for staying in orbit while they were on the surface,” says Worden. “He appreciated the value of that to the flight. Comparing, of course, to what Mike Collins [command module pilot for Apollo 11] did on 11. Neil was a good friend.”
Worden’s experience with the Apollo program made him a perfect technical consultant for First Man.
“When you convert a book to a movie, there are a lot of things in the movie that never show up in the book,” Worden explained. “For instance, when the crew gets in the clean room, and they're getting inserted into the spacecraft, the book never describes the clean room or the spacecraft or how they get in or anything like that.”
Worden says he helped the filmmakers on details such as how to strap into seatbelts, attach oxygen hoses, and get the communications right, among other things.
“My part was helping the film crew understand what goes on during a launch like that or even what goes on during flight,” says Worden.
Fortunately, Worden feels his work on the film paid off, and he likes the results. Worden says the film’s accuracy was his favorite part. However, it wasn’t the technical accuracy which impressed him the most.
“What I liked about this movie that you don't see in other movies is the personal side of the space program,” explained Worden. “It takes Neil Armstrong from before he gets in the program — he's flying X-15s out in California — then he gets in the program, and he flies Gemini. Then when he gets assigned to an Apollo flight, he flies the Lunar landing training vehicle in which he had to parachute out of, on up to Apollo 11. That's something that none of the other movies have done is show the personal side of what it takes to make a flight; to get ready for a flight, all the training and all the steps you go through before you finally get assigned to a flight like Apollo 11, which Neil did. That's the part of the movie that I think is really good.”
Alejandro Rojas writes and blogs about science, entertainment, and the paranormal. Alejandro has spent many hours in the field investigating anomalous phenomena up close and personal. You can find him on Twitter here.
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Melkweg slokte in zijn jonge jaren een ander sterrenstelsel op
Melkweg slokte in zijn jonge jaren een ander sterrenstelsel op
Vivian Lammerse
Maar liefst 33.000 sterren in onze Melkweg blijken van een ander sterrenstelsel afkomstig.
Dankzij observaties met de Gaia-satelliet zijn onderzoekers erachter gekomen dat ons sterrenstelsel niet in zijn eentje gevormd is. In zijn vroege jeugd is onze Melkweg namelijk samengesmolten met een ander groot sterrenstelsel. De aanwijzingen hiervoor lagen eigenlijk zo voor het oprapen, al was hier wel de expertise van de Gaia-satelliet voor nodig. Toen de telescoop 25 jaar geleden werd gebouwd, werd het onderzoek naar de ontstaansgeschiedenis van de Melkweg al als één van de kerndoelen genoemd. En die visie werpt nu zijn vruchten af.
Gaia-satelliet De ruimtetelescoop speurt sinds 2013 de hemel af, in een poging de positie, afstand en bewegingen van meer dan 1 miljard sterren vast te leggen met een betere nauwkeurigheid dan ooit tevoren. Behalve de 2D-bewegingen van 1,3 miljard sterren heeft Gaia van de 7 miljoen helderste sterren ook de 3D-bewegingen gemeten, oftewel vastgesteld hoe snel ze zich van ons vandaan of naar ons toe bewegen. De onderzoekers bestudeerden 22 maanden aan waarnemingen. En van de 7 miljoen sterren, blijken 33.000 tot een opvallende collectie te behoren.
Beelden uit een simulatie die laat zien hoe Gaia-Enceladus (rood) in de Melkweg (wit) is opgegaan.
Afbeelding: H.H. Koppelman, A. Villalobos en A. Helmi
Sterren Hoewel deze groep sterren zich ‘vermengt’ met de andere sterren in onze Melkweg, vallen ze toch een beetje buiten de boot. Zo hebben deze sterren langgerekte banen in precies de tegenovergestelde richting dan de andere honderden miljarden sterren in de Melkweg. Dit afwijkende gedrag deed de onderzoekers vermoeden dat dit wellicht iets te maken heeft met de ontstaansgeschiedenis van ons sterrenstelsel. Daarom besloten ze de fusie van twee grote sterrenstelsels te vergelijken met de waarnemingen van Gaia. En wat blijkt? “De verzameling sterren die we met Gaia hebben gevonden heeft alle kenmerken die horen bij de overblijfselen van een galactische versmelting,” zegt onderzoeksleider van de studie Amina Helmi.
De video hierboven toont een simulatie van de versmelting van een Melkweg-achtig sterrenstelsel (sterren in blauw) en een kleiner stelsel dat in massa lijkt op de Kleine Magelhaense Wolk (sterren in rood). Aanvankelijk zijn de stelsels duidelijk van elkaar gescheiden, maar de zwaartekracht trekt ze naar elkaar toe wat leidt tot het opslokken van het kleinere stelsel.
Gaia-Enceladus De sterren behoorden dus ooit tot een ander sterrenstelsel, dat is opgeslokt door onze Melkweg. Het opgeslokte sterrenstelsel is tot Gaia-Enceladus gedoopt, vernoemd naar een van de Giganten in de Griekse mythologie, zoon van Gaia (de oermoeder, de aarde) en uranus (de personificatie van de hemel). Als ondersteunend bewijs vonden Helmi en haar team ook nog honderden variabele sterren en dertien bolvormige sterrenhopen die dezelfde banen volgen, wat erop wijst dat ook zij deel uitmaakten van Gaia-Enceladus.
