De Franse schrijver Jean Paul Sartre werd geboren op 21 juni 1905 in Parijs. Zie ook mijn blog van 21 juni 2006 en ook mijn blog van 21 juni 2007.
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Uit: Les Mots
A peu près vers le même temps que Charles Schweitzer rencontrait Louis Guillemin, un médecin de campagne épousa la fille d'un riche propriétaire périgourdin et s'installa avec elle dans la triste grand-rue de Thiviers, en face du pharmacien. Au lendemain du mariage, on découvrit que le beau-père n'avait pas le sou. Outré, le docteur Sartre resta quarante ans sans adresser la parole à sa femme ; à table, il s'exprimait par signes, elle finit par l'appeler « mon pensionnaire ». Il partageait son lit, pourtant, et, de temps à autre, sans un mot, l'engrossait : elle lui donna deux fils et une fille ; ces enfants du silence s'appelèrent Jean-Baptiste, Joseph et Hélène. Hélène épousa sur le tard un officier de cavalerie qui devint fou ; Joseph fit son service dans les zouaves et se retira de bonne heure chez ses parents. Il n'avait pas de métier : pris entre le mutisme de l'un et les criailleries de l'autre, il devint bègue et passa sa vie à se battre contre les mots. Jean-Baptiste voulut préparer Navale, pour voir la mer. En 1904, à Cherbourg, officier de marine et déjà rongé par les fièvres de Cochinchine, il fit la connaissance d'Anne-Marie Schweitzer, s'empara de cette grande fille délaissée, l'épousa, lui fit un enfant au galop, moi, et tenta de se réfugier dans la mort.
Mourir n'est pas facile : la fièvre intestinale montait sans hâte, il y eut des rémissions. Anne-Marie le soignait avec dévouement, mais sans pousser l'indécence jusqu'à l'aimer. Louise l'avait prévenue contre la vie conjugale : après des noces de sang, c'était une suite infinie de sacrifices, coupée de trivialités nocturnes. A l'exemple de sa mère, ma mère préféra le devoir au plaisir. Elle n'avait pas beaucoup connu mon père, ni avant, ni après le mariage, et devait parfois se demander pourquoi cet étranger avait choisi de mourir entre ses bras. On le transporta dans une métairie à quelques lieues de Thiviers ; son père venait le visiter chaque jour en carriole. Les veilles et les soucis épuisèrent Anne-Marie, son lait tarit, on me mit en nourrice non loin de là et je m'appliquai, moi aussi, à mourir : d'entérite et peut-être de ressentiment. A vingt ans, sans expérience ni conseils, ma mère se déchirait entre deux moribonds inconnus ; son mariage de raison trouvait sa vérité dans la maladie et le deuil. Moi, je profitais de la situation : à l'époque, les mères nourrissaient elles-mêmes et longtemps ; sans la chance de cette double agonie, j'eusse été exposé aux difficultés d'un sevrage tardif. Malade, sevré par la force à neuf mois, la fièvre et l'abrutissement m'empêchèrent de sentir le dernier coup de ciseaux qui tranche les liens de la mère et de l'enfant ; je plongeai dans un monde confus, peuplé d'hallucinations simples et de frustes idoles. A la mort de mon père, Anne-Marie et moi, nous nous réveillâmes d'un cauchemar commun ; je guéris. Mais nous étions victimes d'un malentendu : elle retrouvait avec amour un fils qu'elle n'avait jamais quitté vraiment ; je reprenais connaissance sur les genoux d'une étrangère. »
Jean-Paul Sartre (21 juni 1905 - 15 april 1980)
De Franse schrijfster Françoise Sagan (pseudoniem van Françoise Quoirez) werd geboren in Cajarc, Lot op 21 juni 1935. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Uit: Un certain regard
- Au début de 1954, une jeune fille de dix-huit ans, Mademoiselle Quoirez, qui a choisi le pseudonyme de Françoise Sagan, dépose aux éditions Julliard le manuscrit d'un court roman : Bonjour Tristesse. Le livre paraît en mai en même temps que beaucoup d'autres et sans aucune publicité. Un an après, le tirage dépasse un million d'exemplaires en France, et Françoise Sagan est célèbre dans le monde entier où son livre est traduit dans vingt-cinq langues. Célèbre, mais pas très bien connue peut-être. Quelques années plus tard, à une enquête sur les personnages contemporains célèbres, la plupart des personnages interrogées répondront : «Françoise Sagan ? Ah, oui, la vedette de cinéma.»
