De Engelse dichter en schrijver Lewis Carroll werd op 27 januari 1832 in Daresbury. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
Epilogue to Through the Looking Glass
A boat, beneath a sunny sky
Lingering onward dreamily
In an evening of July --
Children three that nestle near,
Eager eye and willing ear
Pleased a simple tale to hear --
Long has paled that sunny sky:
Echoes fade and memories die:
Autumn frosts have slain July.
Still she haunts me, phantomwise
Alice moving under skies
Never seen by waking eyes.
Children yet, the tale to hear,
Eager eye and willing ear,
Lovingly shall nestle near.
In a Wonderland they lie,
Dreaming as the days go by,
Dreaming as the summers die:
Ever drifting down the stream --
Lingering in the golden gleam --
Life what is it but a dream?
Lewis Carroll (27 januari 1832 14 januari 1898)
De Duitse schrijver Benjamin von Stuckrad-Barre werd op 27 januari 1975 in Bremen geboren. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.
Uit: Was.Wir.Wissen.
Alles kann man nicht wissen. Das weiß jeder. Bis immerhin Goethe (1832) war das Weltwissen noch so überschaubar, dass man es sich komplett aneignen konnte angeblich. Heute weiß man mehr und
keiner mehr alles. Doch was man wenigstens wissen sollte, wird gern und häufig diskutiert und tabellarisch daherbehauptet. Allgemeinbildung!
Sollte man haben. Überhaupt: Das Wissen eines jeden wächst natürlich von Geburt bis Tod. Man lernt dazu und wozu genau? Zum schon Gewussten, Abgenickten, Bewiesenen. Und wofür, das weiß
man ja auch, nämlich nicht für die Schule. Sad vitae, traurige Lebensläufe.
Ein Witz, ein Fehler? Vielleicht auch ein Filmtitel. Mal nachgucken und schon ist man drin.
Das ideale Medium, Wissen zu archivieren, zu verbreite(r)n, stetig, vertieft zu verknüpfen, ist mit dem Internet gefunden. Finden kann man dort alles, nur verliert man sich (tatsächlich und wortwörtlich alles
Mögliche findend) bei der Suche gern einmal. Was es alles gibt, staunt man und ist so ratlos wie fasziniert. Es gibt nichts, was es nicht gibt, heißt es im so genannten Volksmund. Dieser wird gemeinhin als Urheber und Benutzer solcher Weisheiten, Bezeichnungen und Redewendungen
identifiziert, deren Gebrauch zum Brauch geworden ist.
In diesen Prozess von Sprach- und Wissensentwicklung ermöglicht das Internet frühzeitig Einblick und Teilnahme. Jeder darf mitdefinieren. Und die relative Gleichförmigkeit von Präsentation, Zugänglichkeit und Ausschilderung von Quellen sehr unterschiedlicher Qualität spiegelt und potenziert die Verwirrung. An Wegweisern, Empfehlungen, Leitplanken und Abholungsangeboten mangelt es so wenig wie an Warnungen, Abschreckungen und Alternativen. Pisa usw.? Eher Babel und so www. Es wird Zeit, diesem Maul mal aufs Volk zu schauen.
Benjamin von Stuckrad-Barre (Bremen, 27 januari 1975)
De Franse schrijfster Eliette Abécassis werd geboren op 27 januarri 1969 in Straatsburg. Zij bezocht er de École normale supérieure en studeerde later filosofie. Voor haar eerste roman Qumran deed zij drie jaar lang onderzoek. De roman was meteen een groot succes en werd in achttien talen vertaald.
Werk: o.a. L'Or et la cendre, 1997, La Répudiée, 2000, Le Trésor du temple, 2001, Un heureux événement, 2005, Mère et fille, 2008.
Uit: Mon père
« Il y a deux ans, lorsque j'ai perdu mon père, je n'avais plus de goût à la vie. Plus rien, plus personne ne trouvait grâce à mes yeux, et je me suis laissé envahir par une force inquiétante et diffuse, qui m'aspirait, m'empêchant de me lever le matin, de sortir et de voir des amis, sans que je puisse rien faire. Je n'avais pas le courage de lire, et regarder la télévision me fatiguait. Je m'endormais facilement, mais je me réveillais prématurément. Je me réveillais, misérable, malheureuse du jour qui se lève, et je me couchais, sans attente du jour qui suit. Je déambulais dans mon appartement, seule, et je commençais à perdre tout espoir de retrouver un sens à mon existence, lorsqu'un matin, j'ai reçu une lettre venant d'Italie, de la part d'un homme qui cherchait des renseignements sur un certain Georges B.