Afmetingen Dat er zoveel bolhopen in verband kunnen worden gebracht met het sterrenstelsel wijst erop dat dit ooit een groot sterrenstelsel was. Zo denken de astronomen dat de afmetingen ongeveer vergelijkbaar moeten zijn geweest met een van de Magelhaense Wolken. Dit is ongeveer tien keer zo klein als de huidige Melkweg. Echter was de Melkweg zelf tien miljard jaar geleden ook veel kleiner, daarom wordt de verhouding ten tijde van de versmelting geschat op 4:1.
Op dit moment vormen de door Gaia gedetecteerde sterren het grootste deel van de binnenste halo – een bolvormige wolk met sterren die rond de centrale schijf te vinden is. De schijf zelf bestaat uit twee delen: een dunne en een dikke schijf. De dikke schijf bevat ongeveer 20 procent van de Melkwegsterren. “Het was een heftige ontmoeting waarbij Enceladus de Melkweg behoorlijk heeft opgeschud,” zegt Helmi. “Dit heeft geleid tot de vorming van een dikkere schijf, waarvan de oorsprong tot nu toe onbekend was.”
NASA’s Mission to Jupiter’s Trojans Given the Green Light for Development
NASA’s Mission to Jupiter’s Trojans Given the Green Light for Development
NASA's mission to perform the first reconnaissance of the Trojans, a population of primitive asteroids orbiting in tandem with Jupiter, passed a critical milestone today. NASA has given approval for the implementation and 2021 launch of the Lucy spacecraft.
The confirmation review, formally known as "Key Decision Point C," authorized continuation of the project into the development phase and set its cost and schedule. The confirmation review panel approved the detailed plans, instrument suite, budget and risk factor analysis for the spacecraft.
The next major mission milestone, the Critical Design Review, will examine the detailed Lucy system design. After a successful critical design review, the project team will assemble the spacecraft and its instruments.
“Up until now this mission has entirely been on paper,” said Lucy Principal Investigator Hal Levison of the Southwest Research Institute at Boulder, Colorado. “Now we have the go ahead to actually cut metal and start putting this spacecraft together.”
Lucy, the first space mission to study the Trojans, takes its name from the fossilized human ancestor called “Lucy” by her discoverers whose skeleton provided unique insight into humanity's evolution. Likewise, the Lucy mission will revolutionize our knowledge of planetary origins and the formation of the solar system.
Lucy is planned for launch October 2021. During its 12-year journey, the spacecraft will visit seven different asteroids - a Main Belt asteroid and six Trojans. The spacecraft and a remote-sensing instrument suite will study the geology, surface composition, and bulk physical properties of these bodies at close range.
“Today’s confirmation of Lucy is a key step towards better understanding the role that small bodies played in the formation of the Solar System and life on Earth,” said Adriana Ocampo, Lucy’s program executive at NASA Headquarters in Washington, DC. “We congratulate the entire team for their hard work.”
Southwest Research Institute (SwRI) in Boulder, Colorado is the principal investigator institution and will lead the science investigation. NASA’s Goddard Space Flight Center in Greenbelt, Maryland, will provide overall mission management, systems engineering and safety and mission assurance. Lockheed Martin Space Systems in Denver, Colorado, will build the spacecraft. Instruments will be built by Goddard, the Johns Hopkins Applied Physics Laboratory in Laurel, Maryland, and Arizona State University in Tempe.
NASA's Lucy spacecraft
(Image: Getty)
For more information on the Lucy mission, refer to:
Ruimtevaartuig Lucy moet in 2021 al het luchtruim kiezen.
Dat heeft NASA bekend gemaakt. Het wordt een primeur; nog nooit heeft een ruimtevaartuig een bezoek gebracht aan de Trojanen, een verzameling planetoïden die zich in dezelfde baan als Jupiter beweegt.
Traject NASA werkt al geruime tijd aan de missie naar Jupiters Trojanen. Nieuwe missies zoals Lucy doorlopen een langdurig traject waarin stap voor stap onderzocht wordt of deze missies het uitvoeren waard zijn. Zo werden recent bijvoorbeeld nog de kosten en risico’s van de Lucy-missie in kaart gebracht. Ook is er al nagedacht over welke instrumenten het ruimtevaartuig mee moet torsen en wanneer er gelanceerd kan worden. Tot op heden verloopt het traject duidelijk naar tevredenheid, want NASA heeft de Lucy-missie nu het volgende stadium – aangeduid als Critical Design Review – in geloodst. Hierbij wordt er een gedetailleerd ontwerp van Lucy gemaakt. Als alles goed gaat, is de volgende stap het bouwen van Lucy.
Zeven Zoals het er nu naar uitziet, wordt Lucy in oktober 2021 gelanceerd. Tijdens een twaalf jaar urende reis zal het ruimtevaartuig maar liefst zeven verschillende planetoïden bezoeken: een planetoïde uit de planetoïdengordel en zes Trojanen.