- Ah ? J'avais oublié.
- Oui. C'est que, tout de suite, il y a eu autour de vous une légende : l'argent, le whisky, les boîtes de nuit, les voitures de sport... Tout ce qu'on prête plutôt, en effet, à une vedette qu'à un écrivain. Vous aviez écrit un livre, et puis vous vous êtes retrouvée star. Comment porte-t-on tout cela à vingt ans ?
- J'ai porté ma légende comme une voilette... Ce masque délicieux, un peu primaire, correspondait chez moi à des goûts évidents : la vitesse, la mer, minuit, tout ce qui est éclatant, tout ce qui est noir, tout ce qui perd, et donc permet de se trouver. Car on ne m'ôtera jamais de l'idée que c'est uniquement en se colletant avec les extrêmes de soi-même, avec ses contradictions, ses goûts, ses dégoûts, ses fureurs, que l'on peut comprendre un tout petit peu, oh, je dis bien un tout petit peu, ce que c'est que la vie. En tout cas, la mienne...
Françoise Sagan (21 juni 1935 24 september 2004)
De Braziliaanse schrijver Joaquim Maria Machado de Assis werd geboren in Rio de Janeiro op 21 juni 1839. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Uit: De psychiater en andere verhalen (vertaald August Willemsen)
En de lezer bereide zich voor op dezelfde verbijstering als welke de stad overviel,
toen men op een dag vernam dat alle gekken uit het Groene Huis in
vrijheid werden gesteld.
Allemaal?
Allemaal.
Dat kan niet; een paar ja, maar allemaal ... ... ...
Allemaal. Zo heeft hij het zelf gezegd in een memorandum dat hij vanmorgen
aan de gemeenteraad heeft gestuurd. Inderdaad had de psychiater de
Raad het volgende laten weten:
1. dat hij uit de statistieken van de stad en van het Groene Huis had opgemaakt dat viervijfde van de bevolking in deze inrichting was opgenomen;
2. dat deze bevolkingsverplaatsing hem ertoe gebracht had de grondslagen van zijn theorie betreffende hersenaandoeningen te herzien, een theorie volgens welke al die gevallen buiten het terrein van het gezond verstand vielen waarin het evenwicht der geestelijke vermogens niet volkomen en absoluut was;
3. dat deze herziening en de statistische gegevens hem hadden geleid tot de overtuiging dat de ware leer niet de bovengenoemde was maar de daaraan tegengestelde ...
Machado de Assis (21 juni 1839 - 29 september 1908)
De Britse schrijver Ian McEwan werd op 21 juni 1948 geboren in de Engelse garnizoensplaats Aldershot. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Uit: Saturday
Some hours before dawn Henry Perowne, a neurosurgeon, wakes to find himself already in motion, pushing back the covers from a sitting position, and then rising to his feet. It's not clear to him when exactly he became conscious, nor does it seem relevant. He's never done such a thing before, but he isn't alarmed or even faintly surprised, for the movement is easy, and pleasurable in his limbs, and his back and legs feel unusually strong. He stands there, naked by the bedhe always sleeps nakedfeeling his full height, aware of his wife's patient breathing and of the wintry bedroom air on his skin. That too is a pleasurable sensation. His bedside clock shows three forty. He has no idea what he's doing out of bed: he has no need to relieve himself, nor is he disturbed by a dream or some element of the day before, or even by the state of the world. It's as if, standing there in the darkness, he's materialized out of nothing, fully formed, unencumbered. He doesn't feel tired, despite the hour or his recent labours, nor is his conscience troubled by any recent case. In fact, he's alert and empty-headed and inexplicably elated. With no decision made, no motivation at all, he begins to move towards the nearest of the three bedroom windows and experiences such ease and lightness in his tread that he suspects at once he's dreaming or sleepwalking. If it is the case, he'll be disappointed. Dreams don't interest him; that this should be real is a richer possibility. And he's entirely himself, he is certain of it, and he knows that sleep is behind him: to know the difference between it and waking, to know the boundaries, is the essence of sanity.