Georges B., c'était le nom de mon père. L'homme qui m'avait adressé ce courrier ne m'en disait pas plus, mais il me priait de lui répondre rapidement, car «c'était une chose importante pour lui». Je lui ai aussitôt renvoyé un message, dans lequel je lui écrivais que je connaissais la personne qu'il recherchait, qu'elle était décédée, et que j'étais sa fille. Quelques jours plus tard, j'ai reçu un mot du même individu. Il me disait qu'il s'appelait Paul M. et qu'il était le fils de mon père.
Alors je me suis souvenue d'une photo, une photo d'un petit garçon que j'avais trouvée dans la veste de mon père. Sans pouvoir l'expliquer, immédiatement, j'ai su que cet homme disait vrai. »
Eliette Abécassis (Straatsburg, 27 januarri 1969)
De Amerikaanse schrijver Ethan Mordden werd geboren op 27 januari 1947 in Pennsylvania. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.
Uit: All That Glittered
Lightnin Has Struck!
When Frank Bacon left school at the age of fourteen, his native California counted more jobs to fill than skilled labor qualified to fill them. If not exactly the anarchic frontier of legend, California in the 1880s nevertheless offered opportunity to anyone withas they put it thengumption. Young Bacon tried sheepherding, advertising soliciting, and newspaper editing, and even ran an unsuccessful campaign for the state assembly. Then he fell into acting.
It was easy to do at the time, for people went to theatre then almost as casually as they turn on the television today, and playhouses were literally everywhere. Some were operated by resident repertory troupes, the stock companies that sustained public interest with a constantly changing bill. Certain theatres in a given region were linked to form wheels of companies not resident but traveling as wholes from one house to another every six weeks or so; unlike the stock companies, who played everything, the wheels played host to certain genres, for instance in thrill melodrama or society comedy.
The expansion of the railroad doomed stock and eventually closed down the wheels, for now the combination troupe dominated the national stage: one unit of actors giving a single work and touring with all the necessary sets and costumes. A success in this line meant moving from one theatre to the next (with perhaps a hiatus in summer) for months or even years. Along with bookings in small towns and provincial capitals lay the possibility of an extended run in Chicago or New York.
Ethan Mordden (Pennsylvania, 27 januari 1947)
De Belgische, Franstalige, schrijver Guy Vaes werd geboren op 27 januari 1927 in Antwerpen. Vaes werd journalist. Eerst in Antwerpen voor Le Matin en La Métropole, later voor het Brusselse weekblad Spécia . Hij was chef van wat,,de sociaal-culturele rubriek'' werd genoemd en schreef over literatuur, muziek en film. In 1956 verscheen zijn roman Octobre long dimanche die een vergelijkbare impact had als Le Voyeur van Alain Robbe-Grillet die in hetzelfde jaar verscheen. Daarna duurde het tot 1983 voordat er een tweede roman, L'Envers, verscheen. Vaes schreef verder ook gedichten en essays.
Uit : Une descente aux Enfers. À propos de Hugo von Hofmannsthal
On a souvent insisté sur les alternances du Haut et du Bas chez Hofmannsthal. En ce qui concerne le romancier que je suis, cest le Bas, dans son interaction avec le Haut, mais un Haut menacé doccultation, qui me parle. Le « réalisme » de Hofmannsthal est celui du visionnaire qui accuse la visibilité du réel. Relisez ses descriptions de faubourgs et de nature souillée. Jamais il ne perd de vue, soucieux de la dynamique narrative (et je cite ici lun de ses aphorismes), que « le secret de la vie, cest lantithèse ».