Gehoopt wordt dat onderzoek naar de Trojanen meer inzicht geeft in hoe ons zonnestelsel – en dan met name de planeten in ons zonnestelsel – zijn ontstaan. In aanloop naar 2021 is er aan planetoïden-onderzoek overigens geen gebrek. Op dit moment onderzoekt Hayabusa2 de planetoïde Ryugu en in december meert OSIRIS-REx aan bij planetoïde Bennu.
4500 jaar oud transportsysteem ontdekt in Egyptische steengroeve
4500 jaar oud transportsysteem ontdekt in Egyptische steengroeve
Caroline Kraaijvanger
De geweldige vondst kan mogelijk verklaren hoe de oude Egyptenaren hun piramides bouwden.
De onderzoekers ontdekten het transportsysteem in de steengroeve Hatnub, gelegen ten zuidoosten van de stad Minya. Uit de groeve haalden de oude Egyptenaren gesteente dat ze gebruikten om beelden, grafkisten, tegels en vazen van te maken.
De steengroeve en helling van bovenaf.
Afbeelding: Egyptisch Ministerie van Oudheden.
Helling Al sinds 2012 wordt er nabij de steengroeve onderzoek gedaan. Bij het verwijderen van puin nabij de ingang van de steengroeve stuitten wetenschappers onlangs op een uniek systeem dat gebruikt werd om grote en zware stenen uit de groeve te trekken en te verplaatsen. Het systeem bestaat uit een vrij steile centrale helling met aan weerszijden een trap. Beide trappen worden gekenmerkt door talloze gaten waarin ooit stevige houten palen moeten hebben gestaan. Wanneer mijnwerkers een groot stuk steen uit de groeve moesten halen, legden ze het op een soort houten slee die op de centrale helling stond. Aan die slee zaten touwen vast die rond de houten palen op de trappen werden geslagen en de kracht die de mannen die de slee trokken, uitoefenden, vergrootten. Zo waren de oude Egyptenaren in staat om zware, grote stukken gesteente de steile helling op te trekken.
Uniek Volgens het Egyptisch Ministerie voor Oudheden is het voor het eerst dat er zo’n grootschalig transportsysteem in een Egyptische steengroeve is teruggevonden. De ontdekking geeft meer inzicht in hoe de Egyptenaren die leefden in de tijd dat de machtige piramides gebouwd werden, duizenden kilo’s zware blokken een steile helling op konden trekken. Het lijkt aannemelijk dat vergelijkbare transportsystemen werden gebruikt om die piramides te kunnen bouwen.
Afbeelding: Egyptisch Ministerie van Oudheden.
Het unieke transportsysteem van Hatnub zou stammen uit de regeringsperiode van farao Cheops. Hij regeerde tussen 2604 en 2581 voor Christus over Egypte en liet onder meer één van de zeven wereldwonderen bouwen: de piramide van Gizeh.
This could be a scene out of a spooky movie. But reality is just as morbid for this coffin-shaped iceberg. After 18 years at sea, B-15T has entered a region where Antarctic icebergs go to die.
On September 23, 2018, when an astronaut on the International Space Station shot this photograph, iceberg B-15T had already left the Southern Ocean. It was spotted in the South Atlantic between South Georgia and the South Sandwich Islands. The second image shows a wide view, acquired the same day by the Moderate Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) on NASA’s Terra satellite. Icebergs like this are known to melt rapidly as they make their way north into warmer waters.
B-15T’s journey to this iceberg graveyard has been a long one. Its parent berg (B-15) first broke away from the Ross Ice Shelf in March 2000. It fractured over time into smaller bergs, many of which continued riding the Antarctic Coastal Current (counter-clockwise) around Antarctica.
By late 2017, the Weddell Sea gyre had redirected B-15T from its near circumnavigation and sent the berg drifting north. This third image was acquired in October 2017 by MODIS on NASA’s Aqua satellite. It shows the iceberg when it was near Elephant Island, an icy bit of rock located a few hundred kilometers north-northeast from the tip of the Antarctic Peninsula.
The Antarctic Circumpolar Current, which funnels through the Drake Passage, then steered the iceberg toward the east and its current location. Water at this latitude—about 54 degrees South—is generally warmer than the Southern Ocean and deadly for icebergs. NASA/UMBC glaciologist Chris Shuman noted that Southern Hemisphere winter was just ending when the astronaut spotted the berg, so the return of abundant sunlight could further warm the water around it. The lack of sea ice in the vicinity of B-15T implies that the water was above the freezing point.
The spooky shape of B-15T was acquired long before it moved into this iceberg graveyard. For more than a decade, B-15 had numerous collisions—smashing back into the Ross Ice Shelf where it originated, hitting bedrock along the coast, and bumping into other tabular icebergs. Such collisions can be strong enough to abruptly fracture the crystalline ice and produce linear edges—similar to the rectangular iceberg that debuted this month near the Larsen C ice shelf and iceberg A-68. That iceberg is visible in the photograph below, acquired October 16 during an Operation IceBridge science flight.
“This fracturing is akin to ‘cleaving’ a mineral crystal with a sharp tap of hammer,” Shuman said. Of course, the edges are not always so linear. Other bergs have edges that are curved. Some become jagged when the pull of gravity or the cutting action of waves causes ice to irregularly splinter.
“The coffin shape is an accident of time and space, given the approximately 18.5-year voyage of B-15T,” Shuman said. “We can only guess at the forces that have acted on this remnant of B-15 along the long way around Antarctica.”