Ian McEwan (Aldershot, 21 juni 1948)
De Surinaamse schrijfster Chitra Gajadin werd geboren in District Suriname op 21 juni 1954. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Uit:Juweeltjes in het Sarnami
Karakteristiek aan hem is zijn rebelse geest. Analytisch en vlijmscherp is hij over het intellectuele nivo van de Hindostaanse gemeenschap. Een groep die niet in staat blijkt tot scheppend vermogen van enig benul. Onverzoenlijk is zijn houding tot die groep. En toch liggen zijn mooiste herinneringen verankerd in jeugdervaringen temidden van dezelfde groep. In hartje Corantijnpolder waar hij altijd zodra hij in Suriname was, de speelkameraad uit zijn jeugd placht op te zoeken. Veertig jaar geleden leerde hij als zevenjarige een deel van het leven in Suriname kennen die een blijvende plek in zijn hart zou veroveren. Ver van stedelijke bekrompenheid probeerde hij te ontsnappen aan de benauwende bescherming van zijn ouders. Waar districtsjongens droomden van de verre grote stad, confectiekleding en schoeisel, popelde hij om na school zijn schoenen uit te schoppen om joel te kunnen spelen. Om de weidsheid van de polder te verkennen en te voetballen tot het vallen van de avond. 'Dat was een heel mooie periode in mijn leven. Door met die kinderen te spelen heb ik de Hindostaanse taal goed leren spreken. Ik heb tot mijn achttiende Hindostaans gesproken met mijn moeder en Nederlands met mijn vader. De eerste zes maanden in Nickerie verbleven we in Hamptoncourtpolder. Mijn eerste les in het Sarnami vergeet ik nooit, dat was al op de eerste schooldag. Ik zag een roestige spijker in het gebouw en zei "dekh i khillá murcán hai" en toen zei een van de jongens "e bai..khillá ká yár" en toen zei de ander "u nail ke bole hai". Daar heb ik het Sarnami geleerd, van die jongens.
Chitra Gajadin (District Suriname, 21 juni 1954)
De Duitse dichter, schrijver en essayist Helmut Heißenbüttel werd geboren op 21 juni 1921 in Rüstringen, tegenwoordig Wilhelmshaven. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Gedicht von Farben
das schräg herunter taumelnde einzelne schwarze Erlenblatt
die roten Punkte der Hagebutten im schwarzen Graben
die schwarz gefransten Brüche im grauen Asphalt
der Hahnenschrei im Nebel
das apfelsinenfarbene Reet des November
Erinnerung an John Cage mit der Muschel auf den Knien
der raspelnde Ton der Bewegung des Windes an meinem Ohr
der rostige Ton der Kirchuhr im Nebel
das rostige Laub der Kastanie am Bahnhof in Krempe
der schwarze Augenblick der Wahrheit
das Geräusch beim Niedersetzen des Topfes ein Hörspiel
die Besen der Erlenallee und das dichtere Gestrichel der Rotdornbüsche
ich erkenne das Schwarze im dichteren Gestrichel der Rotdornbüsche wieder
das Wiedererkennen der Schwärze der dichteren Dichte
das schwärzliche Rot der Mehlbeerbüsche im Dezember
das grüne Giebeldreieck im grauen Reetdach
das grüne Giebeldreieck im grauen Reetdach im Winter
das grüne Giebeldreieck im grauen Reetdach im Winter mittags
das Sagbare sagen
das Sagbare sagen
das Erfahrbare erfahren
das Entscheidbare entscheiden
das Erreichbare erreichen
das Wiederholbare wiederholen
das Beendbare beenden
das nicht Sagbare
das nicht Erfahrbare
das nicht Entscheidbare
das nicht Erreichbare
das nicht Wiederholbare
das nicht Beendbare
das nicht Beendbare nicht beenden
Helmut Heißenbüttel (21 juni 1921 19 september 1996)
De Duitse dichter, schrijver en uitgever Wulf Kirsten werd geboren op 21 juni 1934 in Klipphausen bij Meißen. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Vor der Haustür
Vor der Haustür
manchmal morgens,
wenn ich vor die haustür trete,
den stadtrand noch stille anwandelt
für einen atemzug,
umfängt mich herzbeklemmend die fremde.