Descendons à présent les degrés qui vont du Haut jusquau Bas. Ils sont liés, inextricablement, sans toutefois former damalgame. Lun na point de sens sans lautre. Leur interaction est ininterrompue. Les éclairs du Haut dans les fosses du Bas, les exhalaisons du Bas infiltrant loxygène à létat naissant du Haut. Pas de manichéisme ici. Seulement des extrêmes qui alternativement se touchent sans quintervienne un accord. Lunité de lÊtre, car cest toujours à elle
quon est reconduit, nous ne pouvons/savons la percevoir quà la faveur dune illumination. Elle nest pas un objet dont on dispose. Elle est ce qui nous assaille.
Faisant appel à ce que les Grecs nomment le terrible (ce dehors chargé de menaces), ainsi quà lillumination émerveillante, Hofmannsthal se reporte à son voyage en Grèce, en 1908. Là, il se détourna de toute approche érudite. Toujours plus ou moins déchiré par son appartenance parentale au midi et au nord il finit par se demander ce que les Grecs peuvent encore lui apprendre. Jusquà ce que lébranle, au petit musée de lAcropole, la révélation de cinq Corés archaïques, celles-là mêmes qui mettront en déroute Charles Maurras. En cet endroit se confondent les époques. Mythe et réalité aboutissent aux unions les plus déroutantes. La bête et la créature humaine frôlent losmose, et lhomme se rapproche de Dieu. Le temps dun roulement de tonnerre, les extrêmes se touchent presque. Revenant sur cette expérience, lécrivain, dans un article de 1922, notera : « Ici nous devons le reconnaître, il existe un mystère de la pleine lumière.
Guy Vaes (Antwerpen, 27 januari 1927)
De Amerikaanse schrijver James Grippando werd geboren op 27 januari 1958 in Waukegan, Illinois. Zie ook mijn blog van 27 januari 2008.
Uit: Hear No Evil
My husband was murdered."
Lindsey Hart spoke in the detached voice of a young widow still grieving. It was as if she still couldn't believe that the words were coming from her mouth, that something so horrible had actually happened. "Shot once in the head."
"I'm very sorry." Jack wished he could say more, but he'd been in this situation before, and he knew there really wasn't anything he could say. It was God's will? Time heals all wounds? None of that would do her any good, certainly not from his lips. People sometimes turned to strangers for that kind of comfort, but rarely when the stranger was a criminal defense lawyer billing by the hour.
Jack Swyteck was among the best Miami's criminal trial bar had to offer, having defended death row inmates for four years before switching sides to become a federal prosecutor. He was in his third year of private practice, steadily building a name for himself, despite the fact that he'd yet to land the kind of high-charged, high-profile jury trial that had vaulted plenty of lesser lawyers into stardom. But he was doing just fine for a guy who'd withstood an indictment for murder, a divorce from a fruitcake, and the unexplained appearance of the naked, dead body of his ex-girlfriend in his bathtub.
"Do the police know who did it?" asked Jack.
"They think they do."
James Grippando (Waukegan, 27 januari 1958)
De Canadese Schrijver Mordecai Richler werd geboren op 27 januari 1931 in Montreal. Zie ook mijn blog van 27 januari 2007 en ook mijn blog van 27 januari 2008.
Uit: Mordecai Richler Was Here: Selected Writings
One St. Urbain Street day cribs and diapers were cruelly withdrawn and the next we were scrubbed and carted off to kindergarten. Though we didn't know it, we were already in pre-med school. School-starting age was six, but fiercely competitive mothers would drag protesting four-year-olds to the registration desk and say, "He's short for his age." "Birth certificate, please?" "Lost in a fire." On St. Urbain Street, a head start was all. Our mothers read us stories from Life about pimply astigmatic fourteen-year-olds who had already graduated from Harvard or who were confounding the professors at MIT. Reading Tip-Top Comics or listening to The Green Hornet on the radio was as good as asking for a whack on the head, sometimes administered with a rolled-up copy of the Canadian Jewish Eagle, as if that in itself would be nourishing. We were not supposed to memorize baseball batting averages or dirty limericks. We were expected to improve our Word Power with the Reader's Digest and find inspiration in Paul de Kruif's medical biographies. If we didn't make doctors, we were supposed to at least squeeze into dentistry. School marks didn't count as much as rank. One wintry day I came home, nostrils clinging together and ears burning cold, proud of my report. "I came rank two, Maw."
Mordecai Richler (27 januari 1931 3 juli 2001)
|