Astronaut photograph ISS056-E-195042 was acquired on September 23, 2018, with a Nikon D5 digital camera using a 800 millimeter lens and is provided by the ISS Crew Earth Observations Facility and the Earth Science and Remote Sensing Unit, Johnson Space Center. The image was taken by a member of the Expedition 56 crew. The image has been cropped and enhanced to improve contrast, and lens artifacts have been removed. The International Space Station Program supports the laboratory as part of the ISS National Lab to help astronauts take pictures of Earth that will be of the greatest value to scientists and the public, and to make those images freely available on the Internet. Additional images taken by astronauts and cosmonauts can be viewed at the NASA/JSC Gateway to Astronaut Photography of Earth. NASA Earth Observatory images by Lauren Dauphin and Jeff Schmaltz, using MODIS data from NASA EOSDIS/LANCE and GIBS/Worldview. Airborne photograph by NASA/Jeremy Harbeck. Story by Kathryn Hansen.
References & Resources
Gateway to Astronaut Photography of Earth (2018, September 23) ISS056-E-195042. Accessed October 30, 2018.
NASA kiekt bejaarde ijsberg met een wel heel bijzondere vorm
NASA kiekt bejaarde ijsberg met een wel heel bijzondere vorm
Vivian Lammerse
De ijsberg is na achttien jaar aangekomen op een plek waar ijsbergen ‘sterven’. En de vorm? Puur toeval, aldus NASA.
Astronauten op het Internationaal ruimtestation ISS hebben wel een heel bijzondere ijsberg gespot. Zo zagen ze een groot brok ijs in de vorm van een doodskist over de oceaan dobberen. De ijsberg drijft op dit moment steeds warmer wordend water in en is – na bijna twee decennia verdwaald te zijn op zee – onderweg naar zijn laatste rustplaats.
IJsberg B-15T die in de vorm van een doodskist over de oceaan drijft.
Afbeelding: NASA
B-15T De stervende ijsberg heeft de naam B-15T en drijft op dit moment op de Zuid-Atlantische Oceaan, tussen Zuid-Georgia en de Zuidelijke Sandwich eilanden. De winter op het zuidelijke halfrond loopt op dit moment ten einde. Hierdoor bereikt meer zonlicht het oppervlak, waardoor de zon het omliggende water verder opwarmt. Ook is er rondom de ijsberg geen zee-ijs te zien, wat inhoudt dat de watertemperatuur al boven het vriespunt is uitgekomen.
De plek waar ijsberg B-15T ronddobbert.
Afbeelding: NASA
Reis De reis van B-15T naar het ijsbergkerkhof is lang geweest. Zo begon het allemaal in maart 2000, toen de Ross-ijsplaat op Antarctica een record brekend groot stuk ijs kwijtraakte. Nog nooit hadden satellieten zo’n groot stuk ijs van Antarctica los zien komen. Het ging om de ijsberg B-15 die een oppervlak van ongeveer 11.000 km2 besloeg. In de jaren die volgden, brak B-15 in meerdere stukken, waaronder B-15T. De ijsberg doolde vervolgens voor achttien jaar rond op zee.
Botsingen De eigenaardige vorm heeft B-15T te danken aan de talloze botsingen die hij in zijn leven onderging. Zo smashte hij terug tegen de Ross-ijsplaat en klapte vervolgens tegen andere ronddobberende ijsbergen aan. Hierdoor zijn er telkens stukken van het ijs afgebroken, waardoor er lineaire randen en lijnen ontstaan. Dit zagen we onlangs ook nog gebeuren bij een ijsberg die voor de Larsen C-ijsplaat ronddreefen wel hele scherpe en rechte hoeken had.
Dat ijsberg B-15T de vorm van een doodskist heeft aangenomen, is “een ongeluk van tijd en ruimte,” stelt onderzoeker Chris Shuman. “We kunnen alleen maar gissen naar alle processen waaraan dit overblijfsel van B-15 is blootgesteld tijdens zijn lange tocht rond Antarctica.”
UFO filmed over Réunion Island near Madagaskar 27-Oct-2018
UFO filmed over Réunion Island near Madagaskar 27-Oct-2018
This UFO (possible TR-3B) video was filmed over Saint-Pierre, a port town on the southwestern coast of Réunion Island, a French department in the Indian Ocean. This happened on 27th October 2018.
Witness report:
On SATURDAY, October 27th, 2018 at 8:40 pm when we finish eating, an information circulates on the social networks and local radio like what a meteorite crossed the West in EAST .. Followed by that by curiosity us we go up to the floor of our house to observe the sky by curiosity having a 180 ° Panoramic view on the horizon .At 20:50 very exactly, a light very far to the horizon has about 12/15 km from our position catches my attention, it’s like a flash.After taking my camera, we zoom in, because the 2 objects were visible and observable only in zooming with my camera that this light made a brutal descent then remained static. A few seconds later, another luminous point made a descent and we can observe that this second light turns around the first one. Which after a few seconds has disappeared (see videos). Following this, the first bright spot remaining on the spot began to move and make a very slow climb full WEST.We can distinguish very clearly on the videos and photos the shape of the object with at his place a white and blue / green light. We had been very surprised me and my family by observing this. It is not the first time that one observes strange things in this sector.I am informed to you of a previous observation in May 2018 which has been updated is always without réé answer .. I did research on air and sea traffic, and nothing, nothing was at this time if in the area. I attach you 3 videos, the 1st one can distinguish the 2nd object on the right doing a descent, .. on the 2nd one finds the 2nd object on the left of the 1st and the 3rd video one observes only the 1st object moving full West. Hoping to have explanations please
LAS VEGAS - A global scramble is underway to identify and perhaps replicate unidentified mystery materials that have been collected at multiple sites around the world.