nichts kommt auf mich zu.
nichts werd ich kommen lassen
auf diesen abgetretnen gehwegplatten.
mein weltvertrauen setzt
auf jede postwurfsendung,
auf knüllpapier im schnittgerinne,
auf pflichtbewusstes anstandsgrün,
gezargt in kümmerwuchsrabatten.
eine fremde, kehlumspannend,
zaunentlang und mauerhin.
ein fremdling bin ich
mir selbst, landlos,
dorfverloren, ausgesandt
Wulf Kirsten (Klipphausen, 21 juni 1934)
De Oostenrijkse schrijver Robert Menasse werd geboren op 21 juni 1954 in Wenen. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Uit: Das war Österreich
Man kann alle österreichischen Phänomene nur verstehen, wenn man sich vor Augen hält, daß Österreich ein Museum ist. Gerade auch die Tatsache, daß das österreichische Staatsoberhaupt und ein Museumsdirektor demselben Anforderungsprofil genügen müssen: zum Beispiel Waldheim und der Direktor des Kunsthistorischen Museums Wilfried Seipel: Beide sind nicht über eine moderne Qualifikation definiert, sondern wesentlich über ihre Vergangenheit. Allerdings nicht über irgendeine Vergangenheit, sondern über eine solche, die dem österreichischen Geschichtsverständnis insgesamt entspricht. Das heißt, daß beide in der Vergangenheit möglicherweise nichts gemacht haben, wirklich nichts oder nichts wirklich, ausgenommen das, was alle gemacht haben. Wer will es ihnen also vorwerfen, zumal nichts bewiesen ist - es ist alles nur möglicherweise geschehen, und diese Auflösung der Geschichte in ein System von Möglichkeiten ist eben die österreichische Identität.
Nur in Österreich, unter den beschriebenen Voraussetzungen, ist es daher auch möglich, daß nicht nur das Kunstministerium, sondern sämtliche Ministerien mit kulturellen Belangen befaßt sind. Die Bundestheater, aber auch die Salzburger Festspiele unterstehen dem Finanzministerium. Im Mozartjahr 1996 trat selbst der Verkehrsminister als Dirigent auf. Das Außenministerium wiederum ist für Leihgaben und Versand österreichischer Exponate zuständig. Es organisiert etwa große Auslandstourneen der Lipizzaner, die daher von den österreichischen Zeitungen "unsere kulturellen Botschafter im Ausland" genannt werden. Für diese Botschafter ist allerdings gleichzeitig das Landwirtschaftsministerium zuständig. Und so weiter. Es gäbe noch unzählige Beispiele, die zeigen, daß die staatlichen Strukturen Österreichs der Logik eines Museums gehorchen, das die Größe eines ganzen Landes hat, unzählige Beispiele aus der Geschichte der Zweiten Republik, die deutlich machen, daß das Prinzip der österreichischen Politik die Kulturpolitik ist.
Robert Menasse (Wenen, 21 juni 1954)
De Poolse dichter en essayist Adam Zagajewski werd geboren op 21 juni 1945 in Lwów, het huidige Lviv. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
Fire
Probably I am an ordinary middle-class
believer in individual rights, the word
"freedom" is simple to me, it doesn't mean
the freedom of any class in particular.