A few of the samples have defied analysis by leading scientists, who say they don't know how the material was engineered, or why, or by whom?
Some of the metamaterial was allegedly collected in connection with UFO incidents, which gives the whole endeavor an otherworldly glow.
For years, the Pentagon secretly studied the seemingly impossible abilities of unknown craft captured in military videos.
Scientists now want to know if the materials used in these mystery aircraft allow them to do what they do. For years, one of the secret studies was carried out by BAASS (Bigelow Aerospace Advanced Space Studies), a Las Vegas operation hidden within Bigelow Aerospace.
Documents first reported by the I-Team show that BAASS landed a contract with the DIA (Defense Intelligence Agency), and one of the objectives was to study so called metamaterials, as well as futuristic technologies.
"It was a multilayered bismuth and magnesium sample. Bismuth layers less than a human hair. Magnesium samples about 10 times the size of a human hair, supposedly picked up in the crash retrieval of an advanced aerospace vehicle. It looks like it's been in a crash," said Dr. Hal Puthoff, with the Institute for Advanced Studies during a presentation in Las Vegas.
In June, physicist Hal Puthoff came pretty close to saying that the weird wedge of metamaterial came from a crashed saucer, but he can't know for sure. Puthoff and his colleague Dr. Eric Davis are on the cutting edge of attempts to identify an assortment of bits and pieces that are seemingly beyond anything we can create.
This one sample is engineered in layers thinner than microns, through a process unknown on earth, and for a purpose we can only guess.
"Nowhere could we find any evidence that anybody ever made one of these when we talked to people in the materials field who should know, they said we don't know why anybody would want to make anything like this," Dr. Puthoff said.
Astrophysicist Dr. Jacques Vallee has been analyzing mystery materials since the 80s, often using the technical expertise of Stanford University and Silicon Valley to unravel unknown samples acquired from all over the world. Vallee pointedly steers clear of any military funding and he's shared his findings at public conferences.
"We have multiple samples from multiple sources, a wide range of variety and integrity," said Lue Elizondo, To The Stars Academy.
These days, former intelligence officer Lue Elizondo helps to collect and protect unknown chunks for To The Stars Academy. Before that, he ran AATIP (Advanced Aviation Threat Identification Program), the Pentagon's secret UFO study. The same one which released the now famous videos of encounters between Navy pilots and the mystery machines dubbed the Tic Tac and Gimbal UFOs.
This summer, To The Stars launched ADAM, its own effort to find and study pieces of material that may have been stashed for decades after being retrieved from the sites of close encounters. Elizondo says there are legitimate reasons why the military, and now private groups, are now in a race to figure out these materials.
"What our international efforts are to potentially -- and I say potentially, I'm not saying we're doing this, maybe to replicate that technology or to reverse engineer that technology. Now you're getting into sensitivities you don't necessarily want everyone to be privy to," Elizondo said in a June 2018 interview with the I-Team.
When the New York Times broke its story last year about the Pentagon's UFO story, it reported that a sample of mystery material was secretly stored at Bigelow aerospace. Managers of that program told the I-Team that while they are familiar with some of the metamaterial samples, none were ever stashed in Las Vegas.
Dr. Jacques Vallee invites the public to send inquires and samples of mystery metal to him at the following address: P.O. Box 641650, San Francisco, CA 94109
YouTube "outage"... was it to quarantine and erase a video of something hitting the moon?
Het mysterie van de buitenaardse legeringen. Deze bizarre, onbekende materialen werden uit UFO’s gehaald
Afgelopen jaar werd onthuld dat de Amerikaanse overheid jarenlang in het diepste geheim onderzoek deed naar UFO’s. Zo zouden er onder meer onbekende materialen, zogeheten metamaterialen, zijn verzameld.
Eén van die voorwerpen blijkt hoogstwaarschijnlijk rechtstreeks uit een UFO afkomstig te zijn.
Het voorwerp werd in juni dit jaar onthuld door dr. Hal Puthoff, die zei dat het materiaal uniek was en dat experts geen idee hadden wat het was en door wie het was vervaardigd.
Onbekend
“Het was een meerlagig monster bestaande uit bismut en magnesium,” zei hij. “De lagen bismut waren dunner dan een menselijke haar. De lagen magnesium ongeveer 10 keer zo dik als een menselijke haar.”
“Het monster zou zijn verzameld na de crash van een geavanceerd luchtvaartuig,” voegde hij toe.
Het materiaal is ontstaan tijdens een proces dat op aarde onbekend is.
Meerdere bronnen
Het lijkt erop dat we in de toekomst meer van dit soort voorwerpen gaan zien. Luis Elizondo, die aan het hoofd stond van het geheime UFO-programma van het Pentagon, liet doorschemeren dat hij de beschikking heeft over ‘meerdere monsters afkomstig van meerdere bronnen’.
Wetenschappers willen zien te achterhalen waar de materialen die uit de UFO’s zijn gehaald voor dienden.
You will not believe this, but a few followers may see this and a lot of followers noticed my account disappeared. My UFO account has been silenced, probably by the NSA and their hacking skills, but maybe by the Russians. My account got on world news hundreds of times but is muted, impossible to find on phone under keywords or name but only through mentions I’m not sure why the NSA would think this would silence me, but lucky for me I have another account.
I messaged the CEO of twitter @Jack and we will see if he can fix things up or make them worse...but who knows. By silencing my UFO account, it makes be wonder if a gov is preparing to make a hit on me to get rid of me? Smart of them...mute my accounts so I don't know that no-one can see my tweets other than my followers...cut my communication lines...figures. Well if I am a target and get confronted by an agent face to face with a gun, I'm not begging, I'm not going to negotiate with them, I'm just going to look them in the eyes and tell them to "Go f@#$ themselves!" Live and die like a man. Been in this business too long to have any fear. Now...I have anger which drives me to find answers...and I'm just warming up!
Classic UFO Disk Seen Over Lake Tahoe, Nevada On Oct 2018, Video, UFO Sighting News.
Classic UFO Disk Seen Over Lake Tahoe, Nevada On Oct 2018, Video, UFO Sighting News.
Date of sighting: October 28, 2018
Location of sighting: Lake Tahoe, Nevada, USA
Source: MUFON 95950
Here is the most detailed UFO I have seen all week. This is a classic flying saucer...a beautiful metallic disk with a raised upper dome area. This is 100% proof that aliens are monitoring human up close and personal. Makes you wonder if they are so interested in us...when are they going to make their presence known by landing and having a meet and greet session with people? Right, I get that too, but they have rules and one of the rules was that they cannot disclose too much to too many humans without that countries president given consent. (That info is found in the book Stranger in the Pentagon, by a priest who met an alien from just such a disk, the priest worked side by side with several US presidents when greeting other countries VIPs and presidents.)
Awesome video shared with us by UFO Institute. Please click to to subscribe to their channel and like this video as a thank you for his hard work.
Eyewitness states:
We went to Lake Tahoe for vacation we got a tour on a boat to ride on the lake. I don't see the object in till we got home I was checking the videos this object appeared on the video with tremendous speed at 00.07 seconds of the video I short the video only for that section the video is 10 minutes long. also, it seems that one person sees the object and took off his hat.
UFO Sighted From from Gödöllő to Visonta, Hungary ( October 30, 2018 ) Video, UFO Sighting News.
UFO Sighted From from Gödöllő to Visonta, Hungary ( October 30, 2018 ) Video, UFO Sighting News.
Date of sighting: October 30, 2018
Location of sighting: Visonta, Hungary
Source: MUFON
These UFOs seem to be able to form a single craft, and yet break apart when they want to fly off on their own. This is really an extraordinary catch and I would love to see the aircraft radar data on this location for that day.
This is a great sighting in Hungary this week. Many UFOs appear as glowing balls together...which has also been noted in thousands of past UFO reports. The video was posted today by UFO Institute of Youtube.
Eyewitness states:
Vajon UFO-t láttak Magyarországon? Mi lehet ez a jelenség az égen? TRANSLATED : Did they see UFOs in Hungary? What can this be like in the sky?
'War of the Worlds': Fake news that spawned ugly fake news — and holds lessons for today
'War of the Worlds': Fake news that spawned ugly fake news — and holds lessons for today
The purported mass panic tied to the 1938 broadcast is a myth that won't die. While some newspapers reported responsibly at the time, others sensationalized and put forth harmful stereotypes.
By Jefferson Pooley and Michael J. Socolow
ASSOCIATED PRESS FILE PHOTO
Orson Welles, center, spoke to reporters on Oct. 31, 1938, the day after his dramatization of “War of the Worlds” aired on radio. Recent scholarship indicates that, contrary to popular belief, few people were panicked by the broadcast.
Eighty years ago this week, CBS broadcast Orson Welles’ adaptation of “War of the Worlds,” and mass panic ensued. Or did it?
We know today that the popular story of the mass panic sparked by “War of the Worlds,” a radio drama staged as a normal news broadcast interrupted by breaking reports of an alien invasion, was far overblown. In a nation of about 130 million people, fewer than 50 Americans were panicked enough to flee outside. That number emerges from recent scholarship by historian A. Brad Schwartz and others who have explored the scope of the panic in the past decade.
But the myth that thousands mobbed the streets remains powerful. Sensationalist journalism at the time was later validated by social scientists and relayed by historians, creating a myth that just won’t die. Efforts to debunk this myth reveal that fake news doesn’t just distort the historical record but also often spreads damaging racial and gendered stereotypes.