Politically naive, with an average
education (brief moments of clear vision
are its main nourishment), I remember
the blazing appeal of that fire which parches
the lips of the thirsty crowd and burns
books and chars the skin of cities. I used to sing
those songs and I know how great it is
to run with others; later, by myself,
with the taste of ashes in my mouth, I heard
the lie's ironic voice and the choir screaming
and when I touched my head I could feel
the arched skull of my country, its hard edge.
Don't Allow the Lucid Moment to Dissolve
Don't allow the lucid moment to dissolve
Let the radiant thought last in stillness
though the page is almost filled and the flame flickers
We haven't risen yet to the level of ourselves
Knowledge grows slowly like a wisdom tooth
The stature of a man is still notched
high up on a white door
From far off, the joyful voice of a trumpet
and of a song rolled up like a cat
What passes doesn't fall into a void
A stoker is still feeding coal into the fire
Don't allow the lucid moment to dissolve
On a hard dry substance
you have to engrave the truth
Vertaald door Renata Gorczynski
Adam Zagajewski (Lwów, 21 juni 1945)
De Canadese dichteres, essayiste en vertaalster Anne Carson werd geboren op 21 juni 1950 in Toronto. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
XII. Heres Our Clean Business Now Lets Go Down the Hall to the Black Room Where I Make My Real Money
You want to see how things were going from the husbands point of view---
lets go round the back,
there stands the wife
gripping herself at the elbows and facing the husband.
Not tears he is saying, not tears again. But still they fall.
She is watching him.
Im sorry he says. Do you believe me.
Watching.
I never wanted to harm you.
Watching.
This is banal. Its like Beckett. Say something!
I believe
your taxi is here she said.
He looked down at the street. She was right. It stung him,
the pathos of her keen hearing.
There she stood a person with particular traits,
a certain heart, life beating on its way in her.
He signals to the driver, five minutes.
Now her tears have stopped.
What will she do after I go? he wonders. Her evening. It closed his breath.
Her strange evening.
Well he said.
Do you know she began.
What.
If I could kill you I would then have to make another exactly like you.
Why.
To tell it to.
Perfection rested on them for a moment like calm on a lake.
Pain rested.
Beauty does not rest.
The husband touched his wifes temple
and turned
and ran
down
the
stairs.
Anne Carson (Toronto, 21 juni 1950)
De Nederlandse dichter Ed Leeflang werd geboren op 21 juni 1929 in Amsterdam. Zie ook mijn blog van 21 juni 2007.
De vader van de baby Constantijn, wat hem
De vader van de baby Constantijn, wat hem
voor ogen zweefde stuit en kalmeert mij niet.
Precieze dromen moet ik s nachts wel uit,
naar de keuken en ik wil dan nog een uur
op een bevriende stoel.
Niet de geringste engel zou er voor
hebben gevoeld verder te gaan
met haar broze, bedreigde lichaam.
Hij heeft veel te veel bedoeld.
Ik kom niet uit met zijn stoïsch verdriet
en niet met zijn troostrijke orde.
Hoe waar zijn die in zijn huis
trouwens geworden?
Want de moeder schreef het niet.
Soms moet
Soms moet het werkelijk stil zijn,
zij luidt haar kleine bel,
aandacht sneeuwt neer.
Nu nemen alle levenden hun stoeltje
op, zij maken een kring en wachten op
een lettergreep, een zegening,
een inval van een beer.
Ze is een beetje schele fee,
dat geeft haar fluisteren mysteries
mee; (daar gaat er een opeens
genezen).
De zon schijnt welgemoed en
zo rustig langs haar wangen.
Dit is vrede boven de
nieuwsgierigheid, waarnaar ze
grijs geworden, dik van leven
nog verlangen.
Ed Leeflang (21 juni 1929 17 maart 2008)
Foto: Vincent Menzel