Newspapers that reported on the panic did so in ways that advanced ideas of racial inferiority. “Harlem was shaken by the ‘news,’ ” read one subhead in the New York Times. The Brooklyn Daily Eagle offered a similar, if more fanciful, account. “Sugar Hill in Harlem was transformed from a gay neighborhood into one in which sober, frightening thoughts were uppermost. Excited Negroes rushed into the parlor congregations they had ignored for years to join in singing spirituals. They were welcomed by their more pious brothers and sisters with ‘I told you so,’ as they changed their tune from swinging and swigging to hymning and praying,” the newspaper reported.
The racism in these reports was often coupled with gender stereotypes. Frightened mobs of women and children made appearances in newspapers throughout America. One famous example emerged from Providence, R.I., when “women in hysterical tears … besieged the switchboard of the Providence Journal.”
As with the mobs of frightened African-Americans, none of these women were identified or quoted. Even the policemen involved apparently preferred to withhold their identities. Everyone remained nameless. When researchers from Princeton University later analyzed approximately 12,000 news articles about the panic, the review “failed to produce more than a half dozen interviews” for a follow-up study. That’s because, with few exceptions, real names of actual people weren’t published — but racist and misogynistic stereotypes were.
Some newspapers, however, searched for facts, not tropes. And quite a few discovered little actual panic. “Maine Refused to Get Excited,” read the headline of a piece in the Lewiston Daily Sun. “The nationwide wave of hysteria generated by the Sunday night broadcast … apparently failed to affect Dubuque,” noted the Telegraph-Herald in Dubuque, Iowa. In Chicago, Salt Lake City and elsewhere, some newspapers relayed the lack of any detectable local panic.
Perhaps the most professional reporting to occur that evening came out of the Long Island Daily Press newsroom. Once the phone started ringing, the Press’ reporters and editors got an idea. They decided to conduct a telephone poll of 50 people, and found only four were tuned into the broadcast but “none of them were upset.” More than half of the people telephoned weren’t even listening to the radio, thus confirming the findings of the C.E. Hooper nationwide ratings survey. The Hooper survey established that the ratings for “War of the Worlds” were tiny, and it concluded that 98 percent of Americans were listening to something else, or not listening to the radio, when “War of the Worlds” was on the air.
The Daily Press telephone survey was excellent journalism. Once alerted to a rumor, the newspaper’s staff investigated its reality and reported results. Yet nobody has cited their work. It was forgotten until Tom Tryniski digitized the defunct newspaper’s front page and put it on the Web, where we found it.
The discovery of this forgotten reporting, when compared with the cultural memory inspired by the media’s sensationalism, pinpoints the issues arising when historians inadvertently rely on the fake news from the past. In this case, the mass panic as commonly understood didn’t happen — but newspaper journalists believed that readers would pay for stories about huge mobs of panic-stricken citizens. Their unethical and sensational journalism was a response to economic and social incentives. (Today’s fake news is responsive to these same incentives.)
This episode provides a clear example of the process by which fake news can quickly become ingrained deeply in American culture. Political decisions, governmental administrative moves and even social theory in the United States were made based on the idea that masses of panicked listeners fled their homes, terrorized by the radio — even though it didn’t happen that way.
The lesson is clear. Both journalists and scholars need to be more self-aware and skeptical whenever sensational stories about media manipulation arise. Today’s fake news can just as easily inform tomorrow’s social psychology and history textbooks.
Jefferson Pooley is associate professor of media & communication at College in Allentown, Pa. Michael J. Socolow teaches journalism at the University of Maine.
Where there’s water, there’s usually life — at least on Earth — and we just got confirmation that there used to be far more water on the surface of Mars than scientists previously believed.
The news comes courtesy of a team of researchers from the SETI Institute and NASA’s Ames Research Center. They’ve identified dozens of potential “paleolakes” — lakes that existed when the climate of a region was different than it is today — in the southern hemisphere of Mars. And the finding could forever change the hunt for extraterrestrial life.
On The Map
We already knew of one potential paleolake located in the northeastern part of Hellas, a massive basin in the southern hemisphere of Mars. In a study published in the journal Astrobiology on Tuesday, the researchers detail their discovery of 33 more.
The team conducted a detailed hydrogeographic analysis of the region, mapping its channels and depressions to suss out where additional Martian lakes may have once existed. This turned up the 33 new paleolakes.
By looking at each paleolake’s distinct characteristics, the team was even able to identify its most probable source of water: precipitation, groundwater, or rivers and streams.
Life On Mars
The discovery of these paleolakes is about more than just mapping the geology of Mars. It could also inform our search for life on the Red Planet.
As the researchers note in the paper, the former Martian lakes could contain the biological record of what, if any, life once existed on the planet, so as we plan future missions to Mars, we might want to consider devoting significant time to exploring this once-wet region of its surface.
Harvard Researchers Suggest ‘Oumuamua Was Alien ‘Reconnaissance Mission'
Harvard Researchers Suggest ‘Oumuamua Was Alien ‘Reconnaissance Mission'
‘Oumuamua, the mysterious interstellar object that has caused much head scratching in scientific circles, now has a new possible origin: part of a reconnaissance mission initiated by an alien civilization wanting to check out other galaxies.
The latest theory on ‘Oumuamua comes from a study published on Thursday by Shmuel Bialy and Abraham Loeb, a pair of astronomers with the Harvard Smithsonian Center for Astrophysics.
When scientists reviewed data collected by the Pan-STARRS-1 survey of ‘Oumuamua's closest flyby of the sun on September 9, 2017, they noted that the mysterious rock gained speed, rather than slowing down. Researchers at the time explained that the increase in ‘Oumuamua's velocity was likely explained by outgassing, the release of gas trapped or frozen inside the rock. The object itself was later classified as a cometby officials.
However, this explanation didn't sit right with Bialy and Loeb, who argue that had outgassing been the cause of ‘Oumuamua's increased velocity, it would've sent the interstellar object into a spin, which wasn't observed.
The pair suggested that ‘Oumuamua could actually be a light sail, a spacecraft that relies on radiation pressure for power, that's been sent from an alien civilization looking for signs of life in our solar system.
"We explain the excess acceleration of ‘Oumuamua away from the sun as the result of the force that the sunlight exerts on its surface. For this force to explain measured excess acceleration, the object needs to be extremely thin, of order a fraction of a millimeter in thickness but tens of meters in size," Loeb told Universe Today via email.
"This makes the object lightweight for its surface area and allows it to act as a light sail. Its origin could be either natural (in the interstellar medium or proto-planetary disks) or artificial (as a probe sent for a reconnaissance mission into the inner region of the solar system)."
Bialy and Loeb later explained in their work that should their theory prove true, there is the slight possibility that the light sail could even just be a "defunct sail floating under the influence of gravity and stellar radiation."
"The alternative is to imagine that ‘Oumuamua was on a reconnaissance mission. The reason I contemplate the reconnaissance possibility is that the assumption that ‘Oumumua followed a random orbit requires the production of ~10^{15} such objects per star in our galaxy. This abundance is up to a hundred million times more than expected from the solar system, based on a calculation that we did back in 2009," Loeb wrote.
"A surprisingly high overabundance, unless ‘Oumuamua is a targeted probe on a reconnaissance mission and not a member of a random population of objects."
Questions remain regarding the origin of ‘Oumuamua, and considering the rock is no longer in our solar system and is much too far away for researchers to observe, the lab coats might be in the dark for some time on the matter.
UFO proof? Hovering rock on Mars ‘remnants of an alien aircraft or spacecraft'
UFO proof? Hovering rock on Mars ‘remnants of an alien aircraft or spacecraft'
A STRANGE ‘levitating’ rock has been found on Mars which is the “remnants of an alien aircraft or spacecraft of long ago”, according to a conspiracy theorist.
UFO proof? Hovering rock on Mars ‘remnants of an alien aircraft or spacecraft'
(Image: GETTY)
The rock was picked up by images from NASA’s rovers on the Red Planet, prompting speculation from alien hunters.
It looks as if the rock is hovering above the ground of Mars, casting a dark shadow over the surface as it does.
Conspiracy theorists quickly picked up on the image, claiming that it is proof that a once highly advanced species either existed or visited Mars in the distant past.
The image was picked up by prominent alien hunter Scott C Waring.
Mr Waring wrote on his website UFO Sightings Daily: “Now here is something you don't see everyday. I found a hovering rock on the surface of Mars in a NASA photo.
“The thick rectangle shaped rock has a rectangle shape shadow below it. The object is about 10-12 inches from the surface, just hovering in place.
“This could indicate that this is some ancient technology, not a mere rock after all.
“Still filled with power, still hovering on its own, even though the rest of its craft no longer exists
“Probably remnants of an alien aircraft or spacecraft of long ago.”
However, sceptics and NASA would say the hovering rock and other similar findings are just the effects of pareidolia – a psychological phenomenon when the brain tricks the eyes into seeing familiar objects or shapes in patterns or textures such as a rock surface.
This is not the first time that evidence of aliens on Mars has allegedly been discovered.
Earlier this year, an "alien face" was found in a NASA satellite image of Mars, according to more bonkers claims.
Mr Waring was convinced it could be a rock carving, done by a Martian race, in the same way ancient Britons carved out the chalk figures in hillsides like the giant of Cerene Abbas in Dorset and the Long Man of Wilmington in East Sussex.
This could indicate that this is some ancient technology, not a mere rock after all"
(Image: NASA)
However, NASA insisted the rock is just a meteorite impact crater that has been left in the unusual form by later erosion.
When NASA released the image under the "alien head" caption, it said: "The image shows an impact crater in Chryse Planitia, not too far from the Viking 1 lander site, that to seems to resemble a bug-eyed head.
"The two odd depressions at the north end of the crater (the ‘eyes’) may have formed by wind or water erosion.
"This region has been modified by both processes, with water action occurring in the distant past via floods that poured across western Chryse Planitia from Maja Valles, and wind action common occurrence in more recent history.”
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Over mijzelf
Ik ben Pieter, en gebruik soms ook wel de schuilnaam Peter2011.
Ik ben een man en woon in Linter (België) en mijn beroep is Ik ben op rust..
Ik ben geboren op 18/10/1950 en ben nu dus 74 jaar jong.
Mijn hobby's zijn: Ufologie en andere esoterische onderwerpen.
Op deze blog vind je onder artikels, werk van mezelf. Mijn dank gaat ook naar André, Ingrid, Oliver, Paul, Vincent, Georges Filer en MUFON voor de bijdragen voor de verschillende categorieën...
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